tag:blogger.com,1999:blog-50886156544528927672024-03-14T02:49:18.339-07:00René Guénon - Râmana Maharshi - Shankara - Oeuvres et Présences. Quelques aperçus par B. HapelSANCTIFICETUR NOMEN TUUM (PATER NOSTER) - Voir aussi : blog-bruno-hapel.blogspot.comBruno Hapelhttp://www.blogger.com/profile/05525415697835975358noreply@blogger.comBlogger11125tag:blogger.com,1999:blog-5088615654452892767.post-41238247729228295532018-10-30T10:22:00.002-07:002019-02-27T05:10:58.047-08:00RENE GUENON et L’ISLAM<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 24pt; margin: 0px;">RENE
GUENON et L’ISLAM</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Préambule</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René Guénon n’avait jamais connu une telle
publicité mondiale. En 2010, le prix Goncourt est attribué à Michel Houellebecq
pour son roman <i style="mso-bidi-font-style: normal;">la Carte et le Territoire</i>.
Dans ce livre, ces quelques mots : «<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"> Cet
imbécile de Guénon</b> ». Un prix Goncourt c’est l’assurance d’un très
gros tirage. Cette phrase a ainsi été reproduite à des centaines de milliers
d’exemplaires et puis traduite en de nombreuses langues étrangères. Quelqu’un
que l’on traite d’imbécile, cela peut amuser, cela peut choquer. Et, comme l’on
dit, cela interpelle. Qui est vraiment l’imbécile, René Guénon ou le personnage
du roman ? Enfin c’est une insulte tellement gratuite qu’on reste
interloqué devant cette mise en scène. Et puis voilà que Michel Houellebecq récidive
dans son dernier roman intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Soumission</i>,
mais cette fois avec un autre qualificatif « <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">un auteur assez <span style="margin: 0px;"> </span>chiant</b> ».
René Guénon occupe une place de choix, une place tout à fait inattendue dans ce
roman. Un des personnages est qualifié de « guénonien », il joue un
rôle non négligeable dans le roman et participe ainsi à la mise en place d’une
équivalence simple dans l’esprit des lecteurs : René Guénon = Islam.
Pourquoi chercher à construire cette équation puisque dans le grand public, le
nom de René Guénon n’évoque à peu près rien et chez nos
« intellectuels » pas beaucoup plus. Mais quelle mouche le pique ?
Bien sûr, on peut tout mettre dans une œuvre de fiction. Mais que vient faire
René Guénon dans tout cela ? </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">A
ceux qui n'ont pas lu René Guénon, lisez-le ! Qu'avez-vous à y perdre ?
L'argument n'est pas nouveau, si vous gagnez, vous gagnez tout ; si vous
perdez, vous ne perdez rien, comme nous le précise Blaise Pascal.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce
livre ne proposera donc pas le digest que l’on fait figurer en général dans un
livre consacré à un auteur « classique ». Il a fallu à René Guénon
plus de 20 ouvrages pour nous livrer son enseignement. S’il avait pu le faire
en un seul livre, il l’aurait fait. Ce n’était pas un imbécile. Nous ne voyons
donc pas comment notre propre livre pourrait condenser cet enseignement sans
tendre à la caricature et à des raccourcis diffamants.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
vous avez déjà lu René Guénon, relisez-le. Une seule lecture est loin
d'être suffisante. C'est un auteur exigeant, « chiant » comme le
précise M. Houellebecq de cette façon « moderne ». Cette œuvre a
la capacité d’ouvrir notre horizon intellectuel, de nous faire parvenir à des
sommets où notre intuition intellectuelle peut enfin concevoir et contempler la
réalité, comprendre cette Vérité en l’embrassant dans une perspective à 360
degrés où rien ainsi ne manque. Elle nous permet de concevoir le Tout,
l’Infini. Mais bien sûr pas de l’exprimer, la Vérité est en elle-même
inexprimable. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
œuvre n'est pas la seule à avoir une telle capacité, mais elle a l'avantage
d'être la seule à être particulièrement bien adaptée à la mentalité de l'homme
moderne, de l’homme occidental qui, dans cette mondialisation qui s'achève, a
contaminé l’humanité tout entière.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">C'est
une œuvre providentielle, une œuvre sans barrière, si ce n'est les limites de
nos propres aptitudes.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">PREMIERE PARTIE</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Un
auteur atypique</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Un auteur français reconnu, certainement lu
mais d’une façon la plus souvent inavouée. Un auteur qui dérange ? Oui,
sans aucun doute et que l’on préfère ne pas citer. Michel Houellebecq aime la
provocation, faire référence à René Guénon y participe peut-être ? Mais
franchement, puisque le nom de René Guénon n’évoque rien au plus grand nombre,
cette intention tombe un peu à l’eau. Doit-on penser qu’il l’insulte pour mieux
conjurer son influence ? Un auteur risque de remettre en cause toutes vos
petites certitudes, alors on le vomit et l’on retrouve la paix de sa bonne
conscience. Mais cela n’explique rien car après tout pourquoi le nommer, il
suffisait de faire comme les autres et de l’ignorer.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René Guénon était-il chrétien ? Etait-il
musulman ? Son parcours est pour le moins atypique. On veut absolument
affirmer qu’il s’est converti à l’Islam. L’intéressé n’a jamais rien confirmé.
Il a vécu de nombreuses années à Paris dans la peau d’un chrétien, puis jusqu’à
sa mort au Caire dans la peau d’un musulman. L’œuvre de René Guénon conduit-elle
à la conversion à l’Islam ? En aucune façon. Paradoxalement René Guénon ne
s’adresse pas aux musulmans. Son œuvre est tout entière dédiée aux Occidentaux.
Même si la très grande majorité de ceux qui se disent « guénoniens »
se sont effectivement convertis à l’Islam, rien ne permet de conclure que René
Guénon y soit effectivement pour quelque chose. On pourrait objecter qu’il n’a
rien fait pour les en dissuader. Pourquoi aurait-il dû le faire ? Chacun
est libre de sa vie et René Guénon a toujours affirmé qu’il n’était pas un
maître spirituel et que par conséquent il n’avait pas de disciples. Mais les
apparences sont tenaces et donc le grand public devrait croire que cette œuvre
conduit à embrasser l’Islam. C’est la conclusion simpliste que M. Houellebecq
voudrait nous imposer.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais il faut toujours se méfier des opinions
du plus grand nombre qui engendre très souvent, si ce n’est toujours, un
redoutable effet de nivellement vers le bas qui aboutit à des réponses
primaires et le plus souvent totalement erronées. Enfin si l’on tient
absolument à voir en René Guénon un musulman alors il faut bien reconnaître
qu’il n’est certainement pas un musulman comme les autres. L’équation posée par
Houellebecq est au mieux terriblement réductrice et au pire totalement fausse.
L’Islam occupe en effet une place dans son œuvre et dans sa vie, mais cette
place est très loin d’être aussi absolue que le laisse entendre notre prix
Goncourt.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Que
savons-nous de René Guénon ? Il n’a rédigé aucune biographie. Il y a dans
son œuvre des allusions très discrètes à son cas personnel. De façon générale,
il s’efface complètement devant son œuvre qu’il considère justement comme
impersonnelle. Cette œuvre est très supérieure à tout ce qui a pu être écrit
dans le domaine de la connaissance en Occident depuis plusieurs siècles. René
Guénon est incontestablement le plus grand métaphysicien, le plus grand
intellectuel au vrai sens du terme que le monde moderne a vu naître et rarement
reconnaître. Il constitue une véritable autorité au sens spirituel. Comme nous
le disions, mais répétons-le parce que personne ne semble vouloir l’entendre,
René Guénon ne se reconnaît pas comme un maître spirituel, il se déclare sans
disciples et l’on ignore son degré réel de réalisation spirituelle. Mais
finalement cela n’a pas d’importance, l’œuvre est là et bien là.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
est en Occident le premier à expliquer de façon précise ce qu’est la Tradition,
ce qu’est la régularité traditionnelle et notamment initiatique et pourtant son
cas personnel est très singulier. C’est peut-être cette singularité qui a
séduit M. Houellebecq. Voyons d’ailleurs comment dans son roman <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Soumission</i>, René Guénon nous est
présenté. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Dans ce roman, le « guénonien » façon M.
Houellebecq est l’auteur d’une thèse. Voici les passages correspondants du roman :
« </span><i><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">une
thèse de philosophie, soutenue à l'université catholique de Louvain-la-Neuve,
signée Robert Rediger, et intitulée <b>Guénon lecteur de Nietzche</b></span></i><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> (p. 245)…</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">"Ah
vous êtes tombé sur ma thèse... j'ai obtenu mon doctorat; mais ce n'était pas
une très bonne thèse... Disons que je sollicitais un peu les textes, comme on
dit. Guénon, à bien y réfléchir, n'a pas été tant que ça influencé par
Nietzche; son rejet du monde moderne est tout aussi fort, mais il vient de
sources radicalement différentes</span></i><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">. (pp. 245-246) »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">A
cet instant, on peut vraiment penser que M. Houellebecq n’a jamais lu une ligne
de René Guénon. Ecrire une thèse sur un tel sujet se réduirait à deux lignes.
René Guénon ne porte aucune attention significative à la philosophie qui n’est
d’ailleurs qu’un exposé indéfini de théories individuelles se contredisant les
unes les autres, énonçant ici ou là certaines vérités sans jamais parvenir à
une quelconque connaissance véritable. Si René Guénon a fait allusion à
Nietzche environ cinq fois, c’est toujours pour rappeler la fantaisie de son
concept très personnel de l’ « éternel retour ». C’est un peu
maigre pour écrire une thèse !</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Visiblement
M. Houellebecq s’amuse et nous égare.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Houellebecq fait de son « guénonien » l’auteur d’un livre intitulé <i>Dix
questions sur l'Islam </i>que le narrateur dans son roman va lire et commenter,
notamment le chapitre sur la polygamie. On ne peut en être surpris chez M.
Houellebecq. Il commente aussi des articles de revue publié par ce
« guénonien ». Voici les passages correspondants que nous avons
extraits de cette fiction :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <i>...
il se posait la question de savoir si l'Islam était appelé à dominer le monde.
Rediger </i><span style="margin: 0px;">[le
« guénonien » dans le roman] <i>répondait finalement par
l'affirmative. C'est à peine s'il revenait sur le cas des civilisations
occidentales, tant elles lui paraissaient à l'évidence condamnées... Il se
montrait plus prolixe sur le cas de l'Inde et de la Chine: si l'Inde et la
Chine avaient conservé leurs civilisations traditionnelles, écrivait-il, elles auraient
pu, demeurant étrangères au monothéisme, échapper à l'emprise de l'Islam; mais
à partir du moment où elles s'étaient laissées contaminer par les valeurs
occidentales elles étaient, elles aussi, condamnées: il détaillait le
processus, fournissait un calendrier prévisionnel. L'article, clair et
documenté, trahissait nettement l'influence de Guénon, sa distinction
fondamentale entre les civilisations traditionnelles, prises dans leur
ensemble, et la civilisation moderne.</i></span> (p. 271)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ses
articles d'inspiration nietzschéenne me fatiguèrent pourtant assez vite...
J'étais, bizarrement, davantage attiré par sa fibre guénonienne - il est vrai
que Guénon à lire dans sa totalité est un auteur assez chiant, et que Rediger
en offrait une version accessible, une version light. J'aimais particulièrement
un article intitulé " <b>Géométrie du lien</b>", paru dans la <b>Revue
d'études traditionnelles </b></span></i><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">[la véritable revue se nomme « <i>Revue des Etudes
Traditionnelles </i>»]<b><i>. </i></b></span><i><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il y revenait une nouvelle fois sur
l'échec du communisme... le communisme n'aurait pu triompher qu'à la condition
d'être mondial. La même règle, avertissait-il, valait pour l'Islam: il serait
universel, ou ne serait pas</span></i><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> (pp. 273-274)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">...
[Et voici le point de vue du narrateur] <i>Et ce combat nécessaire pour
l'instauration d'une nouvelle phase organique de civilisation ne pouvait plus,
aujourd'hui, être mené au nom du christianisme; c'était l'Islam, religion sœur,
plus récente, plus simple et plus vraie (car pourquoi Guénon par exemple
s'était-il converti à l'Islam ? Guénon était avant tout un esprit scientifique,
et il avait choisi l'Islam en scientifique, par économie de concepts; et pour
éviter, aussi, certaines croyances irrationnelles marginales, telles que la
présence réelle dans l'Eucharistie), c'était l'Islam, donc, qui avait
aujourd'hui repris le flambeau.</i> (p. 275) »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans
une œuvre de fiction on peut raconter n’importe quoi et Houellebecq ne s’en
prive pas. Ainsi cette supposée conversion de René Guénon à l’Islam. Cette
justification théologique est totalement inconcevable car s’il est bien une
chose qui indiffère René Guénon c’est bien l’aspect théologique des traditions.
C’est un métaphysicien, la théologie lui apparaît ainsi comme tout à fait
secondaire. On aurait d’autre part bien du mal à trouver dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Etudes Traditionnelles </i>des
considérations purement politiques même si le titre du pseudo article est
plutôt bien trouvé et qu’en effet les mathématiques occupent une place tout à
fait remarquable dans l’œuvre de René Guénon.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">A
ce titre on peut citer ce passage d’un de ses ouvrages: </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous devons admettre la possibilité de tout
ce qui n’est pas intrinsèquement absurde, c’est-à-dire de tout ce qui
n’implique pas de contradiction ; en d’autres termes, nous admettons en
principe tout ce qui répond à la notion de possibilité entendue en un sens qui
est à la fois métaphysique, logique et mathématique</span></i></b><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">.</span></b><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Erreur spirite</i>,
chapitre VI, p. 75). On peut d’ailleurs mettre en correspondance ces trois
derniers termes avec ce que l’on nomme les trois mondes : spirituel,
subtil et corporel.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
faut reconnaître que le personnage de M. Houellebecq, ce
« guénonien », pourrait ressembler fort bien à l’un de ces convertis
qui se revendique de l’œuvre de René Guénon. Mais il faut déclarer encore une
fois que ces « guénoniens musulmans » s’égarent complètement en
affirmant qu’ils connaissent et respectent l’œuvre de René Guénon. Les
Orientaux authentiques ne trouveraient dans cette œuvre rien qu’ils ne
connaissent déjà. Et puis l’Islam n’est pas la tradition de l’Occident, c’est
le Christianisme. En tout dernier recours cette œuvre peut éventuellement
concerner les Orientaux lorsqu’ils ont perdu leurs repères traditionnels par
l’effet d’une occidentalisation qui aujourd’hui se généralise.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
premier livre de René Guénon paraît en 1921 sous la forme d’une introduction,
et d’une certaine façon d’une introduction à son œuvre tout entière. Ce premier
livre était-il consacré à l'Islam? Non. Son sujet concerne les doctrines
hindoues. René Guénon a publié un grand nombre d'ouvrages mais aucun sur l'Islam.
Un ouvrage posthume intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur
l’ésotérisme musulman et le Taoïsme</i> rassemble simplement des articles qu’il
avait consacrés à la tradition musulmane. Certes, il parle de l'Islam, de sa
doctrine, de ses symboles mais de façon, pourrait-on dire, anecdotique. La
tradition de référence dans cette œuvre c’est l’hindouisme. Il faut donc
reconnaître que son œuvre est logiquement indifférente à pratiquement tous les
musulmans en raison même de cette prédominance de l'hindouisme.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Les
ouvrages de René Guénon qui ont à ce jour connu les plus gros tirages avec des
éditions de poche sont <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La crise du monde
moderne</i> et<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Le</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">règne de la quantité et les signes des temps</i>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
premier est sans conteste le plus accessible et donc le plus lu ; le
second, déjà beaucoup plus ardu, offre de nombreux chapitres quasiment
prophétiques, publié au sortir de la Seconde Guerre mondiale il est devenu
aujourd’hui le « signe » d’une évidence. Qui douterait que nous
soyons soumis au règne de la quantité…</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
pour autant, ces ouvrages ne sont pas des livres de vulgarisation. Certains
chapitres, certains passages sont difficiles à lire, et pourtant rien ne peut
les remplacer. On ne peut pas en proposer une version accessible, une version <i style="mso-bidi-font-style: normal;">light </i>comme le souhaiterait Houellebecq.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Sur
les questions fondamentales que tout homme devrait se poser, les réponses ne
peuvent se faire en cinq minutes. Le monde moderne est impatient, agité,
incapable de concentration. L’œuvre de René Guénon demande tout le contraire,
mais avec de la persévérance on est récompensé au-delà de tout ce que l’on
pouvait espérer.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Pour
en recueillir la quintessence, il faut s’astreindre à une lecture très poussée.
Et au final à une lecture intégrale en suivant l’ordre chronologique de
parution de ses ouvrages, de ses articles et de ses comptes rendus. Voilà
pourquoi nous proposons en fin d’ouvrage une bibliographie détaillée.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Michel Houellebecq dans son roman prête à
René Guénon, </span><i><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">sa
distinction fondamentale entre les civilisations traditionnelles, prises dans
leur ensemble, et la civilisation moderne</span></i><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">. </span><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous pouvons partir de ce constat exact et dire que la
notion de Tradition occupe en effet une position centrale dans son œuvre.
L’humanité aussi loin que l’on puisse remonter dans le temps a toujours été
rattachée à des traditions spirituelles. Il n’y a que le monde moderne pour
s’en être détourné. L’homme moderne veut se convaincre que l’humanité depuis
ses origines est dans l’erreur, qu’elle a toujours été dans l’ignorance et que
ce n’est que depuis la naissance particulièrement récente du monde moderne que
notre humanité est enfin sorti de sa bêtise et de son obscurantisme. Pour
l’homme moderne nos ancêtres sont de parfaits idiots, que des
« imbéciles ». Ou pour être un peu moins dur, l’homme moderne pense
qu’ils n’étaient que dans les balbutiements de l’enfance et que depuis quelques
siècles seulement l’humanité est enfin adulte, ou pour être encore plus exact,
l’homme moderne serait le seul dans l’histoire de cette humanité à être parvenu
véritablement à l’âge adulte. La vérité est exactement contraire et ce n’est
pas pour rien que René Guénon parle d’une « Crise du monde moderne »,
l’homme moderne parle lui de progrès, de réussites inouïes mais chacun peut
aujourd’hui vérifier les effets réels de ce soi-disant progrès.</span><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La tradition c’est un héritage qui se
transmet de génération en génération. A l’origine une tradition est le fruit
d’une connaissance direct, d’une connaissance effective, elle est l’écho de la
réalisation spirituelle, c’est donc la Vérité qui prend forme. Dans ce
processus, la Vérité étant inexprimable, cette Vérité devient alors d’une
certaine façon une vérité relative puisque conditionnée par sa forme
d’expression. Une tradition n’est donc pas strictement la Vérité mais une forme
authentique d’expression de la Vérité. Cette distinction est importante parce
qu’elle permet de comprendre pourquoi ces formes d’expression peuvent être
multiples et, d’autre part, qu’au fil du temps une forme d’expression doit
s’adapter au changement même de la nature humaine au risque de dégénérer et
d’aboutir à une expression de plus en plus relative de la Vérité s’approchant
ainsi de sa propre fin pour sombrer pratiquement dans l’erreur. Ce processus
est commun à toute chose créée, il y a naissance, développement c’est-à-dire
adaptation au milieu et puis inexorablement dégénérescence pour finir par la
mort. Une tradition est une forme manifestée qui est ainsi soumis au principe
des cycles communs à toutes choses manifestées.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le monde moderne est ainsi la résultante de
cette dégénérescence des traditions. Sans cette dégénérescence il n’aurait pas
pu voir le jour, mais comme cette dégénérescence est inévitable, comme la
vieillesse et la sénilité, cette « modernité » devait inexorablement
se manifester.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’œuvre de René Guénon apparaît donc à un
moment où tout est déjà joué pratiquement. Le monde moderne est bien implanté,
il est en pleine expansion. La tradition recule dans le monde entier et René
Guénon va nous révéler la valeur considérable de cet héritage qui disparaît sous
nos yeux.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le monde moderne est comme un cancer qu’on
semble avoir aujourd’hui diagnostiqué, mais dont les métastases sont tellement
nombreuses qu’il est trop tard pour trouver une solution pour les neutraliser,
la seule chose que l’on parvient à faire c’est d’évoquer ce que pouvait être le
monde véritable, « normal », avant cette dégénérescence monstrueuse.
Pour prendre un simple exemple, nos ancêtres dans la tradition ont vécu de tout
temps d’une façon « écologique » sans avoir à définir ce terme qu’ils
n’employaient pas. Et depuis que ce terme est apparu, qu’il fait l’actualité,
et que l’on cherche ainsi à revenir à un monde disons « normal », qui
ne pourrait être qu’un monde traditionnel, il est trop tard, le mal est fait,
le cancer est trop avancé, ce monde doit disparaître. Dans un déroulement
cyclique, il n’est jamais possible de « revenir en arrière » puisque
cela voudrait dire que l’on pourrait réaliser deux fois la même possibilité de
manifestation, ce qui est une impossibilité métaphysique. Si les choses
pouvaient se répéter, cela voudrait dire que la manifestation n’est pas
indéfinie et que l’Infini n’est pas infini. Ceci confirme l’impossibilité de la
réincarnation si chère à nos contemporains et que les traditions orthodoxes
n’ont jamais reconnu comme une possibilité. Transmigration n’est pas
réincarnation !</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’œuvre de René Guénon procède de cette
« mise à jour ». Tout l’héritage de l’humanité qui avait permis à
l’ensemble des générations de vivre avec cohérence, à l’origine avec sagesse et
intelligence, puis avec un respect des ancêtres et du passé, enfin de façon
simplement conventionnelle pour à la fin donner naissance au monde moderne (car
le monde moderne est comme la maladie, la sénilité du monde traditionnel) ;
tout cet héritage René Guénon nous le révèle, nous l’explique.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le rôle de la tradition est de savoir
reconnaître au mieux les possibilités de chaque être surtout sur le plan
spirituel et d’aider à ce que ces possibilités se réalisent, permettant ainsi à
chacun d’atteindre le meilleur accomplissement spirituel possible au regard de
ces qualifications propres. Le rôle de la tradition est à l’appui des
connaissances dont elle est le dépositaire d’optimiser le développement
spirituel et d’assurer des états posthumes les plus adaptés à ce potentiel
spirituel. L’enjeu est communautaire et non individuel. Les êtres dont les
qualifications sont les plus faibles vont se réaliser au niveau de leur propre
qualification dans une forme de sacrifice spirituel au profit des êtres dont le
niveau de qualification est le plus élevé. Ces sacrifices libérateurs
permettent dans la pyramide des qualifications croissantes d’obtenir ainsi,
chacun à son niveau, des résultats spirituels optimisés. Dans l’économie
spirituelle le but avoué n’est pas de garantir une sorte de minimum spirituel à
tous, mais bien de permettre à chacun d’aller au maximum de ses possibilités
propres. Il faut reconnaître que dans le processus de descente cyclique qui se
conjugue avec un affaiblissement des qualifications spirituelles, les dernières
traditions notamment chrétiennes et musulmanes s’adaptant à cette nouvelle
nature humaine ont dans cette optimisation l’ambition de permettre au plus
grand nombre d’obtenir quelques résultats sur le plan spirituel et que
l’objectif de permettre à certain d’atteindre une totale libération n’est plus
l’objectif premier. En effet, l’humanité avant d’entrer dans ce dernier cycle
de l’Age Sombre était encore constituée d’êtres avec un fort potentiel
spirituel (même s’il appauvrissait au fil des générations, ce processus
d’épuisement étant une conséquence inévitable du déroulement cyclique). Les
dernières traditions apparaissent à un moment où ce potentiel s’est
considérablement réduit et donc l’ambition ne peut plus être d’atteindre un
haut degré de réalisation pour un grand nombre d’être, ni d’ailleurs d’aider un
petit nombre à atteindre ces degrés (nous assistons alors à cette fracture de
l’ésotérisme, aspect métaphysique, et de l’exotérisme, aspect religieux), le
discours de la tradition est alors résolument exotérique, un minimum spirituel
pour le plus grand nombre. Rappelons que l’objectif de la Tradition n’est pas
culturel mais fondamentalement spirituel. La culture en est l’enveloppe mais
pas le cœur et c’est cette inversion consistant à mettre en avant le culturel
au mépris du spirituel qui aujourd’hui précipite les traditions vers le gouffre
et fait que les autorités spirituelles pactisent avec la modernité en espérant
sauver cet héritage au préjudice de la réalisation spirituelle. En croyant sauver
l’esprit en privilégiant le mental et le corps, on illusionne l’humanité en lui
faisant perdre tous ses repères pour la mener vers le chaos.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Une
œuvre à l’abri de la censure</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René Guénon nous parle dans son œuvre du
monde de la tradition, mais il n’a jamais vécu dans cette ambiance. A sa
naissance, le monde moderne avait déjà imposé ses règles, la tradition n’était
plus depuis longtemps le point de référence pour vivre. Le pouvoir temporel
n’avait plus à craindre de l’autorité spirituelle. En France, où il est né, le
Pape avait perdu beaucoup de son influence et ne pouvait plus véritablement
dicter la loi de l’Eglise. Et au Caire où il a fini sa vie, le Coran n’imposait
pas non plus vraiment sa loi. René Guénon aura ainsi passé toute sa vie sans
être jamais soumis à une autorité spirituelle stricte, en cela il ne diffère en
rien de la masse de nos contemporains. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il faut tout de suite préciser que s’il avait
été confronté à une autorité spirituelle active, son œuvre aurait été censuré
de façon brutale que ce soit en terre chrétienne ou en terre musulmane.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René Guénon bénéficie, ce qui est un
paradoxe, de l’affaiblissement de la tradition, de la tradition catholique
notamment, pour publier son œuvre sans aucune censure. Il obtiendra même
l’imprimatur pour son petit ouvrage sur Saint Bernard…</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Depuis des siècles l’Eglise catholique met à
l’index tous les écrits que l’on considère comme ésotériques. Les publications
dites ésotériques ont dû déjouer les pièges de la censure au détriment souvent
de leur clarté (Fidèles d’Amour, Rose-croix, Francs-maçons, Alchimistes, etc.,
la liste est longue). Même dans le domaine théologique, des auteurs dont
l’œuvre répond à la théologie négative comme Maître Eckhart ont été inquiétés.
Rien de cela pour René Guénon. Aucun livre à l’index, aucun procès, aucune
entrave si ce n’est la perfidie et l’hostilité de certains
pseudo-intellectuels.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La place accordée aux doctrines hindoues dans
cette œuvre est inacceptable pour les traditions du Livre. L’Islam ne peut que
la rejeter. Il y a bien une sorte de tolérance liée seulement comme pour le
Catholicisme à l’affaiblissement de ces traditions face au monde moderne. René
Guénon condamne le monde moderne et c’est le monde moderne qui le laisse
s’exprimer. La bêtise du diable est sans limite. Il est important de noter que
tous les intégrismes s’opposent avec violence à cette œuvre. On pourrait s’en
étonner mais cela s’explique sans peine. L’intégrisme est une tentative de
« retour en arrière » qui s’oppose ainsi au juste déroulement
cyclique, il ne peut être que l’expression d’une erreur. Et René Guénon est
toujours présent pour débusquer les erreurs évidentes.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’Hindouisme comme le Bouddhisme pourraient
accueillir cette œuvre avec un complet détachement. Mais là encore, elle ne les
concerne pas. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
cette œuvre n’est pas censurée, elle est emprisonnée dans sa forme francophone.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La langue française, sa langue maternelle,
est le support fondamental de cette œuvre. Le français s’est imposé en Europe
et donc en Occident comme la langue la plus efficace pour exprimer des
concepts, des idées et articuler au mieux un raisonnement. Elle est ainsi la
langue occidentale la moins inadaptée pour véhiculer la connaissance aussi bien
que le savoir. René Guénon a d’ailleurs redéfini un grand nombre de mot et
d’expression (en revenant le plus souvent à leur sens étymologique) pour
asseoir son enseignement. L’œuvre de René Guénon n’est donc pleinement
accessible qu’au francophone.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On remarquera que René Guénon n’a fait aucun
effort particulier pour que son œuvre soit traduite. S’il avait eu comme
dessein d’intervenir en force sur le monde occidental, c’est en utilisant
l’anglais qu’il aurait pu atteindre la masse. Mais son enseignement ne
s’adresse pas au plus grand nombre.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’œuvre est particulièrement dense. René
Guénon pour parvenir à ses fins n’a pas manqué d’avoir recours à tous les
aspects formels disponibles à son époque. Ainsi il est le premier a utilisé le
langage mathématique pour nous aider à concevoir et comprendre ce qui est du
domaine de la connaissance des principes et de la réalisation spirituelle.
Ainsi la notion de passage à la limite propre à la mise en œuvre du calcul
intégral vient illustrer le processus de la réalisation spirituelle effective,
on se reportera à son ouvrage intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">les
Principes du calcul infinitésimal</i>. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M. Houellebecq ne se trompe pas lorsqu’il
précise que René Guénon est un esprit que la modernité qualifierait plutôt de
scientifique.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">A l’image de l’Infini, la Vérité est une. Il
n’y a pas deux infinis. L’Infini n’est pas constitué de parties. L’œuvre de
René Guénon respecte en permanence l’Infini, il cherche sans cesse à en
rappeler la continuité. Ainsi lorsqu’il aborde un sujet précis, il garde malgré
tout toujours en vue tout ce qui n’est pas directement lié à ce sujet afin de
maintenir une vision complète et totale à l’image de l’Infini. En un mot il
n’est jamais systématique, et s’il se livre à l’analyse, il revient toujours à
la synthèse.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Infini = Vérité. Une équation exacte aussi
simple que cette évidence mathématique : 1 + 1 = 2. Et cependant une
certitude inexprimable comme l’illustre cette autre façon d’écrire cette même
évidence mathématique et qui devient: 1 + 1 = 10.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La suite des nombres peut être représentée de
multiple façon : dans le système décimal à l’aide de 10 symboles (les
nombres 1 à 9 avec le zéro), dans le système binaire (utilisé notamment pour
les ordinateurs) à l’aide des seuls symboles zéro et 1. Le nombre 1dans le
système décimal va ainsi être représenté par le symbole 1 dans le système
binaire, <u>le nombre 2 par le symbole 10</u>, le nombre 3 par 11, le nombre 4
par 100, le nombre 5 par 101, le nombre 6 par 110, le nombre 7 par 111, le
nombre 8 par 1000, le nombre 9 par 1001, etc.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Un
véritable métaphysicien</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Quel a été le rôle de René Guénon ?
A-t-il eu une fonction au sens traditionnel ? </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On a utilisé le terme de témoin de la
tradition qui apparaît en effet comme tout à fait juste. Son œuvre est en effet
un témoignage de ce qu’est la spiritualité, la tradition, la métaphysique. Une
œuvre écrite, comme nous l’avons vu, enfermée dans le carcan de la langue
française, réservée à la mentalité occidentale (même si celle-ci s’étend au
monde entier, un oriental au vrai sens du terme n’a que faire de cette œuvre). </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">C’est l’œuvre d’un métaphysicien au plein
sens du terme. C’est une œuvre de Vérité. Elle n’est pas simplement théorique
mais au-delà de la distinction du théorique et du pratique. Le métaphysicien se
place de préférence « du point de vue du Principe ». Cela implique
qu’il décrit la réalité telle qu’elle est et non pas telle qu’elle apparaît du
point de vue de la créature. Ainsi le métaphysicien peut indiquer le point de
vue de l’être réalisé et non pas seulement celui de l’être virtuellement
réalisé. Du point de vue du principe, à vrai dire il n’y a pas de différence,
mais du point de vue de l’être individuel la différence peut être considérable
puisque l’être non réalisé surimpose en permanence une illusion : celle
d’une discontinuité entre le Principe et ce qu’il pense être. Le rôle de la
tradition et du métaphysicien est de réduire cette séparation illusoire et
d’aider à la faire disparaître étant entendu que l’être seul peut y parvenir
tout en sachant paradoxalement qu’elle n’existe pas vraiment puisqu’elle est
illusoire. Nous sommes tous réalisés mais notre ego construit une virtualité
qui empêche que cette réalisation soit effective.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René Guénon a permis à ses lecteurs de
reconnaître l’authenticité de la réalisation spirituelle de Râmana Maharshi qui
est ainsi l’un des rares êtres dans ce monde contemporain à pouvoir être
qualifié de « délivré-vivant », de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jivan-mukta</i>. Râmana Maharshi ne se présente pas comme un maître et
a refusé d’avoir des disciples. En cela il rejoint René Guénon. On peut faire
une comparaison significative entre leur fonction respective.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si l’on est né en Inde avec une sagesse innée
et une capacité d’intuition intellectuelle exceptionnelle comme Râmana
Maharshi, on peut se contenter d’une action de présence. L’Orient véritable est
fondamentalement contemplatif et n’a pas spirituellement besoin d’aide.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si l’on est né en France avec une sagesse
innée et une capacité d’intuition intellectuelle exceptionnelle comme René
Guénon, on est logiquement voué à une action d’enseignement traditionnel de
tout premier ordre. L’Occident est fondamentalement actif, et de nos jours
particulièrement agité. Il a donc particulièrement besoin d’aide sur le plan
spirituel.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana a fait état de sa réalisation très
précoce, René Guénon n’en parle pas mais on ne peut s’expliquer son œuvre sans
une forme de réalisation au sortir de l’adolescence. L’un et l’autre ne
s’appuient pas sur des sources identifiables pour alimenter leur discours, ils
ne sont pas des érudits mais ils ont cette capacité à reconnaître l’expression
de la Vérité dès qu’on leur présente des éléments doctrinaux parfois même très
embrouillés.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ainsi Râmana ne connaissait pas l’œuvre de
Shankara, mais lorsque des Pandits lui en ont présenté des extraits il a tout
de suite reconnu la validité et la qualité du contenu. De même René Guénon est
capable de parler du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vêdânta</i> avec une
maîtrise étonnante alors qu’il s’appuie notamment sur des documents
d’orientalistes anglais avec leur traduction des textes plus qu’approximative.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On peut citer ce passage d’un article de René
Guénon qui illustre bien cette singularité, intitulé Sa<i style="mso-bidi-font-style: normal;">gesse innée et sagesse acquise </i>repris dans l’ouvrage posthume <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Initiation et Réalisation spirituelle</i>
(ch. XXII) :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;"> </span>« </span></b><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cet
être pourra alors passer en apparence par les mêmes degrés que l’initié qui est
simplement parti de l’état de l’homme ordinaire, mais la réalité sera pourtant
bien différente ; en effet, non seulement l’initiation, au lieu de n’être
tout d’abord que virtuelle comme elle l’est habituellement sera pour lui
immédiatement effective, mais encore il « reconnaîtra » ces degrés,
si l’on peut s’exprimer ainsi, comme les ayant déjà en lui, d’une façon qui
peut être comparée à la « réminiscence » platonicienne, et qui est
même sans doute au fond une des significations de celle-ci. Ce cas est
comparable aussi à ce que serait, dans l’ordre de la connaissance théorique,
celui de quelqu’un qui possède déjà intérieurement la conscience de certaines
vérités doctrinales, mais qui est incapable de les exprimer parce qu’il n’a pas
à sa disposition les termes appropriés, et qui, dès qu’il les entend énoncer,
les reconnaît aussitôt et en pénètre entièrement le sens sans avoir aucun
travail à faire pour se les assimiler. Il peut même se faire que, lorsqu’il se
trouve en présence des rites et des symboles initiatiques, ceux-ci lui
apparaissent comme s’il les avait toujours connus, d’une façon en quelque sorte
« intemporelle », parce qu’il a effectivement en lui tout ce qui,
au-delà et indépendamment des formes particulières, en constitue l’essence
même ; et, en fait, cette connaissance n’a bien réellement aucun
commencement temporel, puisqu’elle résulte d’une acquisition réalisée en dehors
du cours de l’état humain, qui seul est véritablement conditionné par le
temps. »</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’œuvre de René Guénon est très subtile. Il
faut la lire avec beaucoup d’attention et la lire dans son intégralité sinon on
pourrait croire qu’il y a parfois des contradictions mais c’est une erreur
complète. Voici un bel exemple d’une apparente contradiction concernant la
question du «<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> luz</i> ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On peut lire ce passage particulier au
chapitre VII du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Roi du Monde</i> (c’est
nous qui soulignions): <b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;">« </i>(...) Le même mot <i style="mso-bidi-font-style: normal;">luz</i> est aussi le nom donné à une particule <u>corporelle</u>
indestructible, représentée symboliquement comme un os très dur, et à laquelle
l’âme demeurerait liée après la mort et jusqu’à la résurrection. Comme le noyau
contient le germe, et comme l’os contient la moelle, ce <i style="mso-bidi-font-style: normal;">luz</i> contient les éléments virtuels nécessaires à la restauration de
l’être; et cette restauration s’opérera sous l’influence de la "rosée
céleste", revivifiant les ossements desséchés (...) » Puis une page
plus loin: « On situe le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">luz </i>vers
l’extrémité inférieure de la colonne vertébrale; ceci peut sembler assez étrange,
mais s’éclaire par un rapprochement avec ce que la tradition hindoue dit de la
force appelée <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kundalinî</i>, qui est une
forme de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti</i> considérée comme
immanente à l’être humain. Cette force est représentée sous la figure d’un
serpent enroulé sur lui-même, dans une région de <u>l’organisme subtil</u>
correspondant précisément aussi à l’extrémité inférieure de la colonne
vertébrale (...)</b> »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On doit relire cette note de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’homme et son devenir selon le Vêdânta</i>,
chapitre intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’état de sommeil
profond ou la condition de prâjna</i>: « <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">C’est là ce qui permet de transposer métaphysiquement la doctrine
théologique de la "résurrection des morts", ainsi que la conception
du "corps glorieux"; celui-ci, d’ailleurs, n’est point un corps au
sens propre du mot, mais il en est la "transformation" (ou la
"transfiguration"), c’est-à-dire la transposition hors de la forme et
des autres conditions de l’existence individuelle, ou encore, en d’autres
termes, il est la "réalisation" de la possibilité permanente et
immuable dont le corps n’est que l’expression transitoire en mode manifesté.</b> »<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"></b></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Enfin, sur cette même question de l’aspect
corporel du «<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> luz</i><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </b>», on peut se référer à ce
passage des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">États multiple de l’être</i>
(p. 61):</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">D’ailleurs,
ces prolongements [de l’individualité], qui sont de différents ordres, peuvent
rentrer également dans les subdivisions de la hiérarchie générale; il y en a
même qui, étant en quelque sorte de nature organique comme nous l’avons dit, se
rattachent simplement à l’ordre corporel, mais à la condition de voir jusque
dans celui-ci quelque chose de psychique à un certain degré, cette
manifestation corporelle étant comme enveloppée et pénétrée tout à la fois par
la manifestation subtile, en laquelle elle a son principe immédiat.</b> »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Une
humanité disqualifiée</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René Guénon a choisi l’Hindouisme comme
support principal pour illustrer son enseignement. Les traditions du Livre tout
autant que le Bouddhisme étaient trop particularisés par leurs adaptations
spéciales à la fin du cycle pour pouvoir convenir. Et les traditions plus
anciennes à celles de l’Inde étaient soit trop dégénérés comme celles de
l’Afrique noire ou des Amériques, soit trop fermées et trop éloignées de la
mentalité occidentale comme les traditions extrême-orientales. L’hindouisme
apparaissait ainsi comme la solution la plus adaptée pour faire comprendre ce
que pouvait être une tradition complète et métaphysique. Rappelons que notre
humanité est depuis plusieurs millénaires entrée dans ce que les Hindous
nomment l’Age Sombre, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kali-yuga</i>.
L’hindouisme peut être ainsi pris comme référence tout en gardant à l’esprit
que cette tradition subit les effets de la descente cyclique et de
l’affaiblissement qui en résulte. C’est une tradition complète, c’est-à-dire
capable de reconnaître sans discontinuité tous les aspects de la connaissance
depuis le point de vue purement métaphysique jusqu’au débordement extrême de la
dévotion (intégrant sans séparation aucune l’aspect ésotérique et exotérique)
en offrant ainsi une possibilité d’atteindre tous les degrés spirituels (sous
tous ces modes). Elle connait ainsi ce qu’elle nomme les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avatâras</i> (« Descentes ») qui viennent apporter à
l’humanité une possibilité de développer à chaque moment critique une nouvelle
forme spirituelle adaptée à la nouvelle condition de qualification des êtres.
L’hindouisme a connu de nombreux <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avataras</i>
dans son histoire. Elle possède une langue sacrée et des textes révélés. Elle
est régie par le système des castes qui semble restreindre cette tradition à
des conditions de naissance. Ce système est censé reconnaître le degré de
qualification réelle des êtres. A la naissance, l’être peut ainsi avoir la
qualification propre au Brahmane (celle du sacerdoce), ou celle propre au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kshatriya</i> (celle de la royauté), ou
celle propre au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vaishya</i> (celle des artisans),
ou celle enfin propre au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Choudra</i>.
Dans l’impossibilité propre au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kali-yuga</i>
à reconnaître vraiment la qualification réelle des êtres, la tradition hindoue
s’est en quelque sorte un peu figée et c’est en fin de compte la naissance
apparente dans une caste qui détermine la qualification théorique. Cette
caractéristique est devenue une des faiblesses de la tradition hindoue qu’elle
nomme pour cela « la confusion des castes ». Cette tradition offre
d’autre part une tolérance complète vis-à-vis des autres formes traditionnelles
sans volonté d’imposer une quelconque forme de conversion.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans un monde encore équilibré, les êtres
naissent nécessairement dans une tradition particulière et ils n’ont<span style="margin: 0px;"> </span>a priori aucune raison ni désir d’en changer.
La possibilité de ne pas être rattaché à une forme traditionnelle est là aussi
une possibilité que seul le monde moderne à inventer. L’idée de méconnaître le
Principe suprême est tellement absurde qu’il a fallu attendre vraiment que
l’humanité s’abêtisse à un degré jamais atteint jusque-là. Dans la confusion
moderne, la possibilité individuelle de se convertir répond ainsi à un jugement
rarement objectif et surtout prisonnier de la subjectivité de l’ego toujours
très mauvais conseiller.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Comment se fait aujourd’hui la détermination
des qualifications. L’humanité est aujourd’hui le fruit de la confusion des
castes. Les êtres ne sont plus à leur place. Comment faire pour reconnaître sa
place réelle et donc son vrai niveau de qualification. La solution à cette
question se trouve clairement dans l’œuvre de René Guénon, mais curieusement
les « guénoniens », dont l’ego est très puissant, veulent l’ignorer
et se déclarent « égoïstement » et systématiquement comme très
qualifiés et donc dignes de la plus haute caste.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Voyons maintenant en comparaison certaines
des caractéristiques du Christianisme. Instauré par un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avatâra</i> dont la caste d’origine est celle des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kshatriyas</i>. Il adopte d’ailleurs le métier d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vaishya</i>. Il est ainsi fils de roi et
charpentier. Le Christianisme ne dispose pas de langue sacrée, pas de texte
révélé. La Révélation c’est le Christ, l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avatâra</i>.
C’est une tradition pour tous les peuples. Elle connaît la fracture esotérisme
/ exotérisme. Une forme religieuse, avec une ignorance quasi complète de son
aspect ésotérique, mal toléré par l’aspect religieux. Une forte présence de la
dimension corporelle au détriment de la dimension purement spirituelle.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Penchons nous maintenant sur l’Islam. Dans
cette tradition il n’y pas d’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avatâra</i>,
mais un seul Prophète. Elle dispose d’une langue sacrée, d’un texte révélé.
C’est une tradition pour tous les peuples. Une forme religieuse avec un
complément ésotérique existant relativement bien toléré par l’aspect religieux.
Sous l’effet encore plus fort de la descente cyclique, l’aspect corporel,
substantiel et féminin est encore plus présent qu’il ne l’était déjà dans le
Christianisme.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous reproduisons deux passages d’un compte
rendu rédigé par René Guénon. Il concerne le livre de I. Goldziher
intitulé : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Dogme et la Loi de
l’Islam: Histoire du développement dogmatique et juridique de la religion
musulmane</i>. (Traduction de F. Arin. P. Geuthner, Paris, 1920). Compte rendu
a été publié en 1921 dans la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue de
Philosophie</i> (numéro de Septembre-octobre) [Voir la bibliographie publiée en
fin d’ouvrage] :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">D’autre
part, la doctrine enseignée par Mohammed n’est pas du tout un
« éclectisme »; la vérité est qu’il s’est toujours présenté comme un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">continuateur</i> de la tradition
judéo-chrétienne, en se défendant expressément de vouloir instituer une
religion nouvelle et même d’innover quoi que ce soit en fait de dogmes et de
lois (et c’est pourquoi le mot « mahométan » est absolument rejeté
par ses disciples)</b> ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Bien que l’Islam soit la
« dernière » tradition du cycle de la présente humanité, il s’inscrit
dans la continuité. Il s’agit donc d’une adaptation et non d’une rupture
vis-à-vis de cette tradition judéo-chrétienne.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Ces
considérations conduisent à l’étude de la secte moderne des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Wahhâbites</i>, qui prétend s’opposer à
toute innovation contraire à la Sunna, et qui se donne ainsi pour une
restauration de l’Islam primitif; mais c’est probablement un tort de croire ces
prétentions justifiées, car elles ne nous semblent pas l’être plus que celles
des Protestants dans le Christianisme; il y a même plus d’une analogie curieuse
entre les deux cas (par exemple le rejet du culte des saints, que les uns et
les autres dénoncent également comme une « idolâtrie »).</b> »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il y a ici une correspondance très importante
que René Guénon établit entre les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Wahhâbites</i>
et les Protestants qui peut expliquer beaucoup de choses et notamment la
situation actuelle et le sort de l’Islam. Le Protestantisme a sonné le glas du
Christianisme et a joué un rôle essentiel dans le développement du monde
moderne. Le même processus se retrouve dans l’Islam. Ce que l’on peut qualifier
de protestantisme islamique sonne le glas de l’Islam et d’une façon encore plus
précipité que ce qu’a connu le Christianisme. Situation d’autant plus logique
que par l’effet de la descente cyclique et de son facteur d’accélération
l’Islam va se décomposer avec plus de rapidité et de violence.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La présence d’une autorité centrale dans le
Catholicisme avec la papauté a donné à cette contestation hétérodoxe une
visibilité immédiate. L’absence d’une autorité centrale dans l’Islam ne laisse
pas entrevoir avec autant de netteté cette mise en place d’un processus
d’hétérodoxie mais il est à l’œuvre et il a même remporté la victoire comme
avec le Protestantisme. La tradition occidentale n’est plus qu’une ruine, un
corps agonisant même si elle n’est pas encore morte.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Chaque
tradition est confrontée à son propre épuisement et chaque tradition s’achemine
vers une fin ultime qui devra s’accomplir au même moment. Il y a donc un point
de convergence dans la chute et les traditions plus récentes ont dû connaître
un processus d’accélération pour, si l’on peut dire, rattraper les traditions
plus anciennes dans leur chute. L’Islam étant la dernière connaît ainsi une
accélération dans sa décadence sans commune mesure avec ce qui a pu frapper les
autres traditions. Ce qui a nécessité de nombreux cycles pour la tradition
hindoue n’en prendra que beaucoup moins pour l’Islam. Sachant en plus que pour
toutes les traditions encore actives, le temps s’accélère. La tradition hindoue
se meurt et celle de l’Islam également.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans le déroulement cyclique du monde
occidental, la dernière phase où ce monde pouvait encore être qualifié de
traditionnel remonte au Moyen-âge. Il faut d’ailleurs bien comprendre que même
alors ce qualificatif de traditionnel présente un degré de réalisation bien
inférieur à ce que l’on pouvait trouver par exemple en Inde à la même période.
Ce monde traditionnel du Moyen-âge n’avait pas cette dimension nettement
métaphysique mais bien cet aspect fractionné entre un exotérisme en
l’occurrence la religion catholique et un ésotérisme plutôt discret mais
accepté avec par exemple l’Ordre du Temple tout à fait essentiel ou ces
initiations de métiers notamment. Il n’y avait déjà plus une hiérarchie
traditionnelle bien nette. Un sacerdoce exotérique et des moines soldats, une
royauté avec ses chevaliers et des artisans. Donc pas de vrais Brahmanes, des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kshatriyas</i> avec des qualifications plus
ou moins élevées, et des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vaishyas</i>, si
l’on veut établir une correspondance avec les castes de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dvija</i> (deux-fois nés).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le monde occidental a ensuite connu ce que
l’on nomme du point de vue moderne la Renaissance qui correspond en réalité à
l’abandon de la pure orthodoxie. Le Protestantisme a ainsi ouvert les portes au
monde moderne. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans la manifestation, les choses se
correspondent. Le déroulement d’une humanité est à l’image du déroulement de
n’importe quel autre cycle comme par exemple le cycle d’une vie humaine. De la
façon la plus logique, ce déroulement va du commencement à la fin sans jamais
pouvoir revenir en arrière. Ainsi toute volonté de faire marche arrière est
vouée à l’échec et conduit toujours à un aspect parodique. Un être naît,
s’accomplit et puis vieillit. Certes en vieillissant on peut avoir un regain de
vitalité qui ouvre dans le grand cycle d’une vie une nouvelle étape que l’on
peut qualifier alors de redressement mais pour autant l’être ne rajeunit pas.
Croire alors que l’on rajeunit, c’est mentir et entrer dans la parodie d’une
autre jeunesse.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Les Occidentaux sont très peu doués pour la
contemplation. Ils sont dans l’action. Pour tenter de faire entendre à ces
Occidentaux les bases de la métaphysique, René Guénon va être obligé
paradoxalement de faire une large place à la « physique », au monde,
pour amener ses lecteurs à prendre en considérations les questions purement
spirituelles. Il va ainsi sans jamais entrer dans le domaine politique évoquer
malgré tout les questions du devenir du monde. Il va ainsi s’attarder sur les
éventuelles possibilités d’évolution de l’Occident </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Lorsque René Guénon envisage une possibilité
de redressement pour l’Occident, la situation est très dégradée. On est entré
dans la phase finale avec la séparation de l’Eglise et de l’Etat et un
Protestantisme particulièrement efficace et dissolvant.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Lorsque René Guénon parle de redressement de
l’Occident, ce qu’il peut envisager c’est quelque chose comme un palier dans la
descente cyclique où le monde occidental aurait pu pour un temps seulement
s’offrir comme un regain de vie traditionnelle et rien de plus. Ce ne pouvait
pas être une renaissance en aucune façon et donc pas une renaissance du
Moyen-âge, René Guénon, en nous expliquant comment fonctionne le déroulement
cyclique, nous indique également que cette possibilité de renaissance n’en est
pas une. Cette possibilité devait être totalement originale quand à la forme de
société tout en respectant les principes de la Tradition. Elle ne pouvait pas
présenter une possibilité traditionnelle supérieure à ce que le monde
occidentale avait déjà connu mais quelque chose de moins qualifié que notre
Moyen-âge. Cette possibilité de redressement devait donc s’appuyer sur
l’orthodoxie du christianisme avec à sa tête une élite traditionnelle
constituée d’êtres ayant un degré de réalisation spirituelle suffisant pour
trouver les formes d’adaptation et créer ainsi ce palier de redressement. Une
élite comparable mais moins ambitieuse à celle qui avait animé par exemple
l’Ordre du Temple afin de parvenir malgré tout à une phase traditionnelle mais
avec un développement inférieur à ce qui s’était déjà réalisé en ce temps là.
C’est la constitution de cette élite qui sans être impossible était des plus
difficiles à réaliser. René Guénon envisageait l’aide de l’Orient pour
constituer cette élite.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On comprend immédiatement que même si ce
redressement était possible, il aurait été de courte durée puisqu’il ne pouvait
pas empêcher, la descente cyclique se poursuivant, la fin de la présente
humanité. L’Occident aurait alors repris son envahissement destructeur sitôt
fini ce redressement qui n’aurait pas eu une durée aussi longue que le
Moyen-âge (le temps continuant d’accélérer quoique l’on fasse). </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’élite occidentale à constituer ne pouvait
en toute vraisemblance appartenir majoritairement qu’à la caste des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vaishyas</i>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce n’était donc pas l’équivalent des
Brahmanes ou des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kshatriyas</i> qui
devait assurer un possible redressement comme au Moyen-âge à l’image des
templiers par exemple. Mais ce devait être les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vaishyas</i>. On devrait donc comprendre que ce redressement devait se
faire avec des êtres dont la qualification pouvait être équivalente au moins à
celle requise par les initiations de métiers.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une remarque s’impose :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Voyons ce que nous dit René Guénon en rapport
avec le métier d’imprimeur au chapitre XXIX des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur l’initiation</i> :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">L’opinion
la plus répandue pourrait donc se formuler ainsi : les Maçons
« opératifs » étaient exclusivement des hommes de métier ; peu à
peu, ils « acceptèrent » parmi eux, à titre honorifique en quelque
sorte, des personnes étrangères à l’art de bâtir</b></span><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">.</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Puis il ajoute en note :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">En
fait, ces personnes devaient cependant avoir tout au moins quelque lien
indirect avec cet art, ne fût-ce qu’à titre de « protecteurs » (ou <span style="margin: 0px;">patrons</span> au sens anglais de ce
mot) : c’est d’une façon analogue que, plus tard, les imprimeurs (dont le
rituel était constitué, dans sa partie principale, par la « légende »
de Faust) « acceptèrent » tous ceux qui avaient quelque rapport avec
l’art du livre, c’est-à-dire non seulement les libraires, mais aussi les
auteurs eux-mêmes.</b> »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">S’il est un « métier » que René
Guénon a bien exercé, c’est incontestablement celui d’ « auteur ». Il
est un artisan du livre et son travail a abouti à un « chef-d’œuvre »
au vrai sens du terme.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’usage et le développement de l’imprimerie
en Occident marque le glas d’un dernier cycle traditionnel significatif en
Occident : le Moyen-âge. Paradoxalement, l’œuvre de René Guénon qui
s’inscrit pleinement dans ce cycle de l’omniprésence de l’imprimerie marque le
glas d’un autre cycle. L’art du livre disparaît, les libraires, les auteurs,
l’imprimerie, tout disparaît dans l’infrahumain, dans la virtualité du monde
numérique réduit au binaire, dans l’internet. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il est très important de comprendre qu’en
aucun cas René Guénon a envisagé un redressement de l’Occident par son
« islamisation ». Il déclarait dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient et Occident</i> (deuxième partie, ch. III) : «<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"> jamais aucune organisation orientale
n’établira de ‘branches’ en Occident</b> ». Les communautés musulmanes qui
se développent en Occident sont le résultat de la mondialisation et de la
confusion des traditions. Elles n’ont, pourrait-on dire, rien d’orientales.
C’est un Islam progressiste en parfaite harmonie avec le monde moderne copiant
en cela l’attitude de l’Eglise catholique et de ses papes (cas unique dans
l’histoire deux papes parfaitement légitimes cohabitent en effet au Vatican) ou
un Islam intégriste faussement antimoderne encore plus actif et dangereux que
les courants intégristes chrétiens.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Une
œuvre et ses lecteurs</span></b><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;"></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Lire René Guénon. Chaque action a son effet.
Une lecture d’un livre de René Guénon produit toujours quelque chose. En
général une incompréhension, très souvent un rejet puis de l’indifférence. Mais
l’effet n’est jamais nul, car cet œuvre a un pouvoir, celui de vous
« transformer ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De très nombreux intellectuels au sens
moderne, des artistes, des écrivains ont lu René Guénon et ont utilisé une
partie plus ou moins importante de son enseignement, de son exposé extrêmement
complet des connaissances traditionnelles. Il a permis ainsi par ricochet à ces
artistes, à ces écrivains de produire des œuvres plus inspirées. On peut
retenir notamment l’exemple des surréalistes qui sont apparus comme plus doués
qu’ils ne l’auraient été sans cette œuvre. On voit ainsi qu’un de ses rôles est
d’accompagner le monde moderne dans sa descente en lui permettant de développer
le meilleur de ces possibilités, le pire étant laissé à toutes les autres
sources anti-traditionnelles. <u>N’étant jamais cité ou remercié, René Guénon
assure ainsi dans le plus complet anonymat (ce qui est le propre d’un homme de
la tradition) son rôle de connaissant qui offre cette connaissance à tous ceux
qui peuvent la recueillir à la hauteur de leur propre qualification (ou plutôt
malgré l’étendue de leur disqualification). Il permet au monde occidental
moderne d’être un peu moins médiocre. Et dans le même temps il accélère sa
chute en lui permettant d’épuiser certaines de ses possibilités. Ce rôle est
loin d’être négligeable</u>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il faut compter de rares lecteurs qui ont su
reconnaître son œuvre, en assimiler la plus grande partie et parfois peut-être
même la totalité et qui ont grâce à lui retrouver une forme de vie plus
authentique, parfois même proprement traditionnelle en développant une vocation
sacerdotale, monastique, artisanale ou autre en ayant l’honnêteté de ne pas
surévaluer leur qualification.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De nos jours même les êtres particulièrement
disqualifiés obtiennent très facilement un rattachement initiatique. Ainsi la
question ne se résume pas à être ou non initié.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans la grande confusion du monde moderne et
dans ce que les Hindous nomment la confusion des castes, on doit reconnaître
qu’il peut exister des êtres nés dans un milieu qui soit défavorable à
l’expression de leurs qualifications spirituelles, l’œuvre de René Guénon a pu
ainsi permettre à ces êtres d’identifier leur potentiel réel et de se
réorienter au plein sens du terme trouvant ainsi par exemple en Orient une
solution.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La fonction de René Guénon est d’opérer un
rappel des connaissances traditionnelles. Au moment où son œuvre s’accomplit
les solutions pratiques pour un réel parcours spirituel se restreignent sans
cesse un peu plus. Si des solutions pratiques peuvent exister, elles ne peuvent
être que soit très limitées soit vraiment tout à fait exceptionnelles. René
Guénon est un métaphysicien, il n’a aucune vocation à rechercher des solutions
bassement pratiques. Mais si l’on tient absolument à définir des solutions
possibles, il faut garder à l’esprit que René Guénon ne s’adresse qu’aux
Occidentaux. Ainsi s’il peut y avoir des solutions qui s’appuient sur son
œuvre, elles ne concernent que les Occidentaux qui ne peuvent en toute logique
se rattacher à des traditions orientales. Pourquoi seraient-ils nés en
Occident ? Comme nous le laissions entendre, on peut envisager les cas de
ceux qu’il désigne comme des Orientaux égarés en Occident et ceux-là trouveront
éventuellement une solution en allant vivre en Orient.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Parmi ceux qui ont été touché par l’œuvre de
René Guénon, il y a bien sûr tous ceux qui se désigneront comme des
« guénoniens » et qui contrairement à la plus élémentaire logique
rechercheront envers et contre tout des solutions pratiques sans se préoccuper
des qualifications demandées ni de la cohérence des solutions envisagées.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avec son ego très développé, ce qui définit
plus précisément le « guénonien » c’est une surévaluation de sa
qualification. Il lit René Guénon qui lui explique qu’il faut être qualifié et
avoir une connaissance doctrinale suffisante avant de pouvoir prétendre à
quoique ce soit et notamment à être initié. Le « guénonien » se juge
toujours très qualifié et sa lecture de René Guénon même incomplète lui suffit
à croire qu’il détient une connaissance suffisante. Il en conclut qu’il est
immédiatement prêt pour l’initiation. Il doit sans plus attendre se mettre en
chasse d’une forme d’initiation. Pour le « guénonien », lecteur
expéditif de l’œuvre de René Guénon, il n’y a que deux routes envisageables.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une première route jugée peu prestigieuse
mais moins exigeante : la franc-maçonnerie. En effet, la franc-maçonnerie
et le compagnonnage sont les deux seuls organisations occidentales ayant encore
la possibilité d’offrir une initiation. Le « guénonien » exclut
rapidement le compagnonnage jugé trop primaire. La franc-maçonnerie était
pourtant bien à l’origine une initiation de métier, une initiation pour les<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Vaishyas</i>, qui demandait un véritable
engagement comme il en est encore pour le compagnonnage puisqu’il faut exercer
effectivement un métier, accepter d’être un apprenti, travailler pour être
compagnon et enfin maître. Il est bien plus facile aujourd’hui d’être
franc-maçon spéculatif avec un complément exotérique pour reconstruire de façon
un peu bricolée une solution que les « guénoniens maçons » jugent
très satisfaisante. Il n’y a en effet pas grand-chose à accomplir : une
vague pratique exotérique, quelques tenues en loges et des agapes. On ne peut
être étonné de constater que le bénéfice spirituel ne puisse être que très
modeste voire inexistant. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La seconde route envisagée est plus radicale
puisqu’elle suppose une conversion à l’Islam. Tradition considérée comme
complète avec son aspect exotérique religieux et la possibilité d’être initié
au sein d’une <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tarîqa</i>. Cette solution
retenue par l’écrasante majorité des « guénoniens » a le curieux
privilège d’être en quasi contradiction avec ce que l’œuvre de René Guénon nous
suggère. Sauf à croire que cette masse de convertis ne serait constituée que
d’Orientaux égarés en Occident et qui trouveraient plus confortable de rester
vivre en Occident. On nous dira que René Guénon ne s’est pas opposé à ce flot
de conversion. C’est vrai, mais il ne l’a jamais encouragé non plus.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si la première solution peut correspondre
d’une certaine façon aux enseignements de René Guénon puisqu’elle ne s’appuie
que sur la tradition occidentale. Son caractère un peu bancal et artificiel la
rend très logiquement inopérante. La seconde solution, inaugurée par F. Schuon,
apparaitra très vite en désaccord avec les enseignements de René Guénon. Et
ceux qui par la suite ont pris leurs distances vis-à-vis de F. Schuon ne
parviendront pas plus à rester simplement en accord avec cet enseignement. Les
traditions orientales n’ont aucune place en Occident et leurs présences
modernes ne marquent qu’une confusion propre au monde moderne et ne sont que
des aspects affaiblis ou même proprement dégénérés des authentiques traditions
orientales.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce qui frappe chez le « guénonien »
c’est paradoxalement une certaine indifférence à la vraie spiritualité. Il
s’est construit une sorte de carrière « initiatique » de façon très
artificielle. C’est l’ego qui parle avant tout, le détachement spirituel est le
plus souvent absent. En définitive, sans vouloir le reconnaître, le
« guénonien » se livre à du développement personnel et non à une
véritable ascèse spirituelle. Il a ce côté enfantin, immature, il cherche par
tous les moyens à « copier » la vie de René Guénon.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La question de l’évaluation juste de la
qualification est toujours mise de côté. Il est plus simple et plus pacifique
de reconnaître que tous les prétendants à l’initiation sont largement
qualifiés. Des petits « gourous guénoniens » peuvent ainsi agir
à leur aise. Des loges « guénoniennes » se sont ainsi constituées,
des « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tarîqas</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">turuq</i>) guénoniennes » également.
Les « guénoniens » restent entre eux pour ne pas avoir à se
confronter vraiment à la réalité spirituelle. La justification est bien sûr
tout autre, pour un « guénonien » c’est toujours l’autre qui n’est
pas assez qualifié, il n’est pas fréquentable. Le « guénonien » sait
tout, il a réponse à tout. Il n’a jamais compris que c’est René Guénon qui a
réponse à tout et non le « guénonien ». Le « guénonisme »
n’existe pas, il faut être un « imbécile » pour être
« guénonien ». M. Houellebecq se trompe de cible.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Les « guénoniens maçons » et les
« guénoniens musulmans » se font la guéguerre comme des enfants.
Ainsi ceux qui sont musulmans méprisent les maçons parce qu’ils ont opté pour
une solution considérée comme trop « limitée » ou comme simplement
« spéculative ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il ne faut pas se méprendre toute cette
agitation des « guénoniens francs-maçons » et des « guénoniens
musulmans » pourraient faire penser que l’œuvre de René Guénon n’a produit
que ces effets insignifiants. L’influence de cette œuvre est autrement plus
importante. Les résultats opératifs et profonds sont en grande majorité restés
quasiment secrets. Et cette œuvre portera des fruits jusqu’à la fin du cycle de
la présente humanité.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il y a un aspect qui devrait faire réfléchir.
René Guénon accordent aux doctrines hindoues une place considérable dans son
œuvre et curieusement les « guénoniens » sont pratiquement tous
totalement indifférents à l’hindouisme.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">DEUXIEME
PARTIE</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">La fin d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i></span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
tradition hindoue nous enseigne que la présente humanité est entrée dans la
phase finale extrême du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kali-Yuga</i>,
c’est-à-dire dans la fin du présent <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i>
ou ère d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manu</i> (Principe de cette
humanité – l’homme est ainsi désigné comme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mânava</i>
c’est-à-dire « relatif à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manu</i> »)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
échéance est la plus importante qu’une humanité puisse avoir à affronter.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Toute
fin d’un cycle donné est à considérer selon deux aspects principaux :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">1 - Un épuisement des possibilités en
potentialité à l’origine du cycle envisagé et qui doivent s’y manifester.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">2 - Une synthétisation du germe qui
porte les potentialités du cycle qui doit lui succéder.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce
qui ne s’épuise pas c’est donc justement le germe du cycle futur. On peut dire
que cette synthétisation du germe est « passive »,
« obscure », au sens où le germe est « ce qui reste ».
L’épuisement sera alors « actif » et constituera la part visible de
l’activité dans une fin de cycle.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans
le cadre d’une fin de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i>,
l’humanité consacre ainsi toute sa puissance à cet épuisement des possibilités.
Bien que ces ultimes possibilités soient dans leur écrasante majorité de nature
antitraditionnelle voire contre-initiatique, on oublie de voir qu’une part de
ces possibilités est de nature traditionnelle et initiatique. En effet, on
semble ne pas comprendre que le germe ne concernera que l’humanité future (une
autre humanité) et qu’ainsi l’action traditionnelle dans la fin d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i> doit épuiser toutes les
possibilités traditionnelles qui ne résorberont pas dans le germe du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i> futur.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
notion d’épuisement traditionnel doit permettre de mieux appréhender, en cette
fin de cycle, le milieu traditionnel et de mieux comprendre son action. Pour
bien cerner cet épuisement, il est sans doute utile de rappeler dans quel
domaine se résorbe le germe du cycle futur, ou d’un autre point de vue, dans
quel domaine l’arche se forme. René Guénon écrit dans son article intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les mystères de la lettre </i>Nûn (repris
dans l’ouvrage posthume <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symboles
fondamentaux de la Science sacrée</i>) :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Revenons maintenant à la forme de la lettre
<i>nûn</i>, qui donne lieu à une remarque importante au point de vue des
relations qui existent entre les alphabets des différentes langues
traditionnelles : dans l’alphabet sanscrit, la lettre correspondante <i>na</i>,
ramenée à ses éléments géométriques fondamentaux, se compose également d’une
demi-circonférence et d’un point ; mais ici, la convexité étant tournée
vers le haut, c’est la moitié supérieure de la circonférence, et non plus sa
moitié inférieure comme dans le <i>nûn</i> arabe. C’est donc la même figure
placée en sens inverse, ou, pour parler plus exactement, ce sont deux figures
rigoureusement complémentaires l’une de l’autre ; en effet, si on les
réunit, les deux points centraux se confondant naturellement, on a le cercle
avec le point au centre, figure du cycle complet, qui est en même temps le
symbole du Soleil dans l’ordre astrologique et celui de l’or dans l’ordre
alchimique. De même que la demi-circonférence inférieure est la figure de l’arche,
la demi-circonférence supérieure est celle de l’arc-en-ciel, qui en est
l’analogue dans l’acception la plus stricte du mot, c’est-à-dire avec
l’application du « sens inverse » ; ce sont aussi les deux
moitiés de l’« Œuf du Monde », l’une « terrestre », dans
les « eaux inférieures », et l’autre « céleste », dans les
« eaux supérieures » ; et la figure circulaire, qui était
complète au début du cycle, avant la séparation de ces deux moitiés, doit se
reconstituer à la fin du même cycle. On pourrait donc dire que la réunion des
deux figures dont il s’agit représente l’accomplissement du cycle, par la
jonction de son commencement et de sa fin, d’autant plus que, si on les
rapporte plus particulièrement au symbolisme « solaire », la figure
du <i>na</i> sanscrit correspond au Soleil levant et celle du <i>nûn</i> arabe
au Soleil couchant. D’autre part, la figure circulaire complète est encore
habituellement le symbole du nombre 10, le centre étant 1 et la circonférence
9 ; mais ici, étant obtenue par l’union de deux <i>nûn</i>, elle vaut 2 ×
50 = 100 = 10<sup>2</sup>, ce qui indique que c’est dans le « monde
intermédiaire » que doit s’opérer la jonction ; celle-ci est en effet
impossible dans le monde inférieur, qui est le domaine de la division et de la
« séparativité », et, par contre, elle est toujours existante dans le
monde supérieur, où elle est réalisée principiellement en mode permanent et
immuable dans l’« éternel présent</b> ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
voit donc que l’épuisement concerne les possibilités du monde inférieur,
domaine de la division et de la « séparativité » ainsi que les
possibilités du monde intermédiaire qui s’opposeraient à la jonction de l’arche
si elles ne devaient pas être épuisées.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
peut donc dire que c’est ce qui « se sépare » qui s’épuise, donc tout
ce qui s’épuise se sépare. La Tradition, dans la diversité de ses formes,
réalise alors cet épuisement des aspects qui tendent vers une matérialisation
et un formalisme de plus en plus accentués. Les communautés se divisent dans la
désorganisation et le fractionnement des voies traditionnelles en de multiples
chemins tortueux aboutissant dans ce fractionnement même à des impasses de
fait, même si ce ne sont pas des impasses de principe.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
Tradition, dans une fin de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i>,
doit faire face à la disqualification sans cesse croissante de ses membres.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
fin ultime d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i> ne peut
laisser la place à une éventuelle restauration de certaines formes ou aspects
de la Tradition. Lorsque les temps sont proches tout ce qui ne saurait être
recueilli dans l’arche doit s’éteindre. Faut-il penser que cet
« instant » est imminent ? Sinon voit-on les signes d’un
hypothétique redressement ? Ne doit-on pas penser qu’il n’y a plus
d’autres possibilités que celles amoindries, incomplètes qui doivent se manifester
avant la clôture de ce <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i> ?</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Aperçus sur les aspects vishnouïtes et
shivaïtes de la fonction de René Guénon</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Shiva</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vishnu</i> représentent avec <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahmâ</i>
la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Trimûrti</i>, c’est-à-dire les trois
aspects d’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ishwara</i>. Si <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahmâ</i> est le principe producteur des
êtres, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vishnu</i> est le principe
animateur et conservateur des êtres et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shiva</i>
le principe transformateur plutôt que destructeur des êtres. Il convient de
bien comprendre que les principes représentés par <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vishnu</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shiva</i> ne sont
pas antagonistes mais bien complémentaires. D’ailleurs, les attributs de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shiva</i> sont aussi ceux de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vishnu</i>, comme ceux de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vishnu</i> sont également ceux de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shiva</i>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
fonction de René Guénon (comme son œuvre) s’inscrit à la source de ces deux
principes. Elle est ainsi essentiellement shivaïte au sens où l’aspect
vishnouïte s’y accomplit pleinement dans l’intégration shivaïte. La Réalisation
n’étant que la confirmation de cette identification dans le Principe suprême où
l’être est ainsi « transformé » pour être essentiellement
« conservé ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">A
la fin d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i> et donc à la
fin ultime du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kali-Yuga</i> (phase
actuelle du cycle de la présente humanité), le milieu authentiquement
traditionnel doit tout à la fois accomplir l’épuisement des possibilités
traditionnelles liées à ce cycle et aider à la synthétisation du
« Germe » du cycle de la future humanité.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’œuvre
de René Guénon (comme sa fonction)<span style="margin: 0px;">
</span>répond pleinement à ce dessein. Elle n’est en rien
« intégriste » ou « progressiste », mais elle aide à
l’accomplissement et donc à l’épuisement des possibilités supérieurs de la
Tradition (dans ses différentes formes) sans oublier la plus haut d’entre
elles, c’est-à-dire la possibilité de la Délivrance qui restera une possibilité
(bien que vraiment exceptionnelle) « jusque » dans<span style="margin: 0px;"> </span>ce non-temps du basculement d’un cycle à
l’autre.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce
qui épuise les possibilités traditionnelles inférieures, c’est d’une part l’
« intégrisme » et d’autre part le « progressisme ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’intégrisme
se crispe sur la forme extérieure d’une tradition au lieu de chercher à en
conserver l’essentiel qui habitera le « Germe » du cycle futur ;
c’est un « conservatisme », un vishnouisme amoindri presque stérile.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
progressisme détruit la forme extérieure mais ne sait aller au-delà de cette
forme ; c’est un shivaïsme puéril qui détruit tout ce qu’il touche au lieu
de le « transformer », c’est-à-dire d’atteindre l’essentiel qui est
derrière la forme.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
fonction de René Guénon (comme son œuvre) dans sa dimension shivaïte est de
révéler la Tradition primordiale, c’est-à-dire d’atteindre à la connaissance
des principes ; dans sa dimension vishnouïte, elle se concentre sur le
« Germe » plus que sur l’ « Arche » qui le contiendra. Le
shivaïsme essentiel est bien de se détacher de la forme pour se transformer et
réintégrer le Principe. Le vishnouïsme essentiel, en cette fin de cycle, est de
se préoccuper avant tout du « Germe » plutôt que des aspects
particuliers de l’ « Arche ». Révélatrice du Principe suprême,
l’œuvre de René Guénon est centrée essentiellement sur la Tradition primordiale
et sur « l’héritage le plus direct de la Tradition primordiale »,
c’est-à-dire sur la tradition hindoue. C’est notamment pourquoi la fonction de
René Guénon s’accommode si bien d’une compréhension vishnouïte et shivaïte de
son œuvre.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
œuvre est centrée substantiellement sur le « Germe ». On s’égare si
l’on voit cette œuvre dans la perspective d’un vishnouïsme substantiel qui se
polariserait alors sur les aspects formels de l’ « Arche » plutôt que
sur les aspects essentiels du « Germe ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
cherche ainsi à détourner cette œuvre en ignorant la Tradition primordiale
(négligence démontrée par le désintérêt quasi général pour la tradition
hindoue) pour se crisper sur des formes particulières liées au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kali-yuga</i> tout en négligeant
l’universalité du « Germe » pour s’arrêter aux aspects particuliers
de l’ « Arche ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ainsi,
malgré les apparences d’un milieu qui se dit « guénonien », bien peu
semblent vouloir aider à l’accomplissement de cette fonction que René Guénon a
pourtant magnifié par son œuvre. Seule la Providence est toujours à l’écoute
mais le Destin se fait de plus en plus pesant.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">La métaphysique occidentale</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">En
1925, le 17 décembre, René Guénon donna une conférence à la Sorbonne. Publié
dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Etudes Traditionnelles</i> en
1938, puis en tiré à part, en 1939, aux Editions Traditionnelles. Le texte de
cette conférence porte un titre paradoxal : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">la Métaphysique orientale</i>. L’auteur s’en explique ainsi :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">J’ai pris comme sujet de cet exposé la
métaphysique orientale ; peut-être aurait-il mieux valu dire simplement la
métaphysique sans épithète, car, en vérité, la métaphysique pure étant par
essence en dehors et au delà de toutes les formes et de toutes les
contingences, n’est ni orientale ni occidentale, elle est universelle. Ce sont
seulement les formes extérieures dont elle est revêtue pour les nécessités
d’une exposition, pour en exprimer ce qui est exprimable, ce sont ces formes
qui peuvent être soit orientales, soit occidentales ; mais, sous leur
diversité, c’est un fond identique qui se retrouve partout et toujours, partout
du moins où il y a de la métaphysique vraie, et cela pour la simple raison que
la vérité est une. S’il en est ainsi, pourquoi parler plus spécialement
de métaphysique orientale ? C’est que, dans les conditions intellectuelles
où se trouve actuellement le monde occidental, la métaphysique y est chose
oubliée, ignorée en général, perdue à peu près entièrement, tandis que en
Orient, elle est toujours l’objet d’une connaissance effective. Si l’on veut
savoir ce qu’est la métaphysique, c’est donc à l’Orient qu’il faut
s’adresser ; et, même si l’on veut retrouver quelque chose des anciennes
traditions métaphysiques qui ont pu exister en Occident, dans un Occident qui,
à bien des égards, était alors singulièrement plus proche de l’Orient qu’il ne
l’est aujourd’hui, c’est surtout à l’aide des doctrines orientales et par
comparaison avec celles-ci que l’on pourra y parvenir, parce que ces doctrines
sont les seules qui, dans ce domaine métaphysique, puissent encore être
étudiées directement (…) J’ai dit métaphysique orientale, et non uniquement
métaphysique hindoue, car les doctrines de cet ordre, avec tout ce qu’elles
impliquent, ne se rencontrent pas que dans l’Inde, contrairement à ce que
semblent croire certains, qui d’ailleurs ne se rendent guère compte de leur
véritable nature. Le cas de l’Inde n’est nullement exceptionnel sous ce
rapport ; il est exactement celui de toutes les civilisations qui
possèdent ce qu’on peut appeler une base traditionnelle. Ce qui est
exceptionnel et anormal, ce sont au contraire des civilisations dépourvues
d’une telle base ; et à vrai dire, nous n’en connaissons qu’une, la
civilisation occidentale moderne. Pour ne considérer que les principales
civilisations de l’Orient, l’équivalent de la métaphysique hindoue se trouve,
en Chine, dans le Taoïsme ; il se trouve aussi, d’un autre cote, dans
certaines écoles ésotériques de l’Islam (il doit être bien entendu, d’ailleurs,
que cet ésotérisme islamique n’a rien de commun avec la philosophie extérieure
des Arabes, d’inspiration grecque pour la plus grande partie). La seule
différence, c’est que, partout ailleurs que dans l’Inde, ces doctrines sont
réservées à une élite plus restreinte et plus fermée ; c’est ce qui eut
lieu aussi en Occident au moyen âge, pour un ésotérisme assez comparable à celui
de l’Islam à bien des égards, et aussi purement métaphysique que celui-ci, mais
dont les modernes, pour la plupart, ne soupçonnent même plus l’existence. Dans
l’Inde, on ne peut parler d’ésotérisme au sens propre de ce mot, parce qu’on
n’y trouve pas une doctrine à deux faces, exotérique et ésotérique; il ne peut
être question que d’un ésotérisme naturel, en ce sens que chacun approfondira
plus ou moins la doctrine et ira plus ou moins loin selon la mesure de ses
propres possibilités intellectuelles, car il y a, pour certaines individualités
humaines, des limitations qui sont inhérentes à leur nature même et qu’il leur
est impossible de franchir.</b> » (pp. 5, 6 et 7)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
message ne pouvait être plus impérieux. L’occidental, qu’il soit catholique,
qu’il soit authentiquement initié, voit sa ligne de conduite toute
tracée : illuminer sa vie dans la splendeur de la Vérité métaphysique en
prenant appui sur les doctrines hindoues. René Guénon a été très clair, la
maîtrise doctrinale transforme l’être puisque « l’on est ce que l’on
connait ». Ainsi la métaphysique est « la Voie, la Vérité et la
Vie ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
a reproché à René Guénon de n’être qu’un théoricien, mais ne veut-on pas
comprendre que la métaphysique est opérative ? Eminemment opérative comme
la Connaissance même. C’est la Voie principe et synthèse de toutes les voies
traditionnelles ?</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
a reproché à René Guénon de ne pas avoir le sens de l’humain, on aimerait ainsi
le qualifier de « métaphysicien désincarné », mais employer une telle
expression c’est affirmer que l’on entend rien à la métaphysique ; c’est
croire que la Vérité est un mot, que le Verbe est un corps, que l’Infini est
vide. Cessera-t-on de tout réduire à l’incarnation ? Le corps est cloué
sur la croix, mais pas le Verbe.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’Occident
rejette la métaphysique, comment s’étonner alors que la Vérité rejette
l’Occident ?</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
reste abasourdi devant le peu d’écho au message impérieux de René Guénon.
Faut-il penser qu’au sein de l’Eglise catholique bien peu soient en mesure de
comprendre que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">theologia sine metaphysica
nihil</i> ? On saura gré à Frère Elie, <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Moine</b> cistercien <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">d’Occident</b>,
Elie Lemoine, d’avoir proclamé cette vérité en en faisant le titre de son
ultime ouvrage ; ouvrage qui cite cette phrase remarquable de René
Guénon : « <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">La métaphysique
affirme l’identité foncière du connaître et de l’être (…) et, comme cette
identité est essentiellement inhérente à la nature même de l’intuition
intellectuelle, elle ne l’affirme pas seulement, elle la réalise.</b> » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Introduction générale à l’étude des
doctrines hindoues</i>, deuxième partie, ch. X). Tout est dit.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
appréciera la fidélité à l’œuvre de René Guénon en constatant que Frère Elie a
posé des jalons entre l’Eglise et le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i>
dans son autre ouvrage signé « un Moine d’Occident » et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Doctrine de la Non-Dualité et Christianisme</i>.
On regrettera simplement que cet ouvrage soit plus d’ordre théologique que
métaphysique tout en comprenant qu’il ne pouvait en être autrement puisqu’il
est publié « avec la permission des supérieurs ». Reconnaissons donc
que cet auteur fut l’un des seuls à avoir affirmé implicitement que la
métaphysique occidentale ne pouvait être revivifiée sans l’appui indispensable
des doctrines hindoues.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Faut-il
penser qu’au sein des Obédiences bien peu soient capables de voir que la
« Compréhension », au sens étymologique, est opérative ?</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
Franc-maçonnerie ne s’éclaire vraiment que sous le feu de la Vérité
métaphysique, et ne peut se comprendre aujourd’hui qu’avec l’appui des
doctrines hindoues.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
métaphysicien n’aurait-il pas sa place en Loge ? On semble bien le penser.
Est-ce une disqualification que de se revendiquer comme tel ? Doit-on
considérer le métaphysicien comme un « bétaphysicien » borgne, bossu
et boiteux ?</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
ne s’explique pas de voir des « ésotéristes » rejeter la
métaphysique, cette quintessence qui devrait les vivifier. Il n’y aurait donc
pas de métaphysicien maçon ? Aucun du moins, à l’exception de René Guénon,
ne semble s’être exprimé en tant que tel. Doit-on y voir la cause de cette
agonie de la tradition occidentale ?</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Infini</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Du
latin <i style="mso-bidi-font-style: normal;">infinitus</i>, un dictionnaire
définit ce terme ainsi : « En quoi nous ne remarquerons ni ne
concevons aucune limite ». On constate tout de suite que cette formulation
ne peut convenir car elle introduit une dualité entre celui qui constate
l’absence de limite et ce qui est sans limite. Ce spectateur de l’Infini s’en
trouve ainsi exclu. Et l’Infini du même coup n’est plus infini puisqu’il est
limité par l’absence même du spectateur. Tout n’est pas en lui. Le spectateur
n’est pas infini. Son spectacle n’est pas infini puisqu’il ne peut s’y
contempler. Peut-on penser que l’union de ce spectateur et de son spectacle
pourrait restituer l’Infini ? Il ne faut pas y compter car l’union de deux
éléments finis ne peut être infinie. Nous voici donc au cœur du PARADOXE de
l’INFINI.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
constatation a des conséquences incalculables, car rien ne peut être absolument
dissocié de l’Infini. Et la juste compréhension des aspects du Tout doit
toujours se faire dans cette perspective.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’infini
métaphysique tel qu’il vient d’être suggéré ici ne doit pas être confondu avec
l’indéfini. En effet, dans le langage courant on peut être tenté de qualifier
d’infinie une condition de l’existence corporelle. On pensera alors fautivement
que le temps ou l’espace est infini, que la suite des nombres l’est aussi, etc.
Or il n’en est rien car alors l’infinitude du temps exclurait l’infinitude de
l’espace. Il suffit de bien comprendre que ces conditions ne sont
qu’indéfinies. Une limite peut toujours leur être assignée.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
revenons au PARADOXE de l’INFINI. Quelque soit l’aspect du Tout (la
détermination que l’on envisage alors) celui-ci ne doit jamais être conçu comme
absolu. Ainsi la distinction du principe de la manifestation et de la
manifestation elle-même ne peut être absolue, même si la manifestation est
rigoureusement nulle vis-à-vis de son principe.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Dès
que l’on envisage une détermination quelconque, un aspect inévitablement
relatif du Tout, il convient de ne pas perdre de vue pour autant tout ce qui
n’est pas envisagé par cet aspect sous peine de n’avoir qu’un conception
toujours imparfaite de la Réalité (au sens où le Réel est ce qui se Réalise).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
PARADOXE de l’INFINI doit ainsi être toujours en conscience. L’Infini ne peut
ni être assimilé à l’un de ses aspects ni être constitué de l’assemblage de
ceux-ci. Cette simple remarque a des conséquences indéfinies si ce n’est
infinies !</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Réalisation</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce
terme dérive du latin <i style="mso-bidi-font-style: normal;">realis</i>, réel,
et se définit dans le langage courant comme « action de rendre réel ou
effectif »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
l’on veut concevoir la Réalisation métaphysique, on ne peut la considérer comme
une action mais comme une « reconnaissance ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
réalisation est une délivrance au sens où l’être comprend qu’il n’a jamais
cessé d’être libre.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
l’on cherche à savoir ce qui différencie l’être réalisé de celui qui ne l’est
pas effectivement, on doit, en vérité, convenir que si cette différence existe,
elle n’a pour toute réalité que l’étendue d’une illusion. Si l’on peut parler
de degrés vers la Réalisation, c’est que l’on envisage une disparition
progressive de cette différenciation illusoire. Progression qui reste toujours
relative vis-à-vis de l’instantanéité inconditionnelle de la Réalisation. En
effet si la Réalisation est, en application du principe de Continuité absolue,
la Réalité permanente de l’être, sa Réalisation effective est vécue comme une
discontinuité immédiate ou plus précisément comme une discontinuité de la
discontinuité illusoire, c’est-à-dire comme une reconnaissance effective de la
Continuité. (Voir notre ouvrage sur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">la métaphysique
de la communication</i>).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ecoutons
la réponse de Râmana Maharshi à cette question : « Quelle est la
chose unique qui, une fois connue, résout tous les doutes ? »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Et
voici la réponse : « Sachez qui doute. Si vous le connaissez, il ne
s’élèvera plus de doutes. Alors « celui qui doute » est transcendé.
Lorsque « celui qui doute » cessera d’exister, il ne s’élèvera plus
de doutes. Car d’où s’élèveraient-ils ? Chacun est en réalité un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i>, un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jivan-mukta</i>, mais il ne la sait pas. Les doutes doivent être
extirpés. » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks with Sri Ramana
Maharshi</i>, Sri Ramanasraman, Tiruvannamalai, 1984, p. 47.)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Influence spirituelle</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Qui
s’interroge sur la possibilité d’une réalisation spirituelle doit,
paradoxalement, reconnaître que ce qui « est réel » ne saurait être
l’effet d’un quelconque devenir. Totalement inconditionnée, la réalisation
spirituelle ne peut être la conséquence de quoi que ce soit.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
si l’on veut envisager malgré tout un certain devenir, d’ailleurs suggéré dans
cette interrogation par l’idée de possibilité (1), c’est dans la disparition
progressive de ces illusoires limitations qui sont comme autant de voiles entre
l’être et le Principe (2) ou, pour s’exprimer autrement, entre l’individualité
et l’ « Homme universel ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
peut voir dans cette dernière phrase comme une sollicitation implicite à
l’énoncé des caractères fondamentaux de l’influence spirituelle qui est à la
fois <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">témoignage</b> du lien permanent
unissant l’Homme au Principe (3) et<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">
puissance</b> qui en opère la reconnaissance.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
convient de noter aussitôt que l’influence ne saurait à proprement parler se
substituer à l’être (4). Bien qu’elle puisse être une source d’éveil, il ne
suffit pas de recevoir une influence spirituelle pour être immédiatement
délivré. Car témoin du lien dans le Principe, l’influence spirituelle trace une
voie. Et c’est en cela que s’exprime sa puissance opérative (5).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De
même que l’on peut dire qu’à chaque être correspond un voie propre, on peut
envisager une égale diversité d’influences spirituelles non quant à leur principe
mais quant à leur caractère opératif.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Transmise
par un rite, l’influence spirituelle est, comme ce dernier, initiée (6) par une
révélation.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Elle
a ainsi sa source dans le Principe et, comme la révélation, elle vient toucher
l’être manifesté jusqu’aux limites de son individualité (7).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Transcendante,
elle est ainsi le témoin signifiant à l’homme qu’il est aussi porteur de cette
même transcendance.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Recevoir
une influence spirituelle, c’est être investi de la puissance du Tout qui est
le signe même de cette nature transcendante.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’Esprit
ne saurait être limité : touché par son souffle, c’est toute la puissance
d’identification qui est ainsi sollicitée donnant à l’être l’intégralité d’une
présence qui peut être le ferment de sa réalisation spirituelle (8).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Toute
influence spirituelle quelque soit sa spécificité porte la marque de sa Source,
qui n’est autre que celle de l’Infini. Transcendante, elle est réalisatrice de
son infinitude.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une
influence spirituelle détermine une voie qui n’est autre que celle qu’elle a
elle-même suivie par sa révélation. L’influence comme la révélation est une <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">présentation</b> de la Réalité. L’Homme est
mis en présence du Principe et donc mis en demeure de se
« reconnaître » (9).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Parcourant
la voie dans sa phase descendante, celle parcourue par la révélation,
l’influence se détermine. Cette détermination définit notamment le mode
opératif qu’il conviendra de suivre pour parcourir la voie dans sa phase
ascendante (10).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Comme
la révélation, l’influence spirituelle parcourt toue l’étendu des plans
spirituel, subtil et corporel. Son caractère opératif lui donne donc cette
possibilité de produire des effets sur tous les plans soumis au devenir où
cette notion même d’effet est concevable.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans
sa spécificité, elle opère plus particulièrement dans le plan où elle a sa
nécessité et qui constitue à proprement parler son plan de réflexion. On ne
peut malgré tout lui contester son universalité (11), même si elle est
spécifiquement opérative sur un plan donné. Cette universalité lui permet ainsi
d’être opérative sur tous les autres plans pourvu que ce déplacement
d’influence se fasse selon l’axe même qui l’a vu naître (12).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
valeur Une et totalisante fait qu’une influence spirituelle pourra toujours
porter effet dans l’intégralité des domaines ésotérique et exotérique, même si
le rite qui la transmet ne s’attache en définitive qu’à l’un de ces domaines.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
n’y a pas d’impossibilité de principe à voir une influence spirituelle reçue
dans un rite exotérique porter des fruits sur le plan initiatique. La
réciproque étant encore plus évidente car une influence spirituelle reçue dans
un rite initiatique présuppose, pour porter des effets, une harmonisation des
plans qui résultent du domaine exotérique.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
s’il n’y a pas d’impossibilité de principe, il y a bien une quasi impossibilité
de fait correspondant à cet effet d’adéquation qui concentre l’influence au
domaine qui l’a nécessitée. Cette nécessaire adéquation permet de rendre compte
de l’existence propre des rites exotériques et initiatiques et d’une égale
distinction entre les influences véhiculées dans chacun des deux domaines.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
existence propre n’est pas fortuite, pas plus que la multiplicité des
influences qui en résultent, car l’une et l’autre ne font que rendre compte de
la diversité des voies et donc des qualifications requises qui les
caractérisent.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une
influence spirituelle spécifique, lorsqu’elle se détermine, trace une voie
particulière que ne pourront suivre que ceux qui répondent à cette même
détermination qualifiante.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">S’il
n’y a pas équivalence entre la qualification requise pour rendre l’influence
reçue effective et la qualification propre à l’être qui en devient porteur,
l’influence limitera ses effets aux limites de qualification de cet être.
Ainsi, s’il n’y a pas d’impossibilité, il n’y a donc pas grand avantage à se
voir porteur d’une influence dont on ne saura canaliser les effets pour en
obtenir une réalisation (13).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une
influence pour être opérative doit rencontrer un champ de qualification
correspondante. Mais toute influence quelque soit sa spécificité (14) portera
toujours et par surcroit en elle le germe d’une réalisation effective pour un
être pleinement qualifié.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Toute
influence peut être ainsi toujours l’objet d’une adaptation d’un domaine à un
autre ou d’un plan à un autre. La seule condition de validité pour cette
adaptation est de suivre l’axe de la révélation. Tout égarement de cette voie
rendra l’adaptation du rite totalement inopérante. On voit ainsi qu’il est plus
immédiat d’adapter une influence d’ordre initiatique au domaine exotérique
puisqu’il « suffit » d’en parcourir la voie descendante et donc de l’
« ouvrir », d’en limiter les exigences qualifiantes. Le processus
inverse ne peut être que tout à fait exceptionnel puisqu’il est extrêmement
sélectif ; il ne peut concerner que quelques « personnalités »
exceptionnels.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
cheminement spirituel d’un être fait qu’il devient le plus souvent porteur de
plusieurs influences spirituelles. Cette multiplicité se justifiant d’autant
plus que cet être est qualifié à parcourir tous les plans (15) qui totalisent
les deux domaines respectivement exotérique et ésotérique (16).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
multiplicité n’est jamais un facteur de confusion (17), car l’Esprit procède
par une intégration synthétique (18) où tous les effets trouvent leur harmonisation
réalisatrice (19).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Eveillant
notre volonté (20) à suivre cette voie qui doit nous mener effectivement en
Dieu, l’influence est une potentialité dans l’accomplissement du destin
qualifié d’un être, une puissance providentielle qui peut faire de cet éveil
virtuel une réalisation effective où l’être transformé se reconnaît tel qu’il
n’avait jamais cessé d’être.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<ol start="1" style="margin-top: 0cm;" type="1">
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
corrélation entre le possible et le devenir doit être plus
particulièrement entendue dans ce cas précis comme répondant à cette étendu
illusoire qui sépare le virtuel de ce qui doit être conçu comme effectif.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Limitations
qui correspondent aux degrés d’ignorance de l’être non effectivement
réalisé.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce lien qui
pleinement transcendé accomplit l’identification totalisante dans le
Principe.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Car si
l’Esprit est de toute éternité, encore faut-il pouvoir le
« reconnaître ». Telle est la raison d’être du travail
intérieur.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Précision
importante : si l’influence en tant que support du cheminement
spirituel mène à l’Esprit, l’Esprit, totalement inconditionné en soi, ne
saurait s’y réduire.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Au sens
étymologique où <i style="mso-bidi-font-style: normal;">initiare</i>
signifie « commencer ».</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Spécifions
que puisque toute révélation (comme tout rite) a sa source médiatrice dans
la Tradition primordiale, l’influence spirituelle peut être transmise dans
le « Silence », principe de toute révélation, c’est-à-dire si
l’on peut s’exprimer ainsi par le « rite primordial informel »,
principe de tout rite. Et précisons aussi que le terme de révélation
s’étend ici à toute l’étendu hiérarchiques de degrés qu’il est susceptible
de représenter.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Qui
deviendra effective si celui qui le reçoit en porte la qualification. Ce
souffle l’accompagnera tout au long de son cheminement spirituel.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
reconnaissance effective n’étant que cette ultime intuition du Réel où
s’identifient le Connaissant et le Connu dans la Connaissance.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
détermination porte sur tous les plans qui sont ainsi parcourus. Elle
définit ainsi des conditions spécifiques pour tous les états qu’elle
influence et notamment en ce qui concerne les états posthumes.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Directement
lié à son caractère transcendant, l’Esprit ne saurait être limité.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’adéquat
déplacement d’influence correspond à une adaptation
« verticale » qui peut être notamment nécessitée par cette
« chute » qui accompagne le déroulement cyclique.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Sans
qualification spécifique, l’être reste dans le plan de la virtualité. Il
n’est bien souvent qu’un simple intermédiaire passif qui ne fait qu’aider
l’influence à maintenir sa présence au fil des générations.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Répétons-le,
même si sa détermination est du domaine simplement exotérique.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce terme
doit être entendu ici comme en étroite correspondance avec la nature
spécifique de l’influence qui y trouve son champ d’action. Il peut
correspondre ainsi aux différents degrés ou aux grandes stations qui
jalonnent le cheminement spirituel.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
notion de qualification s’entend toujours par rapport à l’état humain. Car
il convient de ne pas perdre de vue que tout homme, fait à l’image de
Dieu, est en Réalité « Homme universel ». La qualification répond
à cette particularité de la voie propre qui rend la réalisation effective
dans un état donné (tel l’état humain) plutôt que dans un autre.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans
l’hypothèse où plusieurs influences concerneraient le même degré ou le
même état d’être.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Et non
syncrétique.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ceci ne
doit pas être compris comme un encouragement à multiplier les réceptions
d’influences même si l’Esprit veille et reste Un, malgré les faiblesses et
l’ignorance des êtres.</span></li>
<li style="color: black; font-family: "Times New Roman","serif"; font-size: 12pt; font-style: normal; font-weight: 400; line-height: normal; margin: 0px;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
volonté qui permet à l’être d’opérer ce travail intérieur qui prépare sa
libération.</span></li>
</ol>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Grammaire de Pânini</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
peut lire ce passage de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’homme et son
devenir selon le Vêdânta</i> au chapitre intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’état de sommeil profond ou la condition de prâjna</i>: « <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chit</i> doit être entendu, non pas, comme l’était précédemment son
dérivé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitta</i>, au sens restreint de
la pensée individuelle et formelle (cette détermination restrictive, qui
implique une modification par réflexion, étant marquée dans le dérivé par le
suffixe <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kta</i>, qui est la terminaison
du participe passif), mais bien au sens universel, comme la Conscience totale
du "Soi" envisagée dans son rapport avec son unique objet, lequel est
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ânanda</i> ou la Béatitude.</b> »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une
lecture des nombreuses grammaires occidentalisées du sanscrit nous invite à
considérer la dérivation en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ta</i> comme
la forme d’un adjectif verbal. On ne nous parle jamais du suffixe en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kta</i>.<span style="margin: 0px;">
</span>Il faut parcourir une grammaire traditionnelle hindoue, dite grammaire
de Pânini, pour être confronté à cette forme en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kta</i>. On découvre alors que la lettre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">k</i> est le symbole de la racine que l’on souhaite dériver. Ainsi dans
le cas présent k représentera la racine <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CHIT</i>,
et la dérivation sera ainsi de la forme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>
+<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> ta</i>, soit <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitta</i>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Faut-il
s’étonner de voir René Guénon s’appuyer sur la grammaire de Pânini pour
nous expliquer le sens de cette dérivation? </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
lira avec intérêt cet extrait de l’article compte rendu intitulé <i>Le Siphra
di-Tzeniutha</i> (repris dans l’ouvrage posthume <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Formes traditionnelles et cycles cosmiques</i>):</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Quoi qu’il en soit, il est bien certain que
les Kabbalistes peuvent, le plus souvent, parler en réalité de tout autre chose
que de ce dont ils semblent parler ; et ces procédés ne leur sont pas
particuliers, loin de là, car on les trouve aussi au moyen âge occidental ;
nous avons eu l’occasion de le voir au sujet de Dante et des « Fidèles
d’Amour », et nous en avons indiqué alors les principales raisons, qui ne
sont pas toutes de simple prudence comme les « profanes » peuvent
être tentés de le supposer. La même chose existe aussi dans l’ésotérisme
islamique, et développée à un point que personne, croyons-nous, ne peut
soupçonner dans le monde occidental ; la langue arabe, aussi bien que la
langue hébraïque, s’y prête d’ailleurs admirablement. Ici, on ne trouve pas
seulement ce symbolisme, le plus habituel, que M. Luigi Valli, dans l’ouvrage
dont nous avons parlé, a montré être commun aux Soufis et aux « Fidèles
d’Amour » ; il y a beaucoup mieux encore : est-il concevable,
pour des esprits occidentaux, qu’un simple traité de grammaire, ou de
géographie, voire même de commerce, possède en même temps un autre sens qui en
fait un ouvrage initiatique de haute portée ? Cela est pourtant, et ce ne
sont pas là des exemples donnés au hasard ; ces trois cas sont ceux de livres
qui existent très réellement et que nous avons actuellement entre les mains.</b> »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Psychologie</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">En
2001, les Editions Archè on fait paraître un ouvrage sous le nom de René
Guénon : « René Guénon (<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">attribution</b>)
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Psychologie</i>. Introduction, notes et
choix d’illustrations par Alessandro Grossato. Archè, Milan, 2001 ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’ouvrage
s’ouvre sur une Note de l’Éditeur dont voici un extrait:</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Faire
paraître un inédit attribué à René Guénon, en cette année 2001, cinquantenaire
de la mort du métaphysicien de Blois, constitue sans doute un événement dans le
domaine des études traditionnelles. Alessandro Grossato, professeur aux
universités de Trieste et de Gorizia, et grand connaisseur de l’œuvre de
Guénon, qui a procuré et édité ce traité, est persuadé de son authenticité. Et
en vérité, les arguments qu’il invoque à l’appui de cette thèse, dans son
introduction, semblent bien fondés. L’Éditeur cependant, à qui incombe une
responsabilité, se doit d’être prudent, et ne peut honnêtement partager sans
réserve cette conviction. »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">A
la lecture de cette note, on comprend que seul M. Grossato est réellement
convaincu que le texte qu’il donne à publier doit être rattaché à l’œuvre de
René Guénon.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Même
un lecteur peu averti ne peut manquer d’être troublé par la formule qui
apparaît dès la première phrase du premier chapitre de cet ouvrage (p. 45,
souligné par nous):</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Quand
on parle de psychologie il peut s’agir de deux choses très différentes qu’il
est indispensable de bien distinguer tout d’abord: d’une part, la <u>psychologie
métaphysique</u>, c’est-à-dire la connaissance de l’âme envisagée en elle-même
dans sa véritable nature, et d’autre part, la psychologie proprement dite,
positive ou expérimentale, qui est seulement l’étude des phénomènes mentaux et qui
par suite doit être regardée comme une science de faits au même titre que les
sciences physiques et physiologiques. Nous n’avons à nous occuper que de cette
dernière. »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Grand
connaisseur », M. Grossato ne voit rien d’impossible à l’emploi par René
Guénon de cette formule. Il cite d’ailleurs ce passage dans son introduction
(p. 30). Pourtant le lecteur sait à cet instant que cet ouvrage ne peut être
rattaché à l’œuvre de René Guénon. On ne peut imaginer qu’une expression aussi
absurde que celle d’une « psychologie métaphysique » puisse figurer
dans cette œuvre. C’est injurier René Guénon que de laisser croire qu’il ait pu
vouloir subordonner la métaphysique à la psychologie, le domaine de la
psychologie étant rigoureusement nul devant celui de la métaphysique.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Sera-t-on
étonné maintenant si l’on apprend que cet ouvrage ne reproduit pas un manuscrit
mais un simple document dactylographié ? Voici ce qu’écrit M. Grossato dans son
introduction (pp. 12 et 13):</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Que
l’ouvrage en question soit vraiment de René Guénon, le prouve non seulement la
chaîne fidèle de la transmission du texte dactylographié, scrupuleusement
vérifié par nous d’après deux sources différentes (chaîne qui, probablement, a
concerné aussi le manuscrit original qui devait être en possession de Roger
Maridort), mais surtout son contenu, et jusqu’à certaines expressions
récurrentes chez cet auteur, par exemple l’expression ‘une impossibilité
métaphysique’ au chapitre XXIX, consacré à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
liberté</i>. Le texte dactylographié de 127 feuilles, somme toute, suffisamment
correct et propre, justement en raison de la présence de quelques banales
fautes d’orthographe et de quelques évidentes incertitudes de transcription -
allant assez souvent jusqu’à interrompre le texte par des points de suspension
- apparemment dues à l’incompréhension par le copiste de certaines phrases ou
mots, donne l’impression d’être le résultat d’un travail soigné, accompli nous
ne savons par qui, en copiant d’un manuscrit qui, très vraisemblablement, était
l’original écrit par Guénon (...) Que le contexte originaire était en tout cas
scolaire, un léger excès de répétitions le révèle, qui reflète
symptomatiquement une certaine forme discursive du texte. Cependant la
structure de l’ouvrage est de toute évidence celle d’un livre proprement dit,
organisé avec cohérence et presque achevé, avec une épigraphe, et une table des
matières développée et parfaitement organisée (...) »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Là
encore, même un lecteur peu avisé ne peut ignorer que l’écriture de René Guénon
est très lisible surtout si l’on considère que cet original aurait été prévu
pour une publication et donc pour être facilement lu par un imprimeur, il
paraît alors plus que suspect de voir que le « copiste » n’ait pu
lire des phrases entières !</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De
même il est ahurissant que M. Grossato, « grand connaisseur », ne
doute pas que René Guénon ait pu vouloir publier un ouvrage ayant un caractère
scolaire.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avant
de nous pencher sur ce chapitre consacré à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
liberté</i>, citons encore ce passage de l’introduction (p. 22):</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« À
noter que quelques années plus tard (1921) (1), avec la parution de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Introduction générale à l’étude des
doctrines hindoues</i>, il devait se produire un tournant décisif à beaucoup
d’égards, dans la vie et l’œuvre de Guénon. Le langage de René Guénon changera
en effet définitivement dans un sens purement traditionnel, tant dans ses
livres que dans ses articles, en devenant absolument explicite dans la forme
aussi bien que dans le contenu, sans plus rien concéder à qui que ce soit. Et
c’est, certainement encore une raison décisive de la publication manquée de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Psychologie</i>. Il aurait été en effet
nécessaire de la réécrire de fonds en comble, en assumant un point de vue
purement métaphysique, et en y insérant donc des éléments plus authentiques,
puisés surtout aux doctrines orientales. »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Sachant
que René Guénon n’a jamais écrit la moindre ligne « sans assumer un point
de vue purement métaphysique », M. Grossato démontre ici que René Guénon
ne peut être l’auteur de ce livre. Ce n’est pas une ŒUVRE de René Guénon même
si ce texte peut être le résultat des notes préparées par René Guénon pour
assurer un cours obligatoire d’enseignement de la psychologie lorsque les
circonstances de la vie l’ont amené à faire office d’enseignant. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">D’autre
part, le langage de René Guénon a toujours suivi « un sens purement
traditionnel ». Il n’a pas « changé ». On retrouve presque
intégralement et <u>littéralement</u> le texte des articles parus dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> (1909-1912) dans ses ouvrages
futurs notamment pour <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’homme et son
devenir selon le Vêdânta</i> (1925) ou pour <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
symbolisme de croix</i> (1931).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Grossato ne paraît pourtant pas ignorer cette revue puisqu’il fait, dans une
note, référence aux articles de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i>
consacrés à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. Il est
vrai qu’il donne une référence exacte, mais cite le texte de façon erronée et
attribue à René Guénon tout à la fois ce qui revient au collectif sous la
signature T. ou ce qui revient en propre à Saint-Yves d’Alveydre (p. 150).
Cette note rédigée par M. Grossato apparaît dans le texte avec une illustration
sans aucun rapport avec le texte proprement dit. D’une façon générale les
illustrations ajoutées par M. Grossato ont un caractère totalement gratuit dans
un texte purement scolaire.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
venons-en au chapitre intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La liberté</i>
où M. Grossato précise en note (p. 246):</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Ce
chapitre, certainement l’un des plus intéressants et accomplis de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Psychologie</i>, a significativement son
exact correspondant dans le chapitre XVIII des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">États multiples de l’Être</i>, conclusif, intitulé ‘Notion métaphysique
de la liberté’. Bien plus, il en constitue, très probablement, une toute
première rédaction, reprise ensuite, quoique dans un contexte très différent.
Et ceci est sans aucun doute l’une des meilleures preuves de l’authenticité de
la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Psychologie</i>, et de son attribution
sûre à René Guénon. »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Rien
dans ces deux chapitres ne correspond. Même la coïncidence d’une citation d’une
formule scolastique vient contredire M. Grossato. Ainsi peut-on lire dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Psychologie</i> (p. 245):</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Métaphysiquement,
la question est des plus simples. Il faut partir de l’idée de l’Être, auquel
appartiennent les attributs d’unité et de simplicité; comme disaient les
scolastiques: ‘<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Esse et unum convertuntur</i>’,
là où il y a unité et simplicité, il y a nécessairement absence de toute
contrainte, car une contrainte ne peut provenir que de la présence d’une
multiplicité dont les éléments agissent les uns sur les autres. Or, l’absence
de contrainte est précisément ce par quoi se définit la liberté. »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Citons
maintenant une note des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">États multiples
de l’être</i> (édition 1932, ch. XXVIII, p. 135, note 2):</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Tout
être, pour être véritablement tel, doit avoir une certaine unité dont il porte
le principe en lui-même; en ce sens, Leibnitz a eu raison de dire: ‘Ce qui
n’est vraiment <i style="mso-bidi-font-style: normal;">un</i> être n’est pas non
plus vraiment un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">être</i>’; mais cette
adaptation de la formule scolastique ‘<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ens
et unum convertuntur</i>’ perd chez lui sa portée métaphysique par
l’attribution de l’unité absolue et complète aux ‘substances
individuelles’. »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
l’on devait poursuivre dans cette voie et chercher à publier les notes des
cours professés par René Guénon durant les années 1917-1919 qu’elle pourrait en
être le contenu ?</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
aurait manifestement affaire à un texte scolaire particulièrement primaire, ne
prenant partie qu’avec une extrême prudence. René Guénon devait y concilier les
normes absurdes de l’« enseignement obligatoire » avec un nécessaire
souci de vérité. La seule façon pour lui de ne pas trahir la vérité tout en
étant légitimement payé pour ses cours devait consister à distiller un
enseignement des plus insipide, parlant de tout et de rien, qui ne serait ainsi
préjudiciable à aucun de ses élèves.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ces
cours devraient vraisemblablement se présenter comme un recueil de faits et
d’opinions contradictoires. Ainsi si certains élèves faisaient preuve de
discernement ils pouvaient en recueillir les aspects véridiques et pour les
autres il ne devait en résulter aucun préjudice puisque cela devait les laisser
dans une égale ignorance caractéristique de cet « enseignement obligatoire ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
l’on devait mettre à jour les manuscrits des cours de René Guénon, outre
l’aspect purement anecdotique, leurs publications ne présenteraient ainsi aucun
intérêt sur le plan doctrinal.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 0px 48px; text-indent: -18pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;">-<span style="font-size-adjust: none; font-stretch: normal; font: 7pt "Times New Roman"; margin: 0px;">
</span></span></span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(1).
M. Grossato voudrait que René Guénon ait composé cet ouvrage sur la psychologie
durant l’année 1917 ou 1918</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">« An-Archie »</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
terme Anarchie dérive du grec <i style="mso-bidi-font-style: normal;">An-Arkia</i>.
La particule <i style="mso-bidi-font-style: normal;">An</i> (ou plus généralement
la voyelle « a ») est privative. Ce terme chercherait d’une
certaine façon à nier le contenu même de la racine grecque <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ARK</i>, laquelle se retrouve dans le mot <i style="mso-bidi-font-style: normal;">An-Arkos</i> qui désigne la négation du principe ou des principes. De
ce point de vue, la notion d’Anarchie serait rigoureusement négative,
affirmation que beaucoup pourrait, à juste titre, contesté.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
alors pourquoi ce<span style="margin: 0px;"> </span>terme et surtout
pourquoi cette négation ? Nous verrons combien cette façon de s’exprimer
est loin d’être exclusive et combien en revanche elle est un mode du langage
particulièrement efficace, particulièrement signifiant.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Portons
notre attention sur la tradition hindoue. On y notera l’existence de deux
termes : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sa-guna</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-guna</i>. Pour ceux qui l’ignoreraient,
la notion de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guna</i> est purement
qualitative ; on en distingue trois : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sattva</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">rajas</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tamas</i> qui permettent de rendre compte de
l’aspect qualitatif de tout ce qui « est ». Nous ne nous étendrons
pas sur cette triplicité sur laquelle il y aurait beaucoup à dire, mais sur la
dualité citée précédemment. Ainsi <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sa-guna</i>
désigne tout ce qui est qualifié, tout ce qui est régi par les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guna</i>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nir-guna</i> (la particule <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir</i>
est privative) ne désigne pas ce qui serait sans qualification (parce que tout
ce qui se manifeste<span style="margin: 0px;"> </span>est d’une façon ou
d’une autre toujours qualifié), mais désigne tout ce qui transcende cette
notion même, tout ce qui est effectivement<span style="margin: 0px;">
</span>au-delà de toute qualification.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Et
ici nous touchons à quelque chose qui est tout sauf négatif. Même s’il n’en a
pas la forme ce terme permet de rendre compte d’un aspect de pure positivité
au-delà même de cette dualité : positif/négatif. Précisons enfin que ces
deux termes <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sa-guna</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-guna</i> servent justement à désigner le
principe (on parle alors du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sa-guna-Brahma</i>
et du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-guna-Brahma</i>).<span style="margin: 0px;"> </span>On peut ainsi établir une correspondance
entre la notion d’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">An-Arkia </i>et celle
de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-guna-Brahma</i>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Intéressons-nous
maintenant au monde des idéogrammes. On y rencontre un terme chinois très
significatif : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">wu-wei</i> qui
désigne le « non-agir » et qui symbolise également le principe.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Rappelons-nous
la notion aristotélicienne du « Moteur immobile » qui se réfère à
cette même terminologie négative pour désigner le principe. Avec Aristote nous
retournons aux sources de la culture occidentale où cette utilisation de la
« voie négative » a connu de multiples développements. Un Denys
l’Aréopagite ou, plus prés de nous, un Maître Eckhart élaborent ainsi ce que
l’on désignera comme la théologie négative, s’approchant alors de la notion du
« Non-Être ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
utilisation de la terminologie négative est universelle. Toutes les cultures y
ont eu recours. Celle-ci permet de faire pressentir l’inexprimable. Mais ici,
nous voyons poindre cette question : quel rapport avec l’Anarchie ?
On aura pu comprendre comment le recours à une expression négative<span style="margin: 0px;"> </span>peut donner à l’expression un contenu sans
égal. L’Anarchie peut alors se comprendre non comme une absence, une absence de
principe, mais plutôt comme une revendication de la liberté totale au-delà de
toute limite, au-delà de tout ce qui d’une façon ou d’une autre conserve
quelque chose de relatif. S’il n’y a pas identité, il y a correspondance entre
ces différents termes : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-guna-Brahma</i>,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">wu-wei</i>, « «Non-Être » et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">An-Arkia</i>. Nous n’ignorons pas le
caractère plutôt surprenant d’un tel rapprochement, d’une telle correspondance.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">TROISIEME
PARTIE</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Les
« guénoniens » contre René Guénon</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
avons précédemment parlé des incohérences des « guénoniens ». Nous
allons dans cette troisième partie en donner une illustration particulièrement
édifiante en nous référant à un ouvrage publié par M. Gilis intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="color: black; margin: 0px;">René Guénon, 1907 – 1961 </span></i><span style="color: black; margin: 0px;">paru aux éditions Le Turban Noir. </span></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’ouvrage
de M. Gilis est un parfait exemple de cette dérive qui consiste à détourner
l’œuvre de René Guénon pour imposer ses propres thèses en réalité contraires à
l’esprit même de cette œuvre. On donne ainsi habilement l’illusion au lecteur
que ses propres thèses ne contredisent pas l’autorité doctrinale de René Guénon
alors que l’on ne fait que de la trahir. Dès son préambule, l’auteur nous
stupéfie :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si l’on considère sa raison d’être et
son intention profonde, que reste-t-il de l’œuvre de René Guénon un siècle
après la parution de ses premiers écrits ? Rien, si ce n’est la lumière
universelle de l’islâm et quelques amateurs d’ésotérisme. (p. 9)</span></i></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Considérons
cette déclaration de plus près. La formulation est loin d’être claire. « Que
reste-t-il de l’œuvre ? » A priori tout, puisque cette œuvre est une
œuvre écrite et accessible pratiquement intégralement. L’œuvre est toujours
publiée sans restriction. Donc la réponse à cette question est bien :
« TOUT ». Son œuvre garde et gardera toute sa puissance jusqu’à la
fin du cycle de la présente humanité. Pour M. Gilis la réponse à cette question
est donc : « RIEN, si ce n’est… » L’auteur nous indique alors
qu’il ne reste de cette œuvre que deux « choses ». D’une part
visiblement quelque chose de plutôt négatif : « quelques amateurs
d’ésotérisme » et de l’autre quelque chose qui n’a de toute évidence
aucune commune mesure avec ces quelques amateurs : « la lumière
universelle de l’islâm ». René Guénon n’aurait donc produit qu’un petit
groupe d’individus incompétents, des « amateurs ». Tous les lecteurs
de cette œuvre ne peuvent donc prétendre à rien d’autre qu’à de l’amateurisme
dans le domaine de l’ésotérisme. Ainsi M. Gilis comme tous les autres lecteurs
de René Guénon ne peut être qu’un « amateur d’ésotérisme ». Mais
qu’en est-il de la « lumière universelle de l’islâm » ? René
Guénon aurait donc produit cette lumière. Une « lumière
universelle », à notre connaissance cette expression n’apparaît pas
directement dans l’œuvre de René Guénon. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
pouvons citer ce passage des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur
l’initiation</i> (ch. XLVII):</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Selon la tradition islamique également,
la première création est celle de la Lumière (<i>En-Nûr</i>), qui est dite <i>min
amri’Llah</i>, c’est-à-dire procédant immédiatement de l’ordre ou du commandement
divin ; et cette création se situe, si l’on peut dire, dans le
« monde », c’est-à-dire l’état ou le degré d’existence, qui, pour
cette raison, est désigné comme <i>âlamul-amr</i>, et qui constitue à
proprement parler le monde spirituel pur. En effet, la Lumière intelligible est
l’essence (<i>dhât</i>) de l’« Esprit » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Er-Rûh</i>), et celui-ci, lorsqu’il est envisagé au sens universel,
s’identifie à la Lumière elle-même ; c’est pourquoi les expressions <i>En-Nûr
el-muhammadî</i> et <i>Er-Rûh el-muhammadiyah</i> sont équivalentes, l’une et
l’autre désignant la forme principielle et totale de l’« Homme
Universel », qui est <i>awwalu khalqi’Llah</i>, « le premier de la
création divine<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> ».</i></span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Faut-il
comprendre que M. Gilis fait allusion à cette Lumière intelligible ? Ce
qu’il reste de l’œuvre de René Guénon serait donc cette « Lumière ».
Nous devons reconnaître que nous avons éprouvé un très grand malaise à la
lecture de ce préambule. A vouloir chercher des formules chocs, l’auteur ne se
rend même pas compte de ce qu’il écrit. L’œuvre de René Guénon n’est pas une
« Révélation », ce n’est pas le Coran. René Guénon n’est pas un
prophète, ni le Prophète, il n’est pas non plus « la lumière universelle
de l’islâm ». Comment un musulman peut-il écrire une chose aussi
choquante ? Cette formulation n’est respectueuse ni pour l’Islam ni pour
René Guénon. Elle est outrée et fausse. D’ailleurs l’Islam n’occupe
pratiquement aucune place dans l’œuvre de René Guénon. Comment peut-on se
fourvoyer à ce point ?</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis se prend très au sérieux. Il ne doute pas un seul instant de son
« autorité » et n’hésite pas à écrire ce qui suit :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Des lecteurs bienveillants nous font
savoir qu’ils associent notre nom à celui de nos deux maîtres </span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">[Guénon et
Vâlsan]<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> et que cette triade d’un nouveau
genre fait pour eux autorité. (p. 203)</i></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Lui
seul est un véritable intellectuel qui comprend tout. Il n’est pas « assez
bien placé pour savoir », non il ne doute pas un instant, il est
« mieux placé que personne pour savoir» :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous sommes sans doute mieux placé que
quiconque pour savoir à quelles rancœurs peut conduire l’incompréhension
« des pseudo-intellectuels ».</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> (p. 81) </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis nous rappelle que René Guénon <i style="mso-bidi-font-style: normal;">n’a
pas eu de disciples, et s’est toujours refusé à en avoir</i> (p. 15 et p.
137 !!). Puis il ajoute de façon visiblement contradictoire :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">C<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ela ne signifie nullement qu’il n’y a pas de
« disciples orthodoxes » de son enseignement, même si leur qualité
est inversement proportionnelle à leur nombre</i>. (p. 137).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis explique que ce livre est l’achèvement de son œuvre. Il précise :<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Nous n’avons jamais demandé à écrire ;
nous y avons été contraint</i>. (p. 183) Cette fonction est donc pour lui comme
une épreuve et il faut reconnaître que de le lire en est également une. En
parlant de ses improbables « disciples orthodoxes » et de leur
nombre, il voudrait nous faire comprendre que ceux qui sont qualifiés sont très
peu nombreux et que ceux qui sont très qualifiés sont encore moins nombreux.
Mais bien évidemment il est impossible de définir une règle qui permettrait
pour un niveau de qualification donné de trouver le nombre de ceux qui ont
précisément cette qualification. Et pourtant M. Gilis nous en donne la formule
avec une naïveté confondante : « inversement proportionnelle ».
Formons l’hypothèse qu’à une certaine période le groupe de ses fameux
« disciples orthodoxes » soit constitué de 5 membres et que par un
recrutement exceptionnel, « un prompt renfort », ce groupe se voit
porter au nombre de 10 membres. Alors les cinq membres originels verront leur qualification
se réduire de moitié. Inversement proportionnel, cela veut dire que si l’on
double le nombre la qualité se réduit de moitié. Voilà ce que M. Gilis a
vraiment écrit. Ce n’est bien évidemment pas ce qu’il voulait dire et en effet
le lecteur aura rectifié de lui-même parce que dans ce cas précis la
rectification est évidente. Mais comment le lire, s’il faut sans cesse douter
de ce qu’il écrit. Contrairement à ce qu’il affirme à longueur de page, M.
Gilis n’a aucun respect pour l’œuvre et l’enseignement de René Guénon qu’il
déforme avec une constance confondante comme le confirmera la suite de notre
compte rendu. Avec cet exemple plus que significatif, On peut ainsi comprendre
pourquoi René Guénon a toujours refusé d’avoir des disciples quand on voit
comment se comportent ceux qui voudraient en avoir la prétention.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
poursuivons notre lecture du livre de M. Gilis:</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’œuvre
de René Guénon est tout entière d’inspiration akbarienne, même si l’on tient
compte des sources qui ne sont pas « islamiques » au sens strict. (p.
15)</span></i></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Rappelons que le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">akbar</i> est un superlatif et signifie « le plus grand ».
Lorsque l’on qualifie Ibn Arabi de Cheikh al-akbar on indique donc qu’on le
reconnait comme le plus grand des Cheikhs, le plus grand des maîtres. On
retrouve une formulation voisine dans l’Hindouisme pour Shankara que l’on
désigne ainsi : Shankarâcharya ; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shankara
– âchârya</i> ; Shankara – le Maître (par excellence). Dans la phrase de
M. Gilis, on peut tout aussi bien substituer le mot « akbarienne » à
celui de « âchârienne<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>» (en
référence à Shankara), et le mot « islamiques » à celui de
« hindoues » et la phrase fonctionne tout aussi bien. Une phrase
ainsi construite ne cherche qu’à créer une orientation sectaire contraire à la
démarche de René Guénon. En réalité, l’œuvre de René Guénon est tout entière
d’inspiration traditionnelle.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M. Gilis ajoute un peu plus loin : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réciproquement, les écrits d’Ibn Arabî
révèlent leur signification profonde quand on les interprète à la lumière de
l’œuvre guénonienne. (p. 16).</i></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce passage est plus préoccupant. Cette phrase
voudrait nous faire entendre que l’on ne peut comprendre profondément l’œuvre
d’Ibn Arabî sans l’appui de l’œuvre de René Guénon. Elle signifie donc que dès
l’origine ceux qui ont considéré Ibn Arabî comme le plus grand des Cheikhs ont
toujours ignoré la signification vraiment profonde de son œuvre. De qui se
moque-t-on ? D’Ibn Arabi ? De René Guénon ? L’œuvre de René
Guénon est écrite en français pas en arabe. M. Gilis veut-il nous faire croire,
par exemple, que ses tentatives de traduction française commentée de certains
textes d’Ibn Arabî apportent quelque chose en plus que les Orientaux pourraient
ignorer. Ainsi un véritable initié musulman ne peut pas comprendre en
profondeur Ibn Arabî en le lisant en arabe. S’il ne peut lire l’œuvre de René
Guénon, l’essentiel lui échappera toujours, voilà ce que M. Gilis voudrait nous
faire croire. Dans ce cas une traduction française du Coran serait-elle bien
supérieure au texte original si l’on prenait la précaution de lui adjoindre un commentaire
construit à partir de l’œuvre de René Guénon ? C’est absurde.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Rappelons que l’arabe classique est une
langue sacrée. René Guénon s’exprime en français et ne s’adresse qu’à des
Occidentaux ou à des Orientaux occidentalisés qui ont perdu tous leurs repères.
Un véritable Oriental n’a pas besoin de René Guénon. Ainsi les Hindous ont
reconnu en Râmana Maharshi un « délivré-vivant » sans l’aide de René
Guénon. Les Occidentaux ont quant à eux immanquablement besoin de René Guénon
pour y parvenir.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">En réalité ce travail de traduction en
français des textes arabes ne peut se comprendre que pour les orientalistes,
que pour les représentants du monde moderne. Un initié musulman n’a aucune
raison de traduire en français des textes doctrinaux puisqu’il perdrait alors
le bénéfice des subtilités de la langue sacrée. Un initié musulman utilise
l’arabe et s’il doit faire un commentaire c’est en arabe qu’il doit le
formuler. L’usage d’autres langues orientales peut peut-être se justifier mais
l’utilisation des langues occidentales présente une forme de disqualification
immédiate.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René Guénon n’a pas publié de traduction en
français de textes soufis. Il n’a pas publié non plus en arabe des commentaires
de l’œuvre d’Ibn Arabî pour en révéler « la signification profonde »
qui n’échappe à aucun véritable initié musulman. Il n’a publié au Caire que
quelques articles en arabe dont le contenu était comparable à ce qu’il écrivait
pour les Occidentaux ce qui est très singulier mais assez logique puisque son
œuvre ne s’adresse qu’aux Occidentaux. Il pensait donc que la contamination
occidentale était suffisamment profonde pour avoir à remettre dans le bon
chemin des Orientaux en passe de s’égarer. Le seul texte doctrinal dont il a
publié en grande partie la traduction est un texte de Shankara : L’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma-bodha</i>. Cette traduction ne
s’adresse pas à des Hindoues mais à des Occidentaux qui n’ont aucune raison de
connaître nécessairement le sanscrit puisque cette langue sacrée n’est pas leur
langue liturgique. Un lecteur consciencieux de René Guénon aura toutes les
raisons d’apprendre le sanscrit, de chercher à accéder directement aux textes
doctrinaux de l’hindouisme pour parfaire sa connaissance doctrinale et
renforcer ainsi ses appuis dans sa propre tradition.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Concernant Ibn Arabî, René Guénon n’a cité
que quelques phrases. Pour un Occidental lecteur de René Guénon la connaissance
de l’arabe est beaucoup plus facultative. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On ne sera pas étonné de constater que les
« guénoniens » dans leur écrasante majorité ignorent totalement le sanscrit
et que parmi les « guénoniens musulmans » un certain nombre ignore
également l’arabe ce qui est un comble. Et ceux qui le connaissent se
transforment curieusement en orientalistes « guénoniens » comme le
fait M. Gilis.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Sagesse
innée</span></b><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;"></span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis nous livre encore une de ses formules péremptoires :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le passage d’un état de trouble extrême
à l’acquisition d’une maîtrise puisant son autorité à une source d’inspiration
universelle implique nécessairement le rattachement à un ordre initiatique
régulier</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">.
(p. 38)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ainsi
un être exceptionnel ne pourrait acquérir cette maîtrise que par un
rattachement NECESSAIRE à un ORDRE initiatique REGULIER. M. Gilis tente d’en
faire la démonstration en s’appuyant sur un texte de René Guénon paru en 1949
dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers du Sud</i> sous le titre
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sagesse innée et sagesse acquise</i>.
Article repris dans l’ouvrage <i style="mso-bidi-font-style: normal;">posthume
Initiation et Réalisation spirituelle</i> (ch. XXII).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">D’après
M. Gilis, René Guénon ne parlerait dans cet article que de son cas personnel.
Pourtant l’exemple de Râmana Maharshi répond très bien à ce qu’envisage René
Guénon dans cet article. Mais parle-t-il vraiment de son cas personnel ?
On ne peut ni l’affirmer, ni l’exclure. Dans l’extrait cité par M. Gilis, René
Guénon parle de la nécessité d’un rattachement à une « chaîne »
initiatique tout en précisant que ce rattachement est toujours possible à
obtenir pour ces cas d’exception. En bon métaphysicien, René Guénon garde le
champ des possibilités aussi ouvert que la réalité le permet et donc de façon
illimitée. Les restrictions imposées par M. Gilis sont contraires à ce que la
métaphysique nous enseigne. Les possibilités de rattachement sont multiples,
régulières tout aussi bien que « sauvages ». Cette maîtrise
exceptionnelle ne nécessite donc <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">pas
nécessairement</b> un rattachement à un <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">ordre</b>
initiatique <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">régulier</b>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Encore
une nouvelle déclaration qui ne repose sur rien de doctrinal avec ses
arguments pour discréditer la tradition extrême orientale: </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La tradition extrême-orientale, quels
que soient son intérêt et sa légitimité, ne possède pas l’axialité et l’ampleur
doctrinale inégalée de la tradition hindoue.</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> (p. 43)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
tradition extrême-orientale ne possèderait pas « ce qui est en rapport
avec l’axe » comme le possède la tradition hindoue. Les doctrines
respectives montrent le contraire. Le symbolisme de l’axe est présent dans
toutes les traditions et notamment dans la tradition extrême-orientale avec la
notion de la « Voie du Milieu ». Il est infondé de faire ainsi des
jugements de valeurs sur cette « axialité »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Quant
à l’ampleur doctrinale, elle se mesure comment pour M. Gilis? L’Infini est
l’Infini dans chaque tradition orthodoxe. Les modes d’expression de la doctrine
sont différents d’une tradition à une autre. Certains aspects peuvent être très
explicites, d’autres moins. Mais les principes sont les mêmes. Chaque tradition
est par nature inégalable puisque différente. La tradition extrême-orientale
comme la tradition hindoue sont des traditions complètes, on ne peut parler
d’une différence d’ « ampleur », cela n’a pas de sens doctrinal.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">L’initiation</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis veut absolument trouver « deux périodes » dans
l’accomplissement de l’œuvre de René Guénon contrairement aux évidences. Cette
œuvre est une. Il n’y pas une période française et une période égyptienne. Le
message est constant et infaillible.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
série d’articles publiés par René Guénon depuis le Caire concernant
l’initiation <i style="mso-bidi-font-style: normal;">est un choix délibéré qui
conduira les « guénoniens » désireux de suivre une Voie initiatique
disposant des moyens appropriés en vue du développement spirituel et de la
réalisation métaphysique à entrer en islâm. </i>(p. 48)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ou
encore :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Tout bien considéré, ses études sur
l’initiation n’avaient d’autre raison d’être que d’orienter l’élite de ses
lecteurs vers les représentants de l’ésotérisme islamique. </span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(p. 137)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis voudrait ainsi nous faire croire que René Guénon ne commence à parler de
l’initiation qu’à partir de son installation au Caire. Il oublie ainsi de
mentionner la publication pourtant significative de son article intitulé
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’enseignement initiatique</i> »
dans la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le symbolisme</i> en 1913,
revue maçonnique qui bien évidemment ne cherchait pas à convertir ses lecteurs
à l’Islam.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René
Guénon bien évidemment ne « conduit » personne, ni les musulmans, ni
les maçons, ni qui que ce soit. Il l’a répété et répété, ce n’est pas son rôle.
Mais il faut reconnaître encore un fois que les « guénoniens » ne
l’écoutent pas. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
franc-maçonnerie comme le compagnonnage répondent à des initiations de métiers.
Ces initiations correspondent à des êtres dont la qualification répond à celle
des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vaishyas</i> (dernière caste des
deux-fois nés dans l’hindouisme), celle des artisans. Pour ces simples
initiations de métiers, ils existent des grades, des degrés, tout un système
complexe pour accompagner la progression sur l’échelle spirituelle. Un système
comparable devait exister pour la chevalerie (correspondant à l’initiation des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kshatriyas</i>). Et nous trouvons également
une hiérarchie pour le sacerdoce (mais nous n’avons plus à ce niveau en
Occident l’équivalent des Brahmanes avec la diversité de leurs initiations). Le
système des castes n’existe pas dans l’Islam. Mais si l’on devait définir à
quelle caste appartient un initié en Islam, les « guénoniens
musulmans » répondraient tous en cœur, celle des Brahmanes bien
évidemment. Sinon leurs prétentions pourraient être réduites et se voir limiter
aux Petits Mystères.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
aura compris que le fait de ne plus avoir à mettre en avant la question des
castes permet d’éliminer également celles des qualifications ? Et ainsi
tout le monde peut être initié chez les « guénoniens ». Aucun de ces
« guénoniens » ne paraît étonné par le fait que l’on puisse en un
tour de main recevoir l’intégralité des initiations pour une tradition donnée.
Etre initié à la « tradition extrême-orientale » par exemple.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Redressement de l’Occident</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">D’après
M. Gilis, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dès 1910, plus aucun
redressement de l’Occident n’était envisageable par le développement de ses
possibilités propres s’effectuant dans le sens d’un « retour à l’intellectualité
vraie et normale ». René Guénon le savait mieux que personne ; et
pourtant, jusqu’à son départ pour l’Orient, il va s’adresser aux Occidentaux
comme si ce redressement était encore possible ; et cela à trois reprises.</i>
(p. 76)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis donne alors les titres de trois des ouvrages de René Guénon paru entre
1921 et 1927. En bon métaphysicien René Guénon sait que tout ce qui n’est pas
impossible peut être possible et que l’on ne peut jamais écarter une
possibilité absolument tant que l’on ne peut prouver que c’est une
impossibilité. Et par conséquent René Guénon ne s’adresse pas aux Occidentaux
COMME SI, mais PARCE QUE ce redressement était encore possible. C’est une
possibilité. On peut légitimement penser que la probabilité de sa réalisation est
très faible mais elle ne peut pas être nulle. Les possibilités de manifestation
sont indéfinies. Aussi incroyable que cela puisse paraître ce redressement
envisagé par René Guénon dans ses ouvrages n’est pas impossible. Et les
possibilités qu’il décrit sont bien plus crédibles que celles défendues par les
« guénoniens ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René
Guénon est un métaphysicien pas un manipulateur d’opinions et M. Gilis veut lui
faire dire ce qu’il ne dit pas. Ainsi il continue son matraquage:</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">A partir du moment où aucun redressement
proprement « occidental » n’était plus envisageable, le recours à la
tradition islamique, seule forme traditionnelle réunissant le double avantage
d’être de type religieux et de disposer d’une doctrine complète, s’imposait.</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> (p. 77)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René
Guénon écrira exactement le contraire et le plus étonnant c’est que M. Gilis
(p. 80) cite le passage correspondant où René Guénon déconseille l’aide de
l’Islam notamment parce qu’il s’agit d’une tradition à forme religieuse comme
le Christianisme et qu’il y a comme un risque d’engendrer une « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">concurrence</i> » défavorable à la mise
en place d’une solution, précisant que « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">la plus élémentaire prudence exige qu’on en tienne compte dans une
certaine mesure </i>».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans
ce passage d’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient et Occident</i>, René
Guénon parle dans l’hypothèse d’un redressement de « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’élite en voie de constitution </i>» qui doit ainsi faire preuve
de prudence. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis interprète toujours à rebours :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Et si René Guénon indique, pour finir,
que le devoir de prudence ne doit être pris en compte que « dans une certaine
mesure », c’est parce qu’il sait également fort bien que, tôt ou tard,
tout devra être dit sans qu’il y ait à se préoccuper exagérément, ni de la
fureur des uns, ni de la sotte hostilité des autres.</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> (p. 81)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Voilà
une fantastique manipulation des textes. Dans l’hypothèse d’un redressement,
pour René Guénon, et dans le meilleur des cas, l’Islam ne devait apporter que
son aide. Il n’a jamais été question de convertir l’Occident à l’Islam. Il n’y
a donc rien que René Guénon peut bien savoir selon M. Gilis et qu’il ne dit
pas. S’il devait y avoir constitution d’une élite occidentale véritable elle ne
pourrait en aucun cas être de confession musulmane. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis nous dresse le portrait impensable d’un René Guénon contradictoire
confronté à des difficultés qui :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Explique pour une grande part les
continuels changements et retournements dans les langages qu’il tient, dans ses
attitudes, dans ce qu’il cache aux uns et déclare aux autres, car il lui faut
constamment adapter ses exposées aux dispositions particulières, aux
connaissances partielles et à l’ignorance généralisée de ses interlocuteurs,
tout en évitant, dans la mesure du possible, toute confrontation directe.</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> (p. 82)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">S’il
y a bien une chose qui frappe chez René Guénon c’est bien l’unité de langage,
un discours très cohérent, très maîtrisé, sans aucun changement de cap. Il sait
où il va et il s’y tient avec une efficacité et une autorité totales. Il ne
cache rien bien au contraire. C’est pour le coup symboliquement une lumière et
ce sont ses lecteurs qui peinent à la contempler. Et voilà ce qu’écrit M.
Gilis :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’œuvre doctrinale de René Guénon est à
ce point magistrale que beaucoup admettent difficilement qu’elle ne correspond
nullement à son intention première et qu’elle n’est pas le fruit d’un <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">choix délibéré</b>. Elle fut conçue et
accomplie comme étant de <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">« second
ordre</b> », à un moment où aucune alternative ne demeurait ouverte pour
lui. On ne peut la comprendre telle qu’elle est en réalité, si l’on ne voit pas
qu’elle est la conséquence d’un échec, mais aussi, à l’égard de l’Occident, la
manifestation conjointe d’une sanction et d’une miséricorde divines.</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> (p. 83)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">C’est
nous qui soulignons « choix délibéré » et « de second
ordre ». Ceci n’empêche pas M. Gilis de déclarer :<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> René Guénon juge souverainement de ce
qui doit être dit et de ce qui ne doit pas l’être ; ainsi que des
questions d’opportunité qui obligent à le dire</i>. (p. 89)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis est contradictoire et totalement irrespectueux de l’œuvre de René Guénon
qui n’est au grand jamais de second ordre.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
poursuivons.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce qu’il publie durant ces dix années, </span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">[1910 à 1921]<i style="mso-bidi-font-style: normal;">, notamment sous les signatures de
Palingénius et de Sphinx n’est certes pas dépourvu d’intérêt, mais nous paraît
finalement secondaire au regard de sa fonction traditionnelle.</i> (p. 92)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
toute son œuvre est là… Dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i>
sont publiée sous le nom de Palingénius la première version de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’homme et son devenir selon le Vêdânta</i>
ainsi que celle du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme de la croix</i>…
Et puis encore ce texte tout à fait particulier sur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">les conditions de l’existence corporelle</i>… Il est vrai que pour M.
Gilis l’œuvre de René Guénon est secondaire, son seul rôle ne devant être que
de faire des convertis en nombre à l’Islam.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">A
la page 77, M. Gilis parle d’ « initiation aux doctrines hindoues ».
La formule est d’un point de vue traditionnel impropre. On n’est pas initié à
la doctrine… mais à une tradition.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">D’après
M. Gilis, dans son <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Introduction générale
à l’étude des doctrines hindoues</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Guénon
lance même un avertissement qui aurait dû retenir l’attention : </i>les
explications que nous allons donner ne sauraient correspondre à notre pensée
tout entière<i style="mso-bidi-font-style: normal;">. Prés d’un siècle après que
ces lignes aient été écrites, et aussi ahurissant que cela puisse paraître,
certains n’ont toujours compris ce à quoi il faisait ainsi allusion !</i>
(p. 100)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis oublie qu’il s’agit de son premier ouvrage et que de plus il s’intitule
« introduction ». Comment aurait-il pu exprimer sa pensée tout
entière dans un seul livre alors que plus d’une vingtaine ne lui ont pas
suffit ? Il intitule son livre à juste titre, on ne peut pas être plus
honnête. D’ailleurs, un lecteur sérieux de l’œuvre reconnaîtra sans peine qu’il
lui à fallu lire l’intégralité de son œuvre et parfois plusieurs fois avant
d’en saisir toute la portée et de l’assimiler à peu près correctement.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Le tantrisme</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
question du tantrisme occupe une place insistante dans le livre de M. Gilis. Il
nous explique ainsi que l’on a montré et démontré :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(…)
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">que le rattachement au Sanâtana Dharma
est possible au moyen de la voie tantrique. Celle-ci est une adaptation
régulière de l’hindouisme qui n’est pas régie par l’institution des castes de
sorte qu’elle est ouverte à ceux qui ne sont pas nés hindous. Un tel
rattachement peut être conféré en Inde, mais ce n’est nullement une condition
nécessaire.</i> (p. 45)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
poursuit en précisant que de la tradition hindoue, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">le tantrisme en constitue le cœur.</i></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
peut pour contredire M. Gilis consulter la traduction anglaise du « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mahâ-Nirvâna-Tantra</i> » donnée par
Arthur Avalon (John Woodroffe) en 1913. On peut consulter également la
traduction française commentée par Jean Emmanuelli de ce même texte publiée
sous le titre « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Propos sur le
Tantra </i>» chez Archè en 1983.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Voyons
un extrait significatif de la version française publiée par Emmanuelli (pp 26 –
27) :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cependant la valeur des règles
traditionnelles d’obligation, nécessaires aux fins d’une réelle purification et
maîtrise du composé humain, n’y est jamais perdue de vue. C’est seulement au
niveau du vîra (le héros) que peuvent prendre place des contenus normalement et
à juste titre repoussés dans le Dharma général hindou. Ceci est possible parce
que la hiérarchie tantrique n’est pas fondée sur la considération des castes,
varna, mais sur celles des bhâva qui sont les deux aspects de la manifestation
de la norme des guna et du Pavritti-Mârga et du Nirvritti-Mârga de la Srishti
dans l’homme.</span></i></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Suit
un tableau d’où nous ne retiendrons que les correspondances entre « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhâva</i> » (état d’être) et «<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Varna</i> » (caste) : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pashu-Bhâva</i> au regard des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shûdra</i> et des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vaishya</i> ; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vîra-Bhâva</i>
au regard des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kshatriya</i> ; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vivya-Bhâva</i> au regard des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brâhmanes</i>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Un
peu plus loin, on peut lire :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">C’est le darshana cultuel qui assure la
normativité des échanges et compensations entre bhâva et varna dans cette
Communauté (Bhârata-Dharma) du Sanâtana-Dharma, qui n’en demeure pas moins
fondée sur le mode hiérarchique varna de l’état humain. Cet aspect bhâva du
Dharma intervient donc intérieurement dans la sâdhana parallèlement à celui des
castes (varna) et <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">sans l’annuler</b>.</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> (p. 28) </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">C’est
nous qui soulignons « sans l’annuler ». Une lecture même rapide de
l’ouvrage de Jean Emmanuelli semble bien évidemment contredire M. Gilis. La
question des castes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">varna</i>) dans le
tantrisme est en effet loin d’être aussi simple que le souhaiterait M. Gilis.
Et rien ne vient démontrer que le tantrisme n’est pas régi par le système des
castes bien au contraire.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
y a de nouveau quelque chose d’inquiétant dans le discours de M. Gilis, un
élément très significatif qui montre qu’il commet une erreur doctrinale très
importante. Il désigne le tantrisme comme le cœur de la tradition hindoue alors
qu’il n’en est que la périphérie. Il est impossible de penser que ce qui est
l’ultime adaptation de la tradition hindoue puisse en être comme l’essentiel.
Les possibilités qui se réalisent à la fin du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kali-yuga</i> ne peuvent en aucun cas être supérieures à celles qui se
sont accomplies dans les âges antérieurs. Il commet là une inversion
caractéristique de ce que l’on nomme le New Age. Il croit trouver dans le
tantrisme comme un retour à la tradition primordiale. Il commet d’ailleurs la
même erreur pour l’Islam. Le tantrisme ou l’Islam ne sont que des reflets de la
tradition primordiale et non la tradition primordiale elle-même. Et par cet
effet d’éloignement cyclique, ce sont de pâles reflets. Ces aspects
traditionnels sont certes complets mais la forme qu’ils revêtent est plus
développée substantiellement qu’elle ne l’est essentiellement, d’où la forte
présence du symbolisme féminin.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Puisqu’il
est orthodoxe, le tantrisme ne peut pas rejeter la notion de castes qui n’est
qu’une expression de la hiérarchie des qualifications des êtres humains. Le
tantrisme s’adapte en effet, c’est ce qui a troublé M. Gilis, et devant ce que
l’on nomme la confusion des castes, cette forme traditionnelle préfère s’appuyer
sur une détermination directe de l’état d’être. Au lieu de se fier uniquement à
la désignation « automatique » par la naissance de l’appartenance à
une caste, elle s’offre un moyen complémentaire de vérification de la
qualification. Ce qui lui permet de transmettre une initiation en
correspondance avec la qualification de celui à qui elle est destinée. Le
système des castes n’est pas aboli, il est simplement vérifié.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis veut nous faire croire que René Guénon ne parlera du tantrisme qu’après son
installation au Caire. Il oublie de dire que les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tantras</i> sont mentionnés dans son premier livre publié en 1921. Au
chapitre VII intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shivaïsme et
Vishnuïsme</i> de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">son Introduction
générale à l’étude des doctrines hindoues</i>. La question de la<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> kundalinî</i> est abordée dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">le Roi du Monde</i> en 1927, etc.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Un
mot encore sur ce soi-disant silence de René Guénon concernant le tantrisme. Si
René Guénon ne parle pas immédiatement du tantrisme, c’est parce qu’il s’agit
d’un aspect excentrée de la tradition hindoue. René Guénon va à
l’essentiel : les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vêdas</i>, puis le
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vêdânta</i>. Il ne parlera du tantrisme
que lorsque son exposé des doctrines hindoues sera suffisamment complet pour
pouvoir aborder sans risque de confusion des aspects plus marginaux liés à la
descente cyclique et à la nécessité de s’adapter à la présence de plus en plus
important de l’aspect substantiel au détriment de l’aspect essentiel. Cet
argument d’ailleurs est aussi valable concernant l’Islam et cela explique
pourquoi René Guénon en parle peu.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">La fin du cycle de la présente humanité</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il y a une affinité cyclique entre le
tantrisme et l’islâm : les doctrines ésotériques de ces deux traditions
comportent l’idée d’un retour à la pureté de la Tradition originelle marqué par
un « renversement » lié à la prépondérance d’un symbolisme féminin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">. (p. 125)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis confirme ici ce complet égarement. Il n’y a de « renversement »
qu’au moment du changement de cycle, et, ce qui est très important à
comprendre, de façon <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">immédiate</b>. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis reproduit bien pourtant le passage de l’article intitulé « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">le masque populaire</i> » où René
Guénon précise : « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">en toutes
choses le point le plus haut se reflète directement au point le plus bas et non
en l’un ou l’autre des points intermédiaires. C’est, il est vrai, un reflet
obscur et inversé, comme le corps l’est à l’esprit, mais qui n’en offre pas
moins la possibilité d’un « redressement », comparable à celui qui se
produit à la fin d’un cycle : ce n’est que lorsque le mouvement descendant
a atteint son terme, donc le point le plus bas, que toutes choses peuvent être
ramenées <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">immédiatement</b> au point le
plus haut pour commencer un nouveau cycle… »</i> (p. 142) </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">C’est
nous qui soulignons, <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">immédiatement</b>.
Le renversement ne se fait qu’après épuisement complet des possibilités,
possibilités traditionnelles comprises, sous tous leurs aspects. Le coté
féminin représente le reflet inversé (comme le corps l’est à l’esprit)
annonçant justement le renversement mais sans y participer. Cette prépondérance
d’un symbolisme féminin indique que les traditions ont atteint pratiquement le
point le plus bas. L’objectif traditionnel n’est plus de permettre à un petit
nombre d’atteindre une réalisation spirituelle complète, mais de permettre à un
plus grand nombre d’atteindre certains degrés spirituels plus accessibles.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis avait déjà déclaré (p. 51) que le tantrisme<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> se présente comme un retour à la tradition originelle</i> sous
prétexte qu’il serait indifférent au système des castes. A l’origine, au temps
de la tradition primordiale le système des castes n’avait pas encore eu besoin
d’être instauré puisque les êtres ne présentaient pas encore un écart
significatif de disqualification. On aurait pu pratiquement tous les considérer
comme des Brahmanes. Et pour M. Gilis cette soi-disant suppression du système des
castes qu’il croit déceler dans le tantrisme serait comme un retour aux
origines. Il considère ainsi qu’en fin extrême du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kali-yuga </i>tous les êtres ont la qualification de véritables
Brahmanes. La vérité est que la majorité des êtres ont la qualification des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Choudras</i> et que bien peu ont des
qualifications supérieures.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">A cet égard, il convient d’ajouter une
autre inversion qui s’ajoute à toutes celles que nous avons déjà mentionnées.
La fonction sacerdotale du Roi du Monde implique la possibilité d’adapter la
Religion immuable (ad-din al-qayyim) aux circonstances changeantes de temps et
de lieux. Cette fonction a nécessairement pris fin avec la proclamation de
l’islâm, qui correspond à la dernière forme manifestée en ce monde. Comme il
n’y en aura plus d’autre après elle, l’autorité suprême cesse d’apparaître
comme étant « à l’extérieur » ou « au-dessus » des diverses
formes particulières sans distinction, mais bien comme étant à l’intérieur de
l’une d’entre elles qui, du fait de sa position cyclique, constitue désormais
l’unique support de ses interventions. S’il en allait autrement, il y aurait
contradiction dans le « plan divin ».</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> (pp. 160 – 161)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Rappelons
que le « renversement », cette « inversion » comme le
déclare M. Gilis dans cet extrait, ne peut se produire qu’à la fin extrême du
cycle de la présente humanité et de façon immédiate. Métaphysiquement,
logiquement et mathématiquement, cette inversion ne peut donc pas se produire
au moment de la « proclamation » de l’Islam.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis fait référence au « plan divin » rien de moins. Il connaît
infailliblement la Volonté divine puisqu’il se prétend capable de déterminer ce
qui pourrait entrer en contradiction avec le plan divin. Sa maîtrise est
étonnante : il sait très précisément comment toutes choses doivent s’accomplir.
Mais reprenons dans le détail l’extrait que nous venons de citer.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
nous parle dans un premier temps de cet aspect de la fonction sacerdotale du
Roi du Monde qu’il définit comme une capacité à adapter la « Religion
immuable ». Puis il déclare qu’avec la proclamation de l’Islam cette
fonction a pris fin. On n’est pas bien sûr de comprendre. Est-ce toute la
fonction qui prend fin ? Est-ce seulement sa capacité à adapter ? On
peut peut-être penser qu’il fait seulement allusion à cette capacité. Mais dans
tous les cas son point de vue est irrecevable. Avec la proclamation de l’Islam,
toutes les possibilités d’adaptation seraient devenues impossibles y compris
pour l’Islam qui ne pourrait ainsi connaître les formes de développement dans
le temps que de toute évidence l’histoire nous a rendues compte. Si le propos
de M. Gilis était de nous dire que la proclamation de l’Islam marque la fin de
l’apparition de nouvelles formes traditionnelles mais pas la fin de
l’adaptation de toutes les formes traditionnelles existantes aux conditions
présentes, il suffisait de le dire clairement sans avoir à inventer une
impossible mise en sommeil d’une fonction essentielle. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Son
propos se tourne vers ce qu’il définit comme une « autorité
suprême ». Là encore on ne sait pas bien de quoi il parle. Est-ce de
l’autorité spirituelle du Roi du Monde ? Il nous explique que cette
« autorité » qui était « à l’extérieur » avant la
proclamation de l’Islam passerait « à l’intérieur » au moment
précis ou après la proclamation (ce n’est pas indiqué) de l’Islam. Et d’après
lui ce changement doit nécessairement avoir lieu sinon le plan divin n’est pas
respecté.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis semble s’appuyer sur le symbolisme de l’espace pour exposer son point de
vue mais là encore le symbolisme paraît mal maîtrisé. Il nous explique que
cette « autorité suprême » était « à l’extérieur » ou
« au-dessus » des « diverses formes particulières sans
distinction » et qu’après « la proclamation de l’islâm » cette
autorité serait « à l’intérieur » mais seulement de l’une des formes
particulières en l’occurrence l’Islam qui précédemment n’avait pas encore été
proclamé. Curieusement l’ « inversion » comme il l’envisage ne paraît
pas être vraiment une inversion. Ainsi il n’inverse pas l’autre expression ce
qu’il devrait logiquement faire : l’ « autorité suprême » doit
être « à l’intérieur » ou « au-dessous » sinon pourquoi
aurait-il employé l’expression « au-dessus » s’il n’envisage pas un
« au-dessous ». Il conçoit donc visiblement cet espace comme limité
dans sa partie inférieure. Pour reprendre le symbole de la sphère, il
n’envisage qu’une demi-sphère avec un seul pôle ce qui paraît un peu
contradictoire lorsque l’on se réfère implicitement au symbolisme des pôles et
à leur renversement. Il y a donc un plan bas limite où figure l’Islam et où se
refugie d’après M. Gilis cette « autorité suprême ». Dans cette
représentation spatiale, M. Gilis ne nous indique pas où sont situées les
autres formes traditionnelles. Sont-elles sur le même plan que l’Islam ou
au-dessus ? Elles ne peuvent pas être en-dessous puisque cet en-dessous
n’existe pas. Pour ces formes « l’autorité suprême » est,
semble-t-il, toujours « à l’extérieur » mais plus au même
endroit. Ou cette autorité a peut-être totalement disparu pour toutes ces
formes sauf pour l’Islam ? Il n’y a aucune cohérence dans son exposé. La
logique même d’une inversion est impossible puisque le « lieu et son
contenu » où devait se produire cette hypothétique inversion n’est pas le
même. Avant l’inversion l’Islam est absent de ce « lieu ». Ce que
décrit M. Gilis n’est pas une inversion mais quelque chose qui ressemble à une
mutation. On ne peut s’étonner de cette incapacité à exposer cette inversion
puisqu’elle n’existe pas. Nous sommes encore dans cette volonté façon New Age
de présenter la fin du cycle. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis veut absolument donner à l’Islam un rôle essentiel sous prétexte qu’il
s’agit de la dernière tradition. On constate même qu’en voulant s’exprimer
ainsi, on entre en contradiction car ce rôle n’est pas fondamentalement
essentiel mais fondamentalement substantiel. L’Islam n’est pas la Tradition
primordiale. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis fait référence par deux fois à ce passage des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur l’initiation</i> (ch. XL) sans le reproduire. Nous
préférons justement le reproduire ici avant de citer les deux extraits
correspondants du livre de M. Gilis :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« On pourrait cependant objecter
ceci : si la fin d’un cycle doit nécessairement coïncider avec le
commencement d’un autre, comment le point le plus bas pourra-il rejoindre le
point le plus haut ? Nous avons déjà répondu ailleurs à cette
question : un redressement devra s’opérer en effet, et ne sera possible
précisément que lorsque le point le plus bas aura été atteint : ceci se
rattache proprement au secret du « renversement des pôles ». Ce
redressement devra d’ailleurs être préparé, même visiblement, avant la fin du
cycle actuel ; mais il ne pourra l’être que par celui qui, unissant en lui
les puissances du Ciel et de la Terre, celles de l’Orient et de l’Occident,
manifestera au dehors, à la fois dans le domaine de la connaissance et dans
celui de l’action, le double pouvoir sacerdotal et royal conservé à travers les
âges, dans l’intégrité de son principe unique, par les détenteurs cachés de la
Tradition primordiale. Il serait d’ailleurs vain de vouloir chercher dès
maintenant à savoir quand et comment une telle manifestation se produira, et
sans doute sera-t-elle fort différente de tout ce qu’on pourrait imaginer à ce
sujet ; les « mystères du Pôle » (<i>el-asrâr-el-qutbâniyah</i>)
sont assurément bien gardés, et rien n’en pourra être connu à l’extérieur avant
que le temps fixé ne soit accompli. »</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Voici
le premier extrait :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De même que l’islâm se présente comme la
synthèse finale, totalisatrice et récapitulative des révélations sacrées faites
à l’homme, de même l’œuvre guénonienne est un ultime rappel des possibilités
intellectuelles propres à notre état d’existence avant qu’il sombre dans la
dérision satanique et dans le chaos. En même temps – et c’est là son autre
versant – elle conduit et guide vers l’Arche islamique qui préserve tous les
modes du bien et de la louange qui subsistent encore, et qui « prépare
visiblement » (Cf. </span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Aperçus sur l’initiation<i style="mso-bidi-font-style: normal;">, la fin du chap. XL) le « siècle à venir ». C’est là sa
dimension providentielle et cachée, contestée par beaucoup.</i> (p. 154)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
façon de citer René Guénon est incompréhensible. On pourrait penser que
l’expression « siècle à venir » appartient à l’œuvre de René Guénon
mais il n’en est rien. Il n’a jamais utilisé cette expression. Il n’y a donc
que les deux mots « prépare visiblement ». Le « sujet » qui
« prépare visiblement » dans le texte de René Guénon n’a rien à voir
avec celui qui apparaît dans le texte de M. Gilis. Pour ce dernier il s’agit de
l’Arche abusivement qualifié d’islamique ce qui est absurde. Mais cette erreur
grossière était déjà présente dans l’œuvre de Michel Vâlsan et M. Gilis ne fait
que la reproduire ici. La citation du texte de René Guénon est ainsi trompeuse,
totalement irrespectueuse. Il y a d’ailleurs une inversion évidente. L’œuvre de
René Guénon est incontestablement « la synthèse » alors que c’est
l’Islam qui n’est qu’un « ultime rappel ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
l’Arche était islamique, son « contenu » le serait également. Ainsi
le « germe d’immortalité » qui y est contenu ou enveloppé serait
alors « islamique ». Et les hindous par exemple n’auraient aucune
connaissance d’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hiranyagarbha</i>
puisqu’il serait également islamique. Comme nous l’avons déjà indiqué le point
de vue de M. Gilis fidèle à celui de M. Vâlsan se réduit à une vision
exotérique quasiment sectaire.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une
révélation sacrée est un reflet de la Vérité inexprimable, une forme symbolique
d’expression de cette Vérité. Chaque révélation est par nature complète et donc
synthétique. Ce n’est pas un développement analytique de vérités partielles.
Chaque révélation est différente dans sa forme et identique dans son but. Le
principe suprême est unique. Une révélation particulière par nature ne peut
donc pas être dans sa forme particulière une synthèse des autres formes. Le
fait que l’Islam soit la dernière de ces formes pour notre humanité ne veut
absolument pas dire qu’elle soit récapitulative. Elle est la dernière parce
qu’il faut bien qu’une dernière forme soit manifestée avant la fin complète du
cycle et c’est tout. L’Islam est dans la « continuité ». Elle n’est
pas totalisatrice, car chaque révélation particulière est un tout. Elle ne fait
que rappeler une fois de plus ce qu’est la Vérité. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’autre
extrait où apparaît la référence aux <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus
</i>est le suivant :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cela dit, il est vrai que la forme
islamique, et elle seule, contient la possibilité virtuelle de réaliser un
Empire sacré avant la fin des temps ; mais il s’agit là de tout autre
chose que de l’exercice exclusif d’un pouvoir temporel. René Guénon a évoqué
sur ce sujet les « mystères du Pôle » et la « manifestation au
dehors, à la fois dans le domaine de la connaissance et dans celui de l’action,
du pouvoir sacerdotale et royal conservé à travers les âges ». (Cf. </span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Aperçus sur
l’initiation<i style="mso-bidi-font-style: normal;">, chapitre XL). Selon la
tradition islamique, cette manifestation polaire sera celle du Christ-Roi du
Monde qui accomplira cette mission finale en union avec le Mahdî. </i>(pp. 197
– 198)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis laisserait entendre que René Guénon a évoqué sur le sujet de l’
« Empire sacré » les « mystères du Pôle » et « la
manifestation du pouvoir sacerdotale et royal ». Le lecteur peut constater
qu’une fois encore M. Gilis trahit complètement les propos de René Guénon.
D’une part il ne parle jamais d’un « Empire sacré » dans son œuvre et
il écrit ; « <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Un être</b>
manifestera le double pouvoir» sans spécifier rien de plus qui devient
chez M. Gilis « LA manifestation du pouvoir » au sens large ce qui
n’est absolument pas la même chose. Le procédé est inqualifiable et récurrent
chez les « guénoniens » qui n’ont aucun respect pour l’œuvre de René
Guénon.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Pourquoi
M. Gilis ne peut-il pas assumer son propre point de vue et laisser l’œuvre de
René Guénon en paix ? </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Insistons
à nouveau sur ce point, le renversement n’a lieu que lorsque le point le plus
bas est atteint et il est immédiat. Ce qui est visible c’est la préparation et
non le renversement lui-même. Il n’y a pas de renversement dans le cycle même.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Et
voici la fameuse formule qui figure en quatrième de couverture :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’œuvre de René Guénon procède de
l’ésotérisme, traite de l’ésotérisme et c’est en mode ésotérique qu’il convient
de la lire.</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">
(p. 76)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
retrouve là encore ce côté réducteur. L’œuvre de René Guénon procède de la
Tradition tout entière. Chacun sait qu’une œuvre comme celle de René Guénon
renferme nécessairement plusieurs niveaux de lecture (comparable par exemple à
ce qu’il en est pour l’œuvre de Dante). Et le point de vue métaphysique en est
le degré le plus élevé. Ainsi on peut dire que l’œuvre de René Guénon procède
aussi de l’exotérisme, traite de l’exotérisme et que l’on peut aussi la lire en
mode exotérique même si son aspect ésotérique est pourrait-on dire principe de
son aspect exotérique. René Guénon n’aurait certainement pas utilisé cette
formulation.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Le symbolisme de la croix</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De
façon totalement absurde comme on va le voir, cet ouvrage est considéré par les
« guénoniens musulmans » comme une évidence de la volonté de René
Guénon de convertir à l’Islam.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il y a, tout d’abord, la fameuse
déclaration qui figure au chapitre III du <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Symbolisme
de la croix</b> paru en 1931: « si les Chrétiens ont le signe de la
croix, les Musulmans en ont la doctrine » ; il s’agit, entre bien
d’autres choses, d’un camouflet infligé à l’Eglise catholique, d’autant plus
cinglant qu’il comporte une référence à l’islâm. On est donc loin des
considérations développées quatre ans plus tôt sur la possibilité d’opérer un
redressement occidental en s’appuyant sur le catholicisme ! D’une certaine
façon, René Guénon a mis sa menace voilée à exécution</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">. (pp. 122 –
123)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis indique en note : « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Selon
toute vraisemblance, le personnage qui l’a prononcée est le Cheikh Elish </i>».
René Guénon précisait notamment: « <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">cette
parole qui fut prononcée, il y a une vingtaine d’années, par un personnage
occupant alors dans l’Islam, même au simple point de vue exotérique, un rang
fort élevé </b>».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Rappelons
également la dédicace : <b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="margin: 0px;">À la mémoire vénérée de</span> ESH-SHEIKH
ABDER-<span style="color: black; margin: 0px;">RAHMAN ELISH </span>EL-KEBIR,
<span style="margin: 0px;">El-âlim el-mâlki el-maghribi</span>, <span style="margin: 0px;">à qui est due</span> <span style="margin: 0px;">la première idée de ce livre</span>, Meçr
El-Qâhirah, 1329-1349 H.</b></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
comment peut-on prêter des intentions aussi méprisables à René Guénon. L’Eglise
il l’a respecte comme toutes les institutions traditionnelles orthodoxes.
Pourquoi cette dédicace ? Très certainement pour remercier le Cheikh Elish
d’avoir permis à René Guénon d’apporter aux Chrétiens cette doctrine et de leur
permettre ainsi de pouvoir associer à ce rite du signe de croix, que les
Musulmans ignorent, la doctrine qui y correspond. Les Catholiques peuvent ainsi
remercier René Guénon tout autant que le Cheikh Elish puisque grâce à eux ils
ont la possibilité d’accomplir ce rite en y associant explicitement la doctrine
correspondante. Nous avons ici un bel exemple de cette aide de l’Orient que
René Guénon incarne. Eminent métaphysicien, René Guénon n’a qu’une intention :
partager la doctrine d’où qu’elle provienne et certainement pas de l’accaparer
pour une communauté particulière. Rendre au Catholicisme le contenu explicite
de la doctrine qui s’attache au signe de la croix c’est œuvrer pour un possible
redressement de l’Occident. Un musulman n’a pas besoin du livre de René Guénon.
La doctrine il l’a déjà et le signe de la croix il ne l’accomplit pas. Rien n’a
changé pour lui. Par contre pour un Catholique il se retrouve grâce à ce livre
devant une doctrine bien explicite pour un usage encore plus efficace du signe
de la croix qu’il pratique. Le bénéfice se fait uniquement du côté occidental
et c’est bien cette tradition occidentale que René Guénon a perpétuellement en
vue dans son œuvre. Redisons-le encore une fois, les vrais orientaux n’ont pas
besoin de lui. A la lecture du « symbolisme de la croix » un
Catholique a encore moins de raison de vouloir opter pour une autre tradition
comme celle de l’Islam. Il dispose maintenant d’un rite dont la portée
hautement métaphysique lui a été confirmée. Si des Catholiques n’ont pas
compris cela lors de la première parution de ce livre, c’est qu’ils étaient
encore plus disqualifiés que d’autres qui eux ont bien su profité des lumières
apportées.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis indique :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On relève donc, dès ce premier ouvrage [</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">le symbolisme de
la croix<i style="mso-bidi-font-style: normal;">], l’ouverture d’une perspective
doctrinale qui va commander toute la dernière partie de sa vie et de son œuvre
et rendre caducs ses écrits antérieurs sur la constitution possible d’une élite
« intellectuelle » proprement occidentale</i>. (p. 123)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">En
réalité c’est exactement le contraire, cet ouvrage sur le symbolisme de la
croix illustre parfaitement le dessein constant de René Guénon : apporter
aux Occidentaux une aide doctrinale. Il n’y pas de changement de cap dans
l’œuvre de René Guénon. Ainsi rien n’est caduc. M. Gilis n’est que dans la
négation. Il rejette et méprise la tradition occidentale ce que René Guénon n’a
jamais fait.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis semble avoir vraiment du mal avec les mathématiques. Ce qui est assez
gênant pour lire correctement René Guénon. Il nous parle de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">la notion de « sphère des
éléments »</i> et il ajoute<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> dont
l’expression géométrique est une figure circulaire que René Guénon utilisera à
plusieurs reprises en 1935</i>. (p. 133). M. Gilis oublie une dimension !
René Guénon lorsqu’il parle de la sphère des éléments dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">le Symbolisme de la croix</i> se place bien dans l’espace à trois
dimensions. L’expression géométrique d’une sphère est une figure sphérique. La
figure circulaire n’étant que la résultante de l’intersection d’un plan avec
cette sphère, intersection perpendiculaire ou parallèle à l’axe de la sphère.
Et René Guénon lorsqu’il utilise cette figure circulaire se place dans une
perspective plus limitée qu’il le faisait en utilisant la figure de la Sphère.
Un symbole à trois dimensions permet d’évoquer une modalité supplémentaire à sa
projection dans un espace à deux dimensions. Cette nouvelle inexactitude dans
l’expression est révélatrice du point de vue réducteur de M. Gilis.
Symboliquement, là où René Guénon déploie son œuvre dans un espace à trois
dimensions, M. Gilis ne sait la lire que sur un plan à deux dimensions. Et si
René Guénon se place sur un seul plan, M. Gilis n’a plus qu’une lecture
linéaire. Ce plan exclusif, ou cette ligne, étant ceux de la seule tradition
islamique alors que la perspective de René Guénon embrasse en permanence celle
de la Tradition intégrale. On visualise par cette illustration la gravité de
son erreur. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Les conditions de l’existence
corporelle</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Bien
que M. Gilis ait précédemment déclaré que cette étude publiée dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> était secondaire, il consacre
maintenant un chapitre de son livre à ce sujet. Il écrit ainsi : </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Rappelons que René Guénon en avait
entrepris la publication dans les deux derniers numéros de « La
Gnose », ceux de janvier et février 1912. Dans ce texte, il opérait une
synthèse magistrale – totalement inédite- entre, d’une part, les conditions qui
déterminent cette modalité de notre état d’existence et, d’autre part, les cinq
éléments cosmologiques avec les facultés de perception qui s’y rapportent</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">. (p. 127) </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Curieusement
M. Gilis ne reproduit pas la liste des termes employés dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> pour représenter ces cinq
conditions de l’existence corporelle. La voici : espace, temps, matière,
forme, vie. René Guénon (Palingenius) écrivait ensuite : « on peut,
pour réunir en une seule définition l’énoncé de ces cinq conditions, dire qu’un
<u>corps est une forme matérielle vivant dans le temps et l’espace.</u> »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis n’indique pas non plus que cette liste a été remaniée par René Guénon.
Elle figure dans la première édition de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’homme
et son devenir selon le Vêdânta</i>. La voici : temps, espace, nombre,
forme, vie. [Voir nos ouvrages <i style="mso-bidi-font-style: normal;">René
Guénon et l’Esprit de l’Inde</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">René
Guénon et le Roi du Monde</i>]</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Les
correspondances que l’on établit habituellement entre les cinq éléments et les
cinq sens peuvent être ainsi reproduites : éther / ouïe ; air /
toucher ; feu / vue ; eau / goût ; terre / odorat.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis nous explique que si René Guénon avait pu continuer à faire paraître son
étude dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i>, la troisième
partie aurait concerné l’élément « feu » en correspondance avec
« la vue » et la condition retenue aurait été « la vie ».
Prenons acte, M. Gilis se croit donc capable de « continuer » l’œuvre
de René Guénon avec <u>évidence</u> : </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si la revue avait continué de paraître,
il est évident que la troisième partie aurait traité de la condition vitale, et
que celle-ci aurait été mise en correspondance avec le feu parmi les éléments
et avec la vue parmi les facultés. Telle est, en effet, la doctrine
cosmologique hindoue à laquelle il se réfère ; mais il n’en va pas de même
en islâm puisqu’il est dit dans le Coran : « Nous avons fait toute
chose vivante à partir de l’eau » (Cor., 21, 30).</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> (p. 132)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
René Guénon dans son étude fait en effet référence au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sânkhya</i> il ne s’y limite pas. Son exposé sur les conditions de
l’existence corporelle est totalement original (le plus étonnant c’est que M.
Gilis le reconnaît puisqu’il indique « totalement inédite » !).
Ainsi un énoncé des cinq conditions de l’existence corporelle tel que nous le
dresse René Guénon n’apparaît pas de façon explicite dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sânkhya</i>. Et d’ailleurs René Guénon
proposera deux séries de termes français pour représenter ces conditions. S’il
avait trouvé explicitement dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sânkhya</i>
l’énoncé de ces cinq conditions il n’aurait pas manqué de le reproduire avec
les termes sanscrits correspondants en relation avec leurs équivalents
français. Rappelons que René Guénon a toujours bien indiqué (notamment dans
l’article sur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">la théorie hindoue des cinq
éléments</i>) : <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">il n’existe en
sanscrit aucun mot qui puisse, même approximativement, se traduire par
« matière »</b>. Par conséquent, ce texte de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> sur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">les conditions
de l’existence corporelle </i>ne peut être prétexte à une quelconque opposition
entre les doctrines de l’hindouisme et celles de l’Islam.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René
Guénon traite des conditions de l’existence CORPORELLE. Ainsi lorsque M. Gilis
retient la condition « vie » en correspondance avec le
« feu » et la « vue », le terme « vie » doit être
entendu d’une façon limitative circonscrite au seul domaine <u>corporel</u>. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une
nouvelle fois, M. Gilis ne se rend même pas compte du caractère
insupportablement réducteur de sa lecture du Coran. Ce passage coranique
voudrait donc signifier que toutes les choses vivantes ne peuvent être que
des corps (formes matérielles vivant dans l’espace et le temps) et que ces
corps ne sont faits uniquement qu’à partir de l’élément « eau »
associé au sens du « goût ». Si l’on suit la logique de M. Gilis, cet
extrait coranique n’aurait donc d’autre but que d’établir une correspondance
entre l’élément « eau », le sens du « goût » et la
condition « vie » <u>limitée à l’existence corporelle</u>. Et rien
d’autre. Citons les termes arabes associés : toute (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kull</i>) chose (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shay’</i>)
vivante (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hayy</i>) à partir de l’eau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâ’</i>).<i style="mso-bidi-font-style: normal;">
</i>On remarquera qu’aucun terme ne fait une référence explicite au « sens
du goût » même si cela peut être une « chose ». Ce mot <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâ’</i> est très présent dans le Coran.
Ainsi dans le verset (24, 45) « Et Allah a créé d'eau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâ’</i>) tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kull</i>) animal (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dâbbat</i>) ».
Mais aussi dans le verset (56, 31), une eau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâ’</i>) coulant continuellement, l’eau des jardins des délices, de la
félicité où sont présentes les houris. Nous sommes donc ici très loin du simple
élément « eau ». Quant au terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">hayy</i>
(vivant), on peut le mettre en correspondance avec un nom divin <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Al Hayy</i> (Le Vivant) comme le précise le
verset (3, 2). Il est vraiment difficile de limiter ce terme à la vie
corporelle et matérielle.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Pourquoi
ce manque de cohérence ? Pourquoi cette opposition fictive, ces
enchainements doctrinaux plus que douteux ? Uniquement pour matraquer le
lecteur et imposer sa thèse, M. Gilis conclut :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">C’est cela, selon nous, qui explique sa
réticence [</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Celle
de René Guénon à republier cette étude<i style="mso-bidi-font-style: normal;">],
car il y avait à prendre en compte une raison d’opportunité : pourquoi
aurait-il été plus explicite sur la question des conditions de l’existence
corporelle alors que, pour le Triangle de l’Androgyne, il se bornait à une
mention brève et indirecte dont le sens véritable ne sera donnée par Michel
Vâlsan que trente ans plus tard ? Du point de vue islamique, la brusque
interruption de </i>La Gnose<i style="mso-bidi-font-style: normal;">, quelles
qu’en aient été les raisons, apparaît comme providentielle</i>. (p. 133)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gilis nous a construit un faux argumentaire doctrinal en prêtant à René Guénon
des motivations totalement imaginaires uniquement pour imposer son point de vue
sectaire et vâlsanien. Pour parvenir à ses fins, il est prêt à malaxer l’œuvre
de René Guénon, à la déstructurer, accomplissant ainsi cette tache qu’il
reproche en permanence aux opposants de René Guénon. Voilà bien une
confirmation : les « guénoniens » sont bien souvent les pires
ennemis de René Guénon et de son œuvre.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">La réalisation descendante</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
convient de citer certains passages du texte intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réalisation ascendante et descendante</i> repris dans l’ouvrage
posthume <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Initiation et Réalisation
spirituelle</i> (ch. XXXII) en rappelant que l’être avant d’entreprendre la
Réalisation descendante doit avoir achevé pleinement la Réalisation ascendante
ce qui « <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">présuppose nécessairement
la parfaite réalisation intérieure </b>» : </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Tandis que l’être qui demeure dans le
non-manifesté a accompli la réalisation uniquement « pour soi-même »,
celui qui « redescend » ensuite, au sens que nous avons précisé
précédemment, a dès lors, par rapport à la manifestation, un rôle qu’exprime le
symbolisme du « rayonnement » solaire par lequel toutes choses sont
illuminées. Dans le premier cas, comme nous l’avons déjà dit, <i>Âtmâ</i> « brille »
sans « rayonner » ; mais il faut cependant dissiper ici encore
une équivoque : on parle trop fréquemment, à cet égard, d’une réalisation
« égoïste », ce qui est un véritable non-sens, puisqu’il n’y a plus
d’<i>ego</i>, c’est-à-dire d’individualité, les limitations qui constituent
celle-ci comme telle ayant été nécessairement abolies, et de façon définitive,
pour que l’être puisse « s’établir » dans le non-manifesté. Une telle
méprise implique évidemment une confusion grossière entre le « Soi »
et le « moi » ; nous avons dit que cet être a réalisé
« pour soi-même », et non pas « pour lui-même », et c’est
là, non pas une simple question de langage, mais une distinction tout à fait
essentielle quant au fond même de ce dont il s’agit.</b> »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Et
puis un peu plus loin :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">«<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"> Dans la tradition islamique, ce que
nous venons de dire a son équivalent dans une très large mesure, et en tenant
compte de la différence des points de vue qui sont naturellement propres à
chacune des diverses formes traditionnelles : cet équivalent se trouve
dans la distinction qui est faite entre le cas du <i>walî</i> et celui du <i>nabî</i>.
Un être peut n’être <i>walî</i> que « pour soi », s’il est permis de
s’exprimer ainsi, sans en manifester quoi que ce soit à l’extérieur ; au
contraire, un <i>nabî</i> n’est tel que parce qu’il a une fonction à remplir à
l’égard des autres êtres ; et, à plus forte raison, la même chose est
vraie du <i>rasûl</i>, qui est aussi <i>nabî</i>, mais dont la fonction revêt
un caractère d’universalité, tandis que celle du simple <i>nabî</i> peut être
plus ou moins limitée quant à son étendue et quant à son but propre. Il
pourrait même sembler qu’il ne doive pas y avoir ici l’ambiguïté apparente que
nous avons vue tout à l’heure à propos du <i>Bodhisattwa</i>, puisque la
supériorité du <i>nabî</i> par rapport au <i>walî</i> est généralement admise
et même regardée comme évidente ; et pourtant il a été parfois soutenu
aussi que la « station » (<i>maqâm</i>) du <i>wadî</i> est, en
elle-même, plus élevée que celle du <i>nabî</i>, parce qu’elle implique
essentiellement un état de « proximité » divine, tandis que le <i>nabî</i>,
par sa fonction même, est nécessairement tourné vers la création ; mais,
là encore, c’est ne voir qu’une des deux faces de la réalité, la face
extérieure, et ne pas comprendre qu’elle représente un aspect qui s’ajoute à
l’autre sans aucunement le détruire ni même l’affecter véritablement. En effet,
la condition du <i>nabî</i> implique tout d’abord en elle-même celle du <i>walî</i>,
mais elle est en même temps quelque chose de plus ; il y a donc, dans le
cas du <i>walî</i>, une sorte de « manque » sous un certain rapport,
non pas quant à sa nature intime, mais quant à ce qu’on pourrait appeler son
degré d’universalisation, « manque » qui correspond à ce que nous
avons dit de l’être qui s’arrête au stade du non-manifesté sans
« redescendre » vers la manifestation ; et l’universalité
atteint sa plénitude effective dans le <i>rasûl</i>, qui ainsi est
véritablement et totalement l’« Homme universel ». </b>»</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
est intéressant de noter que M. Gilis une fois encore déforme la réalité. Voilà
ce qu’il écrit :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René Guénon (…) envisage uniquement (…)
le cas de </span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">nabî<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> (prophète) et du </i>rasûl<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> (envoyé divin) (…) Plus tard, Michel Vâlsan
montrera que la réalisation descendante concerne aussi certains </i>walî <i style="mso-bidi-font-style: normal;">(saints). </i>(pp. 142 – 143)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Contrairement
à ce que le « disciple orthodoxe » déclare, René Guénon parle aussi
du cas du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">walî</i>. Et d’autre part M.
Vâlsan apparaît bien comme en contradiction avec ce que René Guénon a pu écrire
concernant justement le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">walî</i>. Mais
voyons maintenant le point de vue personnel de M. Gilis, le continuateur :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Selon nous, il convient d’aller plus
loin encore. En effet, la réalisation descendante est inhérente à la forme
islamique au point qu’elle fait paradoxalement l’objet d’un rite
collectif : celui de l’ifâda, la « descente » que les pèlerins
accomplissent depuis Arafa jusqu’à La Mekke et qui constitue l’axe essentiel du
« grand pèlerinage ». Les pèlerins représentent l’élite de la
communauté. Ils actualisent un processus de réalisation descendante qui
revivifie annuellement la forme islamique, à la manière d’un fleuve de
bénédiction et de grâce, et qui manifeste son excellence. A Minâ, ils font
couler le sang en immolant des victimes, ce qui lui confère, au moins
virtuellement, une force irrésistible. L’islâm, de toutes les formes qui
subsistent encore, est seul à pratiquer ce rite, aujourd’hui sans équivalent.
Tous les prétextes sont bons en Occident pour tenter de l’en empêcher et pour
le réduire à n’être rien de plus qu’une forme parmi d’autres</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">. (p. 143)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce
qui ne peut être qu’un cas d’extrême rareté devient ici le cas du commun des
pèlerins. De la vérité, de la réalité purement qualitative exprimée par René
Guénon, on passe à une illusion quantitative de plus en plus forte, à une
erreur de plus en plus grossière. M. Vâlsan surajoute le cas de certains <i style="mso-bidi-font-style: normal;">walî </i>et M. Gilis celui de la grande
masse des pèlerins. L’ « élite de la communauté » qui bien évidemment
n’est en aucun cas une élite serait ainsi constituée d’êtres ayant atteint la
Délivrance, la parfaite réalisation spirituelle pour atteindre l’ultime degré
en masse de l’état d’ « Homme universel ». Nous sommes en pleine
dérive New Age. Une grande masse, dont la majorité est constituée de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Choudras</i>, devenue subitement une
communauté de délivrés-vivants effectifs.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette soi-disant « élite de la
communauté » représente-t-elle l’Islam véritable ? Probablement pas
si l’on en croit ce qu’écrit M. Gilis :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On ne
saurait trop insister sur ce point : l’œuvre de René Guénon ne renvoie pas
à l’islâm tel qu’il est compris par le commun des juristes, mais à l’islâm
compris selon l’interprétation akbarienne qui prévaut depuis plus de sept
siècles, et qui seule peut être légitimement considérée aujourd’hui comme
l’islâm véritable</span></i><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">. (pp. 161 – 162)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Tous les pèlerins de la Mecque sont-ils des
« akbariens » ? </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Et puis voilà ce que René Guénon ne dit pas,
bien évidemment tellement le point de vue est absurde :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce que Guénon ne dit pas [</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">dans
« Orient et Occident »<i style="mso-bidi-font-style: normal;">] est que
l’humanité tout entière constitue aujourd’hui une communauté spécifique où les
religions et les formes traditionnelles sont confrontées pour la première fois
les unes aux autres ; d’où la nécessité de recourir à une forme capable de
réunir l’humanité traditionnelle dans son ensemble au sein d’une communauté <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">unique</b>, réconciliée et <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">fraternelle</b></i>. (p. 111)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
forme quelle est-elle ? L’Islam bien évidemment ! Et pourquoi pas une
utopie mondialiste ?</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">C’est
nous qui soulignons « unique », l’uniformisation quantitative de
pseudo-réalisés, la mondialisation aboutie, bien évidemment dans la
« fraternité », c’est nous qui soulignons « fraternelle ».
Une « fraternité » mondialiste, républicaine ou intégriste ? M.
Gilis ne le précise pas. La petite communauté des « guénoniens
musulmans » est-elle simplement capable d’être
« réconciliée » ? La lecture du livre de M. Gilis nous prouve le
contraire lorsqu’il évoque les difficultés qu’il rencontre dans ce petit
milieu. Alors une humanité « réconciliée »….</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Un
lecteur attentif de l’œuvre de René Guénon aura nettement identifié la
différence qu’il peut y avoir entre le formel et l’informel. Il ne pourra ainsi
confondre l’informe qui est du domaine du formel avec l’informel qui en est le
dépassement total et qui est au-delà de la forme. Une distinction aussi nette
semble échapper totalement à M. Gilis. Parlant du peuple il écrit ainsi :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La fonction protectrice du « masque
populaire » découle de cette plasticité informelle du peuple, dernier
refuge des organisations initiatiques à vocation « opérative » dans
le monde contemporain</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">.
(p. 150)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Est-ce
une simple coquille ? Il faudrait substituer au mot
« informelle » celui d’ « informe » qui correspond en effet
à la forme de la masse du peuple. Ou s’agit-il encore de cette confusion, de
cette fausse inversion, de cette vision New Age qui ferait du peuple le berceau
d’un renouveau de la Tradition primordiale avant la fin du cycle de la présente
humanité ? Un âge d’or en plein <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kali-yuga</i>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ceux qui manipulent aujourd’hui sans
vergogne les écrits de René Guénon sont les héritiers de ceux qui, il y a un
siècle, le combattaient avec fureur. Les enragés ont fait place aux tartuffes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">. (p. 181)</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
pensons avoir démontré que M. Gilis faisait partie de ces manipulateurs et donc
de ces héritiers…</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">POUR CONCLURE</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
ne pouvons mieux faire que de conseiller aux lecteurs de ne s’en remettre qu’à
René Guénon lui-même et de n’apporter aucun crédit aux « guénoniens »
quels qu’ils soient. Un lecteur sincère de cette œuvre ne peut pas être
« guénonien ». René Guénon n’a pas institué un système de pensée mais
il n’a fait que nous transmettre avec talent et autorité l’héritage
intellectuel de notre humanité.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Un
lecteur reconnaissant de cette œuvre exceptionnelle ne peut donc pas être
« guénonien », ni bien évidemment disciple ou « disciple
orthodoxe ». Le plus élémentaire respect de cette œuvre impose le respect
des déclarations de son auteur. Il n’y a pas de disciple et René Guénon n’est
pas un maître. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Internet</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
constate chaque jour un peu plus la montée en puissance du monde du numérique,
une surimposition supplémentaire sur la réalité, une virtualité de plus, un
signe des temps et une nouvelle confirmation du règne de la quantité. Le monde
du livre qui a accueilli l’œuvre de René Guénon est à son tour à l’agonie. <span style="color: black; margin: 0px;">Le monde d’internet qui le remplace
est une de ces monstruosités caractéristique de notre monde moderne. Ce nouvel
domaine virtuel est très agressif, il nous écrase. Le monde du livre est
absorbé, scanné, « binairisé ». Toute la pensée est transformée en
chiffres, une indéfinité de uns et de zéros qui se mêlent. C’est l’uniformisation
complète (le un) et le néant (le zéro) en totale opposition avec l’Intuition
intellectuelle du Non-Etre (le Zéro), Principe de l’Unité (le Un).</span></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’individu n’a plus son mot à dire. Il est
qu’il le veuille ou non présent sur internet. Ainsi sans avoir été en aucune
façon consulté, l’auteur de ce livre figure dans l’encyclopédie Wikipédia.
Aujourd’hui sur le net, dans le plus parfait pseudo-anonymat (rien à voir avec
l’anonymat traditionnel) n’importe qui peut écrire n’importe quoi sur n’importe
qui. Pour rectifier certaines erreurs, il semble bien qu’il n’y ait pas d’autre
alternative que de faire imprimer à son nom une sorte de démenti, seule façon
de voir ces erreurs éventuellement corrigées. Ce livre nous en donne l’occasion
ainsi que de nous expliquer sur notre démarche d’auteur.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ecrire
pour nous n’est pas une contrainte. Nous n’en avons pas reçu le mandat. Nous
agissons avec simplicité, sans être « initié guénonien ». Inconnu des
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">turuq</i> et des Loges. Nous avons lu
René Guénon et nous savons ce que nous lui devons. Par conséquent nous n’avons
qu’un souci en écrivant : celui du respect de son œuvre. Notre travail est
fait sans prétention, à la mesure de nos modestes capacités.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Né
en 1954, l’auteur est<span style="margin: 0px;"> </span>de confession
catholique. Très jeune, les réponses que pouvaient donner les prêtres à ses
interrogations étaient loin d’être satisfaisantes. Comme beaucoup d’autres,
l’auteur est ainsi parti en quête lisant de nombreux ouvrages sans être guidé.
Et puis, la providence a mis sur son chemin l’œuvre de René Guénon. Et là
vraiment tout a changé. Une première lecture un peu désordonnée au fil des
livres trouvés dans les bibliothèques et puis finalement acquis l’un après
l’autre. Puis une deuxième lecture plus minutieuse, il n’y avait plus de doute
possible toutes les réponses étaient bien là clairement exposées. Un don du
Ciel. Le premier objectif a donc été de rassembler tous les ouvrages de René
Guénon et de les lire et de les relire consciencieusement. Une lente
assimilation. Comme tout lecteur attentif, on se retrouve rapidement gêné par
le caractère confus de la mise en forme des ouvrages posthumes, par leurs
lacunes. Pour aller encore plus loin dans la lecture de cette œuvre, pour
atteindre une lecture quasiment intégrale, Il convenait de se mettre en quête
des versions originales et des variantes de tous les textes publiés par René
Guénon.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De
nombreuses années ont été nécessaires pour arriver à cet objectif et à une
assimilation réelle et complète par cette lecture vraiment intégrale.
Contrairement aux « guénoniens » l’auteur a simplement suivi les
conseils de René Guénon. Le premier conseil c’est de chercher à obtenir une
connaissance théorique aussi étendue que possible. On est alors déjà confronté
à un objectif très ambitieux et cela avant même d’envisager de rechercher une
initiation. N’ayant qu’une formation scientifique, une formation d’ingénieur
ETP, ce qui l’a d’ailleurs bien aidé pour suivre les nombreuses références aux
mathématiques que l’on retrouve dans l’œuvre de René Guénon, l’auteur a jugé
nécessaire de compléter cette formation. Les doctrines hindoues étant au cœur
de l’œuvre de René Guénon, l’apprentissage du sanscrit paraissait
indispensable. Là encore la surprise a été grande de constater que pratiquement
tous les « guénoniens » étaient restés très indifférents aux
doctrines de l’Inde. L’Université de Censier à Paris lui a ainsi permis
d’acquérir de bonnes bases en sanscrit sans négliger un apprentissage de
l’arabe. Un Occidental, Un Catholique, lecteur de René Guénon, portera logiquement
son attention sur l’œuvre de Shankara et cherchera également à recueillir les
fruits de l’action de présence de Râmana Maharshi. L’Inde est le meilleur
reflet de ce que peut être un monde traditionnel et ses doctrines sont les plus
aptes à faire comprendre ce qu’est véritablement le Catholicisme et la nature
du Christ Avatâra. L’exemple de Râmana Maharshi est là encore l’illustration
parfaite de la spiritualité authentique.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Concernant
l’arabe, il faut rappeler la grande difficulté pour un francophone de naissance
de prononcer correctement cette langue si l’apprentissage n’en est pas fait
très jeune. Ce défaut de prononciation peut ainsi inférer sur le bon
déroulement des pratiques rituelles. Les « guénoniens musulmans »
semblent ne pas bien mesurer cette difficulté et ses conséquences. Le sanscrit
par contre appartient au même courant linguistique que le français. Cette
parenté linguistique aide à son apprentissage.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Pour
confirmer cette compréhension de l’œuvre de René Guénon, il paraissait
souhaitable d’accéder au statut d’auteur. On se pose des questions de fond et
l’on voit si l’on parvient à formuler clairement des réponses correctes. Il
fallait un thème. Celui qui a été retenu, celui de la
« communication », apparaissait comme un symbole bien adapté. Plusieurs
années auront été nécessaires à l’achèvement de cet opuscule sur la
« métaphysique de la communication ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
fréquentation des bibliothèques avait donné accès à de nombreux documents.
L’auteur a ainsi eu la possibilité de publier au fil des années des traductions
de textes anciens. Contrairement à ce qu’indique Wikipedia, l’auteur n’est pas
un « spécialiste des doctrines médiévales ». S’il a fait paraître une
traduction d’un texte catalan de Raymond Lulle, c’est<span style="margin: 0px;"> </span>simplement parce qu’il avait eu accès à une
ancienne traduction française de ce même texte. Il n’a donc pas de compétence
particulière en catalan. Il n’a pas non plus de compétence particulière en
latin (un simple apprentissage scolaire). Son ouvrage sur l’Ordre du Temple
comporte des traductions du latin qui s’appuient toujours sur des traductions
antérieures en français. L’italien ne lui étant pas étranger, le même processus
a encore fonctionné pour sa publication des textes concernant l’ésotérisme des
troubadours.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Pour
rester au plus proche de l’enseignement de René Guénon, l’auteur a ainsi publié
une traduction complète et commentée de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma-bodha</i>.
Commentaire construit sur les enseignements de Râmana Maharshi. Quelques années
plus tard, il a publié un petit ouvrage reprenant les rares textes sanscrits
écrits par Râmana et qui synthétisent son enseignement.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans
cette longue période consacrée à la lecture de l’œuvre de René Guénon et à
l’étude, l’auteur a eu souvent l’occasion de croiser des
« guénoniens ». Il a toujours été frappé par le décalage entre leurs
prétentions spirituelles (ils se pensent tous particulièrement qualifiés) et ce
qu’ils pouvaient vraisemblablement accomplir. Il a rapidement compris que les
« guénoniens » n’écoutaient pas René Guénon mais uniquement leur
orgueil. Il n’y a chez eux aucune véritable recherche spirituelle. Ils ne
cherchent que des « trucs », ils ne sont en définitive que dans le
« développement personnel » comme tous les autres individus
illusionnés par la pseudo-spiritualité. Ils constituent deux groupes qui
s’affrontent et se méprisent : Maçons contre Musulmans, Musulmans contre
Maçons, même s’il y a aussi quelques Maçons musulmans ! Mais dans tout
cela, c’est l’œuvre de René Guénon qui en a fait les frais. Ils se sont
déchirés pour pouvoir s’afficher comme les héritiers de René Guénon. Dans cette
lutte de pouvoir, ils ont, les uns contre les autres, élaboré des ouvrages
posthumes plus incohérents les uns que les autres. Un vrai massacre.
Volontairement ou involontairement leurs actions ont eu pour résultats de
limiter la bonne accessibilité à l’œuvre de celui à qui en définitive ils
devaient tout. Ils ont la prétention de l’égaler même de le dépasser en se
proclamant « continuateurs », alors qu’ils sont quasiment
systématiquement en opposition avec son autorité et son enseignement. René
Guénon n’est pour eux qu’une sorte de tremplin qu’ils croient pouvoir
abandonner pour s’élever encore plus alors qu’ils ne font que de sombrer dans
l’erreur et la pseudo-spiritualité. Si René Guénon a proclamé qu’il n’était pas
un maître spirituel, tous les « guénoniens » eux s’empressent de
prendre ce titre. Les « guénoniens » sont des « gurus »,
des petits génies.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Au
fil du temps, l’auteur a réussi à avoir accès à la quasi-totalité des textes
publiés par René Guénon dans leur version originale ou remaniée. Ayant eu des
difficultés à accéder à ces textes et voyant la totale indifférence des
« guénoniens » vis-à-vis de cette situation. L’auteur a alors
entrepris une publication de dossiers où il pouvait présenter et donner à lire
des éléments de l’œuvre laissés dans l’ombre ou sous-estimés. Il a ainsi publié
trois ouvrages pour faciliter l’accès à ce que René Guénon avait vraiment écrit
et non à ce que les « guénoniens » prétendaient qu’il avait écrit.
L’exemple du Bouddhisme est particulièrement significatif sur ce point. (Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">René Guénon et l’Esprit de l’Inde</i>).<span style="margin: 0px;"> </span>Les prétendues erreurs de René Guénon…</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Après
avoir critiqué comme il se doit le travail des éditeurs des ouvrages posthumes.
Doutant à juste titre de voir paraître un jour une édition complète et correcte
de l’œuvre de René Guénon, l’auteur n’a à son sens pas eu d’autre choix que de
s’inscrire dans la même démarche critiquable, sauf à vouloir laisser dans
l’ignorance les lecteurs de cette œuvre. Nous avions pour notre propre compte
rassemblé tous les écrits connus et publiés par René Guénon. Nous avions établi
une bibliographie aussi complète que possible (bibliographie reproduite
ici-même et achevée en 2001) qui nous a permis de regrouper tous les textes et
comptes rendus non encore réédités. Nous avons alors très logiquement proposé
aux Editions Traditionnelles la publication de ces écrits en les regroupant pour
former deux nouveaux ouvrages posthumes. Un seul verra le jour. Le second dort
toujours dans les archives des Editions Traditionnelles ou dans la mémoire de
l’ordinateur des Editions Trédaniel à qui nous avons proposé de poursuivre ce
projet mais sans aboutissement à ce jour.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
premier volume intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Articles et
Comptes Rendus, Tome I</i>, contient tous les textes oubliés et qui ont parus
dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Voile d’Isis</i> ou dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Etudes Traditionnelles</i>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Pour
parfaire cette confusion que nous dénonçons, nous devons reconnaître l’omission
par nous-même bien involontaire d’un compte rendu de revue qui aurait dû
trouver sa place dans cet ouvrage paru en 2002 aux Éditions Traditionnelles.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">À
la rubrique <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">comptes rendus d’articles de
revues</b>, année 1936, il convient donc d’ajouter celui-ci publié également
dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>:</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre 1936</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« -
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n° d’août-septembre), Oswald Wirth parle d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pouvoir créateur</i> qu’il attribue à
l’homme, et dont il conseille d’ailleurs de se méfier; nous supposons qu’il
doit s’agir de l’imagination que les psychologues appellent
« créatrice », fort improprement du reste; mais, en tous cas, il a le
plus grand tort de croire que le « domaine subjectif » et les « conceptions
abstraites » puissent intéresser si peu que ce soit les « purs
métaphysiciens ». Nous le croyons bien volontiers quand il déclare
« ne parler au nom d’aucune révélation surnaturelle », ce qui ne se
voit trop en effet; mais, alors, pour être conséquent avec lui-même, qu’il ne
parle pas d’initiation, fût-elle même limitée au seul domaine des « petits
mystères », puisque, qu’on le veuille ou non, toute initiation implique
essentiellement l’intervention d’un élément « supra-humain ». - G.
Persigout est amené par le symbolisme de la caverne et du monde souterrain à
étudier <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Enfer et les religions du salut</i>;
ce titre rappelle malencontreusement le jargon spécial des profanes
« historiens des religions », et, en fait, l’auteur semble avoir dans
quelques-unes des théories tendancieuses de ceux-ci une confiance qu’elles ne
méritent guère. En voulant toujours chercher des « sources » et des
« développements » historiques, là où il ne s’agit proprement que
d’expressions diverses d’une même connaissance, on risque de s’égarer encore
plus facilement que dans les « dédales des épreuves souterraines »,
où l’on se retrouverait certes beaucoup mieux en les envisageant au seul point
de vue strictement initiatique, sans se préoccuper de toutes les fantaisies
accumulées par l’imagination des profanes à qui il a plu de parler de ce qu’ils
ignorent. »</b></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
second volume devait s’intituler <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Articles
et Comptes Rendus, 1917 – 1950,<span style="margin: 0px;"> </span>Tome II</i>
et reprendre une série d’articles et de comptes rendus dont voici la table des
matières :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">ARTICLES</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Les
dualités cosmiques.<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"></b></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Le
Christ Prêtre et Roi.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">L’ésotérisme
du Graal.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Y-a-t-il
encore des possibilités initiatiques dans<span style="margin: 0px;">
</span>les formes traditionnelles occidentales ?</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">« Discours
contre les discours ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Les
Doctrines Hindoues.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Orient
et Occident.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Le
Roi du Monde.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Milarépa.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Terrains
d’entente entre l’Orient et l’Occident.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">COMPTES RENDUS</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;"></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Revue Philosophique</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;"></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Année
1919, année 1920, année 1921.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Revue de Philosophie</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;"></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Année
1921, année 1922, année 1923, année 1924, année 1925, année 1936.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Vient de Paraître</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;"></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 9pt; margin: 0px;">Année
1926, année 1927, année 1928, année 1929.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Les
Editions Traditionnelles ayant renoncé à sa publication, nous avons proposé le
manuscrit aux Editions Trédaniel, autre éditeur déjà dépositaire d’œuvres de
René Guénon. Publication toujours ajournée par les éditeurs potentiels qui ont
des contacts légaux avec les ayants droit.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Des
petits malins sans scrupule ont profité des différences entre les législations
concernant le domaine public. Ainsi au Canada, un œuvre rentre dans le domaine
public 50 ans après la mort de son auteur. En France il faut attendre 70 ans.
Et donc, ils ont ainsi rassemblé des articles de René Guénon en les publiant au
Canada en 2013 sous le titre : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Recueil.</i></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce<span style="margin: 0px;"> </span>titre est identique à celui que nous avions
proposé bien des années avant aux Editions Trédaniel (exactement <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Recueil, 1918 – 1951</i>). Ce livre canadien
reprend d’ailleurs intégralement le contenu du volume <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Articles et Comptes Rendus, tome II</i>. Les petits malins y ont ajouté
des textes de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> et de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">France Antimaçonnique</i>, le tout dans un
joyeux pêle-mêle (correspondance incluse) qui augure bien de l’avenir des
publications libres de droits des œuvres de René Guénon.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Fondation</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">En
2021, l’œuvre de René Guénon basculera donc en France dans le domaine public. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Devant
cette échéance, une curieuse « Fondation » vient de se déclarer et a
entrepris un travail d’édition assez particulier.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
premier ouvrage a avoir subi ce nouveau traitement est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le règne de la quantité et les signes des temps.</i></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
peut ainsi lire le texte d’une « Annonce » qui figure en ouverture de
cette réédition déclarée comme <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">édition
définitive établie sous l’égide de la Fondation René Guénon. </b>En voici un
extrait:</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cette Fondation, dont le siège se tiendra au
Caire en la demeure même qui fut celle de René Guénon, a pour objet de
rassembler sous son égide l’ensemble des ouvrages et documents constituant
l’œuvre intellectuelle de René Guénon, afin d’en assurer la diffusion —
éditoriale et autre — dans les meilleures conditions.</i> »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
y trouve également ces deux déclarations problématiques :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Fondation déclare expressément n’être
liée à aucune religion particulière, ni à aucun mouvement, école, groupe ou
parti, quels qu’ils soient.</i> » </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Elle affirme n’avoir pas davantage pour but
ni pour mission de s’impliquer, à quelque titre ou degré que ce soit, dans le
domaine des prolongements contemporains — d’ordre intellectuel ou autre — de
l’œuvre de René Guénon.</i> »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René
Guénon sous le pseudonyme de Palingénius a notamment écrit : « <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Étymologiquement, le mot <i>Religion</i>,
dérivant de <i>religare</i>, relier, implique une idée de lien, et, par suite,
d’union.</b></span><span style="font-family: "calibri";"> »</span><span style="margin: 0px;"></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
Fondation René Guénon n’est donc pas liée à ce qui relie. Constituant
nécessairement un groupe d’individus, elle n’est même pas liée à elle-même.
C’est donc un chaos volontaire. L’œuvre de René Guénon est fondamentalement
traditionnelle. Cette Fondation est donc fondamentalement laïque au sens
moderne. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Elle
ne s’implique pas dans des prolongements contemporains de l’œuvre. Chaque
réédition comporte une annexe. Une annexe est ce que l’on rattache à la partie
principale. Ne doit-on pas la considérer comme un prolongement de cette partie
principale. Et donc bien comme un prolongement contemporain puisqu’elle
n’existait dans les publications par le passé. On doit donc en déduire que les
annexes qui figurent et figureront en fin d’ouvrage ne sont pas publiées sous
l’égide de la Fondation. On en prend acte !</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Un
second ouvrage vient d’ailleurs d’être publié, une réédition de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Esotérisme de Dante</i> avec une
« Annonce » sensiblement comparable (un paragraphe concernant des
Editions Traditionnelles a été supprimé) et une annexe dans le même style. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">A
notre grande surprise, l’un de nos dossiers sur l’œuvre de René Guénon est
cité, mais singulièrement sans en donner le titre (une coquille ? Sans
doute). Il s’agit de notre livre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">René
Guénon et le Roi du Monde</i>. Nous devons préciser que nous n’avons rien à
voir ni de près ni de loin avec cette « Fondation », même si nous avons
le plus profond respect pour la famille de René Guénon et pour les ayants
droit.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
annexe comme sa précédente adopte un style qui se veut très érudit.
Pratiquement 14 pages de blabla pour cette dernière annexe. En voici un premier
extrait :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">C’est en italien qu’il [René Guénon] avait
lu la Divine Comédie, tout comme le De Monarchia et la Vita Nova ; il
confirma le fait à un correspondant brésilien, Fernando Galvao (lettre du 16
octobre 1929), tout en reconnaissant la qualité des traductions d’Artaud de
Montor ou du père J. Berthier.</i> »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
l’on se réfère à la copie tapuscrite fragmentaire de cette lettre à F. Galvao
(donc sous toutes les réserves possibles…), on peut y lire que René Guénon
indique : «… <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">car je dois vous
avouer que je ne connais aucune des traductions françaises de Dante, n’ayant
jamais lu que le texte italien.</b> » Un peu plus loin, il précise :
« <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">il paraît que celle d’Artaud
Montor est assez bonne…. On ma dit beaucoup de bien de celle du père Berthier</b>… »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
grand érudit (ou les grands érudits !!) qui a écrit cette annexe ne semble
pas savoir que le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De Monarchia</i> a été
composé par Dante en latin et donc que René Guénon qui ne cite d’ailleurs pas
de titres des œuvres a lu en italien l’œuvre italienne et en latin l’œuvre
latine. Et l’on remarque aussi que René Guénon ne reconnaît nullement la
qualité des deux traductions mentionnées… Il paraît… On ma dit… Voilà un
exemple parmi d’autres des manipulations que l’on peut faire avec de soi-disant
recours à la correspondance. Pour quelque chose de tout à fait anodin et
marginale, la déformation est déjà abyssale, alors pour des sujets plus
complexes on n’ose pas imaginer ce qu’il peut être fait ou qu’il pourra être
fait avec cette correspondance.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Un
peu plus loin, notre érudit contredit de façon péremptoire les déclarations de
René Guénon qui écrivait : « <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">De
telles coïncidences, jusque dans des détails extrêmement précis, ne peuvent
être accidentelles, et nous avons bien des raisons d’admettre que Dante s’est
effectivement inspiré, pour une part assez importante, des écrits de
Mohyiddin ; mais comment les a-t-il connus ?</b> » René Guénon
argumente longuement et prudemment. Mais pour notre érudit la question est tout
tranchée : « En aucun cas, il ne pouvait s’agir de textes d’Ibn
Arabi, mais du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Livre de l’échelle de
Mahomet</i>… ». Les explications de René Guénon il s’en moque éperdument
puisqu’il a un brave universitaire sous la main pour sembler les contredire.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Certes
on réédite cette œuvre de René Guénon, mais on ne va quand même pas se priver
de cette opportunité de porter le maximum de coups. L’intéressé n’est plus là,
les « guénoniens » ne le défendent pas non plus, alors c’est
merveilleux, le champ est libre.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Un
dernier point quasi comique. Nous donnions des informations dans notre dossier
sur le tirage de l’édition originale de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Esotérisme
de Dante</i> en précisant <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">selon la
notice de justification de tirage</b> : « 850 exemplaires, savoir 100
sur vergé d’Arches et 750 sur papier vélin. »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Notre
érudit précise : « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Si le
premier tirage fut modeste, huit cent cinquante ou mille exemplaires
[ Selon Hapel, op. cit., p. 156 (ce que confirme sa correspondance)] </i>».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
sommes désolé mais nous ne parlons pas de 1000 exemplaires. Et la
correspondance (avec quel interlocuteur ? En quelle année ? etc.),
elle confirme quoi ? 1000 exemplaires ou 850 ? Elle contredit la
notice de justification de tirage ? Elle indique que des exemplaires Hors
Commerce ont été distribués, donnés en Service de Presse ? Pourquoi notre
érudit n’a pas indiqué simplement que le tirage ne dépassait pas les 1000
exemplaires puisqu’il ne sait pas se servir des informations précises données
par d’autres.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
annexe est bonne pour la poubelle… On pourrait écrire ainsi :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">René Guénon est un … Et pense que … (ce que
confirme sa correspondance).</b> »<span style="margin: 0px;">
</span>On peut remplacer les trois petits points par des expressions de son
choix.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Et
revenons encore sur cette question de l’utilisation de la correspondance.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 14pt; margin: 0px;">Correspondance</span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une
première remarque qu’il convient de faire. Si René Guénon a laissé publier
certaines de ses lettres (comme celle adressée aux <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers du mois</i> par exemple), on ne peut en conclure pour autant
que toutes les lettres qu’il a pu écrire (en nombre assez considérable, plus de
10000 vraisemblablement) l’aient été en vue d’une éventuelle publication. Toutes
ses lettres ont et gardent un caractère strictement privé. Le fait de les
livrer à la publication (<u>sans bien évidemment l’accord des protagonistes</u>)
ne les rend pas public pour autant malgré les apparences. Une violation du
domaine privé ne saurait intégrer ces lettres au domaine public et donc à
l’œuvre au sens stricte.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’individu,
qui est bien le seul à avoir légitimement le droit de publier le contenu d’une
lettre privée est bien évidemment son destinataire. Ainsi René Guénon pouvait
faire état dans ses articles des informations transmises, par exemple, par A.
K. Coomaraswamy dans sa correspondance avec lui. Il faut bien voir alors que
les informations initialement privées sont alors intégrées à l’œuvre publique
du destinataire. Il est à noter que le niveau d’autorité du contenu de la
lettre vient alors se mettre en adéquation avec celui de son destinataire.
Ainsi une lettre reçue et utilisée par René Guénon dans son œuvre acquiert de
ce fait l’autorité de son œuvre. Mais inversement, l’utilisation par un
destinataire d’une lettre reçue de René Guénon ne donne pas à ce destinataire
un surcroît d’autorité.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
fait d’avoir été un correspondant de René Guénon, le fait d’utiliser les
lettres reçues dans son œuvre personnelle ne confère pas à ce dernier ou à
cette dernière l’autorité de René Guénon.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Un
individu disqualifié même s’il est devenu correspondant de René Guénon reste un
individu disqualifié. Si cette correspondance vient à être publié il ne faudra
jamais perdre de vue qu’elle s’adressait à un individu disqualifié et que ceci
ne pouvait pas ne pas influencer les réponses de René Guénon. On contestera
peut-être le fait que René Guénon ait pu répondre à un individu disqualifié ?
On doit constater pourtant qu’il a rendu compte publiquement de certaines
publications malgré la disqualification évidente et la médiocrité des auteurs
en y consacrant pourtant beaucoup de temps et d’énergie. Ce qu’il a fait
publiquement, rien n’empêche de penser qu’il ait pu vouloir le faire également
dans le domaine privé avec autant de patience et de charité.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Précisons
également que le destinataire des lettres de René Guénon, lorsqu’il en vient à
les exploiter dans son œuvre en devient intellectuellement le
« propriétaire » puisque ces lettres ne s’adressaient qu’à lui et à lui
seul. Un correspondant utilisant ainsi la matière des lettres doit signer ce
travail de son nom et non de celui de René Guénon. Ainsi on ne peut
légitimement intégrer dans un ouvrage posthume de René Guénon le résultat de
cette exploitation même si l’on n’oublie pas de signer son intervention.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Autant
il peut être légitime dans le cadre de son propre travail de faire état de sa
correspondance avec René Guénon, d’en relever le contenu doctrinal et de le
commenter, autant il est illégitime de le publier dans un livre portant la
signature de René Guénon.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">C’est
ce que certains ne parviennent pas à comprendre concernant l’intervention de M.
Vâlsan dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symboles fondamentaux de
la Science sacrée</i>. Il ne devait en aucun cas y publier le contenu de
l’Annexe III qui est son œuvre et non celle de René Guénon. Si tel n’était pas
le cas, pourquoi alors M. Vâlsan serait le seul à ajouter son commentaire, tous
les correspondants de René Guénon devraient figurer dans cet ouvrage posthume à
un titre ou à un autre.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Les
« guénoniens » musulmans donnent souvent à cette intervention de M.
Vâlsan une importance disproportionnée. Le « triangle de
l’androgyne » n’y est d’ailleurs interprété que du point de vue de la
seule tradition islamique. On peut tout aussi légitimement établir ce triangle
dans le cadre de la tradition juive où l’on retrouvera par exemple le même <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AWM </i>mais cette fois en hébreu. Le nom
d’Adam, comme celui d’Eve, se compose également en hébreu de trois lettres que
l’on peut disposer sur le triangle à la place respective des lettres arabes. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’alif-wâw-mîm</i> devient ainsi <i style="mso-bidi-font-style: normal;">aleph-waw-mem</i>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
est significatif de voir avec quel abus les correspondants de René Guénon ont
pu faire état des lettres reçues. L’exemple de M. Tourniac est particulièrement
caricatural, une même lettre est parfois transcrite de façon différente... M.
Reyor s’en sert pour se désigner comme une sorte de mandataire...On comprend
alors le jeu de manipulations qui peut s’opérer lorsque ce ne sont plus les
correspondants mais de simples tiers qui font usage de cette correspondance.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De
la même façon que l’on ne peut empêcher qu’il soit écrit tout et n’importe quoi
sur la vie de René Guénon, il est tout aussi utopique de croire que l’on puisse
échapper au grand déballage de sa correspondance privée. Cette nouvelle
« Fondation » paraît d’ailleurs très motivée par cet enjeu.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
question de l’interprétation du contenu d’une lettre est particulièrement
délicate. René Guénon ayant affirmé qu’il n’avait pas de disciple et qu’il ne
donnait pas de conseils particuliers. Il n’était censé répondre qu’à des
questions relevant uniquement du domaine purement doctrinal. Voir notre dossier
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">René Guénon et le Roi du Monde</i>, pp.
161-163.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
ses correspondants n’ont pas pu ou pas su s’en tenir à cette règle et les
questions posées s’éparpillaient dans tous les domaines. Ils ont voulu malgré
tout considérer René Guénon comme leur maître et se placer dans l’état fictif
du disciple.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Jamais
blessant et toujours charitable, René Guénon s’est vu contraint de répondre à
des questions d’ordre privé sans pour autant assumer un rôle de maître face à
des disciples. Mais alors comment interpréter le contenu de ses lettres ?</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
réponse à ce problème pourrait paraître simple, il suffit de ne publier que les
informations doctrinales contenues dans les lettres et rien de plus. Mais en
réalité cette scission est affaire de point de vue et pour certains ce qui peut
apparaître comme du domaine privé peut être considéré par d’autres comme du
domaine doctrinal (une indication adaptée qu’à un seul individu et donc à ses
qualifications propres et souvent limitées peut ainsi être prise comme une
instruction valable pour tous et ceci bien que René Guénon n’est jamais assumé
un rôle de guide).</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
seule solution consiste à publier les lettres intégralement. Non seulement les
lettres réponses de René Guénon mais également les lettres du correspondant qui
leur font pendant. Ce correspondant ne peut rester anonyme car selon les
individus René Guénon pouvait orienter ses réponses et on ne peut apprécier
cette orientation si l’on ne sait pas à qui il s’adressait.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
voit ainsi que pour commencer à se faire une idée du contenu de la
correspondance, il faudrait voir publier plus de 20000 lettres parfaitement
identifiables et intégralement reproduites. Sinon il est impossible
d’harmoniser les apparentes contradictions. Une lettre isolée publiée sans
indication de son destinataire ne peut qu’entretenir la confusion. Tous les
discours qui sont actuellement faits en s’appuyant sur les rares lettres
publiées (incomplètement le plus souvent) ou celles détenues sans légitimité si
ce n’est celle toute aléatoire de l’héritage ne peuvent rien signifier de bien
sérieux. On peut tirer tout et n’importe quoi de ces bribes de lettres. On peut
faire dire à René Guénon ce que l’on veut, le faire mentir, le faire passer
pour un maître qui guidait des disciples autoproclamés, etc.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Quant
aux informations qui pourraient avoir un caractère purement doctrinal que
doit-on en faire et que peut-on en faire sachant qu’elles sont purement marginales
et qu’on est très loin de disposer de l’intégralité de leurs publications ? Il
est bien certain dans tous les cas qu’aucune lettre ne viendra compléter les
écrits de René Guénon de façon décisive: ceci serait contraire aux avis donnés
par René Guénon concernant sa correspondance. Voir là encore notre dossier <i style="mso-bidi-font-style: normal;">René Guénon et le Roi du Monde</i>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De
la même façon que la manifestation est rigoureusement nulle vis-à-vis du
Principe suprême, la correspondance de René Guénon est rigoureusement nulle
vis-à-vis de son œuvre publique. On doit ainsi ne pas donner plus de place
qu’il convient à cette correspondance. Elle n’est que l’expression d’une simple
action de présence exercée par René Guénon.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une
publication notamment peut illustrer tout à fait notre propos : paru en
Italie un ouvrage intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
corrispondenza fra Alain Daniélou e René Guénon 1947-1950</i> (A cura di
Alessandro Grossato, Leo S. Olschki Editore, Firenze, 2002). Cet ouvrage
reproduit en fac-similé 8 lettres de René Guénon à Alain Daniélou et 6 lettres
d’Alain Daniélou à René Guénon. Il n’a même pas été possible de réunir le
complémentaire des lettres. Quant au contenu, hormis les informations
bibliographiques, le moins que l’on puisse dire c’est qu’il est plus que
marginal. Mais sans doute certains y verront des données de la plus haute
importance sans se rendre compte que tout cela peut se déduire sans difficulté
de l’œuvre publique !</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
peut peut-être mieux comprendre pourquoi le contenu doctrinal des lettres de
René Guénon ne vient d’en le meilleur des cas qu’illustrer l’œuvre publique en
considérant le cas de Leibniz.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René
Guénon dans son ouvrage sur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les principes
du calcul infinitésimal</i> reproduit certains passages de lettres de Leibniz.
On n’ignore pas que Leibniz a peu publié de son vivant. La plus grande partie
de son œuvre est ainsi restée à l’état de manuscrit ou même sous forme de
simples notes que certains se sont efforcés et s’efforcent toujours de réunir
et de publier. Sa correspondance apparaît ainsi comme la seule source pour
connaître certaines de ses découvertes et sa publication revêt autant
d’importance que le reste de son œuvre. On trouve dans cette correspondance des
éléments qui ne figurent nulle part ailleurs et qui ne peuvent être déduits de
son œuvre publique.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
comprend ainsi pourquoi il est parfois indispensable de citer sa
correspondance.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Sous
prétexte que René Guénon a fait usage de la correspondance de Leibniz, certains
estiment qu’il est tout aussi indispensable de faire usage de celle de René
Guénon.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
à la différence de Leibniz, René Guénon a pris le soin de rendre publique
l’intégralité ou la quasi intégralité de ce qu’il avait à dévoiler et à
enseigner. C’est pourrait-on dire le sens même de sa fonction. N’ayant pas de
disciple, il se devait de ne rien réserver. On ne trouvera ainsi dans sa
correspondance aucun élément déterminant, aucun élément qui ne peut se déduire
de son œuvre publique.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
peut par contre très bien comprendre l’enjeu « commercial » éventuel
de la publication de cette correspondance. Mais là encore après un massacre en
règle de la publication de son œuvre, le coup de grâce viendra avec le grand
déballage de sa correspondance et pourquoi pas de son intimité…</span></div>
Bruno Hapelhttp://www.blogger.com/profile/05525415697835975358noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5088615654452892767.post-53564969246647927892018-10-30T10:20:00.001-07:002019-02-27T05:08:07.131-08:00René Guénon - La Baraonda Martinista<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« La
Baraonda Martinista » a été publié en avril 1924 dans la revue <i>Atanòr</i>
(pp. 123-125).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Voir
notre bibliographie :( <a href="https://brunohapel.blogspot.com/2018/10/rene-guenon-bibliographie-de-luvre-i.html"><span style="color: blue;">https://brunohapel.blogspot.com/2018/10/rene-guenon-bibliographie-de-luvre-i.html</span></a>)
</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b><span style="color: #222222; font-family: "&quot" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">1924 - Avril</span></b><span style="color: #222222; font-family: "arial" , "sans-serif"; font-size: 10pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: #222222; font-family: "&quot" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i>Atanòr</i> - <i>l'Esoterismo di
Dante</i>.</span><span style="color: #222222; font-family: "arial" , "sans-serif"; font-size: 10pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: #222222; font-family: "&quot" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i>Atanòr</i> - <i>la Baraonda
Martinista</i>.</span><span style="color: #222222; font-family: "arial" , "sans-serif"; font-size: 10pt; margin: 0px;"></span></div>
<b></b><i></i><u></u><sub></sub><sup></sup><strike></strike><br />
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;"> </span>Voici des photos de cet article dans sa
version originale italienne.</span></div>
<b></b><i></i><u></u><sub></sub><sup></sup><strike></strike><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgAzunY994OooC6NpqBU1iU9z-9K4P4Z1ScmZMOgKKo7kuk29V0pcEsutMT21g1xzIxbS8NUri_9o0Ov76vEK3FTR1v5Ff_WXScsFY7UXtMRYYLNPOEk5g7LBX2915h2s0wuuLSCfwTF_4/s1600/page+1+lisible.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="1600" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgAzunY994OooC6NpqBU1iU9z-9K4P4Z1ScmZMOgKKo7kuk29V0pcEsutMT21g1xzIxbS8NUri_9o0Ov76vEK3FTR1v5Ff_WXScsFY7UXtMRYYLNPOEk5g7LBX2915h2s0wuuLSCfwTF_4/s320/page+1+lisible.JPG" width="320" /></a></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBNifBE_7uHvBhT8yjg6XTczp-jnleSikfds22I11CMqgNtRGSJj7N25q6Xte3NvtHQhmPAWXoxeKFiUok7sP8T2jjQVugG0-jK2VcknoUafVSaw_F874YM0tbFKjrv0nrV7fkwPy64j4/s1600/page+2+d%25C3%25A9but+lisible.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="1600" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBNifBE_7uHvBhT8yjg6XTczp-jnleSikfds22I11CMqgNtRGSJj7N25q6Xte3NvtHQhmPAWXoxeKFiUok7sP8T2jjQVugG0-jK2VcknoUafVSaw_F874YM0tbFKjrv0nrV7fkwPy64j4/s320/page+2+d%25C3%25A9but+lisible.JPG" width="320" /></a></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjUyEabdGLXHcX_QOQKQAyx-CN9956MT3zhyphenhyphen1d5afQoV_tSdYmahbLgIO9uDW1TF0FAQp9n6QcfGwqrDQ6JGz2EDPUKp1R-J9u7vl3m6Afj7STvXvMr45Ld8NZpZOYaRqsE4eHDcDDCOxs/s1600/page+2+fin+lisible.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="1600" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjUyEabdGLXHcX_QOQKQAyx-CN9956MT3zhyphenhyphen1d5afQoV_tSdYmahbLgIO9uDW1TF0FAQp9n6QcfGwqrDQ6JGz2EDPUKp1R-J9u7vl3m6Afj7STvXvMr45Ld8NZpZOYaRqsE4eHDcDDCOxs/s320/page+2+fin+lisible.JPG" width="320" /></a></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigCzDHYL8Ty4IiAGZB399yzlrDOrRDwtAfTQNHW_UCLe0Kc8iPwfLQp2SS-xJHcajPFdS1Y5OfA_4QnV-M8dqhZcoHwSfFH40UAGqySR4h4dan1-7TYW8dwN3HU-fb-hFagcysyIvhJXY/s1600/page+3+lisible.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="1600" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEigCzDHYL8Ty4IiAGZB399yzlrDOrRDwtAfTQNHW_UCLe0Kc8iPwfLQp2SS-xJHcajPFdS1Y5OfA_4QnV-M8dqhZcoHwSfFH40UAGqySR4h4dan1-7TYW8dwN3HU-fb-hFagcysyIvhJXY/s320/page+3+lisible.JPG" width="320" /></a></div>
<br />Bruno Hapelhttp://www.blogger.com/profile/05525415697835975358noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5088615654452892767.post-66139266593215761372018-10-29T06:28:00.000-07:002019-02-27T05:09:23.305-08:00« Al-‘ârif billâh » et non pas « Le soufi d’Occident » <div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">«<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Al-‘ârif
billâh </i>» et non pas « Le soufi d’Occident » </span></b></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
avons reproduit précédemment <span style="color: #222222; margin: 0px;">la traduction
française faite par M. Raouf G. de deux des articles de René Guénon publiés en
arabe<span style="margin: 0px;"> </span>pour la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">al Ma’rifah</i>.</span></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: #222222; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le texte arabe utilisé par le traducteur était celui reproduit
dans un ouvrage de Abd-al-Halîm Mahmûd. Une partie de cet ouvrage a fait
l’objet d’une traduction par Jean Gouraud sous le titre : </span><i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Un soufi
d’Occident, René Guénon, Shaykh ‘Abd-al-Wâhid Yahyâ</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">, en<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </b>2007. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Guiderdoni a préfacé le travail de M. Gouraud. Et dans cette préface, il se
félicite du détournement consternant opéré par le traducteur. Il écrit ainsi
(p. 8, souligné par lui) :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Il
faut donc remercier le traducteur et présentateur de ce texte d’avoir écrit,
comme titre de cet ouvrage : « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un
soufi d’Occident</i> ». A travers cette audace apparemment anodine,
Abd-al-Wadoud Gouraud ne traduit pas seulement le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">‘ârif billâh</i>, « connaissant par Dieu », que le shaykh
‘Abd-al-Halîm Mahmûd emploie à propos de René Guénon dans le titre arabe de son
livre. Abd-al-Wadoud Gouraud affirme aussi que c’est non seulement l’<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;">œuvre</i></b>,
mais l’<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;">exemple</i></b> de René Guénon qu’il convient de suivre, celui d’une
vie et d’une voie tout entières dédiées à l’Unique, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Al-Wâhid</i>, dont le Maître s’affirme être, par le choix de son nom
islamique, le serviteur connaissant et aimant, un serviteur venu de France et
installé sur la terre d’Egypte, car « à Dieu appartiennent l’Orient et
l’Occident » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Coran</i>, II :
115]. »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
pourrait voir dans ce passage comme un résumé de toutes les trahisons opérées
au fil du temps par tous ces lecteurs de l’œuvre de René Guénon qui, n’ayant
absolument rien compris, se sont convertis en masse à l’Islam, devenus tous sans
le moindre obstacle des « soufis » dans la foulée. Les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">turuq </i>sont tout aussi grandes ouvertes
que le sont les loges maçonniques de toutes obédiences, aucun candidat n’est
jamais refusé dans une <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tarîqa</i> en
Occident surtout s’il est « guénonien » et il n’est même pas
nécessaire de connaître un mot d’arabe. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
peut difficilement être plus injurieux en qualifiant René Guénon symboliquement
ainsi : d’ « Occident ». Il a toujours revendiqué son
appartenance à l’ « Orient ». En faire un simple soufi est tout
aussi ridicule. M. Guiderdoni s’accorde à nous inviter « à suivre »
l’œuvre de René Guénon, qu’il n’a visiblement ni lue ni comprise, mais il va beaucoup
plus loin jusqu’à l’instrumentalisation, il faudrait selon lui et M. Gouraud suivre
l’ « exemple » de René Guénon. Ce dernier a pourtant toujours affirmé
qu’il ne devait en aucun cas être pris comme exemple. Mais alors ce que l’on ne
comprend pas c’est pourquoi tous ces « soufis guénoniens » ne sont
pas partis vivre en terre d’Islam à l’<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">exemple</b>
donc de René Guénon. Que font-ils en Occident ? Serait-il si difficile de renoncer
au confort douillet de ce vilain monde moderne occidental. </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Et
M. Guiderdoni cite le Coran. Il est toujours très significatif de voir comment
ces convertis qui sont plus musulmans que les musulmans de souche sont parfois capables
de travestir ce texte qu’il devrait considérer comme sacré. Voici une
traduction que l’on peut donner de ce verset 115 de la deuxième sourate :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« A
Allah sont<span style="margin: 0px;"> </span>l'Est (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mashriq</i>) et l'Ouest (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">marrib</i>).
Où que vous vous tourniez, là est la Face d'Allah, Allah est Immense, Omniscient. »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
notion mise en avant dans cette sourate est bien celle de « <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">direction</b> ». De ces deux termes
arabes<span style="margin: 0px;"> </span>(sous les effets de la convention
orientaliste de transcription des lettres arabes) ont a fait les termes
français Machrek et Maghreb. La France n’est ni dans l’un ni dans l’autre de
ces deux espaces.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
traducteur M. Gouraud <span style="margin: 0px;"> </span>nous offre une
très longue introduction bien sectaire. Il nous donne aussi des indications sur
l’auteur ‘Abd-al-Halîm Mahmûd qui semble fortement occidentalisé. On apprend
ainsi (p. 19):</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Désireux
de compléter sa formation supérieur, il y obtint, en 1940, [en Sorbonne] un
doctorat sous la direction de l’orientaliste Louis Massignon, pour une étude
consacré au célèbre savant et mystique du premier siècle de l’Hégire
Al-Muhâsibî. (Thèse écrite en français par le Dr. ‘Abd-al-Halîm Mahmûd et parue
sous le titre : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Al-Mohâsibî :
un mystique musulman religieux et moraliste</i>, Geuthner, Paris, 1940). »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’auteur
ne verra d’ailleurs en René Guénon qu’un philosophe. Sa première étude
consacrée à René Guénon (en 1954) le qualifie ainsi de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">al-faylasuf al-muslim</i> (le philosophe musulman). Ce n’est que tardivement
qu’il parlera de lui comme étant un<span style="margin: 0px;">
</span>« connaissant par Allah ». </span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
Dr. ‘Abd-al-Halîm Mahmûd a donc rassemblé dans son nouvel ouvrage les cinq
articles publiés par René Guénon pour la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">al Ma’rifah</i>. René Guénon n’aura ainsi à notre connaissance publié rien
d’autre en arabe. On ne parle pas non plus d’éventuels manuscrits inédits dans
cette langue.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
premier article publié en mai 1931 connaîtra une traduction française revue par
René Guénon et publiée dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i> en mars 1951 sous le titre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Connais-toi toi-même.</i></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
second article (juin 1931) connaîtra de même une traduction française revue par
René Guénon et publiée dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i> en décembre 1950 sous le titre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Influence de la civilisation islamique en Occident.</i></span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Les
articles de juillet et septembre 1931 ont donc fait l’objet d’une traduction
par M. Gouraud sous les titres respectifs : <span style="margin: 0px;"> </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
néo-spiritualisme et son erreur </i>et <i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="margin: 0px;"> </span>Le néo-spiritualisme (réponse à une critique)</i>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
dernier article publié en novembre 1931 connaîtra également une traduction
française revue par René Guénon et publiée à titre posthume dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i> en mars-avril
1962 sous le titre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les influences
errantes</i>.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
doit comprendre que le lectorat potentiel de la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">al Ma’rifah</i> est en définitive fortement occidentalisé. Le simple
fait que René Guénon ait pu traduire ses propres textes écrits en arabe pour
les republier en Occident montre bien que le public visé est de la même
« nature ». Les deux articles non retraduits par lui-même le montrent
encore plus puisqu’ils mettent en garde contre une erreur purement
occidentale : celle du spiritisme. S’il s’était adressé à un véritable
milieu d’initiés musulmans, initiés effectifs, le niveau des textes aurait
été<span style="margin: 0px;"> </span>tout autre et la nécessité de les
retranscrire en français inutile et même contradictoire sauf à vouloir faire de
l’orientalisme comme le font les « guénoniens musulmans » membres de
ces <i style="mso-bidi-font-style: normal;">turuq </i>en Occident. René Guénon
lui n’était pas un orientaliste. L’arabe est la langue sacrée des authentiques
initiés musulmans et non le français qui ne peut nullement convenir.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ainsi
René Guénon doit rappeler notamment à des orientaux trop occidentalisés le rôle
très positif de la civilisation islamique pour la transmission de la
connaissance et il doit surtout les mettre en garde. L’article le plus
instructif dans ce sens concerne cette réponse au professeur Farîd Bek Wajdî.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Gouraud nous indique (p. 100) que ce professeur était un enseignant de
l’Université islamique d’Al-Azhar et qu’il fut également l’un des professeurs
du Dr. ‘Abd-al-Halîm Mahmûd.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René
Guénon débute son article ainsi (traduction J. Gouraud, p. 100):</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Si
le professeur Farîd Bek Wajdî avait lu ce que nous avons écrit, il y a dix ans
de cela, au sujet du spiritisme »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">René
Guénon considère donc comme une évidence que ce professeur d’Al-Azhar se devait
de connaître son œuvre en FRANÇAIS et notamment cet ouvrage plutôt confidentiel
(qui ne connaîtra pas de réédition de son vivant)<span style="margin: 0px;"> </span>sur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’erreur
spirite</i> publié en 1923.</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Et
puis il doit rappeler à ce professeur que si ce dernier est occidentalisé à
outrance, lui est un véritable oriental. Il écrit ainsi (traduction p. 107) :</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Nous
ne vivons pas, comme le pense le professeur Farîd Bek Wajdî, dans un temps
autre que le nôtre »</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M.
Raouf G. traduisait lui, à notre sens de façon plus adaptée : « à une
époque autre que la nôtre ».</span></div>
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
voit ainsi que déjà en 1931, Le Caire et son Université d’Al-Azhar était bien
plus proche de l’Occident que du véritable Orient. L’Islam était déjà bien
engagé dans cet épuisement caractéristique de la fin de notre cycle d’humanité
comme toutes les autres traditions. L’hindouisme paraît bien être la seule
tradition vivante dont la dégénérescence soit un peu plus lente mais malgré
tout inexorable.</span></div>
Bruno Hapelhttp://www.blogger.com/profile/05525415697835975358noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5088615654452892767.post-90643616548491894792018-10-29T06:27:00.000-07:002019-02-27T05:09:47.767-08:00René Guénon - Al Ma’rifah - Le spiritisme et son erreur<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Al Ma’rifah - Le spiritisme et son
erreur</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
nous permettons de reproduire le texte de la traduction française faite par M.
Raouf G. de deux des articles de René Guénon publiés en arabe<span style="margin: 0px;"> </span>pour la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">al Ma’rifah</i> sous le nom de ‘Abd al Wâhid Yahya. Cette traduction
est parue en 2003 dans le numéro 7 (août-septembre) de la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ganesha</i>. Ces articles traduits portent respectivement
les titres suivant : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le spiritisme
et son erreur</i> et<span style="margin: 0px;"> </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le spiritisme - Réponse à une objection</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
traducteur M. Raouf G. avait alors rédigé cette note informative :</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Au
moment de livrer cette traduction nous apprenons que ce travail avait déjà été
fait par Jean Foucaud et devrait paraître sous une forme plus élaborée
(introduction, présentation, notes…). Nous l’avons aussitôt informé de notre
intention de publication et obtenu son aimable accord accompagné de précieuses
suggestions, notamment quant à la restitution de certains termes tels que René
Guénon les utilise dans son œuvre en langue française. »</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
traducteur précise enfin que les notes ainsi que les indications entre crochets
sont de lui et qu’elles ont pour but de rendre plus intelligible la traduction
intentionnellement littérale.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Le spiritisme et son erreur</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Parmi
les erreurs occidentales modernes, l’une des plus dangeureuse s’est installée
en Amérique depuis moins d’un siècle (depuis 1847 très exactement). Elle est
connue sous l’appellation de « spiritisme » [litt. =
« néo-spiritualisme »]. </span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
est possible de la définir comme étant l’assertion de la possibilité de
communiquer avec les morts par l’intermédiaire de moyens matériels.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Comment
[cette erreur] est-elle née ?</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Au
départ, elle est apparue à la suite [de la constatation] de certains phénomènes
naturels, tels que la production de sons ou le déplacement d’objets à
l’intérieur d’une maison hantée, et cela sans causes bien définies.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Toutefois,
ces phénomènes furent observés de tous temps et en tout lieux, de sorte qu’il
est difficile de soutenir que nous nous trouvons là en présence de phénomènes
extraordinaires [litt. = « isolé, irrégulier, anormal »]. Pourquoi donc
les occidentaux en déduisent-ils une doctrine nouvelle, dans ces circonstances
précises ? Alors qu’auparavant nul n’avait jamais songé à le faire !</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La<span style="margin: 0px;"> </span>vérité [à ce sujet] est qu’ils se sont
révoltés contre le matérialisme dominant dans le monde, et qu’ils ont [alors]
pensé créer un moyen secret en vue d’occasionner sa ruine.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
nous estimons que leur but paraît être louable, par contre nous désapprouvons
les moyens mis en œuvre pour l‘atteindre.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">En
vérité le mensonge [litt. = <span style="margin: 0px;"> </span>« le vain,
le faux »] constitue toujours un mal, c’est pourquoi nous ne pouvons<span style="margin: 0px;"> </span>accepter ici que la fin justifie les moyens,
comme certains le prétendent.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">En
fait, lorsque le moyen n’est pas totalement approprié [litt.<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>= « apte », mais aussi
« vertueux »], il se retourne le plus souvent très rapidement contre
la fin souhaitée.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Maintenant
si la forme de la vie post mortem est imaginée comme étant identique à celle de
la vie de la vie corporelle sur terre – ce qui se trouve être le cas pour les
adhérents à cette nouvelle doctrine – [alors] il nous est possible de
considérer ce que l’on nomme « spiritisme » comme étant un autre
genre de matérialisme, même [encore] plus nuisible [que le matérialisme
proprement dit], puisqu’il suggère des illusions ou représentations imaginaires
sur sa nature véritable, telles qu’il parvient à influencer ceux là mêmes qui
refusent<span style="margin: 0px;"> </span>[par ailleurs] les opinions
courantes ouvertement matérialistes.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
comporte de plus un autre danger [pour comprendre celui-ci] il suffit de
constater combien d’individus – par l’entremise de ce que l’on appelle la
« communication avec les morts » - ont été atteints de folie, de
dégradation, ou même finissent par se suicider.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">[En
raison de tout cela] nous sommes en droit de déclarer qu’un pareil
enseignement, qui provoque de telles conséquences, constitue une malédiction
pour le genre humain.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
contagion grave, qui a profondément pénétré la mentalité d’un grand nombre de
personnes d’intention droite, ce danger [disions-nous] se propage en Orient.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
n’exagérons nullement lorsque nous affirmons qu’il atteint même
l’Extrême-Orient. En effet, nous observons, depuis quelques années,
l’apparition en Indochine d’une nouvelle religion, appelée
« caodaïsme », dont les partisans prétendent que ses enseignements
sont transmis, non par le canal d’une révélation divine, mais par une
« corbeille à bec ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
faut que le lecteur comprenne bien que nous<span style="margin: 0px;">
</span>sommes loin de nier la réalité de ces phénomènes<span style="margin: 0px;"> </span>de toutes sortes, dans lesquels les
« spirites » trouvent confirmation de leur vues.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ces
phénomènes, comme nous l’avons déjà dit, furent connus de tous temps par les
anciens, lesquels possédaient à leur sujet bien plus de connaissance que ceux
qui s’y intéressent de nos jours. Ce que nous rejetons, c’est l’explication
moderne donnée à ces réalités que l’on voudrait imputer aux agissements
d’ « esprits purs », termes destinés à désigner les
individualités humaines ayant quitté le monde de l’existence terrestre.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Comment
une pensée saine pourrait-elle admettre que les « esprits purs » en
question puissent déplacer une table ? Qu’une force occulte puisse
s’exercer sur la main de quelqu’un pour lui faire tracer des caractères, des
dessins ou d’autres choses semblables ?</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De
telles assertions ne font que révéler une ignorance, devenue à peu près générale
à notre époque, des différences relatives aux conditions particulières des
états distincts de l’être.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
nous faut ici rappeler que s’il demeure possible à l’homme d’entrer en rapport
avec les « esprits » – humains ou autres – cela ne peut se faire
qu’après qu’il se soit éveillé lui-même à celui d’entre ses propres états
d’être qui est en correspondance avec l’état dans lequel se trouvent effectivement
ces « esprits ». Mais ceci est une autre question, n’ayant aucun lien
avec les enseignements et les pratiques du « spiritisme ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">[Pour
revenir aux phénomènes en question disons qu’] en réalité, il existe de
nombreux facteurs, et des plus variés, qui peuvent les provoquer, selon
diverses circonstances.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
importe de soigneusement distinguer ces facteurs auxquels nous feront
maintenant brièvement allusion. [En effet] il est impossible d’en donner des
explications détaillées dans le cadre de la présente étude :</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">1.</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> Parmi ces facteurs des plus
courants, intervenants dans des circonstances souvent isolées [singulières], il
y a ceux qui proviennent des facultés mentales de l’homme, facultés
susceptibles d’une extension bien plus étendue que ne l’imaginent les
psychologues modernes ou ceux qui s’intéressent à l’étude des états
paranormaux.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ces
pouvoirs [litt. = « facultés, pouvoirs, énergies, forces… »] sont
latents en chaque homme. Ils ne s’éveillent et s’éploient naturellement qu’à
l’occasion de circonstances exceptionnelles. Il reste cependant possible de les
éveiller artificiellement, dans le cas de certains individus, en plaçant ces
derniers dans des états spéciaux, comme par exemple, ceux connus sous
l’appellation générique du « sommeil hypnotique » [litt. = <span style="margin: 0px;"> </span><span style="margin: 0px;"> </span>« sommeil
magnétique »].</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Placé
dans cet état, l’homme peut ressentir certaines choses sans que son corps ne se
trouve en contact avec elles. Il lui devient<span style="margin: 0px;">
</span>également possible de les déplacer<span style="margin: 0px;">
</span>[à distance], de voir des choses cachées à ses sens habituels ou situées
loin dans le temps ou l’espace, et encore bien d’autres choses.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
est impossible, sauf à un matérialiste au sens étroit du terme, d’affirmer que
l’homme est réduit à des limites analogues à celles de son corps.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cependant
les « spirites » - pour reprendre la terminologie qui s’est
introduite dans la philosophie occidentale -<span style="margin: 0px;">
</span>doutent fort dans la capacité de l’être humain à supporter ce qui
pourrait dépasser le niveau de ses facultés corporelles, ou de celles [de ses
facultés] qui sont étroitement liées aux corps, et qui se manifestent dans la
vie ordinaire de tout individu.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Par
ailleurs il nous faut rappeler que ce que l’on nomme facultés paranormales [litt.
=<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>« extraordinaires »]
n’ont en réalité rien de spirituel, pas plus que les facultés ordinaires.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
conception qui représente l’homme vivant comme étant constitué seulement de
deux parties ou éléments – et qui s’est répandue dans la philosophie moderne en
particulier et dans la pensée occidentale en général -<span style="margin: 0px;"> </span>[cette conception] est la cause du désordre
[dont nous parlons]. Elle a plongé les gens dans l’ignorance de la distinction
fondamentale du psychique et du spirituel.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ainsi
la nature du pouvoir qui se manifeste chez les individus plongés dans le
sommeil hypnotique – lesquels ne sont autres que ceux que les
« spirites » appellent les « médiums » - n’est aucunement
« spirituelle », mais bien entièrement « psychique ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Elle
est propre aux états que l’on peut qualifier de plus subtils par rapport aux
états ordinaires. Ainsi qu’ils possèdent plus d’ampleur et se situent à un
niveau supérieur dans les degrés de l’existence. Ainsi qu’il convient également
que se situent [a fortiori] les états spirituels [eux-mêmes].</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Toutefois
[à la différence des états spirituels] ces pouvoirs en l’homme concernent le
développement de la perception naturelle [litt. = <span style="margin: 0px;"> </span>de l’ « élargissement » (i.e.
horizontal)], non [celui] de la perception transcendante [litt. = <span style="margin: 0px;"> </span>de l’ « élévation » (i.e.
vertical)].</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ces
états psychiques – qui se manifestent soit pendant le sommeil hypnotique soit
dans certains états [proprement] psychopathologiques – se trouvent à l’origine
de ce que les psychologues nomment à tort : « les personnalités
multiple », du fait qu’elles ne présentent pas de lien avec les états
ordinaires. Il se pourrait que cette dénomination ne soit due qu’à un choix
malencontreux de mots. Si toutefois tel n’était pas le cas, nous serions en
présence d’une erreur scandaleuse, car aucune intelligence ne peut concevoir un
homme vivant pourvu de plus d’une [seule] personnalité.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
vérité est que tous les états de l’être ne sont que des théophanies partielles
d’une seule et même personnalité immuable. Il est exact que dans ses états
ordinaires, l’homme n’a point conscience des actes qu’il peut accomplir – ni
des connaissances dont il peut bénéficier – dans d’autres états. Il est très
aisé de comprendre cet état de fait, puisque l’état habituel se trouve être
parmi les états [possibles], celui dont le domaine reste le plus étroit, ne
s’appuyant que sur les conditions corporelles. Les autres états jouissent, quant
à eux, d’une liberté absolue (1).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
ne nous étonnerons point à ce sujet si nous pensons seulement à la différence,
ordinairement existante pour chaque individu entre la conscience dans l’état de
veille et celle dans l’état de sommeil. Il nous faut orienter notre recherche
vers un seul point : à savoir que tout ce que l’on nomme
« phénomènes » trouve leur origine soit dans les facultés mentales –
pour les états ordinaires – soit dans les facultés appartenant aux autres états
psychiques [dans les autres cas].</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ces
phénomènes ne représentent que la partie visible [ou extérieure] de l’être. Il
est clair, si l’on considère les termes, que les phénomènes – de quelque genre
ou degré qu’ils soient – sont entièrement de l’ordre du visible [litt. =
« extérieur » (2)] et aucunement de l’ordre de l’invisible [litt. =
« intérieur »].</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">C’est
dire qu’ils constituent des modifications superficielles de l’être et non des
éléments constitutifs de son essence intérieure profonde.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Les
facultés que l’on pourrait adéquatement qualifier d’ « intérieures »
doivent être recherchées dans des états totalement différents des états
psychiques. Elles sont beaucoup plus élevées que les phénomènes, qu’ils soient
d’ailleurs ordinaires ou paranormaux.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">2.</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> Si nous revenons aux états
psychiques dont nous avons parlé, il nous faut préciser que, dans ces états
comme dans l’état ordinaire, l’être humain est entouré de différentes forces
actives, plus subtiles que celles du monde corporel et sensible.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Certaines
forces sont analogues – et non identique – à des forces comme, par exemple,
l’électricité. Il n’échappe à personne que l’existence de telles forces puisse
être déduite par le physicien ordinaire à partir de leurs effets sensibles.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ces
forces psychiques que les « taoïstes » chinois nommaient les
« influences errantes », obéissent à des lois analogues aux autres
lois naturelles. Sans doute, elles furent l’objet d’études et ainsi il fut
possible de les rassembler et de les fixer selon des conditions précises. Elles
produisent alors des effets qui peuvent sembler étranges à ceux qui ignorent
ces choses, semblables en cela à la manifestation de l’action de l’électricité
aux yeux de ceux qui ignorent les sciences naturelles [physiques].</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">J’ajouterais
que lorsque l’homme se met en rapport avec de telles influences, il peut sans
en être conscient revêtir momentanément une personnalité apparente lors de
l’éclipse de la sienne propre. Ainsi par ce fait, il devient possible de
trouver l’explication de plusieurs phénomènes [attestés].</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
pouvons percevoir ici l’une des causes des dangers auxquels succombent ceux qui
pratiquent le « spiritisme » ou ce qui s’y apparente. L’individu
s’expose à des influences susceptibles d’induire en lui de nombreux états,
lesquels provoquent dans son être intime des éléments de perturbation et de
déséquilibre psychique. [Ces influences] le mènent parfois vers une forme de
solitude et d’autisme. Il nous est possible de trouver un exemple de ce repli [litt.
= « solitude »] dans certains cas de ce que l’on nomme
« personnalités multiples » auxquelles nous avons déjà fait allusion.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ces
dangers ne doivent point être sous-estimés. Il pourrait bien s’avérer
impossible à éviter lorsque les individus entrant en rapport avec ses forces
ignorent totalement leur [vraie] nature. Tel est [bien] le cas pour la grande
majorité de nos contemporains, particulièrement les « spirites »,
lesquels sont en réalité semblables à des enfants jouant avec le feu.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">3.</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> L’homme dans son état mental ou
psychique se trouve en rapport – comme c’est aussi le cas dans ses états
ordinaires – avec d’autres êtres situés [justement] dans des états s’accordant
aux siens. Nous pensons ici, par « autres êtres », à d’autres êtres
humains. C’est cela même qui advient aux participants dans les séances
spirites. Sans désir de leur part et à leur insu, ils étendent leurs pensées au
médium. Ces pensées sont non seulement en rapport avec la réalité du moment,
mais aussi le plus souvent d’anciennes pensées oubliées depuis fort longtemps
sont présentées, lesquelles se réverbèrent furtivement, provoquant leur grand
étonnement lors de leur découverte.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
est également possible à des individus absents d’entrer en communication avec
eux, à quelque distance qu’ils se trouvent, pourvus qu’ils soient dans un état
semblable [à savoir] détachés de tout lien corporel.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette
expérience peut se dérouler avec la conscience des participants ou encore sans
qu’ils ne s’en aperçoivent. La première éventualité a lieu dans de rares états
et pour des individus ayant des connaissances spéciales et opérant dans un but
défini. Tel fut le cas au début du mouvement spirite.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
deuxième éventualité reste la plus commune. Elle a lieu lors de la
communication qui advient à n’importe quel individu – surtout durant son
sommeil.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
convient d’ajouter à ce qui vient d’être dit qu’il existe certains phénomènes
dans le [règne] animal – Les animaux ayant eux aussi des états subtils qui
affectent leur être propre.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">4.</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> Dans certains cas des phénomènes
– naturels ou intentionnels – sont provoqués par des éléments provenant
réellement de personnes défuntes. Mais il ne s’agit aucunement de
communications effectives avec leurs véritables personnalités. Ces éléments ne
sont que des résidus psychiques semblables aux résidus corporels que le défunt
abandonne à la suite de la décomposition [de son organisme].</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Car
dans l’ordre psychique des éléments demeurent attachés à ce qui est éternel
dans l’être (3). Ces éléments sont [toutefois] plus proches de l’état corporel
[grossier]. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’ils peuvent donner naissance
à des influences sensibles. Ces résidus psychiques représentent la réalité des
états spéciaux [les influences errantes] dont nous avons parlé auparavant.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
nous les mentionnons maintenant, c’est parce que tous leurs effets peuvent être
interprétés comme étant des manifestations sensibles provoquées par des
personnes défuntes, mais toutefois en un sens totalement différent de celui
qu’entendent [les spirites].</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De
tels éléments peuvent très bien prendre un support provisoire pour [intervenir
dans] la vie et fournir des réponses [par le moyen d’accessoires divers]
contraires à certaines idées professées par l’individualité même à laquelle ils
étaient auparavant liés.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce
spectre de la personne – si l’on peut ainsi s’exprimer – correspond à ce que
les anciens juifs nommaient l’<span style="margin: 0px;"> </span>« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ob</i> », comme on peut le lire dans
certains livres sacrés. [Cet <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ob</i>]
donna des réponses aux cours d’ « évocations » mises en œuvre par
beaucoup de personnes, même si la religion les interdit de façon générale.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">5.</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> Enfin pour ne rien omettre, il
nous faut mentionner la possibilité d’intervention de ces êtres qui n’ont point
de vie corporelle. Ces êtres, considérés comme non-humains, ne sont pas de
nature purement spirituelle. Au contraire, ils sont très proches du monde
sensible. C’est [d’ailleurs] pour cette raison qu’ils peuvent parfois provoquer
des effets dans ce monde [sensible]. Nous voulons ici faire spécialement
allusion à l’action des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">djinns</i>.
Toutefois ce n’est point le lieu de s’étendre sur ce sujet.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Comme
il n’existe rien de spirituel dans toutes ces choses [dont nous parlons] – rien
de plus que ce qui est en rapport avec la vie terrestre – inutile de préciser
que l’on ne peut les comparer aux autres réalités appartenant à un ordre
différent, comme [celui de] la révélation [pour] les prophètes – que la Paix
soit sur eux – ou d’un ordre moins élevé, comme celui du pouvoir réservé aux « saints »
– qu’Allah soit satisfait d’eux. Autant de choses qui ont leur origine dans le
monde spirituel.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
devons constater que ces principes divergent quant à leur réalité, mais
présentent des similitudes quant à leurs manifestations extérieures.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Là
encore il s’agit d’une autre question, à savoir celles des influences
spirituelles, laquelle n’a pas de rapport avec le sujet traité ici.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
quant aux phénomènes psychiques, nous dirons ce qui suit :</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Certains
occidentaux qui n’acceptent pas le « spiritisme » comme une simple
théorie, mais veulent le promouvoir au rang d’une science, essayent par tous
les moyens de découvrir des choses qui étaient parfaitement connues des
communautés orientales des temps révolus. Ils parviennent [de ce fait] à
remarquer certaines réalités, mais demeurent incapables d’en trouver
l’explication ; alors qu’existent bien, comme nous l’avons succinctement
montré, tous les éléments nécessaires à la compréhension de ces réalités et
même à de nombreuses autres réalités dont ils n’ont pas la moindre idée.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">En
conclusion : Quiconque désire connaître la vérité sur de tels sujets ne
pourra trouver satisfaction (4) dans les recherches occidentales modernes. Il
doit pour cela revenir aux connaissances orientales traditionnelles (5).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(Revue
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">al Ma’rifah</i> - <span style="margin: 0px;"> </span>juillet 1931)</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">**********</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;"> </span>(1) – Cela sous-entend sans doute « par
rapport à ces conditions corporelles », car il paraît difficile de
concilier une « condition quelconque » (puisqu’il s’agit ici d’
« états ») avec la liberté absolue, comme nous l’enseigne René Guénon
lui-même.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(2)
- En arabe « phénomènes » et «visible ou extérieur » sont des
termes de même racine. </span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(3)
– René Guénon fait ici implicitement référence à la notion du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">luz</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(4)
– Litt. = <span style="margin: 0px;"> </span>« trouver sa chose
perdue » - référence au hadith suivant « La sagesse est la chose perdue
du croyant – Là où il la trouve qu’il la prenne. »</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(5)
– Litt. = <span style="margin: 0px;"> </span>« ancien », mais qui
dans ce contexte doit être rendu par « traditionnel ». Cette dernière
remarque est de Jean Foucaud.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Le spiritisme – Réponse à une objection</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
le professeur Farîd Bek Wajdî avait lu ce que nous avons écrit, depuis près de
dix ans [1923], au sujet du « spiritisme » il se serait épargné la
peine de réunir les remarques qu’il a fait paraître dans le dernier numéro de
la présente revue. En effet, nous avions [déjà] répondu à chacune d’entre elles
de façon complète et plus longuement qu’il ne nous sera possible de le faire
dans ces quelques pages. Malgré ce fait, nous tenterons une nouvelle fois de
définir notre position sur un tel sujet, de sorte que l’agitation que provoque
cet exposé n’est plus lieu d’être.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
nous faut tout d’abord admettre que depuis le début de ce que l’on a nommé les
temps modernes – c’est-à-dire depuis trois ou quatre siècles – les occidentaux
ont douté de toutes les connaissances des anciens. Cela eu lieu du fait qu’ils
ne saisirent pas parfaitement la signification et la nature de ces
connaissances. Parallèlement, il semble qu’ils ne pouvaient admettre quoi que
ce soit en dehors du cercle des expériences sensibles.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
conséquence naturelle d’une telle attitude fut l’apparition et la propagation
du matérialisme, ainsi que l’élargissement du cercle des recherches de façon
inhabituelle dans le domaine des sciences particulières se rapportant à la
seule matière.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cet
état de fait n’existait que dans le seul Occident. L’Orient, par chance, n’a
cessé jusqu’à nos jours de préserver sa connaissance traditionnelle.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
n’a pas accepté ces limitations aberrantes ni agréé [litt. = « avaler,
gober »] non plus les enseignements de Francis Bacon ou ceux de Descartes,
lesquels n’éclaircissent rien pour les intelligences pures [litt. = « sans
taches »] orientales. Nous voulons parler de celles qui ne se laissent
point influencer par les poisons des idées occidentales.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Maintenant
l’idée, [née et] répandue en Occident, de combattre le matérialisme au moyen de
la science matérielle même est [manifestement] erronée. Elle ne mènera à aucune
réussite. Car ses moyens n’ont aucune valeur exceptée à l’intérieur d’un
domaine particulier et très restreint. Une fois ce domaine dépassé, ces moyens
perdent toute valeur.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
semble que cette idée est née de la croyance [litt. = « imagination fausse »]
que de tels moyens [scientifiques] soient les seuls sur lesquels on puisse
compter pour combattre le matérialisme. Mais cela encore ne constitue que des
[vaines] imaginations occidentales.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">En
réalité, nous possédons d’autres sciences dont l’importance et l’authenticité
ne sont pas moindres que celles qui précédèrent, qui recourent à des moyens
totalement différents et qui restent inconnues des occidentaux modernes.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Cela
dit, il nous faut à présent distinguer entre la réalité des phénomènes
paranormaux que nous évoquons ici et les diverses explications qui en furent
proposées par ailleurs. </span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
nous étonnons beaucoup que le professeur Farid Bek Wajdî persiste à revenir sur
le premier aspect de la question, puisque nous avons affirmé que la réalité des
« phénomènes » ne souffrait aucun doute et qu’ils furent connus de
tous temps et sur tous les continents. [En effet] de tels phénomènes sont
partout attestés et ne sont en rien exceptionnels. Ils présentent des variétés
plus nombreuses que celles qui ont pu être observées par les occidentaux,
« spirites » ou non, qui tentent d’en faire l’étude.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
regrettons que le professeur Farid Bek Wajdî énumère, à propos de cette
affaire, plusieurs noms de savants européens et américains qui s’adonnèrent à
cette étude. Comme si nous étions dans l’obligation d’accepter ce que nous
suggèrent [litt. = « nous dictent »] ces savants. Nous éprouvons du
regret car il ne nous est pas possible d’accepter que l’Orient puisse se croire
obligé de suivre les occidentaux et d’accueillir leurs enseignements, surtout
en ce qui concerne des domaines dont la réalité n’a cessé d’être connue en
Orient, alors que l’Occident ne fait seulement que des recherches à leurs
sujets. Il est à peine nécessaire de préciser que ceux qui cherchent [à
connaître] certains sujets sont bien ceux qui ne connaissent pas [encore] leurs
réalités.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De
plus il importe de souligner que les individualités mentionnées [par le
professeur Wajdî] ne sont pas d’égale[s] valeur[s]. Il ne nous est pas possible
de placer sur un même niveau un [physicien] respectable comme William Crookes
et un autre que nous considérons comme un vulgarisateur [litt. =
« commerçant avec les sciences »], tel Camille Flammarion. Ajoutons à
cela que si certaines d’entre ces individualités ont accepté le
« spiritisme », la plupart d’entre elles ont divergé quant aux
théories professées, et parfois se sont même abstenues d’adhérer à une
quelconque explication.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
trouvons [également]<span style="margin: 0px;"> </span>parmi celles qui ont
adopté le « spiritisme », des personnes dont l’activité scientifique
n’a aucun rapport avec la question. Tel est le cas de César Lombroso et Oliver
Lodge.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
premier s’est occupé de « spiritisme » à la suite du décès de sa
mère, et le deuxième après celui de son fils à la guerre. Ces faits nous
montrent que de tels hommes, nonobstant l’érudition qui est la leur dans leurs
domaines propres possèdent une opinion de faible valeur [litt. = « une
parole de peu de poids »].</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
convient d’ajouter à ce qui précède que les connaissances de certains savants
ne les empêchent pas de se laisser impressionner par des phénomènes
artificiellement provoqués. Ce qui arriva à William Crookes avec son médium
Florence Cook et advint récemment à Charles Merichi[h] en Algérie. Il est
facile de comprendre pourquoi cela est possible lorsque l’on pense que ces
individus se trouvent dans ces situations, loin des limites propres à leurs
sciences. Ils n’ont pas plus alors de compétence que n’importe quel autre
ignorant. Il se pourrait même qu’ils tombent plus facilement que quiconque dans
l’erreur, car dans ce cas particulier ils mènent des expériences sur des choses
dont la nature et les lois diffèrent totalement de celles auxquelles ils sont
accoutumés. De plus, ils déploient leurs moyens habituels face à ces choses,
moyens qui ne sont absolument pas appropriés.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">[Maintenant]
que devons-nous dire à propos de ce riche commerçant, qui vendait des
spiritueux (1), Jean Meyer, et qui vient de mourir il y a seulement
quelques mois ? Cet homme a dépensé de nombreux millions en ambitionnant
de devenir un jour le pape (2) du « spiritisme ». Il déclara une
guerre impitoyable à ceux de ses « frères en religion » qui s’étaient
proposé de fonder des universités et des bibliothèques indépendantes. Ces
derniers furent contraints à s’incliner face à la puissance financière. Tout
cela se déroula naturellement au nom de la « fraternité et de la
fraternisation ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce
même individu fonda à Paris un institut « scientifique » dans le but
de soumettre à son pouvoir les chercheurs indépendants ; nous voulons
parler de ceux qui n’adhéraient pas au « spiritisme » ; en leur
concédant des aides financières de sorte qu’ils ne soient plus en mesure de
proposer une autre explication que le « spiritisme ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">En
réalité, nous trouvons affligeant d’être obligé de rendre publics de tels noms
et faits dans les pages de cette revue que nous estimons trop digne pour la
mention de tels actes.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Quant
aux dangers résultants du « spiritisme », nous assurons le professeur
Farid Bek Wajdî que la folie et autres inconvénients qu’il provoque ne sont
aucunement exceptionnels, mais adviennent en fait très fréquemment.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">S’il
nous objectait que ces choses n’adviennent qu’aux personnes dépourvues
d’instruction, nous répondrions qu’en réalité ces dernières constituent la
majorité des « spirites », et cela sur tous les continents. Nous
n’avons pas le droit de laisser ces gens exposés ainsi sans protection à de
tels dangers nés de la propagation de pensées néfastes, alors qu’ils sont prêts
à les accepter sans examen approfondi (3). Il faut même que ce soit tout le
contraire.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
ajouterons de plus que nous ne pensons absolument pas que les enseignements
extérieurs [litt. = « du dehors » (i.e. « superficiels »)]
qui résultent des établissements et universités occidentales, puissent du tout
protéger leurs étudiants des dangers dont il s’agi. Et cela en raison du fait
que ceux que l’on<span style="margin: 0px;"> </span>nomme les «
enseignants », et même les plus célèbres d’entre eux les
« savants » ignorent totalement les choses que nous sommes en train
d’examiner ici.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Quant
à l’explication des phénomènes par le pouvoir propre du « médium »,
cela est exact. Toutefois nous ne sommes pas tenus de l’accepter ou de la nier.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Car
certains occidentaux se sont autorisés à voir là une chose nouvelle. Ils ont
ainsi affirmé des choses – sans aucune connaissance de leur part – qui ne sont
pas du tout nouvelles. Elles étaient même connues en Orient depuis des
millénaires. Malheureusement nous constatons que les occidentaux les
comprennent de manière très limitée, du fait de l’insuffisance de leur
connaissance sur la nature réelle de l’homme et de ses pouvoirs. C’est pourquoi
ils s’avèrent incapables d’utiliser cette explication [par le pouvoir du
médium] dans de nombreuses situations qui correspondent tout à fait [à ce
pouvoir].</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’on
ne doit point soutenir que les forces jouant un rôle capital dans la naissance
de ces phénomènes soient mentales [litt. = « rationnelles »]. Non
pas, ce sont là des forces psychiques qui en diffèrent totalement, et dont la
portée et la signification sont plus larges.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais
il nous faut répéter qu’elles sont de nature psychique et aucunement
spirituelle. Elles sont semblables à ces éléments que l’homme abandonne après
sa mort, et qui n’ont pas de lien avec la partie perpétuelle de son être.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
insistons sur ce point – bien que nous l’ayons clairement exprimé auparavant –
car le professeur Farid Bek Wajdî prétend que nous parlons de ces forces comme
étant des éléments spirituels.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Lorsque
nous affirmons qu’elles sont subtiles et ne font pas partie des énergies
résidant dans le corps [proprement dit] ni de celles qui se trouvent dans le
monde corporel et sensible, c’est-à-dire de celles faisant l’objet des études
menées par les sciences médicales modernes, [nous parlons] de celles qui sont
issues de la nature psychique. Car l’expression de « monde subtil » est
une traduction littéraire de l’expression indienne qui désigne le « monde
psychique ». C’est ainsi qu’on la formule pour la comparer au monde
sensible. Elle ne peut jamais qualifier le « monde spirituel ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De
toute manière, les forces agissantes dans ces phénomènes – qu’elles soient
propres au médium lui-même, à tout autre être vivant, ou encore à d’autres
forces extérieures telles les influences errantes ou émanant d’êtres vivants
comme les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">djinns</i> – sont très proches
du monde sensible. Elles doivent être réellement considérées comme étant de
nature déchue. Or les influences spirituelles ne s’associent pas à ces
situations. Même si le professeur Farid Bek Wajdî affirme cela… il nous fournit
cependant une raison valable pour confirmer ce que nous disons. Nous sommes
[même] obligé d’insister, car notre négation à ce sujet est absolue. Il infirme
ainsi lui-même tout ce qui pourrait nous contraindre à admettre la
manifestation de la personne d’un défunt. Même s’il ne nous faut pas qualifier
de mensonge [pur et simple] cette manifestation. Tout comme lorsque l’on voit
un singe imiter les mouvements de l’homme.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ces
forces puisent leur apparence sensible des personnes parmi lesquelles elles se
manifestent. C’est la raison pour laquelle les pensées communiquées par ces
forces correspondent complètement aux idées habituelles des personnes composant
l’assistance. Cela nous explique [également] pourquoi ceux que l’on appelle les
« esprits » se contredisent.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Prenons
un exemple : alors que se propage la doctrine de la « réincarnation »
[litt. = « revêtir des vêtements différents »] en France – à laquelle
n’adhèrent pas les spirites en Angleterre et en Amérique – nous voyons des
« esprits » matérialistes, dans certains messages communiqués en
Hollande depuis vingt ans, nier l’éternité (4) et affirmer que la vie de
l’homme ne persiste après la mort que pour une durée maximale de cent cinquante
ans.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
nous faut à présent ajouter ce qui suit :</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Il
existe des réalités qui échappent aux moyens [mis en œuvre] par les sciences
occidentales modernes et matérialistes. C’est pourquoi l’on dit d’elles
qu’elles ne sont que fables issues de l’imagination des anciens. Alors qu’en
fait elles constituent des passages [litt. = « issues »] menant à un
autre genre de sciences qui diffèrent totalement des sciences matérialistes. Et
cette (5) science traditionnelle [litt. = « ancienne »], il convient
que nous la qualifions de science authentique.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
ne craignons pas d’affirmer l’existence d’âmes propres aux corps célestes et
ayant une influence effective sur les événements terrestres.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
ne craignons pas non plus de reconnaître, comme nous l’enseignent les anciens,
que les éléments ne sont pas au nombre de quatre, mais de cinq et qu’il n’en
existe ni plus ni moins.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
disons que ces éléments n’ont aucun rapport avec ce que la chimie moderne nomme
« les éléments [litt. = « matériaux »] premiers simples ».
[En effet] les cinq éléments ne sont point des corps, mais c’est à partir d’eux
que sont formés les corps.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
ne pouvons accorder aucune importance – au regard de la véritable connaissance
– aux sciences modernes, lesquelles s’avèrent constamment changeantes et non
assurées dans leurs explications. Si nous acceptons cependant les résultats
pratiques qui procèdent de plusieurs découvertes [litt. = « choses »]
comme par exemple [celle de] l’électricité, sans que [la « science »]
n’en connaisse la nature, nous ne donnons pas le nom de « science »
[à ces résultats], nous les qualifierons seulement de technique.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
ne pouvons partager avec le professeur Farid Bek Wajdî ses espoirs concernant
les recherches occidentales, qui nous apparaissent devoir être des analyses
interminables, superficielles et sans profit [véritable].</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">De
même nous voyons que le progrès de ces recherches mène à l’opposé de tout ce
qui peut être de nature spirituelle, et nous ne doutons pas de la difficulté et
même de l’impossibilité de parvenir par ce moyen à ouvrir la voie vers le monde
spirituel.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
malgré tout nous supposions l’advenue d’une telle éventualité, par quelque
moyen que ce soit, cela provoquerait [assurément] la fin de la science moderne
et de la civilisation telle que la conçoivent les occidentaux. Et cependant il
reste très improbable que ces derniers y parviennent.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Finalement
nous dirons que l’Orient se doit de préserver sa science propre, laquelle est
la plus vraie, plus parfaite et plus universelle [litt. = « s’étendant
plus à toute l’existence »], au lieu de voir son champ réduit au seul
monde de la matière.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
ne vivons pas, comme l’imagine le professeur Farid Bek Wajdî, à une époque
autre que la nôtre. Car notre temps diffère de celui des occidentaux. Alors
qu’eux rêvent [de « progrès »], jusqu’à ce qu’ils se réveillent au
son d’une calamité, nous savons que l’âge d’or se trouvait en vérité au début
de l’histoire humaine. Toute la connaissance fut donnée à l’homme au début,
puis s’est occultée, par rapport à lui, progressivement au cours des époques,
se déplaçant [insensiblement] du monde de l’esprit à celui de la matière.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">En
dernier lieu, nous savons que ces raisons influencées par la mentalité [litt. =
« pensée »] occidentale ne cesseront de nous accuser de soutenir des
fables. Cela n’a pour nous aucune importance. Notre discours ne s’adresse pas à
de telles personnes, mais aux véritables orientaux qui persistent toujours à
être – comme il le leur incombe – les gardiens de la sagesse éternelle.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(Revue
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">al Ma’rifah</i> -<span style="margin: 0px;"> </span>septembre 1931)</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">**********</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(1)
– Boisson spiritueuse fabriquée avec des dattes, raisins secs, etc… se dit des
alcools et vins.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(2)
– C’est bien l’expression qu’utilise René Guénon.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(3)
– Nous voyons là s’exprimer un « souci du prochain » que beaucoup de
lecteurs de l’œuvre n’ont pas su percevoir.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(4)
– Litt. = « persister, se conserver sans fin ». Cette nuance est ici
précisée car plusieurs termes désignent l’ « éternité » en arabe.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(5)
– Le texte arabe passe bien à cet endroit du pluriel de
« sciences » au singulier « cette science ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">***************************************</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Signalons
que le texte de la version traduite de ces deux articles par M. Jean Gouraud a
été mis en ligne sur ce site<span style="margin: 0px;"> </span>internet:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<a href="http://dinul-qayyim.over-blog.com/ren%C3%A9-gu%C3%A9non-le-n%C3%A9o-spiritualisme-et-son-erreur"><span style="color: blue; font-family: "calibri";">http://dinul-qayyim.over-blog.com/ren%C3%A9-gu%C3%A9non-le-n%C3%A9o-spiritualisme-et-son-erreur</span></a></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<a href="http://dinul-qayyim.over-blog.com/le-n%C3%A9o-spiritualisme-r%C3%A9ponse-%C3%A0-une-critique"><span style="color: blue; font-family: "calibri";">http://dinul-qayyim.over-blog.com/le-n%C3%A9o-spiritualisme-r%C3%A9ponse-%C3%A0-une-critique</span></a></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<b></b><i></i><u></u><sub></sub><sup></sup><strike></strike>Bruno Hapelhttp://www.blogger.com/profile/05525415697835975358noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5088615654452892767.post-51845990493495617722018-10-29T04:54:00.000-07:002019-02-27T05:11:18.807-08:00René Guénon - La frontière de l'autre monde<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 13.33px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans son ouvrage intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">René Guénon, 1907 – 1961</i>, M. Gilis fait
mention des écrits de jeunesse de René Guénon et notamment d’un petit
roman :</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 13.33px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">(…)<i style="mso-bidi-font-style: normal;">
l’ébauche d’un roman intitulé <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">La
Frontière de l’Autre Monde</b>. La qualité littéraire de ces textes, de la part
de quelqu’un qui deviendra un maître de la langue française, est d’une
affligeante médiocrité, tandis qu’on note l’omniprésence d’une sorte
d’obsession ténébreuse, et même diabolique.</i> (p. 33).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 13.33px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce roman, qui n’est peut-être pas le
seul que René Guénon ait composé, ne nous semble en aucun cas médiocre comme le
pense M. Gilis, loin de là. Pour que le lecteur puisse en juger, nous en
donnons une copie malheureusement incomplète. Nous avons eu beaucoup de mal à
nous procurer une photocopie (médiocre) du tapuscrit censé être fidèle à
l’original manuscrit. Le texte reproduit est donc issu du déchiffrement de
cette version photocopiée.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 13.33px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’œuvre est ici en germe, dans la nuit,
dans une obscurité toute shivaïte. L’hindouisme est d’ailleurs déjà présent
avec l’utilisation du monosyllabe <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AUM</i>
et de formules proches du tantrisme. Soulignons que ce roman, œuvre de fiction,
n’a pas été conçu pour la publication et qu’il n’est qu’un simple signe qui ne
doit pas être surévalué ou mal interprété. Mais il n’est certainement pas un
signe d’ignorance, ni « d’obsession ténébreuse ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 13.33px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous espérons que d’autres auront accès
au texte original manuscrit et qu’ils pourront en donner une version plus
conforme.<span style="color: black; margin: 0px;"></span></span></div>
<br />
<br />
<br />
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 22pt; margin: 0px;">René
Guénon - La frontière de l'autre monde</span></b><br />
<br />
<br />
<br />
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 18pt; margin: 0px;">L'énigme
du sphinx</span></b><br />
<br />
<br />
<br />
Il n'est pas de plus troublante énigme pour l'homme que l'homme lui-même,
car tout en lui est mystère, son origine, sa nature et sa destinée. Il aspire à
connaître les réalités qui existent en dehors de lui, et cela est assurément
fort légitime; mais ne doit-il pas chercher tout d'abord à se connaître
lui-même ?<br />
<br />
Telles étaient les réflexions que je me faisais, pour la centièmes fois
peut-être en errant à travers les rues bruyantes et animées de Paris, et tout
le mouvement que je voyais autour de moi me semblait lointain, confus,
indéfinissable. Quel but à toute cette activité ? Quelle est la raison d'être
de la vie humaine?<span style="margin: 0px;"> </span>Que sont tous ces
êtres qui s'agitent autour de moi? Que pensent-ils? Où vont-ils ? Suis-je même
bien sûr qu'ils existent réellement, qu'ils ne sont pas de simples fantômes de
mon imagination ? Et, moi-même, qui suis-je donc ?<br />
<br />
Il m'eût été bien difficile alors de répondre à ces multiples
interrogations, et pourtant il y avait une chose dont je ne pouvais pas douter
: c'était ma propre existence. Je pensais alors au "<i style="mso-bidi-font-style: normal;">cogito, ergo sum</i>" de Descartes, et je m'en étonnais, je m'en
scandalisais presque : par quelle étrange aberration ce philosophe éprouvait-il
le besoin de se prouver à lui-même qu'il existait? Mais puisque je possède
l'existence, pourquoi cette propriété n'appartiendrait-elle qu'à moi seul?
Pourquoi n'existerait-il pas d'autres êtres que moi ? Oui, tous ces gens qui
m'entourent, qui me heurtent, qui crient, qui gesticulent, qui s'agitent de
tous côtés, ils doivent exister aussi; tout cela ne peut pas être une pure
illusion, mais que sont ces êtres ? Sans doute, leur nature doit être assez
analogue à la mienne, comme l'est leur apparence; ils sont plus ou moins semblables
à moi, et d'ailleurs, s'ils n'avaient rien de commun avec moi, je ne pourrais
ni les connaître ni même les concevoir; mais, encore une fois, que suis-je
moi-même ?<br />
<br />
Cette question revenait sans cesse et m'obsédait: les autres êtres sont ce
que je suis, mais cela ne me fait nullement connaître leur nature, car le
mystère est en moi-même. Et ce mystère se formulait pour moi en une triple et
formidable interrogation, qu'il me semblait avoir entrevue jadis, mais sans
pouvoir précise ce souvenir: d'où viens-je ? Que suis- je ? Où vais-je ?<br />
<br />
Où j'allais, j'aurais été à ce moment bien incapable de le dire; j'errais
sans but, et j'avais traversé tant de rues et de places que je n'avais qu'une
notion fort vague du lieu où je me trouvais et du temps qui s'était écoulé
depuis le début de ma méditation. Le monde extérieur s'était presque effacé
pour moi, et je ne voyais plus que trois immenses points d'interrogation;
toujours revenaient les trois obsédantes questions: d'où vient l'homme?
Qu'est-il ? Où va-t-il ?<br />
<br />
- L'homme vient de Dieu, il est un Dieu tombé, et il retourne à Dieu !<br />
<br />
Qui avait murmuré ces paroles à mon oreille ? Je me retournai et je ne vis
personne, ce n'était pourtant pas une voix intérieure que j'avais entendue, et,
bien qu'absorbé dans mes pensées, je n'étais ni endormi ni halluciné.<br />
<br />
- Le Sphinx t'a posé sa triple énigme, et, nouvel Œdipe, il te faut
triompher de lui !<br />
<br />
C'était la même voix qui avait encore parlé: je me retournai de nouveau,
mais il n'y avait personne derrière moi ni à côté de moi, ou du moins aucun
être visible. Car il fallait bien qu'il y eût quelqu'un, puisque j'avais très
nettement entendu parler à deux reprises différentes. Ces paroles devaient
avoir été prononcées par un être invisible, mais néanmoins réel; pourquoi n'y
aurait-il pas d'autres êtres que ceux que nous voyons ? Les récits de
phénomènes mystérieux revenaient à mon esprit, mais je n'en avais jamais
constaté par moi-même; aussi étais-je profondément troublé.<br />
<br />
Je n'entendais pas autre chose ce jour-là, mais rentré chez-moi, je ne pus
dormir de la nuit; un monde nouveau s'ouvrait devant moi, et il semblait que ma
tête allait éclater. L'étrangeté du phénomène retenait toute mon attention, et
je ne songeais même pas au sens des paroles que j'avais entendues. Quoi qu'il
en soit je me décidai promptement à aborder l'étude de l'occultisme, sur
lequel je ne savais que fort peu de chose, mais qui devait me permettre de me
rendre compte de ce qui venait de se passer, et peut-être aussi de ce qui
m'arriverait par la suite, car il me semblait que tout ne se bornerait pas là.<br />
<br />
Dès le lendemain, je me procurai quelques ouvrages dont je connaissais les
titres, et je me mis aussitôt au travail. Plusieurs jours se passèrent sans
nouveaux incidents, et je profitai de ce temps pour acquérir quelques notions
d'occultisme; cette étude était si attrayante pour moi que j'y consacrais
maintenant tous mes instants. Un jour, mes yeux tombèrent sur ces vers
d'Eliphas Lévi:<br />
<br />
"Le front d'homme du Sphinx parle d'intelligence,<br />
<br />
Ses mamelles d'amour, ses ongles de combats;<br />
<br />
Ses ailes sont la foi, le rêve et l'espérance,<br />
<br />
Et ses flancs de taureau le travail ici-bas !<br />
<br />
<br />
<br />
Si tu sais travailler, croire, aimer, te défendre,<br />
<br />
Si par de vils besoins tu n'es pas enchaîné,<br />
<br />
Si ton cœur sait vouloir et ton esprit comprendre,<br />
<br />
Roi de Thèbes, salut ! Te voilà couronné !"<br />
<br />
<br />
<br />
Aussitôt, le sens des paroles qu'avait prononcées la voix mystérieuse me
revient à la mémoire: je devais résoudre l'énigme du Sphinx: mais comment le
pourrais-je par mes seules forces, moi qui ne savais presque rien ?<br />
<br />
- L'aide ne fait jamais défaut aux hommes de bonne volonté !<br />
<br />
La même voix avait encore parlé, et cette fois chez moi, où pourtant j'étais
seul ! J'en fus épouvanté, et je sortis en toute hâte, espérant me distraire
par le contact du monde extérieur, et en même temps remettre un peu d'ordre parmi
les idées tumultueuses qui s'entrechoquaient en moi. Cependant, je ne pus
retrouver le calme, et ce n'est pas sans une vive appréhension que je rentrai
chez moi, ce fut bien autre chose lorsque je vis établie sur mon bureau une
large feuille de papier couverte d'écriture, et je ne m'en approchai qu'en
tremblant.<br />
<br />
En haut de cette feuille était une étrange figure: une croix, sur laquelle
était une rose, portait aux extrémités de ses quatre branches les lettres
hébraïques formant le Nom Divin, le Saint Tétragramme; en face de cette croix
était le sphinx, et au-dessous se lisait cette parole de l'Evangile: "<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quaere et invenies</i> !<br />
<br />
Plus bas, une main mystérieuse avait tracé ces lignes:<br />
<br />
"A toi qui cherche le grand Arcane, Salut !<br />
<br />
"Tu ne sais qui nous sommes, mais nous savons qui tu es ce que tu
ignores toi-même !<br />
<br />
"C'est nous qui t'avons parlé, mais tu ne nous as point vu, car tes
yeux ne peuvent pas encore voir l'Invisible.<br />
<br />
"Mais ne crains rien: notre protection est sur toi, et nous t'aiderons
à résoudre l'énigme du Sphinx.<br />
<br />
"Ceux que nous avons choisis nous ne les abandonnons jamais.<br />
<br />
"Quant aux autres, aux profanes qui ont des yeux et ne voient point;
qui ont des oreilles et n'entendent point, nous resterons toujours invisibles
pour eux, car ils sont incapables de connaître la Vraie Lumière.<br />
<br />
"<em>Lux in tenebris lucet, et tenebrae eam non comprehenderunt</em>
!<br />
<br />
"Mais à tous ceux qui ont bonne volonté, le Verbe a donné le pouvoir de
devenir enfants de Dieu, car ceux qui croient en son nom sont dignes de
recevoir la lumière:<br />
<br />
<em>"Gloria in excelsis deo, et in terra pax hominibus bonae voluntatis</em>
!<br />
<br />
" Le Verbe est la Voie, la Vérité et la Vie !<br />
<br />
" Médite ces paroles en silence, et ne les communique à personne.<br />
<br />
"<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lege, lege et relege: labora,
ora et invenies</i> !<br />
<br />
Maintenant, je ne pouvais plus détacher mes yeux de cette inscription, qui
me semblait tracée en caractères lumineux, en traits de flamme. J'y songeai
jour et nuit, je méditai sans cesse, mais je ne pus trouver le mot de l'énigme.
Enfin un jour que je promenais en y songeant encore, la voix me dit: -Courage
et persévérance !<br />
<br />
En rentrant, je trouvai une nouvelle feuille de papier, placée comme la
première, et sur laquelle ces mots étaient tracés de la même écriture.<br />
<br />
"Tu as longuement médité sur le mystère, mais tu n’as pas encore reçu
la lumière !<br />
<br />
"Sache que l'énigme du Sphinx est triple, et que trois se résout en quatre.<br />
<br />
"Le Sphinx lui-même est quatre: Tête d'homme, corps de taureau, ailes
d'aigle et griffes de lion.<br />
<br />
"La croix aussi est quatre: toute science divine et humaine est
contenue en principe dans l'ineffable Tétragramme, chef de la sainte Kabbalah !<br />
<br />
"Considère les quatre animaux de la vision d'Ezéchiel et de
l'Apocalypse; lorsqu'ils se rapprochent jusqu'à se joindre, quatre en un, vois
quel est l'être qu'ils forment.<br />
<br />
"Souviens-toi du Kérub qui, armé de l'épée flamboyante, garde l'entrée
de l'Eden !<br />
<br />
"Souviens-toi aussi des roues que vit le prophète Ezéchiel: Rota, Taro,
Ashor, Thorah ! [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">Erreur de transcription ?
On note que trois des termes sont des permutations de quatre lettres :
Rota, taro, tora. On attendrait donc plutôt ator (hathor)]</span><br />
<br />
"Souviens-toi enfin des quatre verbes de l'initiation magique : savoir,
vouloir, oser, se taire !<br />
<br />
"Contemple l'inscription qui est sur la Croix, et considère qu'elle est
formée de quatre lettres comme Tétragramme: I. N. R. I. !<br />
<br />
"Lorsque tu auras compris ces choses, tu seras bien près de connaître
la lumière !<br />
<br />
"<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Post tenebras lux</i> ! <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ordo ab Chao</i> !<em><span style="font-style: normal; margin: 0px;"></span></em><br />
<br />
<em><span style="font-style: normal; margin: 0px;">Je lus, je
relus, je méditai, mais je ne compris pas, ou du moins je ne compris que fort
imparfaitement ; je ne connaissais guère de l’occultisme que des
généralités, et je savais à peine ce qu’était la Kabbale. Cependant il me
semblait que je sentais naître en moi des idées nouvelles, qu’il m’eut été
impossible d’exprimer, tant elles étaient imprécises et différentes de tout ce
que j’avais connu jusqu’alors !</span></em><br />
<br />
<em><span style="font-style: normal; margin: 0px;">Quelques
jours se passèrent encore, pendant lesquels je n’entendis pas la voix ;
mais je trouvai chez moi une troisième épître mystérieuse, conçue en ces
termes :</span></em><br />
<br />
<em><span style="font-style: normal; margin: 0px;">« Toi
qui veux savoir, sache d’abord que tu ne sais rien !</span></em><br />
<br />
<em><span style="font-style: normal; margin: 0px;">« Lorsque
tu sauras cela, tu seras plus fort que tous les savants du monde, qui ne
connaissent rien en réalité, pas même leur ignorance !</span></em><br />
<br />
<em><span style="font-style: normal; margin: 0px;">« Il te
faut vaincre en toi-même l’orgueil et l’ambition : les distinctions
humaines n’ont aucune valeur à nos yeux.</span></em><br />
<br />
<em><span style="font-style: normal; margin: 0px;">« Dieu
seul est bon ! Dieu seul est grand ! Dieu seul est puissant !</span></em><br />
<br />
<em><span style="font-style: normal; margin: 0px;">« </span>Quis
similis tibi in fortibus, Domine</em><em><span style="font-style: normal; margin: 0px;"> ?</span></em><br />
<br />
<em><span style="font-style: normal; margin: 0px;">« Tout
en ce monde n’est que vanité : la gloire, la fortune, tout cela n’est
rien.</span></em><br />
<br />
<em><span style="font-style: normal; margin: 0px;">« </span>Vanitas
vanitatum, et omnia vanitas</em><em><span style="font-style: normal; margin: 0px;"> !</span></em><span style="margin: 0px;"></span><br />
<br />
« Une seule chose est nécessaire à l’homme : c’est la parole de
Dieu !<br />
<br />
« Le Christ a dit : le Ciel et la Terre passeront, mais ma Parole
ne passera point !<br />
<br />
« La Parole est perdue, le monde est plongé dans les ténèbres, mais si
tu le désires ardemment, tu sortiras de ces ténèbres, et la Vérité
t’apparaîtra.<br />
<br />
« Sache que ta force ne réside pas seulement dans la volonté, mais
aussi et surtout dans le désir ; l’homme de désir est le protégé de la
providence.<br />
<br />
« Cherche la Parole perdue, et tu la trouveras ; demande la
lumière, et tu la recevras ; frappe à la porte du Temple, et l’on t’ouvrira ! »<br />
<br />
Après avoir lu ces mots, je vis flamboyer devant moi l’inscription de la
Croix : I. N. R. I., et, au même moment j’entendis la voix qui me
disait :<br />
<br />
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Igne Natura Renovatur Integra</i> ! »<br />
<br />
Il me semble alors que quelque chose s’illuminait en moi, et, en reprenant
la feuille de papier sur laquelle étaient écrites les lignes que je venais de
lire, je vis en haut la figure du Sceau de Salomon, que je n’avais pas
remarquée tout d’abord.<br />
<br />
Cependant, je ne comprenais pas encore entièrement le sens des quatre
lettres mystérieuses, et toute mon attention se portait sur ce point, lorsque
la voix, qui maintenant ne m'effrayait plus, se fit entendre de nouveau et dit:<br />
<br />
"- Réintégration dans l'Unité par l'amour ! "<br />
<br />
Cette fois, j'avais compris, et je voyais comme une éclatante lumière; mais
la triple énigme du Sphinx se posait encore: d'où vient l'homme ? Qui est-il ?
Où va-t-il ? Je me souvenais de la réponse que la voix y avait faite la
première fois, et je la comprenais maintenant, mais pas assez encore pour exprimer
ce que je sentais être la Vérité.<br />
<br />
Une quatrième épître formula le lendemain ce que l'intuition m'avait fait
pressentir:<br />
<br />
"Un est tout, et tout est un !<br />
<br />
"Un a produit deux, deux a produit trois, trois a produit tous les
nombres. [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les principes du calcul infinitésimal</i>, au chapitre IX,
citation du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tao-te-king</i>
par<span style="margin: 0px;"> </span>René Guénon exactement de cette
façon. Matgioi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Voie Métaphysique</i>,
traduction du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tao-te-king</i>, ch. XLII)
traduit ainsi: La Voie a produit Un. Un a produit Deux, Deux a
produit Trois. Trois a produit les dix milles êtres.</span>]<br />
<br />
"Un et deux sont trois: toutes choses viennent de Dieu.<br />
<br />
"Dieu non manifesté est un, Dieu manifesté est trois, un et trois sont
quatre.<br />
<br />
"Dieu est trois: Père, Fils, Esprit, et ces trois ne sont qu'un.<br />
<br />
"L'homme aussi est trois: esprit, âme, corps, et ces trois ne sont
qu'un.<br />
<br />
"L'Unité manifesté est la trinité, qui est la Tri-Unité.<br />
<br />
"Tout est sorti de un, et tout doit revenir à un !"<br />
<br />
Je lus alors divers passages d'ouvrages kabbalistiques, relatifs à la
doctrine de l'Adam Kadmon, qui me parut claire jusqu'à l'évidence, et j'y
trouvai l'explication de la première phrase que j'avais entendue, puisque Adam
Kadmon, dont nous sommes tous des cellules, est le Verbe manifesté, et que le
Verbe est Dieu !<br />
<br />
Et, à ce moment, deux vers de Lamartine me revinrent à la mémoire:<br />
<br />
"Borné dans sa nature, infini dans ses vœux,<br />
<br />
L'homme est un Dieu tombé qui se souvient des cieux."<br />
<br />
Mais l'énigme du Sphinx se présenta de nouveau devant ma pensée, et aussitôt
la voix répondit aux trois questions par ces trois mots:<br />
<br />
" - Chute, Incarnation, Rédemption !"<br />
<br />
Et je compris quel lien unissait l'énigme unissait l'énigme du Sphinx et le
mystère de la croix !<br />
<br />
Alors la voix se fit encore entendre et me dit:<br />
<br />
"Ferme les livres, ils te seront désormais inutiles !"<br />
<br />
Et je compris que c'était en moi-même et non au dehors que je devais trouver
le principe de toute connaissance, contrairement à ce que pensent les faux
savants, et que la devise du vrai sage devait être: "<em>Omnia mecum porto</em>
!" [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">« Je transporte tout avec
moi », (Selon Cicéron, Bias, l'un des sept sages, fuyant Priène prise pas
l'ennemi, à ceux qui s'étonnaient qu'il n'emporte aucun bien, ni meubles ni
argent, répondait : « je porte en moi tout ce qui
m’appartient ».)</span>]<br />
<br />
Quelques jours plus tard, je pus lire une cinquième missive, qui contenait
ces paroles:<br />
<br />
"Le Ternaire se développe et s'explique par le quaternaire.<br />
<br />
"Le Sphinx est quatre, et ces quatre ne sont qu'un.<br />
<br />
"Le quaternaire est l'expansion cruciale de l'Unité.<br />
<br />
"Le quaternaire contient le Dénaire, donc tous les Nombres, et le
Dénaire n'est que le développement de l'Unité.<br />
<br />
"Les nombres sont les principes des choses, a dit Pythagore; les
Nombres de Pythagore sont identiques aux Idées de Platon.<br />
<br />
"La méditation t'apprendra comment tous les nombres sont sortis de l'Unité,
et comment ils y retourneront.<br />
<br />
"L'Unité est le plus grand de tous les Nombres, car elle les contient
tous; souviens-toi toujours de cette vérité.<br />
<br />
"Lorsque tu auras approfondi la science des Nombres, tu seras près de
savoir toutes choses; mais celui qui sait tout ne sait rien encore rien.<br />
<br />
"Apprends à connaître la Vérité, et la Vérité t'affranchira !"<br />
<br />
Le lendemain je recevais encore une nouvelle communication, conçue en ces
termes:<br />
<br />
"Le Sphinx connaît toutes choses, car tout est dans tout et l'absolu est
aussi dans l'homme.<br />
<br />
"Si tu veux parvenir à la science intégrale, réalise donc le Sphinx en
toi.<br />
<br />
"Lorsque tu auras atteint l'équilibre qui réside en l'Invariable
Milieu, alors tu sauras.<br />
<br />
"Mais surtout prends bien garde que le Sphinx ne dégénère par involution
de chacun de ses éléments constitutifs, car, au lieu du sublime gardien de
l'invisible sanctuaire, tu n'aurais plus alors devant toi, ou plutôt en toi,
qu'une ridicule chimère, qui pourrait même se transformer facilement en un
monstre odieux.<br />
<br />
« Le Sphinx n’est pas seulement en l’homme, il est aussi dans la
Nature.<br />
<br />
« Tel le microcosme, tel le macrocosme ; ce qui est en bas est
comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas,
pour accomplir le miracle de la chose unique.<br />
<br />
« L’homme qui se connaîtrait parfaitement connaîtrait toutes choses,
car il renferme en lui toutes les énigmes de l’Univers, et celui-là aurait
vraiment réalise le Sphinx, mais il ne serait plus un homme.<br />
<br />
« Souviens-toi aussi de la Croix jointe à la Rose mystique<br />
<br />
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ad Rosam per Crucem, ad Crucem
per Rosam</i> !<br />
<br />
« Puissent les portes d’or du Sanctuaire des Arcanes s’ouvrir bientôt
toutes grandes devant toi !<br />
<br />
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pax profunda</i> ! <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Amen</i> ! »<br />
<br />
Je méditai longuement ces lignes, et il me semblait que le sens s'en
dévoilait peu à peu pour moi; de jour en jour, je comprenais mieux ces
mystérieux enseignements.<br />
<br />
Enfin, quelques temps après, je reçus une septième communication.<br />
<br />
"<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ave, Frater Rosae-Crucis</i> !<br />
<br />
"A toi qui es désormais des nôtres, salut et fraternité.<br />
<br />
"Nous t'avons jugé digne d'être admis parmi nous, et de prendre part à
notre invisible communion.<br />
<br />
"Mais sois prêt à affronter toutes les épreuves qui ne manquent jamais
de fondre sur le nouvel initié.<br />
<br />
"Que ta volonté calme et puissante brise tous les obstacles, sache
triompher des multiples assauts de l'Adversaire, aborde résolument le gardien
du Seuil, dégage-toi des liens de la matière et des innombrables replis du
Serpent Astral !<br />
<br />
« Sache que celui qui aura vaincu les Terreurs de la Mort aura droit à
être initié aux plus grands mystères.<br />
<br />
« Sache aussi que c’est en toi-même que tu trouveras le Principe de
toute Vérité.<br />
<br />
« N’oublie jamais le symbole du Sphinx ; lorsque tu auras résolu
l’énigme qu’il te présente, tu recevras la couronne des Mages.<br />
<br />
« En vérité, l’énigme du Sphinx, c’est le secret de l’homme.<br />
<br />
« Savoir, vouloir, oser, se taire, tel est le quaternaire magique.<br />
<br />
« Tu sauras qui nous sommes lorsque le temps sera venu ; tu nous
trouveras assemblés dans le temple du Saint-Esprit.<br />
<br />
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Gloria, gloria, gloria Deo</i> !<br />
<br />
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pax et lux tecum</i> ! <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Amen</i> ! »<br />
<br />
<br />
<br />
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 18pt; margin: 0px;">L’adversaire</span></b><br />
<br />
<br />
<br />
A partir de ce moment, je me sentis tout autre ; il me semble que
quelque choses de nouveau avait pénétré en moi, que j’avais subi une véritable
transmutation spirituelle. Je décidai de tenter par tous les moyens qui seraient
en mon pouvoir d’entrer en rapport direct avec les êtres mystérieux qui
s’étaient si étrangement manifestés à moi, cependant, je pressentais que tous
mes efforts demeureraient longtemps inutiles.<br />
<br />
Un jour, je fis la rencontre d’un personnage bizarre, qui engagea
immédiatement la conversation avec moi ; à en juger par son accent, ce
devait être un Anglais ou un Américain, mais il ne voulut pas me faire
connaître son nom. Il me déclara qu’il s’occupait de l’étude des phénomènes
psychiques, mais qu’il n’admettait aucune des théories du spiritisme, à quoi je
compris qu’il devait être occultiste ; nous nous entendîmes donc
parfaitement sur ce point. Il me demanda alors si je ne voudrais pas assister
le soir même à une séance d’un cercle d’études expérimentales auquel il
appartenait, et m’offrit de me présenter au président ; j’acceptai avec
empressement cette occasion de faire connaissance avec quelques occultistes.<br />
<br />
Le soir donc, nous nous rendîmes ensemble à ce cercle, et je fus présenté au
docteur Ochs<span style="margin: 0px;"> </span>[<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">L’identification précise de ce nom sur le document est incertaine, nous
retenons faute de mieux cette transcription à chaque fois qu’il apparaît dans
le texte</span>], qui en était le président ; ma surprise fut grande de
voir que l’assistance, qui comprenait une vingtaine de personnes, étaient en
majorité composée d’ecclésiastiques. On ne perdit pas de temps ; le
président et deux autres personnes, dont un prêtre, posèrent leurs mains sur un
guéridon, dont un des pieds devait se lever pour répondre par coups frappés,
suivant la méthode habituelle des évocations spirites.<br />
<br />
Le guéridon commença par faire diverses évolutions, sauts en l’air à
plusieurs reprises, puis on le fit parler, et voici le colloque qui eut lieu, à
ma grande stupéfaction, entre le président et lui : Qui es-tu ? - Le
diable – Quel diable ? – Astaroth – As-tu des cornes ? – Oui –
Combien ? – Deux – As-tu une queue ? – Non – As-tu une fourche ?
– Oui – Combien a-t-elle de pointes ? Deux – Pourquoi faire ? – Pour
embrocher – Qui veux-tu embrocher ? Tous, si je peux ?<span style="margin: 0px;"> </span>– Pourrais-tu te montrer sous une forme
visible ? – En vieille Tata – Quand ? – Maintenant – Faut-il éteindre
les bougies ? – Oui – Eh bien, soit ! »<br />
<br />
Dès que nous fûmes dans l’obscurité, le guéridon entra dans un véritable
accès de fureur, s’agitant en tout sens, frappant vigoureusement le
parquet ; puis il se leva en l’air et parcourut plusieurs fois le salon
sans toucher à terre, distribuant des coups de pied à droite et à gauche.
Cependant, nous ne vîmes pas la vieille Tata; quand on eut fait la lumière, on
demanda : « Es-tu toujours là ? – Oui – Tu n’as donc pas pu te
montrer ? – Non. » Un des assistants, qui tenait une plume et du
papier pour noter les réponses, s’était amusé à caricaturer une hideuse figure
du diable ; la montrant alors au guéridon, il lui dit : « Voilà
ton portrait ». Aussitôt le guéridon s’approcha de lui et se mit à racler
le papier pour effacer la caricature ; puis il dit : « Je suis
bien joli ». Ce furent ses dernières paroles ; le guéridon resta
ensuite immobile pendant quelque temps.<br />
<br />
Peu après, de nouvelles manifestations se produisirent, et le président
recommença son interrogatoire : « Qui es-tu ? – Le diable – Quel
diable ? – Cerbère – Ai-je le droit de te commander ? – Non. »
Le prêtre prit alors la parole : « Et moi, ai-je le droit de te faire
obéir ? – Oui – Pourquoi ? – Parce que tu es prêtre – Viens-tu ici
pour le bien ou pour le mal ? – Pour le mal – Reviendras-tu dans cette
maison si je t’ordonne d’en sortir ? – Non – En ce cas, fais-nous le plaisir
de déguerpir, et si jamais tu te représentes ici, tu auras affaire à
moi. »<br />
<br />
Un silence complet suivit ces paroles, et chacun s’apprêta à partir.<br />
<br />
En sortant, un peu interloqué par ce que je venais d’entendre, je cherchai
mon compagnon, mais en vain ; il avait disparu. Je dus donc rentrer seul
chez moi, et il me fut impossible de dormir de toute la nuit ; quand le
jour vint, ce fut un grand soulagement pour moi, mais je pensai que c’était là
le commencement des épreuves qui m’avaient été annoncées, et je me promis de me
tenir désormais sur mes gardes.<br />
<br />
Lorsque je sortis, la première personne que je rencontrai fut le docteur
Ochs; il vint à moi et me dit : « C’est vous qui êtes venu chez nous
hier avec Adam Astor ? » Ce nom me surprit, mais je ne voulus pas laisser
voir que je l’ignorais, et je répondis : « Oui. » La
conversation s’engagea là-dessus, et, naturellement, on en vint à parler de ce
qui s’était passé la veille.<br />
<br />
« C’est toujours ainsi que nous procédons, dit-il, à chacune de nos
séances, il vient deux ou trois diables, et, suivant les dispositions avec
lesquelles ils se présentent, nous les invitons à se montrer ou nous les
expulsons ; d’ailleurs, je dois dire que, dans le premier cas, ils
arrivent assez rarement à se rendre visibles. »<br />
<br />
« Mais, demandai-je, ne vient-il jamais autre chose que des
diables ? »<br />
<br />
« Non, qui donc voulez-vous qu’il vienne ? Seriez-vous
spirite ? Et croiriez-vous aux manifestations des morts dans les
tables ? »<br />
<br />
« Nullement, mais je suis occultiste, et je sais qu’il peut y avoir,
soit une action de l’inconscient du médium, soit une manifestation d’entités du
plan astral, telles que les élémentals. »<br />
<br />
« Nous n’avons point de médium, répondit-il en riant, et nous ne croyons ni
au plan astral ni aux élémentals. »<br />
<br />
« Vous n’êtes donc pas occultistes ? Qu’êtes-vous
alors ? »<br />
<br />
« Nous sommes catholiques ! »<br />
<br />
Ce mot fut prononcé avec un air de dignité offensée, qui d’ailleurs ne dura
qu’un instant.<br />
<br />
« Nous ne le sommes cependant pas tous, reprit-il ; ainsi Adam
Astor est protestant, ce qui n’a rien d’étonnant pour un Américain, mais il est
tout au moins sympathique au catholicisme, et nous espérons bien arriver à le
convertir un jour ou l’autre. »<br />
<br />
« En lui faisant voir et entendre des diables ? »<br />
<br />
« Certainement, l’adversaire est un collaborateur, le diable est le
meilleur instrument de conversion. »<br />
<br />
Cette dernière réponse me parut assez singulière ; nous nous quittâmes
là-dessus, et, un instant après, je me trouvai face à face avec Adam Astor, qui
me déclara m’avoir cherché la veille à la sortie et n’avoir pu me
trouver ; cela me sembla bizarre, attendu que je l’avais cherché moi-même.
Je lui racontai ma rencontre et ma conversation avec le docteur Ochs sans lui
dire cependant que celui-ci m’avait fait connaître son nom ; je dois dire
que ce nom me paraissait aussi étrange que le personnage lui-même.<br />
<br />
« Oui, me dit-il, ces braves gens croient qu’ils me convertiront, et je
leur laisse cette douce illusion ; mais bientôt je cesserai d’aller chez
eux, car ce spectacle manque de variété, et leurs diables ont une conversation
peu intéressante. »<br />
<br />
« Croyez-vous, lui demandai-je, que ce soient réellement des
diables ? »<br />
<br />
« Il faudrait s’entendre sur ce que vous appelez ainsi ; vous
savez comme moi que le diable n’existe pas, mais il y a des diables, et même
nous en sommes tous plus ou moins, car qui dit diable dit être malfaisants, et
quel est celui qui peut se vanter de n’être pas malfaisant ? »<br />
<br />
Je fis un signe d’étonnement.<br />
<br />
« Oui, continua-t-il, ce que je dis vous étonne, je le sais, mais je ne
puis que vous répéter que les diables évoqués par le docteur Ochs et ses amis
ne sont peut-être pas si diables que nous. »<br />
<br />
« Mais comment se fait-il qu’il y ait tant de prêtres
là-dedans ? »<br />
<br />
« Cela les intéresse beaucoup de causer avec les diables. S’ils
savaient où sont les vrais diables, vous les y verriez accourir tout de
suite ; mais comme ils n’en savent rien, ils sont obligés de se contenter
des représentations que leur offre le docteur Ochs, qui n’est d’ailleurs pas si
catholique au fond qu’il veut bien le dire. »<br />
<br />
« Pourquoi donc le dit-il alors ? »<br />
<br />
« Parce que cela lui est nécessaire pour jouer son rôle ; on ne
peut gagner la confiance des gens qu’en semblant être de leur parti ; mais
je ne peux pas vous en dire plus long là-dessus. »<br />
<br />
« Et vous, il paraît que vous êtes protestant ? »<br />
<br />
« Moi ? Je ne suis pas plus protestant que catholique ; je
suis tout ce qu’on veut, et surtout ce qu’on ne veut pas, car, pour le rôle que
j’ai à jouer, il faut que j’incarne l’esprit de contradiction, cet esprit-là
est un diable plus authentique que tous ceux que vous avez entendus ou que vous
pourriez entendre en assistant à d’autres séances comme celle d’hier
soir. »<br />
<br />
« Etes-vous occultiste ? »<br />
<br />
« Mais non, pas plus cela qu’autre chose ; je ne suis pas même
spiritualiste, et d’ailleurs je ne suis pas matérialiste non plus ; mon
système est la négation, je nie l’existence de Dieu, je nie l’existence du
monde extérieur, je nie ma propre existence, je nie encore la négation de tout
cela ; je nie l’être, je nie le néant qui est la négation de l’être, et je
nie la négation du néant. »<br />
<br />
« Qu’êtes-vous donc pour nier ainsi ? »<br />
<br />
« On m’appelle le Négateur. »<br />
<br />
Cela fut prononcé d’un ton qui me fit frémir.<br />
<br />
« Ce que je dis vous effraie, reprit-il, jusqu’ici j’avais joué un rôle
devant vous, et maintenant je viens de me montrer tel que je suis ;
n’avais-je pas raison de vous dire que je suis un diable ? »<br />
<br />
« Quel diable êtes-vous donc ? »<br />
<br />
« Les hommes m’appellent Adamastor ! »<br />
<br />
Cette fois, j’avais compris, ce nom qui m’avait tant étonné, n’était autre
que celui du démon des Tempêtes, et c’est ce démon que j’avais devant
moi !<br />
<br />
Il parut deviner ma pensée :<br />
<br />
« Ne craignez rien, dit-il, je ne suis pas mauvais diable au
fond ; sur mer il ne faut pas trop s’y fier, mais ici je ne suis pas bien
redoutable ; et puis, tant que je serai dans la peau d’un homme, j’aurai
mon rôle à jouer, et ce rôle ne consiste pas à déraciner les arbres ni à
renverser les maisons ; tant que cela durera, il n’y aura guère de
naufrages, et les cyclones seront rares. »<br />
<br />
« Quel est donc votre rôle actuel ? »<br />
<br />
« Vous le saurez plus tard ; mais n’oubliez jamais qu’Adamastor
est devenu Adam Astor ! »<br />
<br />
Ayant dit ces mots, il me quitta ; je rentrai aussitôt, effrayé de ma
rencontre, bien que doutant encore de l’identité du mystérieux personnage ;
en tout cas, j’avais rencontré l’Adversaire.<br />
<br />
Je le rencontrai de nouveau le lendemain ; il paraissait de fort bonne
humeur.<br />
<br />
« Eh bien ! fit-il en m’abordant, il paraît que ce que je vous ai
dit hier vous a un peu épouvanté, et que vous me regardez comme
l’Adversaire ; vous savez qu’en hébreu cela se dit Satan. Je le suis en
effet, si tant est que je sois quelque chose, et même que je sois ; je le
suis sur tous les plans, si tant est qu’il y ait des plans, et même qu’il
existe quelque chose. Je vous ai dit que j’incarnais l’esprit de
contradiction ; vous dites vous, que l’être est et que le néant n’est pas,
et c’est là votre logique ; pour moi, c’est le néant qui est et l’être qui
n’est pas. C’est que la logique n’existe pas pour moi, parce que le raisonnement
l’a tuée ; d’ailleurs, pourquoi parler de ce qui existe et de ce qui
n’existe pas, puisque rien n’existe, à moins qu’au contraire tout existe. Même
ce que je dis, cela n’existe pas, car, par mes incessantes contradictions, je
m’empresse de détruire ce que je viens de créer à l’instant même ; et
pourtant tout cela existe, par le fait même que je l’ai crée ; mais, si
j’ai pu le créer, je peux le détruire aussi, à moins que cela ne puisse pas
prendre fin ; dans ce cas, cela n’a pas pu avoir de commencement non plus,
car tout ce qui a eu un commencement doit avoir une fin ; d’ailleurs, le
commencement et la fin se rejoignent, car l’être et le néant son
identiques ; allez donc vous y reconnaître là-dedans<span style="margin: 0px;"> </span>si vous le pouvez ! Voilà ce que c’est
que de raisonner dans l’absolu ! »<br />
<br />
« Pardon, répliquai-je, il me semble que vous abusez quelque peu du
raisonnement, et que vous ne faites guère que d’accumuler des sophismes ;
d’ailleurs vous avouez vous-même vos perpétuelles contradictions. »<br />
<br />
« C’est que je joue en ce moment le rôle de l’Adversaire sur le plan
intellectuel. Je dois donc opposer sans cesse la thèse à l’antithèse, sans
jamais les résoudre par la synthèse : en toutes choses, je montre le
binaire, l’antinomie, le déséquilibre ; nier et détruire, voilà ma fonction.
C’est pourquoi je raisonne sans cesse, car si nous avons, vous et moi, la
faculté ratiocinante, c’est pour en user, et même en abuser au besoin ; le
sophisme voilà le véritable type de raisonnement. Il n’y a rien de tel que de
raisonner pour tout renverser, c’est en raisonnant que Descartes en était
arrivé à douter de tout, même de sa propre existence ; mais il a eu
ensuite le tort de rétrograder et de revenir à l’affirmation au lieu d’aller
jusqu’à la négation absolue, qui consiste à nier tout même
l’Absolu ! »<br />
<br />
« Tout à l’heure, vous disiez pourtant que vous raisonniez dans
l’Absolu. »<br />
<br />
« En effet, car je raisonne dans le vide, dans le néant et l’Absolu est
identique au néant ; l’être et le néant sont identiques, et l’Absolu est à
la fois être et néant. »<br />
<br />
« Quelle admirable philosophie ! »<br />
<br />
« Oui, c’est de la philosophie, et je n’ai pas de meilleurs auxiliaires
parmi vous que les philosophes raisonneurs ; leur œuvre consiste à
supprimer les faits et à les remplacer par des théories et des hypothèses ;
de la sorte, ils démolissent tout, en substituant ce qui n’existe pas à ce qui
existe, l’abstraction à la réalité. »<br />
<br />
« Vous êtes bien dur pour ces pauvres philosophes. »<br />
<br />
« Nullement, je ne fais que de dire la vérité, s’il y a une vérité, ce
que je ne crois pas ; c’est en tout cas, à mon point de vue, le plus grand
éloge que je puisse faire d’eux. La philosophie, la science, la religion, tout
ce dont vous êtes si fier, vous autres hommes, il n’y a dans tout cela que de
vains mots ; à peine un système est-il édifié qu’il s’écroule, et qu’un
autre vient le remplacer, pour disparaître à son tour presque aussitôt, et
ainsi de suite indéfiniment. Au milieu de tout cela, vous vous disputez, vous
vous battez, vous vous massacrez même parfois ; je m’en réjouis, car
j’aime la discussion, la discorde, la division sous toutes ces formes. La
division, c’est le déséquilibre, et le déséquilibre, c’est le mal ; je
suis le principe du mal, et le mal n’a pas de principe ; je n’existe donc
pas, je suis le néant, mais, comme l’être et le néant sont identiques, je suis
l’un et l’autre à la fois, et en même temps je ne suis ni l’un ni l’autre, et
cela revient à dire que je suis l’Absolu ! »<br />
<br />
« Vous allez bien, en vérité ! »<br />
<br />
« Oui, je suis l’Absolu, c’est-à-dire non pas Dieu, mais plus que Dieu,
car Dieu, s’il est, est manifesté, donc relatif ; je suis Lucifer, Dieu
est Adonaï, et Lucifer est supérieur à Adonaï, et il remporte sur lui une
victoire définitive. »<br />
<br />
« Voilà que vous m’exposez de singulières doctrines ; Dieu n’est
plus Dieu, il devient l’Adversaire, et l’Adversaire prend la place de Dieu, on
dirait du manichéisme renversé ! »<br />
<br />
« Je renverse tout en effet ; je mets en haut ce qui est en bas,
et en bas ce qui est en haut ; ma fonction consiste à nier et à détruire,
je vous l’ai déjà dit. Vous voyez que vous ne vous étiez pas trompé ; je
suis bien l’Adversaire, je suis Satan ! »<br />
<br />
Après avoir prononcé ces dernières paroles, il s’éloigna rapidement et
disparut.<br />
<br />
Je continuai ma promenade, sans but défini, réfléchissant à ce que je venais
d’entendre ; la conclusion qui s’en dégageait le plus nettement pour moi,
c’était l’inanité du raisonnement. Cependant, cela ne faisait point le jeu de
l’Adversaire, qui, pour m’amener à lui, aurait voulu faire de moi un
raisonneur. Je le vis bien par la suite ; mais pour le moment,
l’Adversaire changea de système, et décida de m’attraper sur d’autres plans que
le plan mental.<br />
<br />
J’errais depuis longtemps déjà, lorsque je vis venir vers moi un homme au
teint bronzé, qui portait un accoutrement bizarre et bariolé.<br />
<br />
« Salut ! me dit-il en m’abordant, tu ne me connais pas, mais je
te connais bien ; je sais qui tu viens de quitter, et quelles sont en ce
moment tes pensées ; tu t’es entretenu avec un homme qui n’est pas un
homme mais qui est à la fois plus et moins qu’un homme : ses pieds
touchent les racines de l’Etre, sa tête atteint les cimes du Non-Etre, mais il
lui manque ce qui de deux fait trois. »<br />
<br />
« Explique-toi, répondis-je, je ne te comprends pas bien. »<br />
<br />
« Etant à la fois plus haut et plus bas que nous, il nous est à la fois
supérieur et inférieur ; mais ce qui de deux fait trois, c’est l’Unité,
qui est le centre spirituel, et cela lui fait défaut, car il n’est que le
binaire non équilibré. En réalité, l’homme est plus grand que tous les génies,
et il peut commander à toutes les puissances de l’Invisible car il est
d’essence divine. »<br />
<br />
« N’est-ce pas là de l’orgueil ? »<br />
<br />
« Mais l’orgueil est lui-même quelque chose de divin, et c’est par
l’orgueil que Lucifer s’identifie à la Divinité. D’ailleurs, tu as étudié les
enseignements de la Kabbale, et tu dois savoir qu’Adam Kadmon, de l’essence
duquel nous participons tous, est identique au Verbe lui-même, dont il est la
manifestation intégrale. »<br />
<br />
« Voilà une apologie non déguisée de l’autodéification qui est la
cause, si je ne me trompe, de la chute de Lucifer. »<br />
<br />
« Lucifer n’est point tombé, et il règne au séjour de l’Eternelle
Lumière ! »<br />
<br />
« Serais-tu donc luciférien ? »<br />
<br />
« Oui, certes, et je m’en fais gloire. »<br />
<br />
« Mais qui donc es-tu ? »<br />
<br />
« Je suis Narad-Sin, le fils du vieil Adar-Samdan, qui est le roi des
Rômes depuis près d’un siècle ; il m’a envoyé vers toi, viens avec moi
vers sa tente. »<br />
<br />
Je le suivis, poussé par la curiosité, et nous cheminâmes côte à côte sans
dire un seul mot ; ainsi, j’allais voir ce mystérieux roi des Bohémiens,
ce personnage étrange sur lequel circulent tant d’effrayantes légendes.<br />
<br />
Nous étions sortis de Paris, et nous allions maintenant à travers des
terrains vagues ; nous nous trouvâmes bientôt dans une sorte de
campement ; des enfants jouaient devant les tentes, et quelques femmes se
montraient ça et là ; tout cela formait un ensemble extrêmement
pittoresque. A la suite de mon guide, je pénétrai dans une vaste tente qui
occupait à peu près le centre du campement, là deux homme étaient assis: l'un
était un vénérable vieillard à longue barbe blanche; l'autre, beaucoup plus
jeune, avec une barbe noire taillé en pointe, avait un regard inquiétant, des
yeux sombres qui semblaient lancer des flammes; je craignis d'avoir commis une
imprudence, mais il était trop tard pour reculer.<br />
<br />
Le vieillard me regarda, et il me semble que ce regard pénétrait jusqu'au
fond de mon être.<br />
<br />
"Ainsi, dit-il lentement, tu n'as pas craint de venir ?"<br />
<br />
"Non, répondis-je, je n'ai rien à craindre."<br />
<br />
"Sois donc le bienvenu."<br />
<br />
Et il me fit signe de m'asseoir.<br />
<br />
"Comme tu le sais déjà, reprit-il après un moment de silence, je suis
Adar-Samdan, roi des Rômes et héritier des Grands-Prêtres de la Chaldée; ne me
demande pas mon âge, car il y a longtemps que je ne compte plus."<br />
<br />
Je compris qu'il prononçait une phrase convenue, une formule initiatique;
heureusement, je la connaissais depuis longtemps.<br />
<br />
"Je vous entends, dis-je, quels sont donc vos droits ?"<br />
<br />
"Mishtar !"<br />
<br />
Il y eut encore un instant pendant lequel tout le monde demeura silencieux.<br />
<br />
"Tu te demandes, sans doute, reprit ensuite le vieillard, pourquoi je
t'ai envoyé chercher; c'est que les Puissances Noires ont spécialement délégué
vers moi le prince Belphégor, ici présent, pour te conférer l'initiation
suivant nos rites antiques et vénérables."<br />
<br />
En entendant ces paroles, je ne pus réprimer un mouvement de surprise.<br />
<br />
"Ne crains rien, dit-il, nous n'exigerons de toi aucun engagement, si
ce n'est celui de garder le secret sur tout ce que tu verras et entendras parmi
nous; cela le promets-tu ?"<br />
<br />
"Oui, je le promets."<br />
<br />
"Eh bien ! Puisqu'il en est ainsi, nous allons dès maintenant te
conférer l'initiation."<br />
<br />
Alors, celui que l'on avait appelé le prince Belphégor se plaça sur un siège
élevé; Adar-Samdan s'assit à sa gauche, et Narad-Sin prit place à côté de moi,
à ma droite.<br />
<br />
Adar-Samdan prit une épée, avec laquelle il traça une croix dans
l'espace.<br />
<br />
"Ave, Frater-Rosae-Crucis !"<br />
<br />
Aôm ! répondit Narad-Sin. [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">On notera l’emploi
du monosyllabe <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AUM</i></span>]<br />
<br />
Je ne fus pas peu surpris d'entendre répéter ici ces paroles, par lesquelles
commençait la dernière des sept mystérieuses communications que j’avais reçues.<br />
<br />
Entre Adar-Samdan et son fils s’engagea alors un dialogue symbolique dont,
aujourd’hui encore, toutes les paroles sont profondément gravées dans ma
mémoire.<br />
<br />
« Très Sage Frère Illuminé, dit-il, quelle heure est-il ? »<br />
<br />
« Très Puissant Souverain Grand-Maître, répondit Narad-Sin, il est
l’heure de la lumière ! »<br />
<br />
« Es-tu Prince de la Rose-Croix ? »<br />
<br />
« J’ai ce bonheur. »<br />
<br />
« Quel âge as-tu ? »<br />
<br />
« Trente-trois ans ! »<br />
<br />
« Qu’est-ce qu’un parfait Rose-Croix ? »<br />
<br />
« C’est un homme intégralement régénéré par la vertu du Feu Sacré, qui
est l’agent de la Réintégration universelle en Adam Kadmon. »<br />
<br />
« Comment s’opére cette réintégration ? »<br />
<br />
« Par la puissance des onze, qui sont l’ineffable Aïn-Soph et les dix
Sephiroth, qui se résument en Kether-al-Kuth. »<br />
<br />
« Quel est le privilège des Frères Illuminés de la
Rose-Croix ? »<br />
<br />
« C’est la gnose, c’est-à-dire la connaissance intégrale par laquelle
doit s’opérer le Salut de l’humanité. »<br />
<br />
« Quelle est la clef du Grand Arcane ? »<br />
<br />
« Réintégration dans l’Unité par l’Amour ! »<br />
<br />
« Que ceci s’accomplisse ! »<br />
<br />
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Fiat</i> ! <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Amen</i> ! »<br />
<br />
J’étais de plus en plus surpris, et je commençais à me demander si je
n’avais pas trouvé les êtres mystérieux qui m’avaient envoyé de si étranges
missives. Cependant, quelque chose en moi me disait qu’il n’en était rien, et
m’avertissait que je devais me méfier de plus en plus, afin de ne pas me
laisser tromper par les ruses de l’Adversaire.<br />
<br />
Le dialogue continua.<br />
<br />
« Très Sage Frère Illuminé, quelle heure est-il
maintenant ? »<br />
<br />
« Très Puissant souverain Grand-Maître, il est l’heure où la Parole est
perdue ! »<br />
<br />
« A quelle heure s’ouvrent nos travaux ? »<br />
<br />
« A trois heures après midi ! »<br />
<br />
« Devons-nous donc les ouvrir ? »<br />
<br />
« Oui, puisqu’il est l’heure et que nous avons l’âge ! »<br />
<br />
« Qu’il en soit ainsi ! »<br />
<br />
« Amen ! »<br />
<br />
Il y eut encore une légère interruption, puis le vieillard reprit son
interrogatoire.<br />
<br />
« Très Sage Frère Illuminé, connais-tu le Père ? »<br />
<br />
« Je m’en fais gloire, Très Puissant Souverain
Grand-Maître ! »<br />
<br />
« Qui est-il ? »<br />
<br />
« Il est celui qui peut tout, et je ne puis rien sans lui. »<br />
<br />
« Quel est son nom ? »<br />
<br />
« Je ne puis ni le lire ni l’écrire, je ne puis que
l’épeler ? »<br />
<br />
« Iod »<br />
<br />
« Noun »<br />
<br />
« Resh »<br />
<br />
« Iod »<br />
<br />
« Igne Natura Renovatur Integra »<br />
<br />
« C’est la Grande Parole ! »<br />
<br />
« La Parole perdue est retrouvée. »<br />
<br />
« Alléluiah ! »<br />
<br />
« Puisqu’il en est ainsi, rendons gloire au Père, à qui appartiennent
le Règne, la Justice et la Miséricorde dans les …. [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">Mot indéchiffrable</span>]»<br />
<br />
« Aôm ! »<br />
<br />
Ma stupéfaction allait toujours en augmentant ; ces travaux avaient une
apparence tout à fait rosicrucienne ; cependant le milieu dans lequel je
me trouvais ne m’inspirait pas grande confiance, et je m’attendais toujours à
quelque chose de diabolique.<br />
<br />
« Très Sage Frère Illuminé, quelle heure est-il ? »<br />
<br />
« Très Puissant Souverain Grand-Maître, il est l’heure du
repos ! »<br />
<br />
« Pourquoi ? »<br />
<br />
« Parce que la Parole est retrouvée. »<br />
<br />
« Devons-nous donc fermer les travaux ? »<br />
<br />
« Nous ne les fermons jamais, nous les suspendons seulement. »<br />
<br />
« Qu’ils soient donc suspendus ! »<br />
<br />
« Amen ! »<br />
<br />
Je crus que c’était réellement la fin, et je dois avouer que j’étais quelque
peu déçu, mais Adar-Samdan reprit presque aussitôt la parole :<br />
<br />
« Très Illustre Prince de la Rose-Croix, quelle est l’heure de votre
travail ? »<br />
<br />
« Très Puissant Souverain Grand-Maître, les travaux des Princes de la
Rose-Croix sont toujours en activité ! »<br />
<br />
« Quel âge as-tu ? »<br />
<br />
« Je ne compte plus ! »<br />
<br />
« Qui es-tu donc ? »<br />
<br />
« Nul ne me connaît, si ce n’est le Père, et je connais le Père comme
le Père me connaît. »<br />
<br />
« D’où viens-tu ? »<br />
<br />
« De la Lumière Eternelle. »<br />
<br />
Adar-Samdan traça de nouveau une croix avec son épée.<br />
<br />
« Ave, Princeps Rosae Crucis ! »<br />
<br />
« Aôm !»<br />
<br />
Le dialogue continua encore.<br />
<br />
« Très Illustre Prince de la Rose-Croix, où s’assemblent les Frères qui
ont reçu la Vraie Lumière de la Sainte Gnose ? »<br />
<br />
« Dans le Temple du Saint-Esprit, Très Puissant Souverain
Grand-Maître ! »<br />
<br />
« Pourquoi ? »<br />
<br />
« Pour adorer le Père en esprit et en vérité. »<br />
<br />
« Où est ce Temple ? »<br />
<br />
« Il est partout. »<br />
<br />
« Quel est son nom ? »<br />
<br />
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pax Profunda</i> ! »<br />
<br />
« A quelle heure s’y assemble-t-on ? »<br />
<br />
« Midi culminant. »<br />
<br />
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pax et lux tecum</i> ! »<br />
<br />
« Amen ! »<br />
<br />
Cette fois, je reconnaissais les paroles qui terminaient ma dernière missive
rosicrucienne ; tout cela se suivait donc admirablement.<br />
<br />
« Très Illustre Prince de la Rose-Croix, comment as-tu pénétré dans le
Temple du Saint-Esprit ? »<br />
<br />
« En faisant la volonté du Père, Très Puissant Souverain
Grand-Maître ! »<br />
<br />
« Depuis combien de temps y as-tu pénétré ? »<br />
<br />
« Depuis que je connais la vraie Lumière. »<br />
<br />
« Quelle heure était-il alors ? »<br />
<br />
« Midi culminant. »<br />
<br />
« Quelle heure est-il maintenant ? »<br />
<br />
« Minuit juste ! »<br />
<br />
« Combien de temps devais-tu rester dans le Temple ? »<br />
<br />
« De midi à minuit. »<br />
<br />
« Il est donc l’heure d’en sortir ? »<br />
<br />
« Oui ! »<br />
<br />
« Pourquoi ? »<br />
<br />
« Parce que midi est l’heure de la Lumière, et minuit est l’heure des
ténèbres. »<br />
<br />
« Puisqu’il est l’heure des ténèbres, retirons nous en
paix ! »<br />
<br />
« Khonx om Pax ! »<br />
<br />
« Consummatum est ! »<br />
<br />
« Amen ! »<br />
<br />
Maintenant tout semblait bien fini, et aucun indice ne pouvait me permettre
de croire que les travaux auxquels je venais d’assister n’étaient pas de
véritables travaux rosicruciens, quand bien même ceux qui avaient prononcé ces
paroles symboliques leur avaient donné un sens luciférien. Cela était bien
probable, d’après ce que m’avait dit Narad-Sin lorsque je l’avais
rencontré ; d’autre part, le prince Belphégor, délégué des Puissances
Noires, pouvait fort bien être le diable du même nom, un congénère d’Adamastor.
Mais une voix intérieure vint m’expliquer ce que je ne comprenais pas :
oui, ces travaux étaient bien réellement rosicruciens, parce que les
lucifériens ne voulaient initier que de véritables Princes de la
Rose-Croix ; ils commençaient donc par compléter leur initiation
antérieure, et cela constituait une initiation rosicrucienne parfaitement
valable, bien qu’obtenue par la voie de la gauche ; mais maintenant il me
restait encore à recevoir l’initiation luciférienne, ce qui était fort peu de mon
goût.<br />
<br />
Adar-Samdan reprit la parole, mais cette fois en s’adressant à moi
directement :<br />
<br />
« Tu sembles un peu fatigué ce soir, me dit-il ; nous te
permettons donc de te retirer ; tu reviendras vers nous lorsque tu
désireras connaître la Vérité Totale, et alors nous te donnerons le complément
de l’initiation. »<br />
<br />
Et d’un geste, il me congédia ; j’eus de la peine à retenir un soupir
de soulagement.<br />
<br />
Pendant tout le temps que j’avais été là, le mystérieux Belphégor n’avait
pas prononcé une seule parole.<br />
<br />
Narad-Sin me reconduisit jusqu’à la limite du campement.<br />
<br />
« Adieu, me dit-il, en me quittant, et que les Puissances Noires te
soient favorables ! »<br />
<br />
La nuit était venue ; je me hâtai de rentrer dans Paris et de regagner
ma demeure, ayant peine à croire à la réalité de tout ce que j’avais vu et
entendu.<br />
<br />
Ainsi, l’Adversaire, au lieu de me nuire comme il le voulait, m’avait servi,
parce que j’avais évité de tomber dans ses pièges ; grâce à la lui,
j’étais devenu Prince de la Rose-Croix.<br />
<br />
<br />
<br />
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 18pt; margin: 0px;">Le
Dieu Noir</span></b><br />
<br />
<br />
<br />
Je restai plusieurs jours enfermé chez moi, préoccupé de tous ces événements
étranges et mystérieux, et n’osant pas sortir dans la crainte de fantastiques
rencontres.<br />
<br />
Cette crainte n’était pas vaine, car, à la première promenade que je fis, je
me trouvai presque aussitôt face à face avec le redoutable Adam Astor qui était
accompagné du docteur Ochs.<br />
<br />
« Eh bien !, me dit-il sans préambule, vous avez fait la
connaissance de Narad-Sin et de son père Adar-Samdan, le vieux roi des
Rômes ? »<br />
<br />
« En effet, lui répondis-je, mais comment le savez-vous ? Les
connaissez-vous donc vous-même ? »<br />
<br />
« Si je les connais ! Comment pouvez-vous me poser une pareille
question ? Ne savez-vous pas que je suis, comme Belphégor que vous avez vu
chez Adar-Samdan, un délégué des Puissances Noires ? »<br />
<br />
« Ainsi, Belphégor et vous, vous êtes deux diables ? »<br />
<br />
« Oui certes, puisqu’il vous plaît de nous appeler ainsi, mais, pour
nous et pour nos amis les Lucifériens, c’est votre Dieu qui est le vrai Diable,
l’Adversaire du Dieu Bon.<br />
<br />
« Qu’appelez-vous donc le Dieu Bon ? »<br />
<br />
« Lucifer, dont nous, Esprits du Feu, sommes les ministres, et qui
règne au séjour de l’Eternelle Lumière ! »<br />
<br />
« Je ne reconnais plus en vous le Négateur de l’autre jour. »<br />
<br />
« C’est que le rôle que j’ai à jouer n’est plus le même
aujourd’hui. »<br />
<br />
« Mais vous, docteur, dis-je en m’adressant au compagnon d’Adam Astor,
je vous croyais catholique ; comment pouvez-vous entendre de pareilles
affirmations sans protester énergiquement et même tenter un exorcisme au
besoin ? »<br />
<br />
« Oh !, répondit le docteur Ochs, j’étais catholique quand il le
fallait ; maintenant, j’ai changé ce rôle, moi aussi, et le cercle
spirite, ou psychique si vous préférez, où vous avez fait ma connaissance, ne
fonctionne plus, car nous avons estimé qu’il n’avait plus sa raison d’être, du
moins jusqu’à nouvel ordre. »<br />
<br />
« Alors, vous aussi, vous êtes donc luciférien ! »<br />
<br />
« Oui certes, et je m’en fais gloire ! »<br />
<br />
C’était exactement la réponse que Narad-Sin avait faite lorsque je lui avais
posé la même question ; ce devait être une formule conventionnelle, dont
les lucifériens se servaient pour se reconnaître entre eux.<br />
<br />
Le docteur coupa court à mes réflexions.<br />
<br />
« Pendant que j’y pense, reprit-il, il faut que je vous fasse une
recommandation : ne m’appelez plus jamais le docteur Ochs ; je suis
maintenant le docteur Ariel. »<br />
<br />
« Ah ! Et pourquoi cela ? »<br />
<br />
« Parce que le docteur Ochs est mort ; nous devons changer de nom
chaque fois que nous changeons de personnalité, c’est-à-dire de rôle ;
cela importe fort peu, car tant que nous sommes ici-bas, nous ignorons notre
véritable nom, de sorte que nous en sommes réduits à ne proter que des
sobriquets. »<br />
<br />
« Quand donc pouvez-vous connaître votre véritable nom ? »<br />
<br />
« Lorsque nous vivrons au sein de la Lumière Eternelle dans le séjour
des … [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">mot indéchiffrable</span>] du Dieu Bon ;
là, les noms, c’es-à-dire les nombres caractéristiques de tous les êtres,
s’identifieront au zéro absolu, auquel ils seront indissolublement unis. »<br />
<br />
C’était là une étrange adaptation des hauts enseignements de la Kabbale, ou
l’unité était remplacée par le zéro ; mais je me gardai bien de formuler
cette remarque à haute voix, car je voulais laisser parler librement mes
interlocuteurs, afin d’en apprendre le plus possible sur leur compte.<br />
<br />
Mais Adam Astor ajouta simplement ces mots en manière de conclusion :<br />
<br />
« Oui, tout rentre dans l’Absolu parce que tout en est sorti, et l’Absolu
c’est le Néant. »<br />
<br />
C’était bien là la formule finale du plus extrême pessimisme, et, pour la
première fois au cours de cet entretien, je reconnus dans ces paroles l’Eternel
Négateur.<br />
<br />
Nous nous séparâmes là-dessus, mais Adam Astor me dit :<br />
<br />
« Ce soir, à minuit juste, au camp d’Adar-Samdan ! »<br />
<br />
Malgré mes appréhensions, la curiosité l’emporta en moi, et je promis d’être
exact au rendez-vous ; j’étais maintenant prêt à tout, et risquer ma vie
me semblait une chose insignifiante, pas même une preuve du plus vulgaire,
tellement j’étais éloigné des idées courantes sur la vie et la mort.<br />
<br />
La nuit venue, je me mis donc en route pour le camp des Bohémiens, et j’y
arrivai quelques instants avant minuit. Adam Astor m’attendait à l’entrée,
accompagné de Narad-Sin ; et contrairement à ce que j’avais pensé,
l’ex-docteur Ochs n’était pas là.<br />
<br />
Après quelques paroles de bienvenue de Narad-Sin nous nous rendîmes en
silence dans la tente du vieux roi ; celui-ci s’y trouvait en compagnie du
prince Belphégor, naturellement, et aussi d’une jeune femme extraordinairement
belle, richement parée d’ornements étranges. Je sus plus tard que c’était la
sublime maîtresse du feu et du métal, qui jouit chez les Rômes d’une véritable
omnipotence, car le roi lui-même ne fait rien sans la consulter ; comme
j’ignorais alors cela, je fus assez surpris de la présence d’une femme dans de
semblables circonstances.<br />
<br />
Narad-Sin écarta un rideau qui cachait une partie de la tente transformée en
sanctuaire ; au fond se dressait le serpent d’airain, enroulé en … [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">mot indéchiffrable</span>] mystique ; en avant
étaient trois sièges élevés, des sortes de Trônes, en face desquels se
trouvaient trois autres sièges plus bas ; au milieu était un autel triangulaire,
supportant un réchaud allumé dans lequel brûlaient des parfums aux senteurs
étranges.<br />
<br />
La sublime maîtresse du feu et du métal prit place sur le trône du
milieu ; Belphégor s’assit à sa droite, et Adam Astor à sa gauche.
Adar-Samdan se plaça en face de la sublime maîtresse, ayant Narad-Sin à sa
droite, et moi-même à sa gauche ; nous nous assîmes sur les trois sièges
bas, et je me trouvai ainsi en face de Belphégor, dont je sentis de nouveau le
regard flamboyant se fixer sur moi.<br />
<br />
Alors la sublime maîtresse du feu et du métal entama avec Adar-Samdan un
dialogue rituelique.<br />
<br />
« Très Puissant Souverain Grand-Maître, quelle heure
est-il ? »<br />
<br />
« Très Illustre et Sublime Grande Maîtresse, il est minuit. »<br />
<br />
« A quelle heure s’ouvrent nos travaux ? »<br />
<br />
« A minuit. »<br />
<br />
« Quel âge avez-vous ? »<br />
<br />
« Sept fois onze ans »<br />
<br />
« Puisqu’il est l’heure et que nous avons l’âge, invoquons le Dieu Bon
suivant notre rite vénérable ! »<br />
<br />
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sanctus, sanctus, sanctus,
Lucifer Deus optimus maximus, qui vivit et regnat in aeternum,excelsis excelsior,Pleni
sunt Coeli et Terra gloria … adoremus sum …</i> ! » [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">De nombreux mots indéchiffrables</span>]<br />
<br />
« Amen ! Amen ! Amen ! »<br />
<br />
« Esprits du feu, ministres du Dieu Bon, qui habitez avec lui au sein
de l’Eternelle Lumière, soyez-nous favorable ! »<br />
<br />
« Baal-Zéboul, Moloch, Astaroth, Asmodée, Béhémoth, Léviathan,
Adramélek, et vous tous qui commandez aux saintes légions de l’armée du Dieu Bon,
vous tous qui luttez contre Adonaï et ses … [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">mot
indéchiffrable</span>] pour nous soustraire à leur domination tyrannique,
soyez-nous favorables ! »<br />
<br />
« Amen ! »<br />
<br />
Il y eut un moment de silence ; je me sentais assez mal à l’aise, et
ces étranges invocations me remplissaient d’une vague terreur ; il me
semblait que j’allais assister à quelque chose d’épouvantable. La Grande
Maîtresse se mit à réciter, sur un ton de lente psalmodie, les litanies du Dieu
Noir.<br />
<br />
« Lucifer, Ô Dieu Bon, nous t’invoquons !<br />
<br />
« Père du monde, nous t’implorons !<br />
<br />
« Ecoute notre voix, exauce nos prières !<br />
<br />
« Ouvre-nous le séjour de l’Eternelle Lumière !<br />
<br />
« Nous aspirons à Toi, Ô Néant Divin !<br />
<br />
« Mais pourquoi nous repousses-tu ?<br />
<br />
« Pourquoi ne nous manifestes-tu plus ta bonté ?<br />
<br />
« Pourquoi exerces-tu envers nous ta rigueur ?<br />
<br />
« Pourquoi nous écartes-tu de ton royaume ?<br />
<br />
« Pourquoi nous laisses-tu gémir sous la tyrannie d’Adonaï ?<br />
<br />
« Es-tu devenu comme lui tyrannique et cruel, ou bien as-tu été vaincu
par lui ?<br />
<br />
« Etes-vous maintenant deux en un, binaire équilibré en la Duelle
Harmonie ?<br />
<br />
« Dieu à deux faces, Janus Bifrons, à la fois cruel et bon, terrible et
miséricordieux, laisse nos prières parvenir jusqu’à toi !<br />
<br />
« Dieu béni et maudit à la fois, sois favorable à tous les travaux que
nous entreprenons pour ta plus grande gloire !<br />
<br />
« Si tu es sourd à la prière et à l’adoration, écoute du moins le
blasphème et l’imprécation !<br />
<br />
« Pour qui es-tu tombé du ciel rapide comme l’éclair, Astre brillant du
matin, ô Lucifer !<br />
<br />
« Pourquoi tes rayons sont-ils désormais froids et sans lumière, ô
Soleil Noir ?<br />
<br />
« Pourquoi enveloppes-tu notre monde de tes innombrables replis, ô
Serpent Astral ?<br />
<br />
« Pourquoi t’enroules-tu insidieusement à l’arbre de vie, ô
Nahash ?<br />
<br />
<br />
<br />
[<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">Le document que nous utilisons est ici
tellement dégradé que nous préférons ne pas reproduire les rares fragments
déchiffrables du texte de la série des 22 questions toutes construites sur le
même schéma ; commençant par Pourquoi et concernant une entité noire</span>]<br />
<br />
<br />
<br />
« Pourquoi veux-tu nous écraser sous ta masse gigantesque, ô
Béhémoth ?<br />
<br />
« Pourquoi veux-tu nous noyer sous les torrents d’eau qui s’échappent
de tes narines, ô Léviathan ?<br />
<br />
« Pourquoi veux-tu nous abaisser au rang des brutes, ô Adramélek ?<br />
<br />
« Pourquoi veux-tu nous brûler vivants, nous faire périr dans les
flammes que tu allumes, Démon des incendies, ô Haborym ? <br />
<br />
« Pourquoi veux-tu nous entraîner à ton infâme Sabbat, parmi les
spectres, les démons, les larves, les goules et les stryges, ô [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">nom indéchiffrable</span>] ?<br />
<br />
« Pourquoi veux-tu nous faire faire toutes choses à rebours, sombre
reflet du Très-Haut, ô Très-Bas ?<br />
<br />
« Pourquoi renverses-tu le signe de l’ésotérisme ô Baphomet ?<br />
<br />
« Pourquoi as-tu fait trembler de crainte nos ancêtres comme de vils
esclaves, ô [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">nom indéchiffrable</span>] ?<br />
<br />
« Pourquoi veux-tu te faire encore adorer de nous, ô Dieu Noir ?<br />
<br />
« Pourquoi caches-tu ta face et refuses-tu de voir la lumière, ô
Lucifuge ?<br />
<br />
« Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? »<br />
<br />
« Mais non, les blasphèmes ne servent de rien, non plus que les
prières !<br />
<br />
« Nous ne sommes que tes esclaves alors que nous devrions être tes
enfants !<br />
<br />
« C’est Adonaï qui en est la cause, maudit soit-il !<br />
<br />
« Et toi, Seigneur de la Lumière, toi qui est notre Père, envoie-nous
un rayon de la Divinité !<br />
<br />
« Las de te blasphémer, nous t’implorons à genoux !<br />
<br />
« Lucifer, Ô Dieu Bon, aie pitié de nous ! »<br />
<br />
Ces singulières paroles où se mêlaient les sentiments les plus
contradictoires firent naître en moi une étrange impression de malaise. C’était
loin d’être fini et je n’avais encore rien vu, à ce moment, la flamme du
réchaud s’éleva haute et droite illuminant la scène d’une clarté froide et
sinistre comme une lueur d’incendie et dans laquelle il me sembla voir passer
un tourbillonnement … [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">plusieurs mots
indéchiffrables</span>].<br />
<br />
« Les puissances noires nous sont favorables, s’écria Adar-Samdan,
évoquons le Divin Samaël ! »<br />
<br />
La Grande Maîtresse commença aussitôt à réciter l’oraison appropriée à cette
circonstance.<br />
<br />
« C’est à toi qu’en ce jour s’adressent nos prières, ô Samaël, toi que
nos pères imploraient dans les temples de …<span style="margin: 0px;"> </span>[<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">mot
indéchiffrable</span>] et de … [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">mot
indéchiffrable</span>] !<br />
<br />
«Archange aux sombres ailes, daigne jeter sur nous un regard
favorable !<br />
<br />
« Maître … [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">mot indéchiffrable</span>] et
de la mort, épargne-nous tes angoisses et tes épouvantes !<br />
<br />
« Toi qui es le Prince de ce Monde, écoute notre voix !<br />
<br />
« Nous sommes tes enfants soumis et tes serviteurs fidèles, commande et
nous obéirons !<br />
<br />
« Ame de la Terre manifeste ta présence en forme visible à nos yeux
imparfaits !<br />
<br />
« Samaël ! Samaêl ! Nous t’invoquons par ton nom divin et
humain à la fois !<br />
<br />
« Daigne … [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">plusieurs mots
indéchiffrables</span>] à venir présider à notre … [<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">mot indéchiffrable</span>] !<br />
<br />
« Si tu es satisfait de nous, que ta vue soit notre récompense !<br />
<br />
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Amen ! Amen ! Amen</i> ! »<br />
<br />
Il y eut alors un profond silence, j’étais remplie d’anxiété et mon cœur
battait à me rompre la poitrine, bien que je fusse fort difficile à effrayer.<br />
<br />
L’attente me paraissait interminable ; la flamme s’était presque
éteinte, et de grandes ombres s’agitaient autour de nous.<br />
<br />
Je vis alors entrer des êtres humains, hommes et femmes qui se glissaient
sans bruit à l’intérieur de la tente ; c’étaient les Rômes qui, attirés
par une force invisible, venaient tous assister à la manifestation mystérieuse
qui allait avoir lieu.<br />
<br />
Lorsqu’ils furent entrés, le calme se rétablit ; dans la pénombre, les
moindres objets prenaient des proportions fantastiques, et il me semblait que
nous fussions transportés dans quelque temple gigantesque, vestige monstrueux
d’une civilisation disparue.<br />
<br />
Soudain, un froid mortel envahit le sanctuaire un immense frisson secoua les
assistants.<br />
<br />
Samaël était là, sans qu’on l’eût vu surgir ; il semblait qu’il y fut
depuis l’éternité. Ses yeux flamboyaient comme des escarboucles, et leur
sinistre lueur emplissait l’assemblée d’une muette épouvante et d’une horreur
sans nom. Sa bouche grimaçait, monstrueuse et grotesque, riant d’un rire
funèbre ; on eût dit une hyène avec ses dents aigues qui broient les os
des morts. Quand s’ouvrait cette bouche, on croyait entrevoir, béante, la
fournaise où, atroce alchimie, se fabriquait la mort, le poison et le crime.<br />
<br />
Sa dextre brandissait un lourd sceptre de fer signe maléficié de la
domination que l’Archange déchu exerce sur le Monde. Son vêtement semblait
tissé d’un or livide que tachaient ça et là de la boue et du sang. Son ventre
était couvert d’une peau écailleuse, et sa croupe ondulait en replis de
serpent.<br />
<br />
Le monstre enfin parla ; il dit : « hommes, tremblez !
Car je suis votre maître et veux être obéi ! »<br />
<br />
Sa voix retentissait comme un airain lugubre, et la terre elle-même en parut
ébranlée. Le tumulte éveilla comme un écho affreux dans l’âme de chacun de ceux
qui étaient là, presque morts de frayeur et comme anéantis.<br />
<br />
« Oui, je suis votre roi ! Ce Monde est mon empire ! Et
malheur à quiconque en transgresse la loi ! Qu’on me haïsse, bien ! …
Pourvu que l’on me craigne ! Etant votre ennemi, je suis moins harcelé
d’importunes clameurs et d’ineptes prières ! Il me plaît d’être haï et
parfois insulté, et j’aime à écouter le concert de blasphèmes de la rage
impuissante, et des malédictions ! Oui, je suis l’adversaire et je suis le
Démon ! Je suis Baal-Zéboul ; Béhémoth, Léviathan, Moloch, Adramélek,
Astaroth, Asmodée ! Je suis Bélial enfin Je suis … Je suis
Satan ! »<br />
<br />
« Vous tous qui m’écoutez, sachez bien qui je suis ! Avares
insensés, je suis le dieu de l’or ! Je suis Hammon, Plutus, gardien de vos
trésors, de qui vous tenez tout, sans qui vous n’auriez rien ! Infâmes
luxurieux avides de débauches, je reconnais en vous d’obéissants esclaves, moi
l’époux de Lilith, la Grande Prostituée ! Et je serai pour vous Adonis ou
Thammouz, Cupidon, Antéros, tout ce que vous voudrez ! Envieux, jaloux,
menteurs aux langues de vipère vous êtes mes sujets, et même mes enfants !
On ne m’a pas en vain donné le nom de Diable ou de Calomniateur, car je suis le
Nahash, le perfide serpent du légendaire Eden ! Et vous qui vous livrez
aux plaisirs de la table, ivrognes titubants, porcs vautrés dans la
fange ! Vous aussi vous m’adorez, moi le dieu des orgies, Dionysos ou
Bacchus, … Peu importe le nom ! Sanguinaires guerriers, je suis le rouge
Arès, Mars le dieu des combats, des meurtres, des carnages, me baignant chaque
jour dans des torrents de sang ! C’est avec volupté toujours que je
respire le nauséeux relent exhalé des cadavres jetés sans sépultures aux
corbeaux, aux vautours ! Quant à vous qui aimez le luxe et la mollesse,
c’est moi qui vous envoie des songes délicieux ! Moi, Phantase ou Morphée,
le dieu des illusions ! Et vous, grands de la terre, héros et
potentats ! Reconnaissez en moi celui qui vous inspire, en moi celui qui a
dieu même ai voulu m’égaler ! Car je suis l’orgueilleux ! Oui, je
suis Lucifer ! »<br />
<br />
« Oui, vous m’appartenez, misérables esclaves ! Sachez que je suis
tout et que vous n’êtes rien, car je suis le Grand Bon, je suis le
Baphomet ! Imprudents que vous êtes, qui m’avez appelé, qui troublez mon
repos, redoutez mon courroux ! Car quoi que vous fassiez, tous un jour
vous mourrez ! La Mort est mon domaine, et là je règne en maître !
Personne n’oserait m’en disputer l’empire !<br />
<br />
Hadès, Oreus, Pluton, je suis roi des Enfers, où trône à mes côtés la
redoutable Hécate, où je suis assisté des Furies et des Parques ! Vous
trouverez en moi un inflexible juge ! Mon geste suffira pour vous faire
aussitôt rentrer dans le Néant ! … J’ai dit ! Hommes,
tremblez ! »<br />
<br />
Et, ayant dit, il disparut ; avec lui s’évanouit le froid glacial, mais
la terreur persista pendant longtemps encore.<br />
<br />
Cependant, la flamme du réchaud se ralluma d’elle-même ; à sa lueur, je
pus constater que Adam Astor et Belphégor avaient aussi disparu.<br />
<br />
J’étais toujours auprès d’Adar-Samdan, et je voyais aussi Narad-Sin et la
Grande Maîtresse ; mais je me demandai ce qu’étaient devenus les Rômes que
j’avais vus entrer ; à part nous cinq, il n’y avait personne dans la
tente, qui avait repris son aspect primitif.<br />
<br />
Le rideau tomba, cachant le Grand Maîtresse et les trônes, et l’autel, et le
serpent d’airain.<br />
<br />
Alors Narad-Sin, se levant, vint à moi et me dit : <br />
<br />
« Tu sembles avoir fait un mauvais rêve ; tu ferais bien de te
retirer et de regagner ta demeure, afin de prendre un peu de repos. »<br />
<br />
Et, me prenant par la main, il me fit sortir de la tente et me conduisit
hors du campement.<br />
<br />
Je rentrai chez moi en silence et sans me retourner ; cette nuit-là,
mon sommeil fut agité d’affreux cauchemars : il me semblait être assailli
par des bandes de démons, et la vision de Samaël m’obsédait sans cesse ;
enfin je perdis toute conscience et je ne m’éveillai que fort tard le
lendemain.<br />
<br />
<span style="margin: 0px;"> </span><br />
<br />
<br />
<br />
[<span style="font-size: 10pt; margin: 0px;">Ici s’achève le document que nous avons
donc<span style="margin: 0px;"> </span>retranscrit à partir d’une
photocopie de très mauvaise qualité du tapuscrit censé être fidèle à l’original
manuscrit. <u>Tous les passages entre crochets ont été ajoutés par nous</u>.]</span><br />
<b></b><i></i><u></u><sub></sub><sup></sup><strike></strike>Bruno Hapelhttp://www.blogger.com/profile/05525415697835975358noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5088615654452892767.post-41088842958036461942018-10-28T09:10:00.001-07:002019-02-27T05:11:39.986-08:00René Guénon - Bibliographie de l’œuvre - I<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">René Guénon - Bibliographie de l’œuvre -
I</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="color: black; font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Quelques mots sur notre démarche :</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
avons lu René Guénon et nous savons ce que nous lui devons. Par conséquent nous
n’avons qu’un souci en écrivant : celui du respect de son œuvre. Notre
travail est fait sans prétention, à la mesure de nos modestes capacités.<span style="color: black; margin: 0px;"></span></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Contrairement
aux « guénoniens » nous avons simplement suivi les conseils de René
Guénon. Le premier conseil c’est de chercher à obtenir une connaissance
théorique aussi étendue que possible. On est alors déjà confronté à un objectif
très ambitieux et cela avant même d’envisager de rechercher une initiation.
N’ayant qu’une formation d’ingénieur, ce qui paradoxalement nous a bien aidé
pour suivre les nombreuses références aux mathématiques que l’on retrouve dans
l’œuvre de René Guénon, nous avons jugé nécessaire de la compléter. Les
doctrines hindoues étant au cœur de l’œuvre de René Guénon, l’apprentissage du
sanscrit paraissait indispensable. Là encore la surprise a été grande de
constater que pratiquement tous les « guénoniens » étaient restés
très indifférents aux doctrines de l’Inde. L’Université nous a ainsi permis
d’acquérir de bonnes bases en sanscrit sans négliger un apprentissage de
l’arabe. Un Occidental, un Catholique, lecteur de René Guénon, portera
logiquement son attention sur l’œuvre de Shankara et cherchera également à
recueillir les fruits de l’action de présence de Râmana Maharshi. L’Inde est le
meilleur reflet de ce que peut être un monde traditionnel et ses doctrines sont
les plus aptes à faire comprendre ce qu’est véritablement le Catholicisme et la
nature du Christ Avatâra. L’exemple de Râmana Maharshi est là encore
l’illustration parfaite de la spiritualité authentique.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Concernant
l’arabe, il faut rappeler la grande difficulté pour un francophone de naissance
de prononcer correctement cette langue si l’apprentissage n’en est pas fait
très jeune. Ce défaut de prononciation peut ainsi inférer sur le bon
déroulement des pratiques rituelles. Les « guénoniens musulmans »
semblent ne pas bien mesurer cette difficulté et ces conséquences. Le sanscrit
par contre appartient au même courant linguistique que le français. Cette
parenté linguistique aide à son apprentissage.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Nous
avons eu à de nombreuses reprises l’occasion de côtoyer des « guénoniens ».
Nous avons alors été toujours frappé par le décalage entre leurs prétentions
spirituelles (ils se pensent tous particulièrement qualifiés) et ce qu’ils
pouvaient vraisemblablement accomplir. Nous avons rapidement compris que les
« guénoniens » n’écoutaient pas René Guénon mais uniquement leur
orgueil. Il n’y a chez eux aucune véritable recherche spirituelle. Ils ne
cherchent que des « trucs », ils ne sont en définitive que dans le
« développement personnel » comme tous les autres individus
illusionnés par la pseudo-spiritualité. Ils constituent deux groupes qui
s’affrontent et se méprisent : Maçons contre Musulmans, Musulmans contre
Maçons, même s’il y a aussi quelques Maçons Musulmans ! Mais dans tout
cela, c’est l’œuvre de René Guénon qui en fait les frais. Ils se sont déchirés
pour pouvoir s’afficher comme les héritiers de René Guénon. Dans cette lutte de
pouvoir, ils ont, les uns contre les autres, élaboré des ouvrages posthumes
plus incohérents les uns que les autres. Un vrai scandale. Volontairement ou
involontairement leurs actions ont eu pour résultats de limiter la bonne
accessibilité à l’œuvre de celui à qui en définitive ils devaient tout. Ils ont
la prétention de l’égaler même de le dépasser en se proclamant
« continuateurs », alors qu’ils sont quasiment systématiquement en
opposition avec son autorité et son enseignement. René Guénon n’est pour eux
qu’une sorte de tremplin qu’ils croient pouvoir abandonner pour s’élever encore
plus alors qu’ils ne font que de sombrer dans l’erreur et la pseudo-spiritualité.
Si René Guénon a proclamé qu’il n’était pas un maître spirituel, tous les
« guénoniens » eux s’empressent de prendre ce titre. Les
« guénoniens » se posent en « gurus », en petits génies.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Comme
tout lecteur attentif de l’œuvre de René Guénon, nous nous sommes rapidement
retrouvé gêné par le caractère confus de la mise en forme des ouvrages
posthumes, par leurs lacunes. Pour aller encore plus loin dans la lecture de
cette œuvre, pour atteindre une lecture quasiment intégrale, il convenait de se
mettre en quête des versions originales et des variantes de tous les textes
publiés par René Guénon.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Au
fil du temps, nous avons réussi à avoir accès à la quasi-totalité des textes
publiés par René Guénon dans leur version originale ou remaniée. Ayant eu des
difficultés à nous procurer ces textes et voyant la totale indifférence des
« guénoniens » vis-à-vis de cette situation, nous avons alors
entrepris une publication de dossiers où nous pouvions présenter et donner à
lire des éléments de l’œuvre laissés dans l’ombre ou sous-estimés. Nous avons
ainsi publié trois ouvrages pour faciliter l’accès à ce que René Guénon avait
vraiment écrit et non à ce que les « guénoniens » prétendaient qu’il
avait écrit. L’exemple du Bouddhisme est particulièrement significatif sur ce
point. (Voir le dossier : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">René
Guénon et l’Esprit de l’Inde</i>).<span style="margin: 0px;"> </span>Les
prétendues erreurs de René Guénon…</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Après
avoir critiqué comme il se doit le travail des éditeurs des ouvrages posthumes
et doutant à juste titre de voir paraître une édition complète et correcte de
l’œuvre de René Guénon, nous n’avons eu, à notre modeste jugement, pas d’autre
choix que de nous inscrire dans la même démarche critiquable, sauf à vouloir
laisser indéfiniment dans l’ignorance les lecteurs de cette œuvre. Nous avons ainsi
établi une bibliographie aussi complète que possible (bibliographie reproduite
ici-même et achevée en 2001) qui nous a permis d’identifier tous les textes et
comptes rendus non encore réédités. Nous avons alors très logiquement proposé
aux Éditions Traditionnelles la publication de ces écrits en les regroupant
pour former deux nouveaux ouvrages posthumes. Un seul verra le jour. Le second
dort toujours dans les archives des Éditions Traditionnelles ou dans la mémoire
de l’ordinateur des Éditions Trédaniel à qui nous avons proposé de poursuivre
ce projet mais sans aboutissement à ce jour.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
premier volume intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Articles et
Comptes Rendus, Tome I</i>, contient tous les textes oubliés et qui avaient
parus dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Voile d’Isis</i> et dans
les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Pour
parfaire cette confusion que nous dénonçons, nous devons reconnaître l’omission
par nous-même bien involontaire mais bien réelle d’un compte rendu de revue qui
aurait dû trouver sa place dans cet ouvrage paru en 2002 aux Éditions
Traditionnelles.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;"> </span>À la rubrique <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">comptes rendus d’articles de revues</b>, année 1936, il convient donc
d’ajouter celui-ci publié également dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre 1936</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« -
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n° d’août-septembre), Oswald Wirth parle d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pouvoir créateur</i> qu’il attribue à
l’homme, et dont il conseille d’ailleurs de se méfier; nous supposons qu’il
doit s’agir de l’imagination que les psychologues appellent
« créatrice », fort improprement du reste; mais, en tous cas, il a le
plus grand tort de croire que le « domaine subjectif » et les
« conceptions abstraites » puissent intéresser si peu que ce soit les
« purs métaphysiciens ». Nous le croyons bien volontiers quand il
déclare « ne parler au nom d’aucune révélation surnaturelle », ce qui
ne se voit trop en effet; mais, alors, pour être conséquent avec lui-même,
qu’il ne parle pas d’initiation, fût-elle même limitée au seul domaine des
« petits mystères », puisque, qu’on le veuille ou non, toute
initiation implique essentiellement l’intervention d’un élément « supra-humain ».
- G. Persigout est amené par le symbolisme de la caverne et du monde souterrain
à étudier <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Enfer et les religions du
salut</i>; ce titre rappelle malencontreusement le jargon spécial des profanes
« historiens des religions », et, en fait, l’auteur semble avoir dans
quelques-unes des théories tendancieuses de ceux-ci une confiance qu’elles ne
méritent guère. En voulant toujours chercher des « sources » et des
« développements » historiques, là où il ne s’agit proprement que
d’expressions diverses d’une même connaissance, on risque de s’égarer encore
plus facilement que dans les « dédales des épreuves souterraines »,
où l’on se retrouverait certes beaucoup mieux en les envisageant au seul point
de vue strictement initiatique, sans se préoccuper de toutes les fantaisies
accumulées par l’imagination des profanes à qui il a plu de parler de ce qu’ils
ignorent. »</b></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le
second volume devait s’intituler <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Articles
et Comptes Rendus, 1917 – 1950,<span style="margin: 0px;"> </span>Tome II</i>
et reprendre une série d’articles et de comptes rendus. En voici la table des
matières :</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">ARTICLES</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Les dualités cosmiques.</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le Christ Prêtre et Roi.</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">L’ésotérisme du Graal.</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Y-a-t-il encore des possibilités
initiatiques dans<span style="margin: 0px;"> </span>les formes
traditionnelles occidentales ?</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Discours contre les
discours ».</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Les Doctrines Hindoues.</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Orient et Occident. (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Radeau</i>, janvier 1925)</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Le Roi du Monde. (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Cahiers du mois</i>, fév.-mars 1925)</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Milarépa.</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Terrains d’entente entre l’Orient et
l’Occident.</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">COMPTES RENDUS</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Revue
Philosophique</span></i></b><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Année
1919, année 1920, année 1921.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Revue
de Philosophie</span></i></b><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Année
1921, année 1922, année 1923, année 1924, année 1925, année 1936.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Vient
de Paraître</span></i></b><b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Année
1926, année 1927, année 1928, année 1929.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Des
petits malins sans scrupule ont profité des différences entre les législations
concernant le domaine public. Ainsi au Canada, un œuvre rentre dans le domaine
public 50 ans après la mort de son auteur. En France il faut attendre 70 ans.
Ils ont ainsi rassemblé des articles de René Guénon en les publiant au Canada
en 2013 sous le titre : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Recueil.</i></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce<span style="margin: 0px;"> </span>titre est identique à celui que nous avions
proposé bien des années avant aux Éditions Trédaniel (exactement <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Recueil, 1918 – 1951</i>). Ce livre canadien
reprend d’ailleurs intégralement le contenu du volume <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Articles et Comptes Rendus, tome II</i>. Ces petits malins y ont ajouté
des textes de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> et de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">France Antimaçonnique</i>, le tout dans un
joyeux pêle-mêle (correspondance incluse) qui inaugure bien de l’avenir des
publications libres de droits des œuvres de René Guénon.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">La
chose la plus troublante c’est de constater que le compte rendu qui avait fait
l’objet d’un oubli de notre part figure dans cet ouvrage d’une façon très
discrète…</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px; text-indent: 35.4pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Si
l’on consulte cet ouvrage canadien, « notre oubli » se trouve
reproduit dans la partie intitulée : <strong>TRADITION ET SYMBOLISME, </strong>Parmi
les <em>Comptes rendus</em><em><span style="font-style: normal; margin: 0px;"> (de livres): </span></em><em><span style="font-style: normal; margin: 0px;"></span></em></span></div>
<br />
<div align="left" style="margin: 0px; text-align: left;">
<em><span style="font-size: 12pt; font-style: normal; margin: 0px;">
</span></em><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> </span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><br />
<u>Matthews</u>, W. R. – The moral argument for theism (l’argument moral en
faveur du théisme) (<em>Revue philosophique</em>, juil. 1919).<br />
<u>Taylor</u>, A. E. – The philosophy of Proclus (La philosophie de Proclus) (<em>Ibid</em>.).<br />
<u>Russel</u>, B. – On propositions : what they are and how they mean (Des
propositions : ce qu’elles sont et ce qu’elles signifient) (<em>Revue
philosophique</em>, mars-avril. 1920).<br />
<u>Goldziher</u>, I. – Le Dogme et la Loi de l’Islam (<em>Revue de philosophie</em>,
sept.-oct. 1921).<br />
<u>Perier</u>, A. – Yahyâ ben Adî : un philosophe chrétien du Xe siècle (<em>Revue
de philosophie</em>, nov.-déc. 1923).<br />
<u>Stoddard</u>, L. – Le Nouveau Monde de l’Islam (<em>Ibid</em>.).<br />
<u>Carra</u> de Vaux (baron) – Les Penseurs de l’Islam. I. Les souverains,
l’histoire et la philosophie politique – II. Les géographes, les sciences
mathématiques et naturelles (<em>Ibid</em>.).<br />
<u>Finot</u>, L. – La Marche à la Lumière (Bodhicharyâvatâra), poème sanscrit
de Çântideva (<em>Ibid</em>.).<br />
<u>Senart</u>, E. – La Bhagavad-Gitâ (<em>Ibid</em>.).<br />
<u>Finot</u>, L. – Les Questions de Milinda : Milinda-pañha (<em>Ibid</em>.).
<br />
<u>Carra</u> de Vaux (baron) – Les Penseurs de l’Islam. III. L’exégèse, la
tradition et la jurisprudence (<em>Revue de philosophie</em>, janv.-fév. 1924).<br />
<u>Avalon</u>, A. et Avalon, E. – Hymnes à la Déesse (<em>Ibid</em>.).<br />
<u>Groslier</u>, G. – La Sculpture Khmère ancienne (<em>Vient de paraître</em>,
fév. 1926).<br />
<u>Le poète</u> tibétain Milarépa, ses crimes, ses épreuves, son nirvana (<em>Les</em>
<em>Cahiers du mois</em>, juin 1926).<br />
<u>Lanoë</u>-Villene, G. – Le Livre des Symboles, dictionnaire de symbolisme et
de mythologie (Lettres A-B) (<em>Vient de paraître</em>, avril 1928).<br />
<u>Lanoë</u>-Villene, G. – Le livre des symboles, dictionnaire de symbolisme et
de mythologie (Lettre C) <em>Vient de paraître</em>, déc. 1929).<br />
<u>Sakurazawa</u>, N. – Principe unique de la Philosophie et de la Science
d’Extrême-Orient (<em>Revue de philosophie</em>, janv.-fév. 1936).<br />
<u>Davids</u> (Mrs), R. – The Minor Anthologies of the Pali Canon. Part. I.
Dhamenapada: Verses on Dhamena, and Khuddaka-Pâtha: The Text of the Minor
Sayings (<em>Ibid</em>.). <br />
<u>Steinilber</u>-Oberlin, E. – Les sectes bouddhiques japonaises (<em>Ibid</em>.).<br />
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">Wirth O. – Le Pouvoir créateur (<em>Études
Traditionnelles</em>, nov. 1936).<br />
Persigout G. – L’Enfer et les religions du salut (<em>Ibid</em>.).</b></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On
pourrait ainsi croire que Wirth et Persigout ont écrit des livres qui
porteraient les titres reproduits alors que ce ne sont en définitive que des
articles.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Pourquoi
ces petits malins n’ont-ils pas dénoncé notre oubli ? Et pourquoi l’ont-ils
réparé en toute discrétion ? Auraient-ils eu une copie numérique ou autre
de notre travail. Il est vrai qu’ils indiquent dans leur présentation sur leur
site internet :</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« Un
certain nombre de lecteurs de Guénon auront certainement déjà eu accès à ces
articles et comptes rendus, sous une forme ou sous une autre (<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">particulièrement grâce à l’internet et à la
facilité de partager ce genre de documents</b>), aussi ce nouveau <em>Recueil</em>
est simplement une façon de rendre hommage<b style="mso-bidi-font-weight: normal;">
</b>à l’auteur<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </b>en réunissant tous
ces écrits rares, au contenu très riche et toujours d’actualité, dans une
version imprimée de qualité. »</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">C’est
nous qui soulignons, ces petits malins n’ont pas eu alors à saisir les textes
dont ils ne disposent peut-être même pas d’une photocopie des textes originaux
mais uniquement d’une version par « piratage » internet. Si l’on
trouve « des documents » sur internet et que l’on s’en sert, <span style="margin: 0px;"> </span>le minimum alors est de donner des indications
sur leurs origines.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Voici
donc notre bibliographie non exhaustive mais déjà assez complète comme on
pourra en juger.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Abréviations
employées:</span></i></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">FAM</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La France Antimaçonnique</i>.<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"></b></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">VI</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Voile d’Isis</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">ET</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">SC</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Symbolisme de la Croix</i>, Éditions Trédaniel, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">AI</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur l’initiation</i>, Éditions Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">RQST</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le règne de la quantité et les signes des temps</i>, Éditions
Gallimard, Paris.<i style="mso-bidi-font-style: normal;"></i></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">IRS</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Initiation et Réalisation spirituelle</i>, Éditions Traditionnelles,
Paris, 1952</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">AEC</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur l'ésotérisme chrétien</i>, Éditions Traditionnelles, Paris,
1954.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">SFSS</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symboles fondamentaux de la Science sacrée</i>, Éditions Gallimard,
Paris, 1962.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">EFMCI</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études sur la Franc-Maçonnerie et le Compagnonnage</i>, Tome I,
Éditions Traditionnelles, Paris, août 1964.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">EFMCII</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études sur la Franc-Maçonnerie et le Compagnonnage</i>, Tome II,
Éditions Traditionnelles, Paris, octobre 1964.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">THPR</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le théosophisme, histoire d’une pseudo-religion</i>, Éditions
Traditionnelles, Paris, 1965.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">EH</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études sur l'Hindouisme</i>, Éditions Traditionnelles, Paris, 1968.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">FTCC</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Formes traditionnelles et cycles cosmiques</i>, Éditions Gallimard,
Paris, 1970.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">CR</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Comptes Rendus</i>, Éditions Traditionnelles, Paris, février 1973.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">AEIT</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur l'ésotérisme islamique et le Taoïsme</i>, Éditions
Gallimard, Paris, août 1973.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">M</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mélanges</i>,
Éditions Gallimard, Paris, 1976.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">PN</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Precizioni Necessarie</i>, Il Cavallo Alato, Padoue, 1988. </span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">ER</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: Écrits pour <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i>, Archè (Milan) et Nino Aragno
Editore (Turin), 1999.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">ACR I</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Articles et comptes rendus</i>, Tome I, Éditions Traditionnelles,
Paris, 2002.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">ACR II</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Articles et comptes rendus, 1917 – 1950</i>,<span style="margin: 0px;"> </span>Tome II. Tirage très limité du tapuscrit,
Paris. En mémoire dans les archives ou les ordinateurs des potentiels éditeurs.
En attente de parution éventuellement sous cet autre titre : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Recueil, 1917 – 1950</i>. </span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1909</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Initiation</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Février occultiste</i>. Signé R. G. S</span><span style="font-family: "symbol"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;">\</span></span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">
I</span><span style="font-family: "symbol"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;">\</span></span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">. Comme le titre
l’indique, il s’agit du programme des conférences et réunions prévues pour le
mois de février 1909. Il ne s’agit nullement d’un compte rendu.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Initiation</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mars occultiste</i>. Signé R. G. S</span><span style="font-family: "symbol"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;">\</span></span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">
I</span><span style="font-family: "symbol"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;">\</span></span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">. Idem pour le
mois de mars.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Acacia</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les contrefacteurs de la Franc-Maçonnerie</i>. Lettre de Desjobert,
Guénon, Blanchard, en réponse à O. Pontet.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">France-Chrétienne</i>
- (n° du 20 mai) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Homélie pastorale</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">France-Chrétienne</i>
- (n° du 1 juillet) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lettre à M. le
Directeur de La France-Chrétienne</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">France-Chrétienne</i>
- (n° du 23 septembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les FF</i></span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "symbol"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;">\</span></span></i><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> J. Desjobert, R. Guénon et A. Thomas</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notre programme</i>. Texte signé: La Direction.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Démiurge</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, juin 1951.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Philosophumena</i>. I. </span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> -<i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose et les Écoles spiritualistes</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 176.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Démiurge</i>. (Suite). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, juin 1951.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Philosophumena</i>. II.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1910</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bénédiction de mariage</i>. Signé P. (Palingénius).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A propos d’une Mission dans l’Asie Centrale</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 213.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Démiurge</i>. (Suite). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, juin 1951.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Philosophumena</i>. III.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A propos d’une Mission dans l’Asie Centrale</i>. (Suite et fin). Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 217.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Démiurge</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>, juin 1951.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Philosophumena</i>. IV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A nos lecteurs</i>. Texte signé: La Direction.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose et la Franc-Maçonnerie</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 257.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Dalaï-Lama</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Balzac et Saint-Martin</i>. Texte signé P. (Palingénius).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Philosophumena</i>. V.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Orthodoxie Maçonnique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 262.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Remarques sur la Notation Mathématique</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Philosophumena</i>. VI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avis</i>. (La Direction.)</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La France Antimaçonnique</i> (abrégée en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i>) - (n° du 14 avril) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Dalaï-Lama et S. G. L'Épopte Palingénius</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 28 avril) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Une lettre de Sa Grâce Palingénius</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Hauts Grades Maçonniques</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 268.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Remarques sur la Notation Mathématique</i>. (Suite et fin).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Remarques sur la production des Nombres</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 58.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 7 juillet) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Hauts Grades Maçonniques - Palingénius</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 28 juillet) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Remarques sur la production des nombres - T.
Palingénius</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. I.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Remarques sur la production des Nombres</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 64.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">P.-S</i>. (Signé P.)</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 29 septembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Remarques sur la production des nombres - T.
Palingénius</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre-octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. II.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Religion et les religions</i>. Repris dans le numéro spécial de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vers La Tradition</i>, n° 83-84, 2001.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. III.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 3 novembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chez les Gnostiques</i>. (Lettre de
Palingénius à A. C. de la Rive.). Lettre reprise dans un appendice à l’ouvrage
inédit, publié par Antoine Faivre, de René Le Forestier, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Occultisme en France aux XIXème et XXème siècles - L’Église Gnostique</i>,
Archè, Milano, 1990, pp. 415 et 413-414 (une inversion a en effet été commise
lors de la mise en page!).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 24 novembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tribune pour tous</i>. (Lettre de
Palingénius à A. Alhaiza.). Lettre reprise dans un appendice à l’ouvrage
inédit, publié par Antoine Faivre, de René Le Forestier, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Occultisme en France aux XIXème et XXème siècles - L’Église Gnostique</i>,
Archè, Milano, 1990, pp. 416-417.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Projet d’explication des termes techniques des différentes doctrines
traditionnelles</i>. Texte de la Direction.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1911</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ce que nous ne sommes pas</i>. Signé La Direction.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. IV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Prière et l’Incantation</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. V.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Symbolisme de la Croix</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 9 février) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Visite de Bonaparte à l’O.<sup>.</sup>.
de Nancy</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. VI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Symbolisme de la Croix</i>. (Suite).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Symbolisme de la Croix</i>. (Suite).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 29 avril) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tribune pour tous</i>. (Lettre de
Palingénius à A. C. de la Rive.)</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. VII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Symbolisme de la Croix</i>. (Suite).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 4 mai) - « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ce que nous ne sommes pas ».
Déclaration de la direction de La Gnose</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Symbolisme de la Croix</i>. (Suite et fin).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. VIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A propos du Grand Architecte de l’Univers</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 273.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A propos du Grand Architecte de l’Univers</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 282.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Néo-Spiritualistes</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>,
p. 178.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 31 août) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tribune pour tous</i>. (Lettre de
Palingénius à A. C. de la Rive.)</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Constitution de l’être humain et son évolution posthume selon le
Védânta</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Néo-Spiritualistes</i>. (Suite). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 183.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 7 septembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ordre des Noachites Français (1816)</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Constitution de l’être humain et son évolution posthume selon le
Védânta</i>. (Suite).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Conceptions scientifiques et Idéal maçonnique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p.<span style="margin: 0px;"> </span>288.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 5 octobre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un Côté peu connu de l'Œuvre de Dante</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 5 octobre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Loge: "Le Centre des Amis"</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 26 octobre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Baptême de Lumière</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. IX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Néo-Spiritualistes</i>. (Suite). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p.<span style="margin: 0px;"> </span>190.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 2 novembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Baptême de Lumière</i>. II.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. X.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Constitution de l’être humain et son évolution posthume selon le
Védânta</i>. (Suite et fin).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 7 décembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Baptême de Lumière</i>. III.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 14 décembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Baptême de Lumière</i>. IV.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1912</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. XI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les conditions de l’existence corporelle</i>. Repris, (sans certaines
notes), <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>,
janvier-février 1952.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - C. R. Livres: (Rév) J. T.
Lawrence, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">By-Ways of Freemasonry</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p.<span style="margin: 0px;"> </span>301.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 11 janvier) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Baptême de Lumière</i>. V.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 29 janvier) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Baptême de Lumière</i>. VI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Archéomètre</i>. XII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les conditions de l’existence corporelle</i>. (Suite). Repris, (sans
certaines notes), <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>,
mars 1952.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Néo-Spiritualistes</i>. (Suite). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p.<span style="margin: 0px;"> </span>201.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1913</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Symbolisme</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Enseignement initiatique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i>, décembre 1933.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 19 juin) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Renseignements complémentaires sur la
Maçonnerie et les divers Ordres qui y sont rattachés</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 19 juin) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le F</i></span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "symbol"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;">\</span></span></i><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> John Yarker</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 10 juillet) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un Initié des Sociétés Secrètes Supérieures</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 31 juillet) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L'Initiation Maçonnique du F </i></span><span style="font-family: "symbol"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;">\</span></span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">
Bonaparte</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 31 juillet) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notice sur les diverses Sociétés Secrètes
Anglaises qui sont rattachées à la Maçonnerie Anglaise</i>. La notice
concernant <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Sept Frères</i> (Sat Bhai)
a été reprise dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i> en décembre 1952 sous le titre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les influences modernistes dans l’Inde</i> et sous la signature de René
Guénon.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 14 août) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Régime Ecossais Rectifié de 1776 à 1815</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 14 août) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Adversaires du symbolisme</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 14 août) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bibliographie</i> [C. R. Livres]: S.-I.
Esclarmonde (Sophia), <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bref Exposé de la
Doctrine Gnostique</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 14 août) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mme H.-P. Blavatsky et la Maçonnerie</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 28 août) -<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Sociétés Secrètes chez les Noirs
d’Afrique</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 4 septembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mme H.-P. Blavatsky et la Maçonnerie</i>.
(Suite et fin).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 11 septembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chine, Sun Yat Sen contre Yuan Shi Kaï</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 11 septembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notice sur les diverses Sociétés Secrètes Anglaises
qui sont rattachées à la Maçonnerie Anglaise</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 18 septembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Bergsonisme</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 18 septembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notice sur les diverses Sociétés Secrètes
Anglaises qui sont rattachées à la Maçonnerie Anglaise</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 25 septembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le F</i></span><span style="font-family: "symbol"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;">\</span></span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> John Yarker, 33<sup>e</sup>,
90<sup> e</sup>, 97<sup> e</sup>, VII<sup> e</sup>, etc</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 25 septembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Théosophes et Théosophistes</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 25 septembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notice sur les diverses Sociétés Secrètes
Anglaises qui sont rattachées à la Maçonnerie Anglaise</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 2 octobre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">"Houzé Napoleone !"</i></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 16 octobre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Maçonnerie Opérative</i>. Repris dans
l’ouvrage de Bruno Hapel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">René Guénon et
le Roi du Monde</i>, Trédaniel, 2001, p. 195.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 16 octobre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Bergsonisme</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 16 octobre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notice sur les diverses Sociétés Secrètes
Anglaises qui sont rattachées à la Maçonnerie Anglaise</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 13 novembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notice sur les diverses Sociétés Secrètes
Anglaises qui sont rattachées à la Maçonnerie Anglaise</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 20 novembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Stricte Observance et les Supérieurs
Inconnus</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, juin 1952.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 4 décembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Sceau de la Société Théosophique</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 4 décembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Stricte Observance et les Supérieurs Inconnus</i>.
(Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, juillet-août 1952.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 11 décembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Inde, le Brahma-Samâj, l'Arya-Samâj</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>,
octobre-novembre et décembre 1952 sous le titre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les influences modernistes dans l’Inde</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 18 décembre) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A propos des Supérieurs Inconnus et de
l'Astral</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, septembre 1952.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1914</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 1<sup>er</sup> janvier) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M. Bergson et la "Libre Parole".</i></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 1<sup> er</sup> janvier) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chine, le Protestantisme et la Révolution</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 8 janvier) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme Maçonnique et Théosophie</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 29 janvier) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’"Énigme".</i></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 12 février) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réponse à M. Nicoullaud</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 19 février) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Régime Écossais Rectifié</i>. (Suite).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 26 février) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Régime Écossais Rectifié</i>. (Suite et
fin).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 5 mars) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L'Ésotérisme de Dante</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 19 mars) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M. Nicoullaud récidive...</i></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 23 avril) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques documents inédits sur l'Ordre des
Elus Coëns</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p.
228.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 7 mai) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dernière réponse à M. Gustave Bord</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 21 mai) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques documents inédits sur l'Ordre des
Elus Coëns</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p.
234.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 28 mai) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">-</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques
documents inédits sur l'Ordre des Elus Coëns</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 239.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 4 juin) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques documents inédits sur l'Ordre des
Elus Coëns</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p.
244.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 11 juin) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réflexions à propos du "Pouvoir
Occulte".</i></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 18 juin) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réflexions à propos du "Pouvoir
Occulte".</i></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FAM</i> - (n° du 9 juillet) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques documents inédits sur l'Ordre des
Elus Coëns</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p.
249.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1917</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bulletin municipal</i> (de
Saint-Germain-en-Laye) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Discours contre
les discours</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, novembre-décembre 1971. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 33.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1919</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai-juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue Philosophique</i> - C. R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Laird, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Problems of the Self</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
II</i>, p. 62.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue Philosophique</i> - C.R. Revues: </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Proceedings
of the Aristotelian Society</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">.
(New series, vol. XVIII, 1917-1918). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
II</i>, p. 62.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1920</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars-avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 0px 56.73px; text-indent: -42.55pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue Philosophique</i> - C.R. Revues: </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Aristotelian
Society</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">.
(Supplementary vol. II, 1919). </span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 77</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue Philosophique</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Galli, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nel Regno del conoscere e del ragionare</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 77.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Galli, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Alle radici della morale.</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 77.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre-octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue Philosophique</i> - C. R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">T.-L. Penido, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La méthode intuitive de M. Bergson. Essai
critique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 77.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1921</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Introduction générale à l’étude des
doctrines hindoues</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Éditions Librairie Marcel Rivière, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Le Théosophisme, histoire d’une
pseudo-religion</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Éditions Nouvelle Librairie Nationale, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue de Philosophie</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Théosophisme</i>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Histoire d’une pseudo-religion</i>. I.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Voici
le sommaire de cette série de quatre articles qui constitue comme une
prépublication de l’ouvrage à paraître sous le même titre: I. - Théosophie et
théosophisme. II. - Les origines de la Société Théosophiques. III. - La
question des « Mahâtmâs ». IV. - Pouvoir de suggestion de M<sup>me</sup>
Blavatsky. V. - Les sources des ouvrages de M<sup>me</sup> Blavatsky; le
Bouddhisme ésotérique. VI. - Principaux points de la doctrine théosophique.
VII. - Débuts de la présidence de M<sup>me</sup> Besant. VIII. - Le
Christianisme ésotérique; la duchesse de Pomar. IX. - Le Messie futur. X. -
L’Ordre de l’Étoile d’Orient et ses annexes. XI. - L’Église vieille-catholique.
XII. - Théosophisme et Franc-Maçonnerie. XIII. - Les organisations auxiliaires
de la Société Théosophique. XV. - Dernières observations.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars-avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue de Philosophie</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Théosophisme</i>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Histoire d’une pseudo-religion</i>. II.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai-juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue de Philosophie</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Théosophisme</i>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Histoire d’une pseudo-religion</i>. III.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue Philosophique</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Galli, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nel Dominio dell’ « io »</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 85.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Galli, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nel mondo dello spirito</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 85.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> E.
Osty, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le sens de la vie humaine</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 85.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue de Philosophie</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Théosophisme</i>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Histoire d’une pseudo-religion</i>. IV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre-octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue de Philosophie</i> - C. R. Livres</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">: I. Goldziher, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Dogme et la Loi de l’Islam: Histoire du
développement dogmatique et juridique de la religion musulmane</i>. Traduction
de F. Arin.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">
</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 90.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre-décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue Philosophique</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> J.
Devillas, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Essais systématiques</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 85.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Jean de la Harpe, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La religion comme « conservateur de la
valeur » dans ses rapports avec la philosophie générale de Harald Höffding</i>.
Préface par A. Lalande. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>,
p. 85.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1922</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars-avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue de Philosophie</i> - C. R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">W. Wallace, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De l’Evangélisme au Catholicisme par la route des Indes</i>. Traduction
de l’anglais par L. Humblet, S. J. Introduction par TH. Hénusse, S. J. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 94.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1923</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">L’Erreur spirite</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions M.
Rivière, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre-décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue de Philosophie</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Périer, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yahyâ ben Adî: un philosophe chrétien du X<sup>e</sup>
siècle.</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Petits traités
apologétiques de Yahyâ ben Adî</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
II</i>, p. 97.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Baron Carra de
Vaux, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Penseurs de l’Islam</i>. - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">I. Les souverains, l’histoire et la
philosophie politique</i>. - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">II. Les
géographes, les sciences mathématiques et naturelles.</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 97.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. Stoddard, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Nouveau Monde de l’Islam</i>. Traduit de
l’anglais par Abel Doysié. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>,
p. 97.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. Finot, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Marche à la Lumière (Bodhicharyâvatâra)</i>,
poème sanscrit de Çântideva. Traduction française avec introduction. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 97.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Senart, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Bhagavad-Gîtâ</i>, traduite du sanscrit
avec une introduction. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>,
p. 97.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. Finot, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Questions de Milinda (Milinda-pañha)</i>.
Traduit du pâli avec introduction et notes. René Guénon rend compte également
de deux autres ouvrages: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Trois Mystères
tibétains</i>, traduits avec introduction , notes et index par Jacques Bacot,
et, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Contes et Légendes du Bouddhisme
chinois</i>, traduits par Edouard Chavannes, avec préface et vocabulaire par
Sylvain Lévi. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 97.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1924</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Orient et Occident</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Payot, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Atanòr</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l'Insegnamento iniziatico</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue de Philosophie</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Masson-Oursel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Esquisse d’une histoire de la philosophie
indienne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 102.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Masson-Oursel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La philosophie comparée</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 102.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. et E. Avalon, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hymnes à la Déesse</i>. Traduits du sanscrit
avec introduction et notes. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>,
p. 102.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue Bleue</i> (n° du 15 mars) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Doctrines Hindoues</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 37.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Atanòr</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l'Esoterismo di Dante</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Atanòr</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">la Baraonda Martinista</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Atanòr</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l'Esoterismo di Dante</i>. (Suite).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Nouvelles Littéraires</i> (n° du 26
juillet) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le salut qui vient de l’Orient
?</i></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Atanòr</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l'Esoterismo di Dante</i>. (Suite).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Atanòr</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l'Esoterismo di Dante</i>. (Suite et fin).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Atanòr</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Re del Mondo</i>.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1925</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">L’Homme et son devenir selon le Vêdânta</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Bossard, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">L’Esotérisme de Dante</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Librairie Ch.
Bosse, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Radeau</i> - (n° du 31 janvier) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient et Occident</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 44.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ignis</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un plagario</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février-mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Cahiers du mois</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Roi du Monde</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 47</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Cahiers du mois</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réponse</i> à une enquête.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">F.-Ch. Barlet et les Sociétés Initiatiques</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>,
janvier-février-mars 1985. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 11.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril-mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ignis</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Cabala ebraica</i>. Traduction française de G. Pirinoli publiée dans
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 81 sous le titre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Kabbale juive</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai-juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue de Philosophie</i> - C. R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Tavernier, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cinquante ans de politique</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Œuvre d’irréligion</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 104.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Sacré-Cœur et la légende du Saint Graal</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>, ch. IX. Repris également <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. III. Et enfin, reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 1.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques précisions à propos de la H. B. of L</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>,
janvier-février-mars 1985. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 17.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Chrisme et le Cœur dans les anciennes marques corporatives</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>,
janvier-février 1951. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>,
p. 50. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 11.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre-décembre</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ignis</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Joseph de Maistre e la Massoneria</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A propos de quelques symboles hernético-religieux</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>, avril-mai-juin
1987. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 25.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1926</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Saint Bernard</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;"> dans l’ouvrage
collectif <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La vie et les œuvres de
quelques grands saints</i>, tome premier, Librairie de France, Paris. </span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Appel adressé aux Ecrivains et aux Artistes</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Verbe et le symbole</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. II. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 35.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A propos des signes corporatifs et de leur sens originel</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>, avril-mai 1951.
Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 43.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Lagneau, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De l’existence de Dieu</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 109.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Giovanni Gentile, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Esprit, acte pur</i>; traduit de l’italien
par M<sup>lle</sup> A. Lion. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
II</i>, p. 109.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Groslier, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Sculpture Khmère ancienne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 109.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février-mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vers l’Unité</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La métaphysique orientale</i>. I. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>, mai 1938.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Arbres du Paradis</i>. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>,
p. 51.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Cœur rayonnant et le Cœur enflammé</i>. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 59.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sédir et les doctrines hindoues</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 261.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vers l’Unité</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La métaphysique orientale</i>. II. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>, juin 1938.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Choisnard, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Saint Thomas d’Aquin et l’influence des
astres</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 109.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Idée du Centre dans les traditions antiques</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. VIII. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 69.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Léon Champrenaud</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 263.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai-juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;"> </span>- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vers
l’Unité</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La métaphysique orientale</i>.
III. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>,
juillet 1938.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Réforme de la mentalité moderne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>, janvier-février 1961. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 81.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’ « Omphalos », symbole du Centre</i>. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 89.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Cahiers du mois</i> - C. R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">[Anonyme], <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le poète tibétain Milarépa, ses crimes, ses épreuves, son nirvana</i>.
Traduction J. Bacot. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>,
p. 52.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Cœur du Monde dans la Kabbale hébraïque</i>. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 97.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre-octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Terre sainte et le Cœur du Monde</i>. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 107.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Dwelshauvers, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Mécanismes subconscients</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 109.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Considérations sur le symbolisme. I: Mythes et Symboles</i>. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 117.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Considérations sur le symbolisme. II: Symbolisme et Philosophie</i>.
Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 125.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1927</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Le Roi du Monde</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Librairie Ch.
Bosse, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">La Crise du Monde moderne</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Bossard, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">L’Esoterismo di Dante</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Traduction
italienne de Arturo Reghini.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Il Re del Mondo</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Traduction
italienne de Arturo Reghini.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cœur et Cerveau</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. LXX. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 133.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cologne ou Strasbourg ?</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 9.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue Hebdomadaire</i> - (n° du 22 janvier)
- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Terrains d’entente entre l’Orient et
l’Occident.</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 54.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A propos du Poisson</i>. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>,
p. 143.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Emblème du Sacré-Cœur dans une société secrète américaine</i>. Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>, décembre
1951. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 151.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vers l’Unité</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un projet de Joseph de Maistre pour l’union des peuples</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>, avril-mai 1952.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.19.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C.-W. Leadbeater, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La science des sacrements</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. F. Udny, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Christianisme primitif dans l’Evangile
des douze Saints</i>. Traduit de l’anglais. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Une contrefaçon du Catholicisme.</i> Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 161.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Centre du Monde dans les doctrines extrême-orientales</i>. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 171.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mme Chauvel de Chauvigny</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 265.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai-juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Christ-Roi</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Christ prêtre et roi</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, janvier-février 1962. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 17.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Schwaller de
Lubicz, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Appel du Feu</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Baruzi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Philosophes et savants français du XX<sup>e</sup>
siècle, extraits et notices. - III. Le problème moral</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Don des langues</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, juillet 1939.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Phusis, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Près du Secret de la Vie, Essai de
Morphologie universelle</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
II</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Boutroux, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Des Vérités éternelles chez Descartes</i>.
Thèse latine traduite par M. Canguilhem, avec une préface de M. Léon
Brunschwieg. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. P. J. Maréchal, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Point de départ de la Métaphysique,</i>
leçons sur le développement historique et théorique du problème de la
connaissance<i style="mso-bidi-font-style: normal;">.</i> Cahier V<i style="mso-bidi-font-style: normal;">: Le Thomisme devant la Philosophie critique</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. V. Piobb, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le secret de Nostradamus</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. G. Frazer, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Dieux du Ciel</i>. Traduit de l’anglais
par Pierre Sayn. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p.
111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Choisnard, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Preuves de l’influence astrale sur l’homme</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1928</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Le Théosophisme, histoire d’une
pseudo-religion</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Librairie Valois. Deuxième édition avec notes additionnelles.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Man and his becoming according to the
Vedanta</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Traduction anglaise et avant-propos de Charles Whitby.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Dujardin, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Dieu Jésus, essai sur les origines et sur
la formation de la légende évangélique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 114.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Lanoë-Villène, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Livre des Symboles, dictionnaire de
symbolique et de mythologie</i>. [lettres A et B]. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 114.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Montandon, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Radiations humaines, Introduction à la
démonstration expérimentale de l’existence des corps subtils de l’homme</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 114.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> - C. R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> E. de Henseler. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Ame et le dogme de la transmigration dans
les livres sacrés de l’Inde ancienne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 106.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. Lavelle, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Dialectique de l’éternel présent: De
l’Être</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 114.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Jakubisiak, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Essai sur les limites de l’espace et du
temps</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 114.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre-octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">B. Russell, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Analyse de l’Esprit</i>; traduit de
l’anglais par M. Lefèvre. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>,
p. 114.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Ch. Appuhn, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Spinoza</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 114.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Compagnonnage et les Bohémiens</i>. Article/compte rendu du numéro
de mai 1926 du journal <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Compagnonnage</i>
et de la contribution de G. Milcent. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile
d’Isis</i>, avril 1934.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> - C.R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> E. Isnard, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Sagesse du Bouddha et la science du bonheur</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 107.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> - C.R. Revues: </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Buddhism
in England</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
décembre 1927). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 180.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M. Dugard, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sur les frontières de la Foi</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 114.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Le Roy, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Exigence idéaliste et le Fait de
l’Evolution</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p.
114.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1929</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Autorité spirituelle et pouvoir temporel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Librairie philosophique J. Vrin, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Saint Bernard</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Publiroc, Marseille.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> (abregé en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i>) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Langage secret de Dante et des « Fidèles d’Amour »</i>.
[I.] Article/compte rendu du livre de Luigi Valli<i style="mso-bidi-font-style: normal;">, Il Linguaggio segreto di Dante a dei « Fedeli d’Amore ».</i>
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>, ch. IV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Besant, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Nouvelle Civilisation</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 117</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Krishnamurti, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Vie comme idéal</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 117</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. E. Powell, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Corps astral</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 117</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars-avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vers l’Unité</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Autorité spirituelle et pouvoir temporel</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
pierres de foudre</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
triple enceinte druidique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. X.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Krur</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 2). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 180.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mars [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 180.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Science Nouvelle</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(premiers numéros). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
181.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Messager de la Nouvelle Eglise</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de février [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>,
p. 435. Le lecteur aura corrigé Swenborg en Swedenborg.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de février [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 181.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Gnosi</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mars-avril [1929]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 181.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> avril ‘partie occultiste’ et n° du 14 avril [1929]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 181.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques
aspects du symbolisme de Janus</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XVIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">[Anonyme], <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Élue du Dragon</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 91.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Mercure de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 15 mai [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 182.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Lotus Bleu</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’avril [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 435.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du 21 avril [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, p. 104.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Compagnonnage</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de mai [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
182.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Rose-Croix</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’avril-mai-juin [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 182.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Espiral</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (?). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 435.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rays
from the Rose Cross</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de mai [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p.
435.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de mars [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 149.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’avril [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
149.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> mai ‘partie occultiste’ et n° du 19 mai [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 149.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
Gardiens de la Terre Sainte</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>,
ch. III. Repris également <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch.
XI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Atlantide
et Hyperborée</i>. Article/compte rendu du numéro d’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Atlantis</i> de juin 1929 et de la contribution de Paul Le Cour. Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 35.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Annales
d’Hermétisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(deux premiers numéros). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>,
p. 436.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Annales
Initiatiques</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(?). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 183.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Science Spirituelle</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° avril-mai [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 183.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Lotus Bleu</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de mai et juin [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>,
p. 436.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> de mai, juin et
juillet-août [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 183.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Compagnonnage</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 183.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de mai, juin et juillet [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 183.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n°<sup>s</sup> de mai et juin [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 183.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> du 23 juin; des 7, 14 et 21 juillet, n° du 1<sup>er</sup>
juillet ‘partie occultiste’ [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>,
p. 437.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos des Constructeurs du moyen âge</i>. Article/compte rendu du numéro de
mai 1929 du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> et de la
contribution de A. Bédarride (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les idées
de nos Précurseurs</i>). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 12.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Krur</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (?). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 184.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Ultra</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> de mai-juin et
juillet-août [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 185.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Gnosi</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (?). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 440.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Rosicrucian Magazine</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’août [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p.
440.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Theosophical Quarterly</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril 1929). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p.
441.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Lotus Bleu</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’août [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 441.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> du 25 août, 8 septembre, n° du 1<sup>er</sup> août ‘partie
occultiste’ et n° du 1<sup>er</sup> septembre ‘partie occultiste’ [1929]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 442.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres: J. A.
comte de Gobineau, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Religions et les
Philosophies dans l’Asie centrale</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 119. En laissant faussement entendre que ce compte rendu est
paru dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Voile d’Isis</i> en 1929.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un
nouveau livre sur l’Ordre des Élus Coens</i>. Article/compte rendu du livre de
R. Le Forestier intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Franc-Maçonnerie
occultiste au XVIII<sup>e</sup> siécle et l’Ordre des Élus Coens</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 37.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Marquès-Rivière,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">A l’ombre des monastères thibétains</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 379.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">S. U. Zanne, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Principes et éléments de la langue sacrée
selon l’Astro-Kabbale d’Al Chami</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 380.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Vers
l’Unité</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
juillet-août [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 185.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Etudes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du 20 septembre [1929]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 445.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L’Ere
Spirituelle</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (?
et n° d’octobre [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 185.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Die
Säule</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (?).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 186.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de septembre [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 186.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Compagnonnage</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’octobre [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 186.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Compagnonnage du Tour de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(premier numéro 15 septembre [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 186.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> du 29 septembre, des 20 et 27 octobre et n° du 1<sup>er</sup>
octobre ‘partie occultiste’ [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 151.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
de l’Ordre</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (?).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 186.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vient de paraître</i> - C. R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Lanoë-Villène,<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Le Livre des Symboles, dictionnaire de
symbolique et de mythologie (Lettre C).</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 117.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Le Roy, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Origines humaines et l’évolution de
l’intelligence</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p.
117.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">S. Radhakrishna, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Hindouïsme et la Vie</i>. Traduit par P.
Masson-Oursel. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 122, en
laissant entendre que ce compte rendu est paru dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> en 1929.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">F. Arouet, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La fin d’une parade philosophique: le
Bergsonisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 122,
en laissant entendre que ce compte rendu est paru dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> en 1929.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1930</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos des « Rose-Croix lyonnais »</i>. Article/compte rendu du livre
de Paul Vulliaud intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Rose-Croix
lyonnais au XVIII<sup>e</sup> siècle</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 46.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Krur</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 9-10-11, [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 186.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Annales
Initiatiques</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
juillet-août-septembre [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 187.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L’Astrosophie</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (?, [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 445.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de septembre-octobre
[1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 187.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> du 10, 17 et 24 novembre, n° du 1<sup>er</sup> décembre et n°
du 1<sup>er</sup> novembre ‘partie occultiste’ [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 153.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
symbolisme du Tissage</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 21.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Léon de Modène, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cérémonies et coûtumes qui s’observent
aujourd’huy parmy les Juifs</i>. Traduites de l’italien par le sieur de
Simonville. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 108.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. Compain, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La robe déchirée</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 381.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Hervé, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De la Physique à la Religion, en lisant des
livres d’hier et d’aujourd’hui</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>,
p. 381.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Ultra</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de septembre-décembre
[1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 187.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de novembre et décembre [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 155.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Saturn
Gnosis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (premiers
numéros). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 155.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 29 décembre et n° du 1<sup>er</sup> décembre ‘partie occultiste’
[1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 156.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Âtmâ-Gîtâ</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 9.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Torre</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (?).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 187.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Vers
l’Unité</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(novembre-décembre [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 187.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Lotus Bleu</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de janvier [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
188.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de décembre [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 188.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> du 1<sup>er</sup> janvier et du 1<sup>er</sup> février ‘partie
occultiste’ [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
188.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de décembre [1929]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 189.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Le nom de la revue
n’est pas précisé.) Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
189.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Grande Guerre Sainte</i>. Article daté: Mesr, 1<sup>er</sup> dzul-gadah 1348 H.
Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SC</i>, ch. VIII intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La guerre et la paix</i>. Cet article n’a
pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos des pélerinages</i>. Article daté: Mesr, 1<sup>er</sup> dzul-hijjah
(mois du pélerinage) 1348 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 52.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">[Collectif], <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sonetti alchimici-ermetica di Frate Elia e Cecco d’Ascoli, con
introduzione e note di Mario Mazzoni</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 108.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> de janvier et
février-mars [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 189.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de mars [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
158.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n°<sup>s</sup> de février et mars [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 158.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Compagnonnage</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de mars [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 158.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hain
der Isis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de janvier, février et mars [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 158.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> des 9 et 23 février, n° du 6 avril, n°<sup>s</sup> du 1<sup>er</sup>
mars et du 1<sup>er</sup> avril ‘partie occultiste’ [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 158.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Monde Nouveau</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Esprit de l’Inde</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i>,
novembre 1937.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Et-Tawhîd »</i>.
Article daté: Gebel Seyidna Mousa, 23 shawal 1348 H. Mesr, Seyidna El-Hussein,
10 moharram 1349 H. (Anniversaire de la bataille de Kerbela). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, ch III.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Torre</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
du 15 avril et du 1<sup>er</sup> mai [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 190.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° d’avril [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 159.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’avril [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
160.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 23 mars [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 160.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« El-Faqru »</i>.
Article daté: Mesr, 11-12 rabî awal 1349 H. (Mûlid En-Nabi). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, ch IV. Une note (p. 46) indique:
« Voir le chapitre sur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Guerre et
la Paix</i> dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Symbolisme de la
croix</i>. Dans la version originale, René Guénon renvoie à son article
intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Grande Guerre Sainte</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Symbolisme de la croix</i> n’étant pas
encore paru)</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Léon de Poncins, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Forces secrètes de la Révolution</i>;
nouvelle édition revue et mise à jour. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 94.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Giovanni Pontano, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lettera di Giovanni Pontano sul « Fuoco
Filisofico »</i>, introduzione, traduzione e note di Mario Mazzoni. Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 94.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Torre</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
8 à 10, [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
190.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Espiral</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (?). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 190.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hain
der Isis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
d’avril à juillet [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 190.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° d’avril-mai [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 190.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n°<sup>s</sup> de mai, juin et juillet [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 162 !</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n°<sup>s</sup> de mai et juin [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 162 !</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> du 6 et 20 juillet, n°<sup>s</sup> du 1<sup>er</sup> mai, du 1<sup>er</sup>
juin et du 1<sup>er</sup> juillet ‘partie occultiste’ [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 162 !</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
limites du Mental</i>. Article daté: Mesr, 23 rabî thâni 1349 H. (Mûlid Seyidna
El-Hussein). Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XXXII. Cet
article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 0px 94.53px; text-indent: -70.9pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de juin-juillet [1930]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 191.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n° d’août-septembre [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 160.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> du 27 juillet et du 3 août, n° du 1<sup>er</sup> août ‘partie
occultiste’ [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 160.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Siphra di-Tzeniutha</i>. Article/compte rendu du livre de Paul Vulliaud
intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Siphra di-Tzeniutha</i>. Daté:
Mesr, 25 jamâd awal 1349 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>,
p. 105. Un erratum n’ayant pas été pris en compte, il faut lire (p. 110,
souligné par nous): « En réalité, pour nous qui nous plaçons à un tout
autre point de vue que celui des linguistes, c’est la version paraphrasée et
commentée qui constitue <u>la véritable tradition car c’est elle qui rend
effectivement</u> le sens du texte et qui permet de la comprendre, là où la
version littérale fait parfois l’effet d’une sorte de "logogriphe",
comme le dit M. Vulliaud, ou de divagation incohérente. »</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1931</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Le Symbolisme de la Croix</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions Véga,
Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Initiation
sacerdotale et Initiation royale</i>. Article daté: Mesr, 7 rajab 1349 H. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XL. Cet article n’a pas fait
l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lotus Bleu</i> (n° de septembre [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 445.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de septembre-octobre
[1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 191.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n°<sup>s</sup> d’octobre et de novembre [1930]). Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 164, (sans l’indication du
mois de parution: Janvier 1931).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hain
der Isis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
d’août-septembre et d’octobre [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 446. Repris également <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 164.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Flèche</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (premier
n° du 15 octobre [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>,
p. 446.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Caodaïste</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(premiers n°<sup>s</sup> de juillet et d’août [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 446.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Fides
Intrepida</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 191.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les
Cahiers de l’Ordre</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de septembre [1930]).Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 164.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> septembre ‘partie occultiste’, n° du 1<sup>er</sup>
octobre ‘partie occultiste’ et n° du 12 octobre [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 165.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Science des Lettres</i>. (Ilmul-hurûf). Article daté: Mesr, 10 shaabân 1349 H.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. VI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Eudia
</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(n° de novembre
[1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 167.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n° de décembre [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 167.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° d’octobre [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 167.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Coadaïste</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de septembre et d’octobre [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>,
p. 447.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Bulletin
des Polaires</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(premiers n°<sup>s</sup> depuis mai [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 447.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> novembre ‘partie occultiste’ et n° du 7 décembre [1930]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 167.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Écorce
et le Noyau</i>. (El Qishr wa el-Lobb). Article daté: Mesr, 8 ramadân 1349 H.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, ch. II.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de novembre-décembre
[1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 119.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lotus Bleu</i> (n° de décembre [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 449.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de décembre [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 171.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Flèche</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 2 et
n° 3 du 15 décembre [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 171.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> décembre ‘partie occultiste’ [1930] et n° du 1<sup>er</sup>
janvier ‘partie occultiste’ [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 171.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bulletin des « Polaires »</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Centres initiatiques</i>. Repris dans
l’ouvrage de Bruno Hapel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">René Guénon et
le Roi du Monde</i>, Trédaniel, 2001, p. 203.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Tradition Hermétique</i>. Article/compte rendu du livre de J. Evola, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Tradizione Ermetica nei suoi Simboli,
nella sua Dottrina e nella sua « Ars Regia ».</i> Daté: Mesr, Sheikh
El-Bayûmi, 9 shawâl 1349 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>,
p. 119. Il ne faut pas lire note 2: « Cf. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur l’initiation</i>, chap. XL. », car René Guénon ne
renvoie pas à ce livre non encore paru mais à son article de janvier 1931.
D’autre part, l’errata n’a pas été pris en compte: ainsi il faut lire: p. 123,
l. 9 <u>principiel</u> et non principal et p. 124, l. 31 <u>actuel</u> et non
naturel.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de janvier-février [1931]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 120.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Eudia</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> de janvier et
février [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
191.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les
Forces spirituelles pour la protection et la guérison</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (depuis octobre [1930]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 192.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n°<sup>s</sup> de janvier et février [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 172.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue Caodaïste</i> (n°<sup>s</sup> de novembre et décembre [1930]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 192.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Amis du Bouddhisme</i> (?). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 192.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Flèche</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du 15
janvier [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 120.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> février ‘partie occultiste’ [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 173.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rose-Croix
et Rosicruciens</i>. Article daté: Mesr, 10 dul-qadah 1349 H. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XXXVIII. Cet article n’a pas
fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Al-Ma’rifah</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">I’rif nafsa-ka bi-nafsi-ka</i>. Traduction française revue par René
Guénon et publiée dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i> en mars 1951 sous le titre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Connais-toi toi-même.</i></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Magie
et Mysticisme</i>. Article Daté: Mesr, 10 dul-hijjah 1349 H. (El-Aïd el-Kebir).
Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. II. Cet article n’a pas
fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante. Signalons que
René Guénon n’a pas maintenu sa référence à un article de J. Marquès-Rivière
publié dans le n° de mars 1931 des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i> et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
dangers des plans magiques</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de janvier-février [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 192.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mars [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 192</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n°<sup>s</sup> de mars et avril [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 174.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de mars [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 193.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue Caodaïste</i> (n°<sup>s</sup> de janvier et février [1931]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 193.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Bulletin
des Polaires</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de février et mars [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 193.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> mars ‘partie occultiste’ et n° du 1<sup>er</sup> avril
[1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 174.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - (Lettre à la Direction de G.
Mariani.) Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 175.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réponse</i>
de René Guénon. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
177.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Al-Ma’rifah</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Atharu-th-Thaqâfati-l-islâmiyyati fî-l-Gharb</i>. Traduction française
revue par René Guénon et publiée dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i> en décembre 1950 sous le titre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Influence de la civilisation islamique en Occident.</i></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Hiéroglyphe
du Cancer</i>. Article daté: Mesr, 15 moharram 1350. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XIX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n°<sup>s</sup> de mai et juin [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 194.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Revue Caodaïste</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de mars [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
194.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">[<i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Flèche</i>], brochure intitulée <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Mystère de la Vallée des Rois</i>,
publiée aux Éditions de la Flèche par M. Jean de Villodon. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 194.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> mai ‘partie occultiste’ et n° du 10-17 mai [1931]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 179.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Al-Ma’rifah</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ar-Rûhâniyyatu-l-Hâdithah wa khat’u-hâ</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Place
de la tradition atlantéenne dans le Manvantara</i>. Article daté: Mesr, 15
rabî-awal 1350 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 46.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Al-Ma’rifah</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ar-Rûhâniyyatu-l-Hâdithah</i>.<i style="mso-bidi-font-style: normal;">
Raddun ‘alâ raddin</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sheth</i>.
Article daté: Mesr, 23 rabî thâni 1350 H. (Mûlid Seyidna El-Hussein). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XX. L’article commence ainsi:
« Dans la chronique que notre confrère Argos a consacré récemment (n° de
juillet) à un curieux livre anglais sur les “°derniers temps°”, il est un
point... »</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - (Lettre ouverte à M. Guénon par M.
Desoille.)</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de mars-avril et mai-juin [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 195.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° d’avril-mai [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 195.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n° de juillet [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 181. Repris également <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 195.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> juin ‘partie occultiste’, n° du 28 juin, n° du 1<sup>er</sup>
juillet ‘partie occultiste’ et n°<sup>s</sup> du 5 et 12 juillet [1931]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 181.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réponse</i>
de René Guénon à M. Desoille. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 183.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réponse</i>
de René Guénon à M. de Villodon. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 254.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Langue des Oiseaux</i>. Article daté: Mesr, 22 jumâd awal 1350 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. VII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n°<sup>s</sup> d’août-septembre et octobre [1931]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 184.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> de mars et
juin-juillet [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
120.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> août et du 1<sup>er</sup> septembre ‘partie occultiste’
[1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 184.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Al-Ma’rifah</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Al-Quwâ as-Sâbibah</i>. Traduction française revue par René Guénon et
publiée à titre posthume dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i> en mars-avril 1962 sous le titre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les influences errantes</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques
remarques sur le nom d’Adam</i>. Article daté: Mesr, 26 jumâd thâni 1350 H.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 55.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1932</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Introduction générale à l’étude des
doctrines hindoues</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Éditions Véga, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Les États multiples de l’être</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions Véga,
Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Caïn
et Abel</i>. Article daté: Mesr, 27 rajab 1350 H. (Laïlat El-Miraj). Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">RQST</i>, ch. XXI. Cet article n’a pas fait
l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de juillet-août [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 195.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de septembre-octobre
[1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 195.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Psyché</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° d’octobre [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 122.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n° de novembre [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 195.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> octobre ‘partie occultiste’, n° du 25 octobre et n° du 1<sup>er</sup>
novembre ‘partie occultiste’ [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 186.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers de l’Ordre</i> (n° spécial d’octobre [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 187.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
symbolisme du théâtre</i>. Article daté: Mesr, 26 shaabân 1350 H. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XXVIII. Cet article n’a pas fait
l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante. Signalons que René
Guénon ne fait plus référence à l’article de M. Clavelle intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notes sur les origines du théâtre</i>,
novembre 1931.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lotus Bleu</i> (n° de novembre [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 196.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de novembre-décembre
[1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 196.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Psyché</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de novembre [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 196.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n° de décembre [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 188.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> décembre ‘partie occultiste’ [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 189.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
langage secret de Dante et des « Fidèles d’Amour »</i>. [II.]
Article/compte rendu du livre de Luigi Valli, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Linguaggio segreto di Dante e dei « Fedeli d’Amore</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">»</i>, vol. II (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Discussione e note aggiunte</i>). Daté: Mesr, 27 ramadân 1350 H.
(Laïlat El-Qadr). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>, ch. V.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de septembre-octobre [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 196.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n° de janvier [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 190.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de décembre [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 190.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers de l’Ordre</i> (n°<sup>s</sup> de novembre et décembre [1931]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 190.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier ‘partie occultiste’ [1932]).Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 191.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hermès</i>.
Article daté: Mesr, 26 shawâl 1350 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 128.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Chirologie dans l’ésotérisme islamique</i>. Article daté: Mesr, 18 dhûl-qadah
1350 H. (Mûlid Seyid Ali El-Bayûmi). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>,
ch VII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mercure de France</i> (n° du 15 janvier [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 197.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de novembre-décembre [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 197.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lotus Bleu</i> (n° de janvier [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 197.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Psyché</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de février [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 122.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Nouvelle
Revue Française</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> février [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 449.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de janvier-février [1932]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 450.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
des Jeunes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (?).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 123.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Vie
Spirituelle</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
du 1<sup>er</sup> février [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 123.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n°<sup>s</sup> de février et mars [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 193.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n°<sup>s</sup> de janvier et février [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 194.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Flèche</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du 15
février [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
194.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> février ‘partie occultiste’ [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 195.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Nouvelles
critiques d’Ordre</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(?). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 196.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Organisations
Initiatiques et Sectes Religieuses</i>. Article daté: Mesr, 25 dhûl-hijjah 1350
H. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XI. Cet article n’a
pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante. Signalons
que René Guénon ne fait plus mention du dernier ouvrage de L. Valli, cité
précédemment, ni de l’étude de P. Genty intitulée <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Albigeois</i> (mars 1932).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">S. U. Zanne, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Origines</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Atlantide</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 109.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">H.-J. Bolle, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Temple, Ordre initiatique du moyen-âge</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 95.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. de Poncins, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Refusé par la Presse</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 95.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vie Intellectuelle</i> (n° de mars [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 197.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mars-avril [1932]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 198.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue Spirite</i> (n° d’avril [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 452.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hain
der Isis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de novembre et décembre [1931]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 198.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Die
Säule</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
1 et 2 de 1932). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
198.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n° d’avril [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 199.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> mars ‘partie occultiste’et n° du 1<sup>er</sup> avril
‘partie occultiste’ [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 199.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nouveaux
aperçus sur le langage secret de Dante</i>. Article/compte rendu du livre de
Gaetano Scarlata<i style="mso-bidi-font-style: normal;">, Le origini della
letteratura italiana nel pensiero di Dante</i>. Daté: Mesr, 5 çafar 1351 H.
(Mûlid Seyidi Ismaïl El-Embâdi). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>,
ch. VI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">O. Leroy, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Hommes Salamandres</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 109.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Dandoy, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Ontologie du Vêdânta</i>. Traduit de
l’anglais par Louis-Marcel Gauthier. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 124.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M. Lallemand, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notes sur l’Occultisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 110.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Etudes Carmélitaines</i> (n° d’avril [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p. 146.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Araldo
Letterario</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> de
Milan (n° d’avril [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 199.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de mai [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p.<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>201.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n°<sup>s</sup> de mai et juin [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>202.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> mai ‘partie occultiste’ [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I,</i> p<i style="mso-bidi-font-style: normal;">. </i>203.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de janvier-février, mars-avril et mai-juin [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 199.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Die
Säule</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 3 de
1932). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 199.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avis</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 453.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Taoïsme
et Confucianisme</i>. Article non daté. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, ch X.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">H. Borel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Wu Wei</i>. Traduit du hollandais par M<sup>me</sup> Félicia Barbier.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p. 154.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - Des conditions de l’Initiation.
Article daté: Mesr, 28-29 rabî thâni 1351 H. (Mûlid Seyidna El -Hussein). Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. I et ch. IV. Cet article n’a pas
fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cesare della
Riviera, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Mondo Magico degli Heroi</i>.
Reproduction modernisée du texte de 1605, avec introduction et notes de J.
Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 7.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Evola, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Maschera e volto dello Spiritualisme contemporaneo</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Th. Darel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Expérience Mystique et le Règne de
l’Esprit</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, p. 421.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. Suarès, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Krishnamurti</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 382.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mai-juin [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 199.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n° de juillet [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 204.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Freemason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 205.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Biblioteca
« Las Sectas »</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(premier numéro). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
205.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> juin ‘partie occultiste’et n° ordinaire du 1<sup>er</sup>
juillet [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
200.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Psyché</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° d’avril [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 200.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De
la Régularité Initiatique</i>. Article daté: Mesr, 1<sup>er</sup> jumâd thâni
1351 H. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. V. Cet article
n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de juillet-août [1932]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 127.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lotus Bleu</i> (n° d’août-septembre [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p. 156.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Die
Säule</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 4 de
1932). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 201.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n°<sup>s</sup> d’août-septembre et d’octobre [1932]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 201.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Etudes</i> (n° du 20 juillet [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 128.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Liberté</i> (n°<sup>s</sup> du 18 février et du 25 mars [1932]). Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 453.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 0px 94.53px; text-indent: -70.9pt;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Post-Scriptum</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 455.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De
la Transmission Initiatique</i>. Article daté: Mesr, 7 rajab 1351 H. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. VIII.Cet article n’a pas fait
l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’octobre [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 206.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de septembre [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 208.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet-août-septembre ‘partie occultiste’et n° ordinaire du 1<sup>er</sup>
juillet [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
208.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1933</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Des
Centres initiatiques</i>. Article daté: Mesr, 10 shaabân 1351 H. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. X. Cet article n’a pas fait
l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de septembre-octobre
[1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 211.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n° de novembre [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 211.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° d’octobre [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p<i style="mso-bidi-font-style: normal;">.</i> 212.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° spécial et n° d’octobre ‘partie occultiste’ [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I, p. </i>212.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - (Lettres Reçues: lettre de Ex-G.
Mariani à Monsieur le Gérant; lettre de Jean d’Agraives et Pierre Mariel à
Monsieur le Gérant.) Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, pp.
456 et 458.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> -<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réponse</i>
de René Guénon. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 460.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Initiation
et contre-initiation</i>. Article daté: Mesr, 11 ramadân 1351 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>
janvier-février-mars 1987.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Nouvelle
Equipe</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’avril-septembre 1932). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 202.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Die
Säule</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 6 de
1932). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 202.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de novembre [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 214.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n°<sup>s</sup> de décembre [1932] et janvier [1933]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 214.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de novembre‘partie occultiste’ et n° de décembre [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>214.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Des
Rites initiatiques</i>. Article daté: Mesr, 12 shawâl 1351 H. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XV. Cet article n’a pas fait
l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de juillet-août 1932). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 203.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de novembre-décembre
[1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 203.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p.<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>216.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de décembre [1932]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p.<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>216.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier ‘partie occultiste’ [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>217.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Des
Épreuves initiatiques</i>. Article daté: Mesr, 10 dhûl-qadah 1351 H. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XX. Cet article n’a pas fait
l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Méautis, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Ame héllénique d’après les vases grecs</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 8.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Savoret, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Du Menhir à la Croix, essai sur la triple
tradition de l’Occident</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 9.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n° de février [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 219.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de février [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 219.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Die
Säule</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 1 de
1933). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>219.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 15 février [1933], n° de février ‘partie occultiste’[1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 219.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de novembre-décembre
[1932]). (Suite). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
222.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avis</i>:
(Annonce de la réédition de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Elue du
Dragon</i> avec une préface de ‘Roger Duguet’. Commentaires de René Guénon).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 221.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Post-Scriptum.</i>
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 254.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Qabbalah</i>.
Article daté: Mesr, 7 dhûl-hijjah 1351 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 61.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Connaissance
initiatique et « culture » profane</i>. Article daté: Mesr, 7
moharram 1351 H. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XXXIII.
Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de septembre-octobre et novembre-décembre 1932). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 203.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis
</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(n° de
janvier-février 1933). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
132.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
anti-judéo-maçonniques</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(?). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 203.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Psyché</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de février [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 223.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Die
Säule</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 2 de
1933). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 204.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de mars [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 222.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme</i> (n°<sup>s</sup> de mars et avril [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 222.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> mars [1933], n° de mars ‘partie occultiste’ [1933]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 223.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Fidèles
d’Amour » et « Cours d’Amour »</i>. Article/compte rendu du
livre de Alfonso Ricolfi intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Studi
sui « Fedeli d’Amore »; Le « Corti d’Amore » in Francia ed
i loro riflessi in Italia</i>. Daté: Mesr, 12 çafar 1352 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>, ch. VII. Signalons que la note 1,
p. 76, a été ajoutée par l’éditeur sans raison particulière.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">H. Valentino, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Voyage d’un pèlerin chinois dans l’Inde
des Bouddhas</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 127.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. Blech, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Contribution à l’histoire de la Société
Théosophique en France</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>,
p. 383.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mars-avril [1933]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 225.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de mai [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
225.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de mai [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 225.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 15 mai [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 226.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Echo
de Paris</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du
22 mai [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
226.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kabbale
et Science des Nombres</i>. Article daté: Mesr, 1<sup>er</sup> rabî eth-thâni
1352 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 67.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kundalinî-Yoga</i>.
I. Article/compte rendu du livre d’Arthur Avalon (Sir John Woodroffe) intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Serpent Power</i>. Daté: Mesr, 25 jumâd
el-awal 1352 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 27.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Lebey, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nécessité de l’Histoire</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 112.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Duguet, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Cravate blanche</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 97.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. de Dienval, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Clé des Songes</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p 98.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nouvelle Revue Française</i> (n° du 1<sup>er</sup> août [1933]). Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 133.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> de mai-juin et
juillet-août [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
132.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hermès</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (premier n° de juin [1933]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 133.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Il
Mistero</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (premier
n° de juillet [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 204.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Die
Säule</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 4 de
1933). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 204.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de juin [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 226.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de juin, juillet et août-septembre [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 226.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> juin [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 228.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Nouvelles
Littéraires</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
du 27 mai [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p.
148.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Temps</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (?).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p. 148.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kundalinî-Yoga</i>.
II. (Suite et fin). Article/compte rendu (suite et fin), daté: Mesr, 20 jumâd
eth-thâni 1352 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 35.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’enseignement
initiatique</i>. Cet article est précédé d’un avis signé par René Guénon:
« Comme complément à nos précédentes études sur la question de
l’initiation, et plus spécialement en ce qui concerne la différence essentielle
qui existe entre les méthodes de l’enseignement profane, nous reproduisons ici,
sans y rien modifier, un article que nous avons fait paraître autrefois dans la
revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Symbolisme</i> (numéro de
janvier 1913). Comme la plupart des lecteurs actuels du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> n’ont sans doute jamais eu connaissance de cet article,
nous pensons que sa reproduction ne sera pas inopportune; et elle montrera en
même temps que, quoi que puissent imaginer certains, qui jugent trop facilement
d’après eux-mêmes, notre façon d’envisager ces choses n’a jamais varié ».
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 31.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues: </span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mercure
de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du
15 août [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
204.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de janvier-février, mars-avril, mai-juin et juillet-août [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 204.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 229.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de septembre [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 229.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’octobre [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
229.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 15 août [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 230.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1934</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
« religion » d’un philosophe</i>. Article/compte rendu du livre de H.
Bergson intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les deux sources de la
morale et de la religion</i>. Daté: Mesr, 22 shaabân 1352 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 39.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Universelle</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
du 1<sup>er</sup> octobre [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 205.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (septembre-octobre [1933]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 135.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Illustration</i> (n° du 4 novembre [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 135.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> d’avril et d’octobre [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 231.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° d’octobre [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 231.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme </span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(n°
de novembre [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 231.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 15 novembre [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 232.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Etudes
Carmélitaines</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’octobre [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 206.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 2 février - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Conoscenza spirituale e
« cultura » profana</i>. Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, ouvrage posthume intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Precisazioni
necessarie</i>, p. 11, article non signé d’après cette réédition. Traduction
très libre de l’article du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i>
publié en juin 1933 et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Connaissance
initiatique et « culture » profane</i>. L’expression
« initiation maçonnique » est ainsi rendue par « tradizioni
antiche »...</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Saint-Graal</i>. I. Article/compte rendu du livre de Arthur Edward Waite
intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Holy Grail, its legends and
symbolism</i>. Daté: Mesr, 27 ramadân 1352 H. (Laylat El-Qadr). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>, ch. VIII, p. 83. Repris également <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. IV, p. 49.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M.
Weissen-Szumlanska, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Ame archaïque de
l’Afrique du Nord</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
11.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Gabriel Trarieux, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Lumière d’Asie</i>. Traduction du poème
d’Edwin Arnold, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Light of Asia</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 113.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D.-V. Fumet, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Divine Oraison</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 113.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Guiberteau, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Musique et Incarnation</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 11.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 2 mars - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sull’insegnamento « tradizionale »
e sul senso dei simboli</i>. Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 16, article non signé d’après cette réédition. Traduction
très libre (avec adjonction de sous-titres) de l’article du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> publié en décembre 1933 et
intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’enseignement initiatique</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 16 mars - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Significato del « folk-lore ».</i>
Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue
par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 21,
article signé « r.g. » d’après cette réédition. Traduction très libre
et partielle de la première partie de l’article du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> publié en février 1934 et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le « Saint-Graal »</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Saint-Graal</i>. II. (Suite et fin). Article/compte rendu (suite et fin). Daté:
Mesr, 20 shawâl 1352 H. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>,
ch. VIII, p. 92. Repris également <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. IV, p 56.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. de Poncins, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tempête sur le Monde, ou la faillite du
Progrès</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 114.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Méautis, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Mystères d’Eleusis</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 12.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de novembre-décembre
[1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 232.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 233.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de décembre [1933]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 234.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme </span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(n°<sup>s</sup>
de décembre [1933] et janvier [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 234.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> janvier [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 235.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 18 avril - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Due miti: civiltà e progresso</i>. Publié
dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J.
Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 24, article
signé « Ignitus » d’après cette réédition. Traduction très libre
(avec adjonction de sous-titres) des pages 19 à 22 et 24 à 27 du chapitre
premier intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Civilisation et progrès</i>
de la première partie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient et
Occident</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’initiation
et les métiers</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 71.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Compagnonnage et les Bohémiens</i>. Une note de la Rédaction précise:
« Notre collaborateur Jean Reyor a fait allusion, p. 146 à l’article de M.
René Guénon sur le Compagnonnage et les Bohémiens. Comme tous nos lecteurs
actuels n’ont peut-être pas eu connaissance de cet article paru en octobre
1928, nous avons pensé qu’il serait intéressant de le reproduire dans le
présent numéro spécial ». Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 31.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 2 mai - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il mito del progresso</i>. Publié dans la
rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J. Evola.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 30, article signé
« Ignitus » d’après cette réédition. Traduction très libre des pages
27 à 34 du chapitre premier intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Civilisation
et progrès</i> de la première partie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient
et Occident</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Verbum,
Lux et Vita »</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch.
XLVII. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante. Signalons malgré tout que René Guénon fait allusion dans cette
étude à son article/compte rendu intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kundalinî-Yoga</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Evola, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rivolta contro il Mondo moderno</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 13.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. Pagliani, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Di Nostradamus e di una sua poco nota
iscrizione liminare torinese</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 115.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">F. Divoire, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Néant... Paradis... ou Réincarnation</i> ?
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 115.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de janvier-février [1934]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 207.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de janvier [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 236.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme </span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(n°
de février [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
236.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 15 février [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 207.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 1<sup>er</sup>
juin - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dove si riduce la « religione »
di un filosofo</i>. Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i>
tenue par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 34,
article non signé d’après cette réédition. Traduction très libre de l’article
du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> publié en janvier
1934 et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
« religion » d’un philosophe</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 16 juin - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il mito moralistico-sentimentale</i>. Publié
dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J.
Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 39, article
signé « Ignitus » d’après cette réédition. Traduction très libre des
pages 34 à 42 du chapitre premier intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Civilisation
et progrès</i> de la première partie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient
et Occident</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De
la Mort initiatique</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch.
XXVI. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
207.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de mars [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 207.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’avril [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
207.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 15 avril [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 208.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rose-Croix</i> (n° de janvier-février-mars [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 208.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 1<sup>er</sup>
juillet - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La superstizione della
« scienza ».</i> Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 44, article signé « Ignitus » d’après cette
réédition. Traduction très libre des pages 43 à 46 et 48 à 53 du chapitre II
intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La superstition de la science</i>
de la première partie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient et
Occident</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 19 juillet - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Scientismo moderno e conoscenza tradizionale</i>.
Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue
par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 49,
article signé « Ignitus » d’après cette réédition. Traduction très
libre des pages 53 à 60 et 62 à 63 du chapitre II intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La superstition de la science</i> de la première partie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient et Occident</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Du
prétendu « empirisme » des anciens</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 135.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mars-avril [1934]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 136.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lotus Bleu</i> (n° d’avril [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 208.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° d’avril [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 236.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de mai [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
237.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Documents
du temps</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(premier numéro). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
237.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 2 août - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La superstizione della
« volgarizzazione ».</i> Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 55, article signé « Ignitus » d’après cette
réédition. Traduction très libre des pages 63 à 69 du chapitre II intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La superstition de la science</i> de la
première partie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient et Occident</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 24 août - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La superstizione della « vitta ».</i>
Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue
par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 60,
article signé « Ignitus » d’après cette réédition. Traduction très
libre des pages 80 à 85 et 87 à 91 du chapitre III intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La superstition de la vie</i> de la première
partie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient et Occident</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Soufisme</i>. Article/compte rendu du livre de Sirdar Ikbal Ali Shah intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Islamic Sufism</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>,
octobre-novembre-décembre 1986.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 17 octobre - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Precisazioni necessarie: due scienze</i>.
Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue
par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 66,
article non signé d’après cette réédition. Traduction très libre de l’article
du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> publié en juillet
1934 et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Du prétendu
« empirisme » des anciens</i>. Le texte fait mention des articles
signés « Ignitus ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Organisations
initiatiques et sociétés secrètes</i>. I. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XII. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi
d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mai-juin [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 209.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 237.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n°<sup>s</sup> de mai et juin [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 237.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme </span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(n°<sup>s</sup>
de juin et juillet [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 238.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> du 1<sup>er</sup> et du 15 juillet [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 239.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 16 novembre -
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il problema dei « principii ».</i>
Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue
par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 71,
article signé « Ignitus » d’après cette réédition. Traduction très
libre des pages 160 à 166 et 168 à 171 du chapitre II intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’accord sur les principes</i> de la
deuxième partie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient et Occident</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Organisations
initiatiques et sociétés secrètes</i>. II. (Suite et fin). Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XII. Cet article n’a pas fait
l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Lennhoff, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Histoire des Sociétés politiques secrètes au
XIX<sup>e</sup> et au XX<sup>e</sup> siècle</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 384.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. de Poncins, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Dictature des Puissances occultes</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La F</i>. : <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>. :<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> d’après ses
documents secrets</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 115.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Chatir, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les dix causeries occultistes d’El-Dalil sur
l’Homme dans l’Univers</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 116.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de juillet-août [1934]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 209.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Gringoire</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (notamment le n° du 24 août
[1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 210.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Memra</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Învatatura initiatica</i>. Traduction roumaine établie probablement par
Marcel Avramescu de l’article intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Enseignement
initiatique</i> publié dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Voile
d’Isis</i> en décembre 1933. Titre roumain indiqué dans l’ouvrage de C. Mutti, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La grande influence de René Guénon en
Roumanie</i>, traduit de l’italien par J. Delorme, Akribea, 2002.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Du
secret initiatique</i>. Une note de la Rédaction fournit la traduction de
certains termes arabes employés par René Guénon dans son article intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Soufisme</i> ainsi que la traduction de
la dernière phrase en arabe de l’article: « Il n’y a pas de divinité, si
ce n’est la seule Divinité; Elle n’a pas d’associé; à Elle est la royauté et à
Elle la louange, et Elle est puissante sur toute chose ». Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XIII. Cet article n’a pas fait
l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">F. Warrain, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Œuvre philosophique de Hoené Wronski</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">textes, commentaires et critique</i>; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tome I<sup>er</sup></i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 116.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M. Lallemand, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Transfini, sa logique et sa métaphysique</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 118.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">[Collectif] <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Marc Haven (le Dr. Emmanuel Lalande)</i>.
Mme Emmanuel Lalande, André Lalande, L. Chamuel, Jules Legras, D<sup>r</sup> J.
Durand, Justin Maunus. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 119.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1935</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 18 janvier - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il problema della costituzione della élite</i>.
Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue
par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 77,
article non signé d’après cette réédition. Traduction très libre des pages 185
à 193 du chapitre III intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Constitution
et rôle de l’élite</i> de la deuxième partie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient et Occident</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> -<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Noms
profanes et noms initiatiques</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>,
ch. XXVII. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte
trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">W. B. Seabrook, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aventures en Arabie</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p. 133.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. Fry, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Léo Taxil et la Franc-Maçonnerie</i>. Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 102.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Art
et Médecine</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de février 1934). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
211.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mercure
de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du
15 novembre [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
211.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° d’octobre [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 241.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
d’août-septembre, d’octobre et de novembre [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 241.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 15 novembre [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 242.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Rite et le symbole</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch.
XVI. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante. Signalons malgré tout que René Guénon fait référence dans cette
étude à certains de ses articles: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Saint Graal</i> (février 1934), <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Caïn et
Abel</i> (janvier 1932) et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Science des
lettres</i> (février 1931).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Memra</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 1, décembre 1934). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 211.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Bulletin
of the School of Oriental Studies</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
de Londres (vol. VII, 3<sup>e</sup> partie, 1934). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 224.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Technical
Studies in the field of the fine arts</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
de Boston (n° octobre 1934). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 224.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de septembre-octobre
[1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 212.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’octobre [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 212.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de décembre [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
212.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers de l’Ordre</i> (n° de novembre [1934]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 213.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">P.-S</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 254.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De
la confusion du psychique et du spirituel</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">RQST</i>, ch. XXXV. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi
d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. Réhault, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Instructeur du Monde, Krishnamurti</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 385.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. de Païni, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Mysticisme intégral</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 387.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de septembre-octobre, novembre-décembre 1933, janvier-février, mars-avril,
mai-juin, septembre-octobre et novembre-décembre 1934). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 213.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 213.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n°<sup>s</sup> de décembre [1934] et janvier [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 213.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de janvier [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
213.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">‘Revue anglaise’.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 213.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Post-scriptum</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 254.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
arts et leur conception traditionnelle</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 102. Signalons que dans cette étude René Guénon renvoie à ses
articles et non à des ouvrages pas encore publiés.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Speculative Mason</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notes and Queries</i>. Traduites en français
par A. Kerssemakers et publiées dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, septembre-octobre 1971.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Memra</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Conditiile initierii</i>. Traduction roumaine établie probablement par
Marcel Avramescu de l’article intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Des
conditions de l’initiation</i> publié dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Voile d’Isis</i> en octobre 1932. Titre roumain indiqué dans l’ouvrage de C.
Mutti, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La grande influence de René Guénon
en Roumanie</i>, traduit de l’italien par J. Delorme, Akribea, 2002.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 10 mai - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orientamenti: fine di un mondo</i>. Publié
dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J.
Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 83, article non
signé d’après cette réédition. Traduction très libre de l’avant-propos de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La crise du monde moderne</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Des
prétendus « pouvoirs » psychiques</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XXI. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi
d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Reghini, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Per la restituzione della Geometria
pitagorica</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 15.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Reghini, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Fascio littorio</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 16.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hari Prasad
Shastri, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Teachings from the Bhagawadgita</i>:
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">translation, introduction and comments</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 128.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hari Prasad
Shastri, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Avadhut Gita</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">translation and introduction.</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 128.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> de
novembre-décembre 1934 et janvier-février 1935). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 214.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de février [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 214.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de février et mars [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 243.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(supplément mensuel <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Action
Antimaçonnique</i>, n° de février [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 244.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
rejet des « pouvoirs »</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>,
ch. XXII. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte
trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">H. de Geymuller, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Swedenborg et les phénomènes psychiques</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 389.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Brunton, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A Search in secret India</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 129.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hari Prasad
Shastri, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Book of Ram, the Bible of India
by Mahâtma Tulsidas rendered into English</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 130.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> A.
Cannon, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Influence invisible</i>.
Traduit de l’anglais par Grace Gassette et Georges Barbarin. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 390.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 9 juillet - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sulla concezione tradizionale della arti</i>.
Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue
par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 88,
article signé « Ignitus » d’après cette réédition. Traduction très
libre de l’article du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i>
publié en avril 1934 et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’initiation
et les métiers</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De
quelques erreurs concernant l’initiation</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. III intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Erreurs
diverses concernant l’initiation</i>. Cet article n’a pas fait l’objet lors de
son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">S. G. Ancona, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Substance of Adam</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 16.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Steiner, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Evangile de saint Jean</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 391.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy.
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Darker Side of Dawn</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 130.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Memra</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 2 - 5, janvier-avril
[1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 215.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis
</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(n° de
mars-avril [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
215.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
215.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
d’avril et mai [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 249 !</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Speculative Mason</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notes and Queries</i>. Traduites en français
par A. Kerssemakers et publiées dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, septembre-octobre 1971.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Août-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
théorie hindoue des cinq éléments</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 45.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers du Sud</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’ésotérisme islamique</i>. Repris avec des notes additionnelles dans
le numéro spécial des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers du Sud</i>,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Islam et l’Occident</i>, de juillet
1947.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 17 septembre
- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Critica dell’individualismo</i>. Publié
dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J.
Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 93, article non
signé d’après cette réédition. Traduction très libre des pages 119 à 129 du
chapitre V intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’individualisme</i>
de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La crise du monde moderne</i>. (Le
terme « libido » jamais utilisé par René Guénon figure dans cette
traduction)</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mythes,
mystères et symboles</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>,
ch. XVII. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte
trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dharma</i>.
Article/compte rendu du livre de Gualtherus H. Mees intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dharma and Society</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 69.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Rig-Veda as Land-Nama-Bok</i>. Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 131.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Sri) Ramana
Maharshi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Five Hymns to Sri Arunachala</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 131.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Art Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">College Art Association of America</i>, vol.
XVII, 1935). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 216.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Bulletin
of the Museum of Fine Arts</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
de Boston (n° de juin 1935). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 216.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de mars-avril [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 216.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mai-juin [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 216.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 250.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de juin et juillet [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 250.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Speculative Mason</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notes and Queries</i>. Traduites en français
par A. Kerssemakers et publiées dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, septembre-octobre 1971.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme
et philosophie</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch.
XVIII. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> -<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Varna</i>.
Article/compte rendu du livre de Gualtherus H. Mees intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dharma and Society</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 75.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. C. Lounsbery, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Méditation bouddhique, étude de sa
théorie et de sa pratique selon l’Ecole du Sud</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 120.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">I. de Manziarly, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pérégrinations asiatiques</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 120.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L.
Charbonneau-Lassay, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’ « Œuf du
Monde » des anciens et la présence de l’oursin dans les sépultures
anciennes de l’Ouest</i>. Extrait des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mélanges
Louis Arnould</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
120.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">F. Vivona, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Anima di Virgilio</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 121.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">F. Vivona, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Note critiche alle Epistole di Seneca</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 121.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. A. Bailey. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les trois prochaines années</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 392.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mercure
de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
du 1<sup>er</sup> et du 15 juillet [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 244, uniquement celui du numéro du 15 juillet ! Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 217, celui du numéro du 1<sup>er</sup>
juillet.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de juin [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 247.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’août-septembre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 247.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Synthèse
et syncrétisme</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. VI.
Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’être
et le milieu</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">GT</i>, ch. XIII.
Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. Valli, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Struttura morale dell’Universo dantesco</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 121.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. Savoire, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regards sur les Temples de la
Franc-Maçonnerie</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 105.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">[Collectif], <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Clé</i>, enseignement recueilli par Grace
Gassette et Georges Barbarin. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>,
p. 393.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">VI</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Journal
of the Indian of Society of Oriental Art</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de juin 1935). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 224.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Journal
of the American Oriental Society</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(vol. 55, n° 3). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 225.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Yoga</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de juin-juillet [1935]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 225.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Larousse
mensuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’octobre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 225.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Visages
du Monde</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
septembre-octobre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 218.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> de juillet-août
et septembre-octobre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 138.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’octobre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p.252.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de septembre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 252.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’octobre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
253.</span></div>
<b></b><i></i><u></u><sub></sub><sup></sup><strike></strike>Bruno Hapelhttp://www.blogger.com/profile/05525415697835975358noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5088615654452892767.post-1920181919455972682018-10-28T09:06:00.000-07:002019-02-27T05:11:56.390-08:00René Guénon - Bibliographie de l’œuvre - II<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">René Guénon - Bibliographie de l’œuvre -
II</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1936</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 0px 18.93px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">On peut lire cet
avis signé par Paul Chacornac pour justifier le changement de titre de la revue
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Voile d’Isis</i>:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 0px 18.93px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">« ÉTUDES
TRADITIONNELLES »,</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 0px 18.93px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Tel est le titre
sous lequel paraîtra désormais notre publication « LE VOILE D’ISIS ».
Ce titre, à la fois plus large et plus précis que le précédent, plus large
puisqu’il n’évoque aucune tradition particulière, plus précis puisqu’il
souligne le genre d’études auquel nous nous consacrons exclusivement ici, nous
paraît le plus propre à définir nettement le programme et l’orientation que
nous avons adoptés depuis 1929 et que nous entendons poursuivre avec l’appui de
nos fidèles abonnés ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i> (abrégé ici en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i>) - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Prière et l’incantation</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XXIV. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi
d’une refonte trop importante. Signalons la mention de l’article de F. Schuon
intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De l’Oraison</i>, mars 1935.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Terre du soleil</i>. Article/compte rendu de l’ouvrage <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A Guide to Glastonbury’s Temple of Stars, its giant effigies described
from air viewws, maps, and from « The Hight History of the Holy
Graal ».</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch.
XII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hari Prasad
Shastri, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A Path to God-Realisation</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 133.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Mandonnet, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dante le Théologien</i>:<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Introduction à l’intelligence de la vie, des oeuvres et de l’art de
Dante Alighieri</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
123.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Brooklyn
Museum Quarterly</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’octobre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 218.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Compagnon
du Tour de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de novembre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 218.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° d’octobre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 254.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de novembre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 254.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Speculative Mason</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notes and Queries</i>. Traduites en français
par A. Kerssemakers et publiées dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, septembre-octobre 1971.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre 1935-janvier 1936</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Visva-Bharati Quaterly</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sacred and Profane Science</i>. Chapitre de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La crise du monde moderne</i> traduit en
anglais par A. K. Coomaraswamy.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revue de Philosophie</i> - C. R. Livres,
(simplement signés R. G.):</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">N. Sakurazawa, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Principe unique de la Philosophie et de la
Science d’Extrême-Orient</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
II</i>, p. 106.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mrs Rhys Davids, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Minor Anthologies of the Pali Canon</i>.
- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Part. I. Dhamenapada: Verses on
Dhamena, and Khuddaka-Pâtha: The Text of the Minor Sayings</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 106.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E.
Steinilber-Oberlin, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Sectes
bouddhiques japonaises</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>,
p. 106.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sur
la notion de l’élite</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>,
ch. XLIII. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte
trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques
aspects du symbolisme du poisson</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XXII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De
la hiérarchie Initiatique</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>,
ch. XLIV. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte
trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
double spirale</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">GT</i>, ch. V.
Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Coomaraswamy, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Angel and Titan: An Essay in Vedic Ontology</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 133.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de décembre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 140.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 254.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n°<sup>s</sup> de novembre et décembre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 255.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de décembre [1935]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 255.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Des
qualifications initiatiques</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>,
ch. XIV. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte
trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
fleurs symboliques</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. IX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Sri) Ramana
Maharshi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Truth Revealed</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sad-Vidyâ</i>). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 134.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Kavyakanta Ganapati
Muni, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sri Ramana Gita</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 134.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mrs Rhys Davids, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Birth of Indian Psychology and its
development in Buddhism</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 135.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Steiner, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mythes et Mystères égyptiens</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 394.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Cavallucci, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Intelligenza come forza rivoluzionaria</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 125.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Bhikshu Wai-Tao and
D. Goddard, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Laotzu’s Tao and Wu-Wei, a
new translation</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p.
156.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Trarieux
d’Egmont, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prométhée ou le Mystère de
l’Homme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 395.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de mai-juin, juillet-août, septembre-octobre et novembre et décembre [1935]).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 219.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de février [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 140.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de janvier [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 219.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de janvier et février [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 219.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril-mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Appel Spirituel</i> </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">- C.R. Livres: D<sup>r</sup> A.
Cannon, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Influence invisible</i>. Repris
dans cette revue sans l’accord de René Guénon.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Des
qualifications initiatiques</i>. (Suite). Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XIV. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi
d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’énigme
de Martinès de Pasqually</i>. Article/compte rendu du livre de Gérard van
Rijnberk intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un thaumaturge au XVIII<sup>e</sup>
siècle: Martines de Pasqually, sa vie, son œuvre, son Ordre.</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 61.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Acta
Orientalia</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (vol
XIV). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 220.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Larousse
mensuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
mars [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p. 157.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de février [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 256.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de mars [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
256.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Des
qualifications initiatiques</i>. (Suite et fin). Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XIV. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi
d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’énigme
de Martinès de Pasqually</i>. (Suite). Article/compte rendu du livre de Gérard
van Rijnberk intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un thaumaturge au
XVIII<sup>e</sup> siècle: Martines de Pasqually, sa vie, son œuvre, son Ordre.</i>
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 70.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Glardon, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Spiritisme en face de l’histoire, de la
science, de la religion</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>,
p. 396.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Arnaud, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Recherche de la Vérité: art, science, occultisme,
religions</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 397.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">H. Mamessier. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A la recherche de Forces spirituelles</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 127.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Synthesis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (premier volume). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 220.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Harvard
Journal of Asiatic Studies</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.
227.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Bulletin
of the Museum of Fine Arts</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
de Boston (n° d’avril [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 227.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de janvier-février [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 221.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Compagnon
du Tour de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
222.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mars [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 222.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 257.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de mars [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 257.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’avril [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
257.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> avril [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 258.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Opératif »
et « spéculatif »</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>,
ch. XXIX. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte
trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’énigme
de Martinès de Pasqually</i>. (Suite et fin). Article/compte rendu du livre de
Gérard van Rijnberk intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un
thaumaturge au XVIII<sup>e</sup> siècle: Martines de Pasqually, sa vie, son
œuvre, son Ordre.</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 80.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Lantoine, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Histoire de la Franc-Maçonnerie française</i>:
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Franc-Maçonnerie dans l’Etat</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 106.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Lebey, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Vérité sur la Franc-Maçonnerie par des
documents, avec le Secret du Temple</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 107.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Malynski et L.
de Poncins, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Guerre occulte</i>. Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 109.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hari Prasad
Shastri, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Meditation, its theory and
pratice</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 136.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Elements of Buddhist Iconography</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 137.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Marquès-Rivière,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Bouddhisme au Thibet</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 138. M. Bulard, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Scorpion, symbole du peuple juif dans
l’art religieux des XIV<sup>e</sup>, XV<sup>e</sup> et XVI<sup>e</sup> siècles</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Journal
of the Indian Society of Oriental Art</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de décembre 1935). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.
227.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Archives
de Trans-en-Provence</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(depuis 1931). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 259.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mai [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 465.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n°<sup>s</sup> d’avril et mai [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 259.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de mai [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 222.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avis</i>). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
255.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Sanglier et l’Ourse</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXIV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tradition
et traditionnalisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 55.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
armes symboliques</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXVI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. de Poncins, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La mystérieuse Internationale juive</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hiram, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">J.-B. Willermoz et le Rite Templier à l’O</i>
.<sup>.</sup>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">de Lyon</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 111.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Charpentier, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Maître du Secret</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un complot maçonnique sous Louis XVI</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 112.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. R. Jain, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Psychologie Jaïniste</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 127.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hari Prasad
Shastri, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vedanta Light, from Shri
Dadaji-Maharaj</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.
139.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Steiner, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Apparition des Sciences naturelles</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 398.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Deunov, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Maître parle</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 398.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D.
S. Krishnaswami Aiyangar Commemoration Volume</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (Madras, 1936). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 228.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de juillet [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 141.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 261.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de juin et juillet [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 262.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> juin [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 263.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L’Appel
Spirituel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’avril-mai [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
223.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Post-scriptum.</i>
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 255.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 17 novembre -
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tradizione e tradizionalismo</i>. Publié
dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J.
Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 99, article non
signé d’après cette réédition. Traduction très libre (avec adjonction de
sous-titres) de l’article des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i> publié en octobre 1936 et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tradition et Traditionalisme</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
contrefaçons de l’idée traditionnelle</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 63.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
symbolisme des cornes</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXVIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Enel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Origines de la Genèse et l’enseignement
des Temples de l’ancienne Egypte</i>. Volume I<sup>er</sup>, 1<sup>er</sup> et
2<sup>e</sup> parties. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>,
p. 149.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Brunton, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A Search in secret Egypt</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 399.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Barbarin, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Secret de la Grande Pyramide ou la Fin du
Monde adamique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p.
401.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Indian
Culture</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (vol.
III, n° 1). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 229.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Journal
of the Greater India Society</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
de Calcutta (vol. III, n° 1). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 229.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Speculum</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de juillet [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 229.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’août-septembre [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>,
p. 120. Ce CR aurait dû figurer dans l’ouvrage posthume <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>. </span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
contrefaçons de l’idée traditionnelle</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 70.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Tombeau d’Hermès</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p.
138.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy
and D. Gopalakrishnayya, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Mirror of
Gesture, being the Abhinaya Darpana of Nandikeshwara, translated into English,
with introduction and illustrations</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 140.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy
and A. G. Carey, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Patron and Artist,
Pre-Renaissance and Modern</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 128.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Duboscq, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Unité de l’Asie</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 129.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Sir) Charles
Marston, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Bible a dit vrai</i>. Version
française de Luce Clarence. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>,
p. 113.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Trarieux
d’Egmont, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Thyrse et la Croix</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 403.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Sage, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Une Science de l’Ordre est cachée dans le
Monde des Nombres</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 130.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Archiv
Orientalni</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> de
Prague (Vol VII). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 230.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de septembre [1936]). Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 142.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Archives
de Trans</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
d’août-septembre et d’octobre [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.<span style="margin: 0px;"> </span>264.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’octobre [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 264.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’octobre [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
265.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">1937</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">L’Uemo e il suo divenire secondo il
vêdânta</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Traduction italienne et introduction par Corrado Rocco.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">La Crisis del Mondo Moderno</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Traduction
italienne par Julius Evola.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">L’Uomo e il suo divenire secondo il
Vêdânta</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Traduction portugaise. Gïus. Laterza et Figli Ed., Bari.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tradition
et transmission</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. IX.
Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Remarques
sur la notation mathématique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>,
p. 78.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">F. Warrain, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Œuvre philosophique de Hoené Wronski</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">textes, commentaires et critique</i>; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tome II</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Architectonique de l’Univers</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 131.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">F. Ladet, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Méditations sur l’Omnitude</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 132.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. P. Scarlata, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il trattato sul volgare di Dante</i>. Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 133.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Steiner, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Evangile de saint Luc</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 405.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D. Duvillé, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Æthiopia orientale ou Atlantie,
initiatrice des peuples anciens, suivie de « Naissance et propagation de
l’alphabet ».</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
18.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. Kerneiz, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Hatha-Yoga ou l’art de vivre selon l’Inde
mystérieuse</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 141.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Speculative Mason</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notes and Queries</i>. Traduites en français
par A. Kerssemakers et publiées dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i>, septembre-octobre 1971.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rites
et Cérémonies</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XIX.
Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Remarques
sur la notation mathématique</i>. (Suite). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 87.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Saintyves, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pierres magiques</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bétyles, haches-amulettes et pierres de foudre</i>; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">traditions savantes et traditions populaires</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 19.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de novembre [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 266.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de novembre et décembre [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 267.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos de « magie cérémonielle »</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. XX. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi
d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Remarques
sur la notation mathématique</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 93.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de mars-avril, mai-juin, juillet août, septembre-octobre et novembre-décembre
1936). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 223.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n°<sup>s</sup> de novembre et décembre [1936]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 224.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de janvier [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
224</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Post-scriptum</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 256.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 27 avril - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sui pericoli dello « spirituale »</i>.
Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue
par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 106,
article non signé d’après cette réédition. Traduction très libre (avec
adjonction de sous-titres) de l’article du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile
d’Isis</i> publié en mars 1935 et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De
la confusion du psychique et du spirituel</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Contre
le mélange des formes traditionnelles</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch. VII. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi
d’une refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Tétraktys et le carré de quatre</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XIV. Le texte original commence ainsi: « Nous avons été amené, au
cours de notre précédente étude sur la notation mathématique, à faire allusion
à la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tétraktys</i>
pythagoricienne... »</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M. Favone, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les disciples d’Hiram en province</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Franc-Maçonnerie dans la Manche</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 114.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> de
Fontbrune, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Prophéties de Nostradamus
dévoilées</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lettre à Henri II</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 133.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> R. S.
Clymer, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Rosicrucian Fraternity in
America</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 115.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">American
Review</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
janvier [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
224.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lotus Bleu</i> (n° de janvier [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 225.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de janvier [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 225.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rosicrucian
Magazine</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
février [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
268.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 269.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de février [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
269.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Initiation
et « Passivité »</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>,
ch. XXXV. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte
trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un
hiéroglyphe du Pôle</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XV. Le texte original commence ainsi: « A la fin de nos remarques sur
la Tétraktys, nous avons fait allusion à la figure de la “pierre cubique à
pointe”, en nous réservant de revenir sur certaines considérations qui s’y
rapportent: cette figure... »</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Christopher Dawson, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Progrès et Religion</i>:<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> une enquête historique</i>. Traduction de Pierre Belperron; préface de
Daniel-Rops. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 136.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mars [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 270.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de février [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 271.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de mars [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
271.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Juste Parole</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(les premiers numéros). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 272.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Post-scriptum</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 256.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Initiation
et « service »</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>,
ch. XXXVI. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte
trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos d’ « animisme » et de « chamanisme »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.77. René Guénon s’appuie sur la
documentation contenue dans l’article de I. M. Casanowicz, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shamanism of the Nativs of Siberia</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Carey, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Majority Report on Art</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 138.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Téchoueyres, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A la recherche de l’Unité, essais de
philosophie médicale et scientifique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 142.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Ayet, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notes sur le Mal</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 139.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R.
Lacroix-a-l’Henri, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Théories et procédés
radiesthésiques</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p.
406.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Vita
Italiana</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’avril [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
272.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Archives
de Trans</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
mars [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 274.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 274.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de mars [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 225.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’avril [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
225.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Clé, mensuelle</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(?). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 465.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L’Astrosophie</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° d’avril [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 143.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Du
double sens des symboles</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">RQST</i>,
ch. XXX intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Renversement des
symboles</i>. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une
refonte trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Résidus
psychiques</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">RQST</i>, ch. XXVII.
Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Evola, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Misterio del Graal et la Tradizione ghibellina
dell’Impero</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
139.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Evola, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Mito del Sangue</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 141.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">[Collectif] <i style="mso-bidi-font-style: normal;">What use is Art anyway</i>: Six broadcasts
sponsored by Boston Museum of Fine Arts, January and February 1937. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 142.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Khan Sahib Khaja
Khan, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Secret of Ana’l Haqq</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p. 135.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Brunton, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A Hermit in the Himalayas</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 143.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Francé, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Sens de la Plante</i>, traduit de
l’allemand par Mme J. Baar. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 142.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Savoret,<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Les forces secrètes de la Vie</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 143.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">H.-L. Miéville, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vers une Philosophie de l’Esprit ou de la
Totalité</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 143.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mai [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 143.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de mai [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
275.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Poids du Monde</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(premier numéro). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
226.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Journal of the Indian Society of Oriental
Art</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Some remarks on the doctrine of
cosmic cycles</i>. Le numéro d’octobre 1938 des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Etudes Traditionnelles</i> indique « juin-décembre » comme
date de publication.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
cinquième Vêda</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 87.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tantrisme
et Magie</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 83.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Création
et manifestation</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, ch
IX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
caverne et le labyrinthe</i>. Article/compte rendu du livre de W. F. Jackson
Knight, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cumaean Gates, a reference of the
Sixth “°Æneid°” to Initiation Pattern</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XXIX, p. 209.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Georgel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Rythmes dans l’Histoire</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 28.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Aurobindo, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus et Pensées</i>. Traduits de
l’anglais, avec préface de Jean Herbert. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 145.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">W. Rivier, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Problème de la Vie</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 144.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Iwanicki, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Morin et les démonstrations mathématiques de
l’existence de Dieu</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 144.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> A.
Auvard, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Médecine ésotérique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 407.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> A.
Auvard, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Politique ésotérique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 407.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Barbarin, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Livre de la Mort douce</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 145.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Indian
Culture</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (vol
III, n° 4). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 231.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Bulletin
of the Museum of Fine Arts</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
de Boston (n° d’août [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 231.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Vita
Italiana</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
juin [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 276.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mercure
de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du
1<sup>er</sup> juin [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 276.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Archives
de Trans</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de mai, juin et juillet [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 277.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de juillet [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 226.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 278.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de mai [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 278.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de juin et juillet [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 279.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Esprit
de l’Inde</i>. Une note de la Rédaction précise: « Nous reproduisons
ci-après un article publié sous ce titre en juin 1930, par M. René Guénon dans
la revue ‘Le Monde Nouveau’. Nos lecteurs y trouveront rappelées des idées qui
leur sont familières, mais ils y trouveront aussi, sur le rôle de l’Inde, des
vues que l’auteur n’a peut-être jamais exprimées ailleurs avec autant de force
et de précision; et ces considérations nous ont paru suffisamment importantes
pour justifier la réimpression de cet article ». Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 15.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
caverne et le labyrinthe</i>. (Suite et fin). Article/compte rendu du livre de
W. F. Jackson Knight, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cumaean Gates, a
reference of the Sixth “°Æneid°” to Initiation Pattern</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XXIX, p. 213.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Enel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A Message from the Sphinx</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 151.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Herbert, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques grands penseurs de l’Inde moderne</i>.
Causeries faites à « Radio-Genève » en juin 1937. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 145.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Cavalli, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Homme n’est plus un inconnu</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 146.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">American
Review</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° d’été
1937). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 227.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Action
et Pensée</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> de
Genève (n° de septembre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 231.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
sens des proportions</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>,
p. 155.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
cœur et la caverne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Is Art a superstition or a way of life ?</i>
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 147.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Dion Fortune, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Cabale mystique</i>. Traduit de l’anglais
par Gabriel Trarieux d’Egmont. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 20.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Marquès-Rivière,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Inde secrète et sa magie</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 146.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Paul Le Cour, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Ere du Verseau </i>(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Avènement de Ganymède</i>). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 408.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Trarieux
d’Egmont, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Que sera 1938 ?</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 410.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Archives
de Trans</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’août-septembre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 281.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de juillet [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 228.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’octobre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 281.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
d’août-septembre et d’octobre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 280 pour celui d’août-septembre et p. 282 pour celui
d’octobre.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1938</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Erreur
du « psychologisme »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 83.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Montagne et la Caverne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXXI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. M. Hutchins, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Higher Learning in America</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 147.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">V.-E. Michelet, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Compagnons de la Hiérophanie</i>. Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 121.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">V. Pozner, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Mors aux dents</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 411.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">[Anonyme] <i style="mso-bidi-font-style: normal;">I Protocolli dei Savi Anziani di Sion</i>.
Versione italiana con appendice e introduzione [de J. Evola]. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 414.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Archives
de Trans</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’octobre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
283.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 15 novembre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 283.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de novembre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 285.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Erreur
du « psychologisme »</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 88.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Cœur et l’Œuf du Monde</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXXII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Dodd, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakespeare Creator of Freemasonry</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 124.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Oriental
Literary Digest</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
de Poona (n°<sup>s</sup> de juillet à décembre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 229.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Action
et Pensée</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
décembre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p.
466.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mercure
de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du
15 novembre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p.
467.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de novembre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 229.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Archives
de Trans</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
novembre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
285.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de décembre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 286.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de décembre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 287.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’illusion
de la « vie ordinaire »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 95.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Caverne et l’Œuf du monde</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXXIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Nature of Buddhist Art</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 148.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. P. V. Poucel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mystique de la Terre</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">I. Plaidoyer pour le Corps</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 148.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Lebey, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Fayette ou le Militant Franc-Maçon</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 129.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Reginald Reynolds, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The White Sahibs in India</i>, with a
preface by Jawaharlal Nehru. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 149.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Upton Sinclair, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Comment je crois en Dieu</i>. Traduit de
l’anglais par Henri Delgove et R. N. Raimbault. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 418.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. E. Lacombe, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Déclin de l’Individualisme ?</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 150.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Indian Historical Quarterly</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(Vol XIII, 1937). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 233.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Christian
Social Art Quarterly</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de décembre 1937). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.
233.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de janvier [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 229.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 288.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Post-Scriptum</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 257.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’illusion
de la « vie ordinaire »</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 100.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
sortie de la caverne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXXIV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Gautheron, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Loges maçonniques dans la Haute-Loire</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 131.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">F. de Chatillon, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Prophéties de M. Michel Nostradamus,
Interprétation d’une trentaine de quatrains</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 153.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Fervan, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Fin des Temps</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Recueil des principales prophéties sacrées et prédictions sur notre
époque et les « derniers temps »</i>,<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> suivi d’une enquête sur « le prochain roi de France »</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 153.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Duguet, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Autour de la Tiare</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Essai sur les prophéties concernant la succession des Papes du XIII<sup>e</sup>
siècle à la fin des temps</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 155.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mercure
de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du
15 janvier [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
289.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Vita
Italiana</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
février [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
230.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Lotus Bleu</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de décembre [1937] et janvier [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 234, uniquement celui du numéro de janvier ! Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 230, pour celui de décembre.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Archives
de Trans</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
décembre [1937]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
291.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de février [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
291.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">France-Amérique
du Nord</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du
30 janvier [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
292.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avis
important</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 469.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Métaphysique orientale</i>. Une note de la Rédaction précise: « Nous
commençons dans ce numéro la publication d’une conférence donnée sous ce titre
par M. René Guénon, à la Sorbonne, le 17 décembre 1925. On y trouvera formulés
avec une remarquable concision les principes de la ‘métaphysique sans épithète’
et un ‘raccourci’ de l’œuvre entière de notre éminent collaborateur ».
Repris en tiré à part, Éditions Traditionnelles, 1939.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
Portes solsticiales</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXXV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D. S. Sarma, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lectures on the Bhagavad-Gita, with an
English Translation of the Gita</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 150.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mrs Rhys Davids, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">To become or not to become (That is the
question !), Episodes in the history of an Indian word</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 151.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de janvier-février, mars-avril, mai-juin, septembre-octobre et
novembre-décembre 1937). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 231.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mercure
de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du
15 mars [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
231.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Action
et Pensée</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
mars [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 232.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 293.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n°<sup>s</sup> de février et mars [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 294.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Métaphysique orientale.</i> (Suite). Repris en tiré à part, Éditions
Traditionnelles, 1939.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Symbolisme du Zodiaque chez les Pythagoriciens</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XXXVI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">X. Guichard, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Eleusis Alésia</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Enquête sur les origines de la civilisation européenne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 156.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">St. Kramrisch, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A Survey of Painting in the Deccan</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 153.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Aurobindo, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Mother</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 154.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D. V. Fumet, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notre Soeur la Douleur</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 157.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Saintyves, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Astrologie populaire</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">étudiée spécialement dans les doctrines et
les traditions relatives à l’influence de la Lune</i>:<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Essai sur la méthode dans l’étude du Folklore des opinions et des
croyances</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 157.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de mars et avril [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 294.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 15 avril [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 233.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Métaphysique orientale</i>. (Suite et fin). Repris en tiré à part, Éditions
Traditionnelles, 1939.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Symbolisme solsticial de Janus</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXXVII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Swâmî) Vivêkânanda,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Jnâna-Yoga</i>. Traduit de l’anglais par
Jean Herbert. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 154.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Swâmî)
Vivêkânanda, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Karma-Yoga</i>. Traduit de
l’anglais par Jean Herbert. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 157.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Swâmî)
Vivêkânanda, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhakti-Yoga</i>. Traduit de
l’anglais par Lizelle Reymond et Jean Herbert. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 157.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Swâmî)
Vivêkânanda, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Râja-Yoga où la conquête de
la Nature intérieure</i>. Traduit de l’anglais par Jean Herbert. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 158.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. Kerneïz, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Yoga de l’Occident</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 419.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Journal
of the Bihar and Orissa Research Society</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (vol XXIII, 1937, part IV). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 235.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lotus Bleu</i> (n° d’avril [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 235.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de mai [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 294.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de mai [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
295.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1<sup>er</sup> mai [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 296.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août-septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Er-Rûh</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, ch. V.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notes
sur l’Angélologie de l’Alphabet arabe</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, ch. VI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
mystères de la lettre Nûn</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août-octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Visva-Bharati Quarterly</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Fifth Veda</i>. Traduction anglaise et
avant propos de Mr David MacIver de l’article intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le cinquième Vêda</i> publié dans le numéro d’août-septembre 1937 des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques
remarques sur la doctrine des cycles cosmiques</i>. Une note précise:
« Cet article a paru en anglais dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Journal of the Indian Society of Oriental Art</i>, n° de juin-décembre
1937, dédié à A. K. Coomaraswamy, à l’occasion de son 60<sup>e</sup>
anniversaire ». Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p.
13.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
symbolisme du dôme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXXIX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A.K. Coomaraswamy, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Asiatic Art</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 159.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. L. Frobenius and
D. C. Fox, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prehistoric Rock Pictures in
Europe and Africa, from material in the archives of the Research Institute for
the Morphology of Civilization, Frankfort-on-Main</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 25.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Herbert, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Introduction à l’étude des Yogas hindous</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 160.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. A. Beck, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Du Kashmir au Tibet</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A la découverte du Yoga</i>. Traduit de
l’anglais par Jean Herbert et Pierre Sauvageot. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 161.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Marquès-Rivière,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Yoga tantrique hindou et thibétain</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 162.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">H. de Callias, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Magie sonore</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 159.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Trarieux
d’Egmont, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Vie d’outre-tombe</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 421. Ce compte rendu
est daté par erreur d’octobre dans la réédition !</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Serres, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Homme et les Energies astrales</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">De l’astrophysique à l’astrologie</i>).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 159.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Marchais, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mystère de la Vie humaine</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 422. Ce compte rendu est daté
par erreur d’octobre dans la réédition !</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Duportail, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Enchaînements scientifiques et
philosophiques</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
160.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Art Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> de
Chicago (Vol. XX, 1938). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 235.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Indian Historical Quarterly</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de mars [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.
236.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Poona Orientalist</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.
236.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rayonnement
Intellectuel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de janvier-mars et d’avril-juin [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 233.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Action
et Pensée</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
juin [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 234.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Nouvelle
Revue Française</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 234.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> de mars, de mai
et juillet [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
145.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de Juillet [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 296.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de juin et juillet [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 297.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Internationale des Sociétés Secrètes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> du 15 juin, du 1<sup>er</sup> et du 15 juillet [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 298.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Doctrine
et méthode</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XVII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
dôme et la roue</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch.
XL.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Aurobindo, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lights on Yoga</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 163.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Aurobindo, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bases of Yoga</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 165.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Aurobindo, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lumières sur le Yoga</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 166.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Ramakrishna,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un des chemins..</i>. Adaptation française
de Marie Honegger-Durand; préface de Jean Herbert. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, 167.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Ramakrishna,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Paroles du Maître</i>. Entretiens
recueillis et publiés par Swamî Brahmananda. Traduction française de Marie
Honegger-Durand, Dilip Kumar Roy et Jean Herbert; préface de Swamî
Yatiswarananda. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, 167.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> R.
Allendy, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rêves expliqués</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 161.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Christoflour, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Louis Le Cardonnel, pélerin de l’invisible</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 161.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">O. Wirth, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Qui est régulier ? Le pur Maçonnisme sous le
régime des Grandes Loges inauguré en 1717</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 132.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">H. de Vries de
Heekelingen, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Orgueil juif</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 26.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">New
Indian Antiquary</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> d’avril, mai et de juin [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 237.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Action
et Pensée</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
septembre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 238.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mesures</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de juillet [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p. 152.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Nouvelle
Revue Française</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’août [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
146.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Vita
Italiana</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
septembre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 146.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les
Cahiers Astrologiques</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de septembre-octobre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 235.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de septembre [1938]). Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 148.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de septembre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 299.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">France-Amérique
du Nord</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du
11 septembre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 299.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mythologie
scientifique</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">RQST</i>, ch.
XVIII. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Porte étroite</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch.
XLI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Sri) Ramana
Maharshi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Five Hymns to Sri Arunachala</i>,
translated from the Tamil original. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 168.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Sri) Ramana
Maharshi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upadesa Saram</i>, with english
translation and notes by B. V. Narasimhaswami. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 168.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Sri) Ramana
Maharshi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Who am I ?</i> translated by S.
Seshu Iyer. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 169.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Ramananda Swarnagiri,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Crumbs from His table</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 170.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">K., <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sat-Darshana Bhashya and Talks with
Maharshi, with forty verses in praise of Sri Ramana</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 170.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">B.V. Narasimha
Swami, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Self Realisation</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Life and teachings of Ramana Maharshi</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 171.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">« Who », <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mahâ Yoga, or the Upanishadic lore in the
light of the teachings of Ramana Maharshi</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 172. Nous avons rectifié l’inversion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Maharshi Ramana</i>) qui figure probablement dans le titre reproduit
dans le numéro des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>.
Cette inversion apparaît sans doute dans la première publication de cet ouvrage
actuellement réédité sous le titre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Maha
Yoga, or the Upanishadic lore in the light of the teachings of Bhagavan Sri
Ramana.</i></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Parnassus</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° d’octobre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 237.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 300.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
d’août-septembre et d’octobre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 301.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1939</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Introduction générale à l’étude des
doctrines hindoues</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Éditions Véga, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">L’Esotérisme de Dante</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Le Roi du Monde</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">La Métaphysique orientale</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réalisation
ascendante et descendante</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. XXXII, p. 251. L’article débute ainsi: « Nous avons fait allusion
dernièrement, à propos de la façon dont Shrî Aurobindo envisage le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yoga</i>, à l’union, dans la réalisation
totale de l’être, de deux aspects... »</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
symboles de l’analogie</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. L.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">F. Portal, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Des couleurs symboliques dans l’antiquité,
le moyen âge et les temps modernes</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 28.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Persigout, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rosicrucisme et Cartésianisme</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« X Novembre 1619 », Essai
d’exégèse hermétique du Songe cartésien</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 134.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Quarterly
Journal of the Mythic Society</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
de Bangalore (vol. XXIX, n° 2). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 238.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Journal
of the Royal Society of Arts</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 17 juin 1938). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 238.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de novembre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 238.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° d’octobre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 303.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de novembre et décembre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 303.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Technique
Sanitaire et Municipale</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juin [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
150.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 15 février - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sul senso delle proporzioni</i>. Publié dans
la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J.
Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 110, article non
signé d’après cette réédition. Traduction très libre (avec adjonction de
sous-titres) de l’article des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i> publié en décembre 1937 et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le sens des proportions</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réalisation
ascendante et descendante</i>. (Suite). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XXXII, p. 258.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Arbre
du Monde</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. LI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M. J. Adler, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Saint Thomas and the Gentiles</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 30.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Gleizes, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Signification humaine du Cubisme</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 30.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Méautis, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Livre de la Sagesse pythagoricienne,
traduction et commentaires des Vers Dorés pythagoriciens</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 162.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Christian
Social Art Quarterly</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’automne 1938). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
239.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Contre-Révolution</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de décembre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 240.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
Juive</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> de Genève
(n° de décembre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 150.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 304.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Post-Scriptum</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 257.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 31 mars - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Esplorazioni sull’altra sponda</i>. Publié
dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J.
Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 115, article non
signé d’après cette réédition. Traduction très libre (avec adjonction de
sous-titres) de l’article des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études
Traditionnelles</i> publié en juin 1937 et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A propos d’« animisme » et de « chamanisme »</i>.
Une note de la Rédaction laisse entendre que René Guénon est l’auteur de ce
texte.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réalisation
ascendante et descendante</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XXXII, p. 263.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Arbre
et le Vajra</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch.
LII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. de Bethune, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Work</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 162.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Carey, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pattern</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 163.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Gill, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Work and Culture</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 164.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Aurobindo, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Mère</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 164.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de janvier [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 241.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de janvier [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 304.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de janvier [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
305.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 18 avril - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Guerra segreta</i>. Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 121, article non signé d’après
cette réédition. Traduction très libre (avec adjonction de sous-titres) de
l’article des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i>
publié en juillet 1937 et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Résidus
psychiques</i>. Le texte fait référence au précédent article paru en mars.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
deux nuits</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XXXI,
p. 239.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Arbre
de vie et le breuvage d’immortalité</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. LIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Krishnaswami
Aiyar, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Thoughts from the Gîtâ</i>. Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 173.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Krishnaswami
Aiyar, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Thoughts from the Eternal Law</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 174.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Raïhana Tyabji, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Ame d’une Gopî</i>. Traduction et préface
de Lizelle Reymond. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 175.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. A. Beck, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Au cœur du Japon</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Zenn, Amours mystiques</i>. Traduit de l’anglais par Jean Herbert et
Pierre Sauvageot. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 31.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. Chevillon, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le vrai visage de la Franc-Maçonnerie</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ascèse, apostolat, culture</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 136.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Art et les Artistes</i> (n° de janvier [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 151.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Action
et Pensée</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
décembre [1938]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 239.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les
Cahiers Astrologiques</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de mars-avril [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 241.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de février [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
152.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
deux nuits</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. XXXI, p. 245.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
symbolisme de l’échelle</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. LIV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Swami)
Vivekananda, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Conférences sur Bhakti-Yoga</i>.
Traduit de l’anglais par Lizelle Reymond et Jean Herbert. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 175.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Sri) Krishna Prem,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Yoga of the Bhagavad Gitâ</i>. Repris
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 176.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Radin,<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> The Story of the American Indian</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 32.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Speculum</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de janvier [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 243.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mars [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 152.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin d’Iowa</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de février [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 306.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de mars [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.
306.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’esprit
est-il dans le corps ou le corps dans l’esprit ?</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XXX, p. 229.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mesure
et manifestation</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">RQST</i>, ch.
III. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte trop
importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Aroux, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dante hérétique, révolutionnaire et
socialiste</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Révélations d’un catholique
sur le moyen âge</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
33.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Joly, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un mystique lyonnais et les secrets de la
Franc-Maçonnerie (1730 - 1824)</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 138.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> G.
Van Rijnberk, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un Thaumaturge au XVIII<sup>e</sup>
siècle</i>; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Martines de Pasqually, sa
vie, son œuvre, son Ordre</i>. Tome second. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 140.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
American Scholar</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de printemps 1939). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.
239.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Zalmoxis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (premier numéro). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 240.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 16 juillet - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Al di là dal piano « mentale »</i>.
Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue
par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 127,
article non signé d’après cette réédition. Traduction très libre (avec
adjonction de sous-titres) de l’article du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile
d’Isis</i> publié en novembre 1930 et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les limites du mental</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Don des langues</i>. Une note précise: « Par suite d’un retard de
courrier, la suite du travail de notre éminent collaborateur, M. René Guénon: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’esprit est-il dans le corps ou le corps
dans l’esprit ? </i>ne nous est pas parvenue à temps pour paraître dans le
présent numéro. Nous nous en excusons auprès de nos lecteurs. - A la demande
d’un certain nombre d’abonnés, nous reproduisons ici l’article de M. René
Guénon sur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">le Don des Langues</i> qui
avait été publié dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i>
d’août-septembre 1927 et que beaucoup de lecteurs des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Etudes Traditionnelles</i> ne possédaient point (Note de la
Direction) ». Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>, ch.
XXXVII. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte
trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
origines du Mormonisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>,
p. 161 (où l’on trouve la mention "Études Traditionnelles 1940" qui
est erronée).</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 307.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’avril [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
243.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 19 dicembre -
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sulla perversione
« psicanalitica »</i>. Publié dans la rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J. Evola. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 132, article non signé d’après cette réédition. Traduction
très libre (avec adjonction de sous-titres) de l’article des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i> publié en janvier
et février 1938 et intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’erreur du
« psychologisme »</i>. Le texte italien mentionne les cas de Jung et
de Silberer qui sont absents de la version française.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1940</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’esprit
est-il dans le corps ou le corps dans l’esprit ?</i> (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XXX, p. 234.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
« trou de l’aiguille »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. LV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Christian and Oriental or True
Philosophy of Art</i>; a lecture given at Boston College, Newton, Massachusetts,
in March 1939. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 36.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Sri) Ramana
Maharshi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A Catechism of Enquiry</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 178.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Sri) Ramana
Maharshi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A Catechism of Instruction</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 178.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Aurobindo, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Bases du Yoga</i>, précédé d’une étude
de Nolini Kanta Gupta sur le Yoga de Shrî Aurobindo. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 179.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Aurobindo, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Synthèse des Yogas</i>. Volume I: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Yoga des Œuvres divines</i> (Première
partie). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 180.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Aurobindo, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Isha Upanishad</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 181.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Marquès-Rivière,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rituel de Magie tantrique hindoue</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yantra Chintâmani (Le Joyau des Yantras)</i>,
traduit pour la première fois en français et précédé d’une étude sur le
Tantrisme. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 182.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. Kerneiz, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Karma Yoga, ou l’action dans la vie selon
la sagesse hindoue</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.
183.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Harvard
Journal of Asiatic Studies</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.
242.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Art Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(vol. XXI, 1939). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 155.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Christian
Social Art Quarterly</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de printemps 1939). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
155.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Visva-Bharati
Quarterly</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
février-avril [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.
242.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Action
et Pensée</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
juin [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 243.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mai [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 244.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les
Cahiers Astrologiques</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet-août [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 155.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>,
p. 309.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° de septembre [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 309.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de mai à août-septembre [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 310.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Il Regime Fascista</i> - n° du 15 février - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sull’autorità spirituale</i>. Publié dans la
rubrique <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Diorama</i> tenue par J. Evola.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">PN</i>, p. 138, article non signé
d’après cette réédition. Traduction très libre (avec adjonction de sous-titres)
du chapitre IX de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Autorité spirituelle et
pouvoir temporel</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mentalité
scolaire et pseudo-initiatique</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>,
ch. XXXIV. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte
trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
passage des eaux</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. LVI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. E. Waite, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shadows of Life and Thought. A retrospective
review in the form of memoirs</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 165.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">W. H. Dudley and R.
A. Fisher, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Mystic Light. The Script
of Harzael-Harzrael</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 37.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Éliphas Lévi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Clef des Grands Mystères</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 423.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Emmanuel
Swedenborg, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Nouvelle Jérusalem et sa
doctrine céleste</i>, précédée d’une notice sur Swedenborg par M. le pasteur
E.-A. Sutton. Édition du 250<sup>e</sup> anniversaire de Swedenborg, 1688 -
1938. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 424.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Nouvelle
Revue Française</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de septembre [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 156.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de novembre [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 157.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mercure
de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du
15 juillet [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
158.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lotus Bleu</i> (n° de juillet [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 159.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° d’octobre [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 244.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sacrements
et rites initiatiques</i>. Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AI</i>,
ch. XXIII. Cet article n’a pas fait l’objet lors de son réemploi d’une refonte
trop importante.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nâma-rûpa</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 95.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. C. Hunt, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Masonic Symbolism</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 144.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Leti et L.
Lachat, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Esotérisme à la scène</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La flûte enchantée</i>; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Parsifal</i>; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Faust</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 145.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Savoret, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Inversion psychanalytique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 38.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. de Saussure, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Miracle grec, Etude psychanalytique sur
la civilisation hellénique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 39.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
maladie de l’angoisse</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. III.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
pierre angulaire</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XLIII, p. 278.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Ramana
Maharshi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Maharshi’s Gospel</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 184.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Shrî) Ramana
Maharshi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Who am I ?</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 185.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. H. Hamilton, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Wei Shih Er Shih lun, or the Treatise in
twenty stanzas or Representation-only, by Vasubandhu, translated from The
Chinese version of Hsüan Tsang, Tripitaka Master of the T’ang Dynasty</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 185.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Jabra Jurji, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Illumination in Islamic Mysticism</i>; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">a translation, with an introduction and
notes, based upon a critical edition of Abu-al Mawâhib al-Shâdhili’s treatrise
entittled Qawânîn Hikam al-Ishrâq</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p. 137.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Nouvelle
Revue Française</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> de décembre [1939] et de janvier [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 159.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Action
et Pensée</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
décembre [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 243.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°de janvier [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 161.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lotus Bleu</i> (n° d’octobre-décembre [1939]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 245.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°de janvier [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 245.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
diffusion de la connaissance et l’esprit moderne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 141.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
pierre angulaire</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XLIII, p. 284.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. M. Hocart, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Castes</i>. Traduit du manuscrit anglais
par E. J. Lévy et J. Auboyer. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 186.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. P. V. Poucel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mystique de la Terre</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">II. La parabole du Monde</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 41.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> P.
Galimard, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hippocrate et la Tradition
pythagoricienne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
40.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Art News</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du
17 février [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.
244.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Nouvelle
Revue Française</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de février [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.
244.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mars [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 161.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les
Cahiers Astrologiques</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier-février-mars-avril [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 162.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Compagnon
du Tour de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> de janvier et mars [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 311.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n°<sup>s</sup> de janvier et février [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 312.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
d’octobre-novembre-décembre [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
I</i>, p. 313.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
superstition de la « valeur »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 147.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
sept rayons et l’arc-en-ciel</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. LVII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Bulletin
of the Museum of Fine Arts</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
de Boston (n° d’avril [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 245.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lotus Bleu</i> (n° de janvier-février [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 246.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
245.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin d’Iowa</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de mars [1940]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p.
246.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1941</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">L’Homme et son devenir selon le Vêdânta</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">East and West</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Traduction
anglaise par William Massey, Luzac and Co., London.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1942</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">The Crisis of the modern World</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Traduction
anglaise par Arthur Osborne. Luzac and Co., London.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">janvier</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Speculative Mason</i> - ? - Traduction
anglaise de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mythes, mystères et symboles</i>,
article paru en octobre 1935 dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Voile d’Isis</i>. (Nous ignorons le titre anglais exact).</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1945</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">La Métaphysique orientale</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Le Règne de la Quantité et les Signes
des Temps</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Éditions Gallimard, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Man and his becoming according to the
Vedanta</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Traduction anglaise par Richard Nicholson.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Introduction to the Study of the Hindu
Doctrines</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Traduction anglaise et avant-propos de Marco Pallis, Luzac and Co. Ltd.,
London.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Introduccion general al estudio de las
doctrinas Hindues</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Traduction espagnole.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Introducción general al estudio de las
doctrinas Hindúes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Traduction portugaise, Editorial Losada, Buenos Aires.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre-novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
coutume contre la tradition</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. IV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Zodiaque et les points cardinaux</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XIII. L’article commence ainsi: « Dans le livre sur
les castes dont nous avons rendu compte récemment, M. A. M. Hocart signale le
fait... »</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. V. Piobb,<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Le Sort de l’Europe d’après la célèbre
Prophétie des Papes de saint Malachie; accompagnée de la Prophétie d’Orval et
des toutes dernières indications de Nostradamus</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 64.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Rochetaillée, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prophéties de Nostradamus</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Clef des Centuries, son application à
l’histoire de la Troisième République</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 72.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Em. Ruir, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’écroulement de l’Europe d’après les
prophéties de Nostradamus</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 74.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une
note précise: « Les comptes rendus que nous publions ici ont été rédigés
il y a cinq ans et étaient destinés à paraître dans le numéro de juillet 1940
qui n’a jamais vu le jour. Depuis cette époque, les ouvrages recensés se sont
trouvés épuisés, mais nous avons pensé que ce fait n’enlevait rien à l’intérêt
des considérations exposées par notre éminent collaborateur ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Mercure
de France</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
du 1er août, du 15 septembre, du 1er novembre, du 1er décembre 1939 et du 1er
janvier 1940). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p.
129.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
du Sud</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
mars 1940). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 134.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Grand
Lodge Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
d’Iowa (n° d’avril 1940). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>,
p. 135.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
janvier-février-mars 1940). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 136.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mai 1940). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 171.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Folklore</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° d’avril-juin 1940). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 172.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre-décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers du Sud</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Spiritus, Anima, Corpus</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Contre
le « quiétisme »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. XXVI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sur
la signification des fêtes « carnavalesques »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XXI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
du Sud</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (numéro
spécial de juin-juillet 1941). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 248.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> juillet 1940, janvier, avril, juillet, octobre 1941, janvier,
avril, juillet et octobre 1942). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 136.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1946</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">La Crise du Monde moderne</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Gallimard, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Les Principes du calcul infinitésimal</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Gallimard, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Aperçus sur l’initiation</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">La Grande Triade</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions Revue
de la Table Ronde, Nancy.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Folie
apparente et sagesse cachée</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. XXVII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Janua
Cœli</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. LVIII.
L’article commence ainsi: « Dans une importante étude que nous mentionnons
d’autre part [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Swayamâtrinnâ</i>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Janua Cœli</i>, dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Zalmoxis</i>, tome II (1939)], M. Ananda K. Coomaraswamy
expose... »</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rabindra Nath
Tagore, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sâdhanâ</i>. Traduction et
préface de Jean Herbert. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 190.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">[Collectif] <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Etudes sur Râmana Maharshi</i>. Volume
premier: Swami Siddheswarananda, D<sup>r</sup>. Sarma K. Lakshman, Swami
Tapasyananda. Introduction et traduction Jean Herbert. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 190.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">F. J. Alexander, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Royaume Intérieur</i>. Traduction
française de Marcel Sauton; préface du Swami Siddheswarananda. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p.191.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Pouyaud, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sous le signe de la Spirale</i>:<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Vézelay, centre initiatique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 45.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Noël de la
Houssaye, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Bronzes italiotes
archaïques et leur symbolique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>,
p. 163. La table des matières indique par erreur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">E</i>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">T</i>., janv. 1945 au lieu
de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">E</i>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">T</i>., janv.-févr. 1946.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Noël de la
Houssaye, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Phœnix, poème symbolique</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 165. La table des
matières indique par erreur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">E</i>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">T</i>., janv. 1945 au lieu de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">E</i>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">T</i>.,
janv.-févr. 1946.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues: </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Zalmoxis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (volumes 1938 et 1939). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 250.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars-avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
masque « populaire »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. XXVIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kâla-mukha</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. LIX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Ambelain, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dans l’ombre des Cathédrales</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 46.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Charles-Raynaud-Plense,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les vraies Centuries et Prophéties de
Michel Nostradamus</i>,<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> le grand voyant
de Salon, avec sa vie, et un glossaire nostradamique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 54.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues: </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Lettres
d’Humanité</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (tome
III, 1944). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 166. La
table des matières indique par erreur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">E</i>.
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">T</i>., janv.-févr. 1948 au lieu de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">E</i>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">T</i>.,
mars-avril 1946.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
jonction des extrêmes</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. XXIX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
lumière et la pluie</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. LX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. S. Clymer,<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> The Rosicrucian Fraternity in America</i>.
Vol. II. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 82.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">[Collectif] <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Trésor Hermétique</i>, comprenant<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Le livre d’Image sans paroles</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mutus Liber</i>) où toutes les opérations de
la philosophie sont représentées, réédité avec une introduction par D<sup>r</sup>.
Marc Haven, et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Traité symbolique de la
Pierre philosophale</i> en 78 figures par Jean Conrad Barchusen, réédité pour
la première fois avec une Notice par Paul Servant. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 54.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Cockren, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Alchemy Rediscovered and Restored</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 55.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Longfield Beatty, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Garden of the Golden Flower</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 425.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Lhermier, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le mystérieux Comte de Saint-Germain,
Rose-Croix et diplomate</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 79.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. de Chateaurhin, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bibliographie du Martinisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 80.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Art Bulletin</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(1939 et n° de mars 1940). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 164.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Catholic
Art Quarterly</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(1943). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 165.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">College
Art Journal</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de mai 1943). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 166.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Journal
of Æsthetics and Art Criticisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 166.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin-juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
chaîne des mondes</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. LXI, p. 365.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
cœur rayonnant et le cœur enflammé</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. LXIX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Why exhibit Works of Art ?</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 56.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. Kerényi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Religione antica nelle sue linee
fondamentali</i>. Traduzione di Delio Cantimori. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 59.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Review
of Religion</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
de mai 1940). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 246.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Journal
of the American Oriental Society</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(1941). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 254.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Journal
of Philosophy</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 24 septembre 1942). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 255.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Asia
and the Americas</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> de mars 1943 et de février 1944). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 257.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Isis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de printemps 1943). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 247.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Arab World</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°
3, [1944]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 247.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
chaîne des mondes</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. LXI, p. 370.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Lapsit
exillis »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch.
XLIV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hinduism and Buddhism</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 193.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Spiritual Authority and Temporal Power in
the Indian Theory of Government</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 196.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> parus pendant la
guerre, n°<sup>s</sup> de mars et de mai 1946). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 166.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Kad</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 169.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
« racines des plantes »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. LXII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">El-Arkân</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XLV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Margouliès, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Langue et l’écriture chinoises</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 166.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M. Granet, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Catégories matrimoniales et relations de
proximité dans la Chine ancienne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 168.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Liou Tse Houa, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Cosmologie des Pa Koua et l’Astronomie
moderne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 169.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. Chochod, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Huê la Mystérieuse</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 170.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. Chochod, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Occultisme et Magie en Extrême-Orient</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 171.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">La
Porta Magica</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de novembre et décembre 1945). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 170.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">New
Indian Antiquary</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> de décembre 1939 et avril 1940). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 258. [Le texte du compte rendu du numéro d’avril 1940 de la
revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">New Indian Antiquary</i> est
incomplet.]</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre-novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Monothéisme
et angélologie</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 26.
L’article commence ainsi: « Ce que nous avons dit dans notre dernier
article [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les ‘racines des plantes’</i>]
permet de comprendre... » La réédition erronée indique: « Ce que nous
avons dit précédemment permet de comprendre... », laissant ainsi entendre
que René Guénon fait allusion au chapitre précédent qui reprend un article paru
dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Rassembler
ce qui est épars »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XLVI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Lantoine, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Sociétés secrètes actuelles en Europe et
en Amérique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p.
84.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Charpentier, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Ordre des Templiers</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 86.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Mallinger, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pythagore et les Mystères</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 88.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. de Kerdéland, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De Nostradamus à Cagliostro</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 77.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">New
Indian Antiquary</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> d’avril 1940 et de juin 1943). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 260.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Review
of Religion</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de décembre 1941, de janvier et novembre 1942). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 261.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Harvard
Journal of Asiatic Studies</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n°<sup>s</sup> de février 1942 et août 1944). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 262.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Journal
of the American Oriental Society</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(supplément au n° d’avril-juin 1944). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 264.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px 0px 0px 18.93px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une note
précise: « Une erreur d’impression s’est produite à la fin des
comptes-rendus des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Revues</i> dans notre
précédent numéro, p. 384. A la suite de l’avant-dernier alinéa, doit se placer
la signature de M. René Guénon. Quant au compte-rendu commencé dans le dernier
paragraphe et non achevé, nous le reproduisons intégralement ci-après (N. D. L.
R.) ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Maçons
et Charpentiers</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>,
p. 9.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A.K. Coomaraswamy, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Figures of Speech or Figures of Thought</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 78.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A.K. Coomaraswamy, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Religious Basis of the Forms of Indian
Society.</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Indian Culture and English
Influence</i>. - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">East and West</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 199.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">W. Shewring, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Art in Christian Philosophy</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 81.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues: </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">France-Orient</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> d’octobre,
décembre 1944, février, avril-mai et juin 1945). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 265.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1947</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">L’Homme et son devenir selon le Vêdânta</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Autorité spirituelle et pouvoir temporel</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions Véga,
Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Les États multiples de l’être</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions Véga,
Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Art and thought</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The mysteries of the letter Nûn</i>. Traduction anglaise de l’article
intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les mystères de la lettre Nûn</i>
paru dans le numéro de août-septembre 1938 des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Etudes Traditionnelles</i>. (Nous ignorons le mois de parution)</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos du rattachement initiatique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. V, p. 46.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Symbolisme du pont</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. LXIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M. Pallis, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Peaks and Lamas</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 202.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Bleichsteiner, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Eglise jaune</i>. Traduction de Jacques
Marty. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 204.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Art Quarterly</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de printemps 1944). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 247.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Journal
of American Folklore</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(1944). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 269.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Motive</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mai 1944). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 269.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Dr.
B. C. Law Volume, Part I</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 270.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos du rattachement initiatique</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. V, p. 55.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
pont et l’arc-en-ciel</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. LXIV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Dermenghem, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Contes Kabyles</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p. 139.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Dermenghem, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Mythe de Psyché dans le Folklore
nord-africain</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p.
141.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">H. Corbin, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Suhrawardî d’Alep, fondateur de la doctrine
illuminative (ishrâqî)</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>,
p. 143.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril-mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Influences
spirituelles et « égrégores »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. VI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos des langues sacrées</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>,
ch. I.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues: </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de décembre 1945 à juin 1946). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 140.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Contemplation
directe et contemplation par reflet</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XVI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
blanc et le noir</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XLVII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Chacornac, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Comte de Saint-Germain</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 91.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Dermenghem, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Joseph de Maistre mystique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 94.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Louis-Claude de
Saint-Martin, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tableau naturel des
rapports qui existent entre Dieu, l’Homme et l’Univers</i>. Introduction de
Philippe Lavastine. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>,
p. 95.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. M. Gattefossé, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Sages Ecritures. Essai sur la
philosophie et les origines de l’écriture</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 84.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Le Cour, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hellénisme et Christianisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 86.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. Le Cour, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dieu et les Dieux</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 87.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. J. Gonnet, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Arûpa</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 84.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L’Age
d’Or</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
1, 5-6). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 174.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hommes
et Mondes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
février 1947). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 176.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers du Sud</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sayful Islam</i>. Numéro spécial intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Islam et l’Occident</i>; achevé d’imprimer le 22 juillet. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XXVII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers du Sud</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’ésotérisme islamique</i>. Numéro spécial intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Islam et l’Occident</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, ch I.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Esprit
et intellect</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i>,
juillet-octobre 1962.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 101.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Jean Malfatti de
Montereggio, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Etudes sur la Mathèse, ou
Anarchie et Hiérarchie de la Science</i>. Traduction de Christien Ostrowski.
Introduction de Gilles Deleuze. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 88.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J.-M. Ragon, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De la Maçonnerie occulte et de l’Initiation
hermétique</i>. Introduction de A. Volguine. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 96</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de Juillet à novembre 1946). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 144.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
du Sud</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 280,
1946). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 177.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> -<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
idées éternelles</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i>,
juillet-octobre 1962.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
chaîne d’union</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch.
LXV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Persigout, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Cabinet de Réflexion</i>. -
Considérations historiques et philosophiques sur le contenu et la portée
ésotériques de l’Épreuve de la Terre. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 101.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. Lantoine, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Franc-Maçonnerie</i>. Extrait de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Histoire générale des Religions</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 99.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. Chevillon,<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> La Tradition universelle</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 100.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues: </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mars 1947). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 177.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre-novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ascèse
et ascétisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch.
XIX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Encadrements
et labyrinthes</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch.
LXVI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Ambelain, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Adam, Dieu rouge</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 90.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Ambelain, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Au pied des Menhirs</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 92.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Mallinger, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notes sur les Secrets ésotériques des
Pythagoriciens</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 93.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Mallinger, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Secrets ésotériques dans Plutarque</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 89.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues: </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Psychiatry</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° d’août 1945). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 272.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nécessité
de l’exotérisme traditionnel</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. VII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pierre
noire et pierre cubique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XLVIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Barbarin, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Enigme du Grand Sphinx</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 427.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Barbarin, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Destins occultes de l’Humanité</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 429.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M. Hamon, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Prophéties de la Fin des Temps</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 430.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Psychiatry
</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(n° de novembre
1945). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 184 !</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Pamphlets
of the Modern Language Association</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(juin 1946). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 185 !</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">What is Civilisation ? Albert Schweitzer
Festschrift</i>). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 181.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Rivista
di Etnografia</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(les deux premiers numéros, décembre 1946 et mars 1947). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 182.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hommes
et Mondes</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de
février 1947 [mise au point]). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 185.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> de juillet 1946,
mai 1947). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 182.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1948</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Orient et Occident</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions Véga,
Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">A crise do Mundo moderno</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Traduction
portugaise par F. G. Galvao. Livraria Martins Editora, São Paulo.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Guru
et upaguru</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
« têtes noires »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XVI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Abbé E. Bertaud, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Etudes de symbolisme dans le culte de la
Vierge</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 431.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M. et E. Forlière, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Qui fût Jeanne d’Arc ?</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 173.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D<sup>r</sup> A.
Rattier, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De l’utilité de la mort</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 173.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Lettres
d’Humanité</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (Tome
IV, 1945). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 170. La
table des matières indique par erreur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">E</i>.
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">T</i>., janv. 1945 au lieu de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">E</i>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">T</i>.,
janv.-févr. 1948.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lotus Bleu</i> (n° d’août-septembre 1947). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>, p. 470.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vrais
et faux instructeurs spirituels</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. XXI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Heredom</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 14, avec une
mention erronée pour la date de publication indiquée comme étant octobre 1947.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Am I my Brother’s Keeper ?</i> With an
Introduction by Robert Allerton Parker. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 207.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(Swâmî)
Pavitrânanda, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Common Sense about Yoga</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 207.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’octobre 1947). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>,
p. 150.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° septembre 1947). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 186.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril-mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Point
de vue rituel et point de vue moral</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. IX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’œil
qui voit tout</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch.
LXXII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J.-H.
Probst-Biraben, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Mystères des
Templiers</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p.
104.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">[Anonyme] <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rituel de la Maçonnerie Egyptienne de
Cagliostro</i>, annoté par le D<sup>r</sup> Marc Haven et précédé d’une
introduction de Daniel Nazir. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 107.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">W.-R. Chettéoui, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cagliostro et Catherine II</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 109.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sur
la « glorification du travail »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. X.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
« quatre de chiffre »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. LXVII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Van Rijnberk, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Tarot</i>.<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Histoire, iconographie, ésotérisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 95.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Chaboseau, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Tarot. Essai d’interprétation selon les
principes de l’hermétisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 97.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues: </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de décembre 1946 à juillet-août 1947). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 152.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Initiation
féminine et initiations de métier</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 19.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Parole
perdue et mots substitués</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 26.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier 1948). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 247.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Presse
médicale</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° du
25 octobre 1947). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 190.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Pensée
libre</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 5).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 248.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Kad</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° 9). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 191.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Tradition Druidique</i>). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 191.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
de l’Histoire des Religions</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier-juin 1946). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 187.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos de « conversions »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Parole
perdue et mots substitués</i>. (Suite). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 33.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L. Cattiaux, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Message retrouvé</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 99.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. R. Dell’Acqua, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Pierre</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 101.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J. Bétesta, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Delta</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 102.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril 1948). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p.
156.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de mars 1948). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 248.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
du Symbolisme Chrétien</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(premier numéro, Juin-juillet 1948). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">THPR</i>,
p. 471.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre-novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nouvelles
confusions</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XIV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Parole
perdue et mots substitués</i>. (Suite). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 39.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues: </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de septembre-octobre 1947 à juin 1948). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 157.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sur
le prétendu « orgueil intellectuel »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Parole
perdue et mots substitués</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 44.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Time and Eternity</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 208.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M. Eliade, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Techniques du Yoga</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 210.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1949</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">L’Ésotérisme de Dante</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Considerazioni sulla via iniziatica</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Traduction
italienne et introduction par Corrado Rocco. Fratelli Bocca Editori, Milano.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sagesse
innée et sagesse acquise</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. XXII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
grain de sénevé</i>. Écrit primitivement pour <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. LXXIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M. Pallis, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Peaks and Lamas</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 213. Signalons que le texte de
félicitation concernant Paul Chacornac qui précède cette reprise n’était pas
signé par René Guénon mais par la Rédaction.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Georgel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Rythmes dans l’Histoire</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 30.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">E. Ruir, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nostradamus, ses Prophéties, 1948 - 2023</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 174.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Shrî Aurobindo, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Enigme de ce Monde</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 214.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">P. B. Saint-Hilaire
et G. Monod-Herzen, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Message de Shrî
Aurobindo et son Ashram</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 216.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M.-L.
Duboulos-Laffin, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Bou-Mergoud, Folklore
tunisien</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, p. 144.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet 1948). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>,
p. 161.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Masonic
Light</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (première
année, de septembre 1947 à juin 1948). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 161.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°de septembre 1948). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 278.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Ogam</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (les trois premiers numéros).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 193.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Etudes
Carmélitaines</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(numéro spécial sur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Satan</i>). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 193.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Silence
et solitude</i>. Dans cet article, René Guénon emprunte des renseignements à
l’ouvrage de Paul Coze, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Oiseau-Tonnerre</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 42.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril-mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> -<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Travail
initiatique collectif et « présence » spirituelle</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XXIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’éther
dans le cœur</i>.<span style="margin: 0px;"> </span>Écrit primitivement
pour <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. LXXIV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">C. Wilczkowski, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Homme et le Zodiaque. Essai de synthèse
typologique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 175</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Barbarin, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Je et Moi; ou le dédoublement spirituel</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 216.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">D. Roché, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Catharisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 103.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Zalmoxis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (troisième volume 1940 - 1942).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 198.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Wayfarers’Journal</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(1945). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 249.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos des deux saints Jean</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XXXVIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Études</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de décembre 1948). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 273.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Les
Cahiers du Symbolisme Chrétien</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° août-septembre; octobre-novembre 1948, janvier-février 1949). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 200.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Études
Carmélitaines</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(numéro spécial sur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Satan</i>, suite).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 202.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tradition
et « inconscient »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. V.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Octogone</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XLII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Saint-Yves
d’Alveydre, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mission des Souverains</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 106.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">[Collectif], <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The living Thoughts of Gotama the Buddha</i>
presented by A. K. Coomaraswamy and J. B. Horner. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 217.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Pouyaud, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Du « Cubisme » à la peinture
traditionnelle</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
108.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">F. Haab, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Divination de l’alphabet latin</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 104.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hubert Benoit, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Métaphysique et Psychanalyse. Essais sur le
problème de la réalisation de l’homme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 218.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Revue
de l’Histoire des Religions</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet-décembre 1948). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 274.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
d’Études Cathares</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(premier n° de janvier-mars 1949). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 213.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Ogam</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup> 4 et suivants).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 215.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Hind</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (deuxième n°). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 275.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Christianisme
et Initiation</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>, ch.
II, p. 8.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pierre
brute et pierre taillée</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XLIX.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de janvier et mars 1949).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 279, uniquement celui
du numéro de janvier. N° de mars repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
I</i>, p. 250.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Etudes
Carmélitaines</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(numéro sur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Satan</i>, suite et fin).
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 215.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre-novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Christianisme
et Initiation</i>. (Suite). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>,
ch. II, p. 14.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Contre
la vulgarisation</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch.
I.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier et avril 1949). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 163.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Masonic
Light</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de septembre 1948 à juin 1949). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 164.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
d’Etudes Cathares</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’avril-juin 1949). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
219.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers du Sud</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sanâtana Dharma</i>. Paru dans le numéro spécial des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers du Sud</i> intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Approches de l’Inde</i>; achevé d’imprimer
le 30 novembre. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 105.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Christianisme
et Initiation</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>,
ch. II, p. 19.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">M. Eliade, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Mythe de l’éternel retour. Archétypes et
répétition</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 25.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Dumézil, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Héritage indo-européen à Rome</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">FTCC</i>, p. 172.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues: </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Le
Symbolisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
d’octobre 1948 à juillet 1949). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 166.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - P. S. - (H. Clouard, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Histoire de la Littérature française</i>;
consacre une notice à René Guénon). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 280.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1950</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Le Roi du Monde</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Le Symbolisme de la Croix</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions Véga,
Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Krisis der Neureit</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Traduction
allemande par Martin Otto.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Salut
et Délivrance</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch.
VIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
sacré et le profane</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. XI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">F. Warrain, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Théodicée de la Kabbale</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 176.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Stanilas de Guaita
et Oswald Wirth, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Problème du Mal</i>.
Avant-propos et postface de Marius Lepage. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 110.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Speculative Mason</i> (n° de juillet 1949). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 174.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sur
le rôle du guru</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch.
XXIV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Liens
et noeuds</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch.
LXVIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">A. K. Coomaraswamy, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hindouisme et Bouddhisme</i>. Traduit de l’anglais
par René Allar et Pierre Ponsoye. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>,
p. 221.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril-mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
science profane devant les doctrines traditionnelles</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 223.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">J.-H.
Probst-Biraben, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rabelais et les secrets
du Pantagruel</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p.
113.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Van Rijnberk, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Episodes de la vie ésotérique (1780 - 1824)</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 116.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Masonic
Light</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de septembre à novembre 1949). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, pp. 174 et 178!</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
d’Etudes Cathares</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet-septembre 1949). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 220.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’octobre 1949). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>,
p. 176.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
trois voies et les formes initiatiques</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch. XVIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">G. Palomba, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Introduzione all’Economica</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 113.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
du Symbolisme Chrétien</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de janvier-février 1950). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 223.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
d’Études Cathares</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° d’octobre-décembre 1949). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>,
p. 224.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Atlantis</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° de janvier-février et
mars-avril 1950). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 225.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Métaphysique
et dialectique</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch.
II.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Lettre G. et le swastika</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XVII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">The
Speculative Mason</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° du 1er trimestre 1950). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 181.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Masonic
Light</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n°<sup>s</sup>
de décembre 1949 à mars 1950). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC
II</i>, p. 181.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Cité divine</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch.
LXXV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sur
les degrés initiatiques</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>,
ch. XXV.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres: </span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">H.-F. Marcy, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Essai sur l’origine de la Franc-Maçonnerie et l’histoire du Grand
Orient de France</i>. Tome 1<sup>er</sup>: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Des
origines à la fondation du Grand Orient de France</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 121.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre-novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cérémonialisme
et esthétisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">IRS</i>, ch.
XIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Livres:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Amadou, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Occultisme. Esquisse d’un monde vivant</i>.
Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 114.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">R. Amadou et R.
Kanters, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Anthologie littéraire de
l’occultisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 116.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - C.R. Revues:</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Témoignages</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (n° d’avril 1950). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EH</i>, p. 282.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
du Symbolisme Chrétien</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de juillet 1950). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
229.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">L’Atelier
de la Rose</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;"> (le
premier n°). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p. 230.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">Cahiers
d’Etudes Cathares</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; margin: 0px;">
(n° de printemps 1950). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">CR</i>, p.
228.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers du Sud</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Ésotérisme du Graal</i>. Paru dans le numéro spécial des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers du Sud</i> intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lumière du Graal</i>; achevé d’imprimer le
30 novembre 1950; copyright 1951. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
II</i>, p. 20.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Influence
de la civilisation islamique en Occident</i>. Une note de présentation précise:
« Le travail de M. René Guénon ne nous étant pas parvenu en temps opportun
pour le présent numéro, nous pensons intéresser nos lecteurs en publiant la
traduction d’un article de notre éminent collaborateur paru dans une revue
arabe il y a une vingtaine d’années ». Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEIT</i>, ch. VIII.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1951</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Chrisme et le cœur dans les anciennes marques corporatives</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 50. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 11.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Connais-toi
toi-même »</i>. Une note de présentation précise: « Article traduit
de l’arabe, publié dans la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">El-Maarifah</i>,
n° 1, mai 1931 ». Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p.
48.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril-mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos des signes corporatifs et de leur sens originel</i>. Une note de
présentation indique: « Nous avons omis de préciser que l’article de René
Guénon, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Chrisme et le cœur dans les
anciennes marques corporatives</i>, publié dans notre n° de janvier-février, l’avait
été primitivement dans le revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i>,
n° de novembre 1925. Le présent article, qui fait suite au précédent, a été
publié dans le n° de février 1926 de la même revue ». Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 68. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 43.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Démiurge</i>. Une note de présentation précise: « Nous reproduisons ici le
premier texte, croyons-nous, qui ait été, sinon rédigé, du moins publié par
René Guénon. Il a paru dans le premier numéro de la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i>, daté de novembre 1909 ». Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 9.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’emblème
du Sacré-Cœur dans une société secrète américaine</i>. Une note de présentation
indique: « Article paru dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i>,
mars 1927. » Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch.
LXXI. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 151.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1952</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Introduction générale à l’étude des
doctrines hindoues</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Éditions Véga, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Initiation et Réalisation spirituelle</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
conditions de l’existence corporelle</i>. Une note précise: « Publié dans
la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i>, n° de janvier
1912 ». Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 109.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
conditions de l’existence corporelle</i>. (Suite). Une note précise:
« Publié dans la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i>,
n° de février 1912. » Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>,
p. 109.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril-mai</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un
projet de Joseph de Maistre pour l’union des peuples</i>. Une note précise:
« Publié dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vers l’Unité</i>, mars
1927. » Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p.19.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Stricte Observance et les Supérieurs Inconnus</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 189.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-août</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Stricte Observance et les Supérieurs Inconnus</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 198.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos des Supérieurs Inconnus et de l’« Astral »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC II</i>, p. 208.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre-novembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
influences modernistes dans l’Inde</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
influences modernistes dans l’Inde</i>. (Suite et fin).</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1953</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers du Sud</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kundalinî-yoga</i>. Paru dans le numéro spécial intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yoga science de l’homme intégral</i>. Cet
article est une réédition légèrement modifiée de celui publié dans les numéros
d’octobre et novembre 1933 du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile
d’Isis</i>.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1954</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Aperçus sur l’ésotérisme chrétien</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Traditionnelles, Paris</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1961</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
Réforme de la Mentalité moderne</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. I. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 81.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1962</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Symboles fondamentaux de la Science
sacrée</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Éditions Gallimard, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">janvier-février</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Christ prêtre et roi</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i>,
avril-mai-juin et octobre-novembre-décembre 1988. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 17.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars-avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
Influences Errantes</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Juillet-octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Esprit
et Intellect</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p. 31.
Une référence faite par René Guénon à un article de F. Schuon a été omise dans
la réédition pour <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mélanges</i> (ce qui
n’est pas le cas dans cette réédition de 1962 de l’article). Ainsi p. 33 en fin
de paragraphe après « commune mesure » il faut lire une note:
« Cf. F. Schuon, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Des modes de la
réalisation spirituelle</i>, dans le n° d’avril-mai 1947, p. 119, note
3 ».</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
idées éternelles</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">M</i>, p.
37.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1964</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Études sur la Franc-Maçonnerie et le
Compagnonnage</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Tome I. Éditions Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Études sur la Franc-Maçonnerie et le
Compagnonnage</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Tome II. Éditions Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1965</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Le Théosophisme, histoire d’une
pseudo-religion</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Éditions Traditionnelles, Paris.</span><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"> Cette édition est dite contenir
"les écrits de l’auteur sur le même sujet, les dits écrits composés de
comptes rendus de livres et d’articles de revues parus sous sa signature dans
les Revues <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Études Traditionnelles</i> à partir de
1929".</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1968</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Études sur l’Hindouisme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1970</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Formes traditionnelles et cycles
cosmiques</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Éditions Gallimard, Paris.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1971</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Septembre-octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques
pages oubliées de René Guénon</i>. Traduction française par Anton Kerssemakers
des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Notes and Queries</i> parues dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">The Speculative Mason</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Novembre-décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">« Discours
contre les Discours »</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
II</i>, p. 33.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1972</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
dualités cosmiques</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>,
p. 3.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mars-avril</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
dualités cosmiques</i>. (Suite). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR
II</i>, p. 3.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Mai-juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
dualités cosmiques</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 3.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1973</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Comptes rendus</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions Traditionnelles,
Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Aperçus sur l’ésotérisme islamique et le
Taoïsme</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">.
Éditions Gallimard, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Y
a-t-il encore des possibilités initiatiques dans les formes traditionnelles
occidentales?</i> Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p.
29.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1976</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Mélanges</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Gallimard, Paris.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1977</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Symboles de la Science sacrée</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">. Éditions
Gallimard, Paris</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1984</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre-novembre-décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques
aspects du Symbolisme de Janus</i>. Déjà repris: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>, ch. XVIII.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
Gardiens de la Terre Sainte</i>. Déjà repris: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">AEC</i>, ch. III et également <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SFSS</i>,
ch. XI.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos des Constructeurs du moyen âge</i>. Déjà repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">EFMC I</i>, p. 12.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1985</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février-mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">F.-Ch.
Barlet et les Sociétés Initiatiques</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 11.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Quelques
précisions à propos de la H. B. of L</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 17.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers de l’Herne</i>, N° 49 - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Poèmes de jeunesse</i>. Le numéro consacré à
René Guénon des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers de l’Herne</i>
reproduit quelques strophes de poèmes de jeunesse de René Guénon.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1986</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre-novembre-décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Soufisme</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>, p. 47.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1987</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Janvier-février-mars</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Initiation
et contre-initiation</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR I</i>,
p. 25.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril-mai-juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">A
propos de quelques symboles hermético-religieux</i>. Reprint <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ER</i>, p. 25.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1988</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Precisacioni necessarie.</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;"> I saggi di
« Diorama - Regime Fascista ». Il cavallo alato, Padova.<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><i style="mso-bidi-font-style: normal;"></i></b></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Avril-mai-juin</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Christ Prêtre et Roi</i>. Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>,
p. 17.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Octobre-novembre-décembre</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ET</i> - <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Christ Prêtre et Roi</i>. (Suite et fin). Repris <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ACR II</i>, p. 17.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1990</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">L’Archeometra.</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;"> Texte paru dans
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i> traduit par Luigi Mancuso,
éditions Atanòr, Rome<i style="mso-bidi-font-style: normal;"></i></span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">1999</span></b><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">Écrits pour</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"> Regnabit.
Éditions Archè, Milan.</span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">2001</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;">Psychologie.</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 16pt; margin: 0px;"> Éditions Archè,
Milan.<i style="mso-bidi-font-style: normal;"></i></span></div>
<br />
<div align="center" style="line-height: normal; margin: 0px; text-align: center;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">2002</span></b></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;">Articles et comptes rendus, tome I.</span></i><span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 18pt; margin: 0px;"> Éditions
Traditionnelles, Paris.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<br /></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">_________________________________</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Signalons
notamment ces deux ouvrages qui n’ont pas fait l’objet d’une prise en compte
dans cette bibliographie élaborée en 2001 :</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">‘Abd
Al-Halîm Mahmûd,<span style="margin: 0px;"> </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;">Un soufi<span style="margin: 0px;"> </span>d’Occident, René Guénon</i>.
Editions Al Bouraq, 2007.<span style="margin: 0px;"> </span>On y trouvera
une traduction de l’ensemble des textes écrits par René Guénon pour la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Al-Ma’rifah</i>.</span></div>
<br />
<div style="line-height: normal; margin: 0px;">
<span style="font-family: "times new roman" , "serif"; font-size: 12pt; margin: 0px;">Une
réédition intégrale de la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i>
en un seul volume publiée aux Editions de l’Homme Libre, 2009.</span></div>
<b></b><i></i><u></u><sub></sub><sup></sup><strike></strike>Bruno Hapelhttp://www.blogger.com/profile/05525415697835975358noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5088615654452892767.post-33512569198674470362018-10-28T06:10:00.002-07:002019-02-27T05:13:04.415-08:00RÂMANA MAHARSHI, L’Esprit du Silence<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 18pt; margin: 0px;">RÂMANA
MAHARSHI, L’Esprit du Silence</span></b><span style="font-size: 18pt; margin: 0px;"></span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;">Shiva
Natarâja</span></b></div>
<div style="margin: 0px;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana Maharshi est né le jour où l’on honore Shiva
sous son aspect de Natarâja. Ce terme désigne aussi bien le Seigneur de la
Danse, le Maître des danseurs comme le Roi des acteurs (la racine <i style="mso-bidi-font-style: normal;">RâJ</i> signifiant « régner, gouverner,
briller » et la racine <i style="mso-bidi-font-style: normal;">NAT</i>
« danser, mimer, jouer un rôle »). Râmana est ainsi né durant la fête
d’Arudra-darshana, en décembre 1879. Cette fête qui a généralement lieu lorsque
la constellation d’Orion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">arudra</i>) se
trouve en ascendance est celle de la « vision de Shiva » car l’on
organise une procession de la représentation de Shiva sous son aspect de
Natarâja pour que l’on puisse le contempler (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>). Ce jour commémore la victoire de Shiva sur l’Asura
Andhaka (le « Sombre », <i style="mso-bidi-font-style: normal;">andha</i>
veut dire aveugle), c’est-à-dire la victoire de la « Lumière » sur
« l’Obscurité » et donc de la Connaissance sur l’ignorance. Puis
Shiva accomplit sa Danse cosmique. Cette Danse répond au cinq actions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pancha-krityâ</i>) de Shiva: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">srishti</i>, l’action de créer; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthiti</i>, l’action de maintenir; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samhâra</i>, l’action de détruire, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tirobhâva</i>, l’action de faire disparaître
et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">anugraha</i>, l’action de libérer. Ces
cinq fonctions sont en relation avec les cinq aspects divins respectivement:
Brahmâ, Vishnu, Rudra, Maheshvara (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-îshvara</i>)
et Sadâshiva (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sadâ</i>, éternel).
Rappelons que ces cinq aspects divins sont en correspondance avec les cinq
premiers <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chakras</i>, respectivement <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mûlâdhâra</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">svâdhishthâna</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">manipûra</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">anâhata</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishuddha</i>. Au chakra <i style="mso-bidi-font-style: normal;">âjna</i>
correspond l’aspect Shambu et au « lotus à mille pétales », <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sahasrâra</i>, l’aspect ultime Paramashiva.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Voyons comment on peut comprendre cette Danse en
étudiant le symbolisme de sa représentation. En dansant, Shiva écrase sous son
pied droit le nain Mûlayaka, symbole de la vaine opposition à la puissance de
Shiva. Le pied gauche est levé en signe de libération. Le mouvement des pieds
décrit la fonction suprême de Shiva celle de la transformation véritable,
c’est-à-dire celle qui ne se limite pas à la forme mais nous fait aller au-delà
même de la forme. Pour être libre, l’être doit se transformer.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Voyons maintenant ce que les mains nous enseignent. La
main droite supérieure tient un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">damarû </i><span style="margin: 0px;"> </span>(petit tambour à deux caisses de résonance),
la main droite inférieure fait le geste (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mudrâ</i>)
de « ne point craindre ». La main gauche supérieure tient une flamme,
la main gauche inférieure est baissée en direction du nain Mûlayaka. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">damarû</i> est, dans le rythme qu’il
instaure (chaque caisse de résonance étant frappée tour à tour), le symbole de
l’alternance de la création et de la destruction de la manifestation, résumant
ainsi les cinq actions de Shiva. La crainte n’affecte que ce qui est
conditionné, comme l’ego. Mais, Shiva peut nous libérer de la peur (signe de
l’attachement à l’ego) puisqu’il nous éclaire avec la flamme de la connaissance
qui dissipe toutes les menaces représentées par le nain Mûlayaka qui ne peut
qu’être vaincu comme il nous l’indique.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Parmi les différents aspects de sa parure, nous
signalerons que Shiva porte un pendant d’homme à l’oreille droite et un pendant
de femme à l’oreille gauche, marquant ainsi son union avec la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti</i>. Il danse sur un piédestal de
lotus d’où jaillit une auréole frangée de flammes qui l’encercle. Dans sa
dimension purement cosmique et selon le principe d’analogie, on peut voir cette
auréole enveloppante comme le symbole de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prakriti</i>.
Shiva, représentant alors <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Purusha</i>,
danse ainsi en son sein pour faire passer l’univers potentiel de la puissance à
l’acte.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Shiva Natarâja, dont la vision (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>) libère de la transmigration (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samsâra</i>), préside ainsi à la naissance du Maharshi démontrant ainsi
que cette dernière se révélera effectivement comme illusoire.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette « présence » de Shiva ne fait
qu’annoncer la fonction de « présence » du Maharshi. Mais voyons ce
que Râmana nous enseigne sur le lieu de sa naissance Tiruchuzi:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Ce lieu a reçu plusieurs noms différents [dont
celui d’Avarta-puri, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">puri</i> signifiant
la ville] (...) Il y a eu plusieurs déluges. le Dieu Shiva sauva cette ville de
trois d’entre eux. Une fois, alors que toute la surface de la terre était
immergée sous les eaux, Shiva planta sa lance en cet endroit. Les eaux qui
auraient dû normalement envahir la contrée furent attirées dans le trou formé
par celle-ci; Un immense tourbillon se forma. Voilà l’origine du nom [d’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avarta</i> qui signifie tourbillon]. A
l’occasion d’un autre déluge, Shiva, pour sauver la ville, la maintint
suspendue au bout de sa lance ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks
with Sri Ramana Maharshi</i>, p. 613.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette « présence » de Shiva<span style="margin: 0px;"> </span>au lieu même de sa naissance place le
Maharshi au Centre du Monde dont l’axe est symbolisé par la lance de Shiva.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On peut comprendre ainsi que bien que l’individualité
de Râmana ait connu, « substantiellement », un certain devenir
spatial, le Maharshi , « essentiellement », n’a cessé d’être immobile
au Centre du Monde. Du lieu de sa naissance à la colline d’Arunâchala où il
séjournera tout le restant de sa vie, il n’a cessé d’être établi en ce Pôle
spirituel , moteur immobile de la manifestation.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La colline d’Arunâchala est l’un des plus anciens et
des plus sacrés parmi tous les lieux saints de l’Inde, c’est un éminent symbole
du Mont Mêru. Râmana Maharshi déclara qu’: « Arunâchala n’est pas
extérieur, mais intérieur. Arunâchala, c’est le Soi ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 228.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;">Jîvan-mukta</span></b></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Si le devenir spatial du Maharshi est relatif, son
devenir temporel l’est tout autant. Si l’on peut dire que Râmana n’a cessé
d’être établi au Centre du Monde, on peut également dire qu’il n’a cessé d’être
libre. Etant en elle-même totalement inconditionnée, la Délivrance ne saurait
être le fruit d’un quelconque devenir. On s’accorde à voir en Râmana Maharshi
un Délivré-vivant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîvan-mukta</i>).
Qu’est-ce alors qu’un Jîvan-mukta ?</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La Réalisation, étant inconditionnée, peut être connue
dans l’un quelconque des états de l’être. Ainsi, un être placé dans l’état
humain, comme nous le sommes actuellement, peut être, s’il en a la
qualification, effectivement délivré dans cet état même. On use alors
symboliquement d’une des conditions de cet état, la vie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîva</i>, le vivant), pour désigner cette Délivrance: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîvan</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mukta</i>. Cette expression ne veut donc pas dire que cette délivrance
est tributaire de l’aspect vital. Ce qualificatif est nécessaire à ceux qui ne
peuvent, sans cela, désigner cet état inconditionné. On est aussi fautif de
parler alors de « vivant » ou « d’état »,la Délivrance
échappant nécessairement à tous les qualificatifs puisqu’elle les transcende.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La Délivrance ne dépendant d’aucune condition, on peut
être tout naturellement amené à se poser cette question: Pourquoi ne sommes-nous
pas tous des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Jîvan-mukta</i> ? En réalité
nous le sommes tous virtuellement. Ainsi le Maharshi a déclaré, en parlant du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i>, de celui qui a réalisé
l’identification entre le connaissant et le connu par la connaissance
elle-même:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i>
ne voit personne qui soit <i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-jnânî</i>. De
son point de vue, chacun est un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i>.
Dans l’état d’ignorance, on surimpose cette ignorance à ce qui est réellement
l’état de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i> ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 480]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">C’est donc une limitation, cet état d’ignorance, qui
empêche de se connaître dans notre état de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i>.
Virtuellement des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i>, nous nous
identifions à des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-jnânî</i>, signe même
de cette virtualité. La Délivrance est ainsi indéfiniment proche comme on peut
égrener les décimales du nombre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pi</i> ,
mais elle ne saurait être le terme de quoique ce soit comme il ne suffit pas
d’atteindre une nouvelle décimale pour connaître effectivement le nombre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pi</i>. La Délivrance est toujours présente
mais en même temps inaccessible si l’on ne peut opérer le « passage à la
limite », comme le nombre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pi</i>,
toujours connu puisqu’il est la rapport de la circonférence au diamètre, se
révèle dans l’intégration aboutie et qu’il se dérobe dans l’accumulation de ses
décimales. Ce « passage à la limite » est la clé de la Réalisation,
clé mystérieuse qui n’ouvre en réalité aucune porte puisque rien ne nous est
inaccessible. Il suffit, pour s’en convaincre, de lire le récit de ce
« passage à la limite » tel qu’il a été vécu par le Maharshi. Ce
récit est à la fois limpide et inexplicable. Tous le monde pourrait le vivre, mais
il symbolise pour lui seul la Délivrance:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« C’est environ six semaines avant mon départ
définitif de Maduraï qu’intervint dans ma vie un grand changement. Il fut tout
à fait soudain. J’étais seul dans une pièce au premier étage dans la maison de
mon oncle. Je n’avais été que rarement malade, et ce jour-là ma santé était
excellente; mais une soudaine et violente peur de la mort m’étreignit. Rien
dans mon état ne la justifiait, et je n’essayai ni de la justifier ni d’en
chercher la raison. Je me contentais de l’éprouver en me disant: « Je vais
mourir », et je me demandai que faire. Il ne me vint pas à l’idée de
consulter un médecin ou un proches ou mes amis; je sentis qu’il me fallait
résoudre le problème moi-même, et à l’instant même.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le choc causé par la peur me poussa à
l’intériorisation et je me dis mentalement à moi-même, sans formuler des
paroles: « Maintenant que la mort est là, que signifie-t-elle ? Qu’est-ce
que mourir ? C’est ce corps-là qui meurt ».Et aussitôt je dramatisais le
fait de la mort. J’étais couché les membres allongés et raides comme dans
l’état cadavérique, mimant les effets de la mort pour donner à mon enquête une
réalité plus grande. Je retenais ma respiration, et serrais les lèvres pour
qu’aucun son ne pût s’en échapper, m’empêchant de prononcer le mot
« Je » ou tout autre mot. « Et bien ! », me disais-je, ce
corps est mort. On l’emportera complètement rigide au lieu de crémation où il
sera brûlé et réduit en cendres. Mais suis- « Je » ce corps ? Il est
silencieux et inerte, mais je sens la pleine force de ma personnalité et
j’entends même la voix du « Je » profondément en moi. Je suis donc
l’Esprit qui transcende le corps. Le corps meurt, mais l’Esprit, transcendant
ce corps, ne peut être touché par la mort. Ce qui veut dire que Je suis
l’Esprit immortel.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Ces pensées n’étaient pas tristes et sombres.
Elles jaillissaient en moi telle l’éclatante vérité que je percevais
directement, pratiquement sans l’intervention du processus mental. Le
« Je » était donc quelque chose de très réel, la seule chose réelle
dans mon état présent, et toute l’activité consciente liée à mon corps était
centrée sur ce « je ». Depuis cet instant et dorénavant le
« Je » ou « Soi » concentra l’attention sur lui-même par
l’effet d’une puissante fascination. La crainte de la mort s’était évanouie, et
pour toujours. L’absorption dans le « Soi » se poursuivit sans
interruption depuis cet instant. Les autres pensées pouvaient passer et
disparaître comme diverses notes de musique, mais le « Je » demeurait
comme la note fondamentale <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shruti </i>sous-tend
et se confond avec les autres notes. Que mon corps fut occupé à parler, à rire,
ou à quoique ce soit d’autre, tout mon être n’en était pas moins centré sur le
« Je ». Avant cette crise je n’avais aucune perception claire de mon
« Soi », et je n’étais pas consciemment attiré vers lui. Je ne
ressentais pour lui aucun intérêt direct ou perceptible, encore moins
inclinais-je à demeurer constamment en lui ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Arunâchala</span></b></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana Maharshi nous donne le sens du mot <i style="mso-bidi-font-style: normal;">arunâchala</i> [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 180]:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">aruna</i>
= rouge, brillant comme le feu. Ce « feu » n’est pas le feu
ordinaire, qui n’est que chaud. C’est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânâgni</i>
(le « feu » de la Sagesse, [le feu, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">agni</i>, de la Connaissance, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>])
qui n’est ni chaud ni froid. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">achala</i> =
colline. Arunâchala est donc la « colline de la Sagesse ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Voyons maintenant comment l’origine de la colline nous
est relatée:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Une fois Vishnu et Brahmâ (aspect créateur de
Dieu, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">îshvara</i>) se disputèrent pour
savoir lequel d’entre eux était le plus grand. Leur querelle provoqua le chaos
sur la terre, et les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Devas</i>,
s’approchant de Shiva, le supplièrent de mettre un terme à cette querelle.
Alors Shiva se manifesta sous la forme d’une colonne de feu, d’où s’éleva une
voix disant que le plus grand serait celui qui découvrirait l’extrémité la plus
haute ou la plus basse de la colonne de lumière. Vishnu prit la forme d’un
sanglier et creusa profondément le sol, pour en trouver la base, tandis que
Brahmâ prenait la forme d’un cygne et planait dans les airs, en quête du
sommet. Vishnu échoua dans sa recherche de la base de la colonne, mais,
commençant à discerner en lui-même la Lumière suprême qui réside dans le cœur
de tous, il se perdit dans la méditation, oubliant son enveloppe charnelle et
n’ayant même plus conscience de lui-même en tant que celui qui cherche. Brahmâ
vit la fleur d’un arbre de montagne qui tombait à travers les airs et, pensant
gagner par la tromperie, il revint avec cette fleur et prétendit qu’il l’avait
cueillie au faîte de la colonne lumineuse. »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Vishnu et Brahmâ ont donc échoué. Mais l’histoire se
poursuit: « la colonne de feu, ou le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">linga</i>,
était trop aveuglante, et Shiva se manifesta alors sous l’aspect de la
colline »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La colline est ainsi le symbole du Centre du Monde
comme de l’axe qui en émane formant la chaîne des mondes. La colline est ainsi
le symbole du but à atteindre comme de la voie pour y parvenir. Parcourir cet
axe depuis le point le plus bas (Vishnu) jusqu’au point le plus élevé (Brahmâ),
c’est, en s’y identifiant (Shiva) atteindre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mahâ-îshvara</i>
et finalement le but suprême, le Soi, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Para-Brahma</i>.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Au plan microcosmique, cette colline symbolise
l’enchaînement de tous les états de l’être. En faire l’ascension, c’est au plan
symbolique atteindre à sa propre totalisation, c’est-à-dire à la réalisation de
« l’Homme universel ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">En correspondance avec le symbolisme de la croix, on
peut dire que s’approcher (axe horizontal) de la colline symbolique, c’est
tendre vers l’individualité intégrale. L’atteindre, c’est effectuer la
totalisation de l’état humain (centre). En faire l’ascension (axe vertical),
c’est opérer la totalisation des états supra-individuels et par le
« passage à la limite », c’est réaliser l’identité avec le Soi,
l’identité en Brahma.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana Maharshi a très tôt dans sa vie ressenti une
véritable fascination pour ce lieu saint comme il nous l’explique dans l’une
des strophes de l’un de ses hymnes à Arunâchala:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Ecoute ! Il se tient Mont impassible. Son
action est mystérieuse, elle dépasse l’entendement humain. Depuis l’âge de
l’innocence avait brillé dans mon esprit l’idée qu’Arunâchala était quelque
chose d’une grandeur insurpassable, mais même lorsque j’appris par un autre que
c’était la même chose que Tiruvannamalai [la localité au pied de la colline],
je ne me rendis pas compte de sa signification. Lorsqu’il m’attira à lui,
apaisant mon âme, je m’en approchai et je le vis (se dresser) immuable ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;"> </span></span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana Maharshi a ainsi composé cinq hymnes en hommage à Arunâchala. Un
seul a été directement composé en sanscrit, les autres l’ont été en tamoul. Nous
avons retenu cet hymne pour cette raison, Il est intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">arunâchala-pancharatnam</i>, « Cinq stances dédiés à
Arunâchala », littéralement « Cinq (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pancha</i>) perles (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ratna</i>)
pour Arunâchala ». Nous en donnons la première traduction française
directement faite à partir du texte sanscrit.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;"> </span></span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cet hymne se présente sous une forme bien caractéristique. Le Maharshi
est symboliquement placé en haut de la colline qui marque ainsi son état de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jivan-mukta</i>, de « Délivré
vivant », de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i>, «<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>Celui qui est effectivement
identifié dans le Principe Suprême », le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirguna Brahma</i>, Brahma non qualifié. En toute légitimité, le
Maharshi peut ainsi considérer de proche en proche et par voie descendante ce
qui du Principe nous amène au domaine individuel. Il se place ainsi au point le
plus élevé, puis il envisage les voies de réalisation de la plus abrupte à
celle qui concerne tous les êtres. Il traite ainsi de la voie de la
connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna-mârga</i>), de la
voie du yoga (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yoga-mârga</i>), puis de
celle de la dévotion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mârga</i>) et enfin de la voie des actes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma-mârga</i>). Au terme de cet hymne, le
lecteur a virtuellement conçu les différentes étapes de la Réalisation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">moksha</i>). Il est en adoration au pied de
la colline. Il ne lui reste plus, pour peu qu’il en soit capable, qu’à
entreprendre effectivement l‘ascension qui des actes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>) et de la simple dévotion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti</i>) le mènera à l’union (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yoga</i>)
pour atteindre à l’identification par la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>) terme de la réalisation, au-delà même de ce point qui marque
le sommet et symbolise ainsi le Principe Suprême.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Voici la traduction de cet hymne:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">1</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « ô
océan (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abdhi</i>) de nectar (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sudhâ</i>) débordant d’une suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûrna</i>) compassion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karunâ</i>), tu submerge (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">KAD/kab</i>)
la forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rûpa</i>) dense (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ghana</i>) de l’Univers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishva</i>) par l’enveloppement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âvali</i>) de ton rayonnement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kirana</i>); ô Arunâchala, toi qui es le Soi
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">parama</i>), fais de toi le Soleil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aruna</i>)
qui épanouira (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">KAS</i>) le lotus (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kanja</i>) du Coeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitta</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana Maharshi rend compte
dans cette strophe d’Arunâchala comme symbole de l’identification totale dans
le Principe Suprême. Arunâchala est le Principe Suprême, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">paramâtmâ.</i> Représentant la Cause
enveloppante de la Manifestation, du Monde, Arunâchala devient donc le Soleil,
symbole de l’Etre, la détermination du Non-Etre, le Principe non qualifié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirguna Brahma</i>) se déterminant en
Principe qualifié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">saguna Brahma</i>),
Dieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îshvara</i>) qui ordonne le Monde.
En lui s’épanouit alors le lotus du Coeur. On notera l’usage du terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitta</i> pour désigner ici le Coeur.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">2</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « ô
Arunâchala, en toi toute chose (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>)
apparaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhûtvâ</i>), se maintient (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthitvâ</i>) puis se résorbe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pralîna</i>); c’est une merveille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitra</i>) ! Tu es le Soi en lui-même (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmatâ</i>), le « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) qui est dans le Coeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hrid</i>); ô cela, tu le danses (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">NRiT</i>). On dit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">VAD</i>) de toi que ton nom (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nâma</i>)
est le Coeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hridaya</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana s’appuie sur les trois
racines <i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHû, STHâ, pra-Lî</i> pour
signifier l’écoulement de la manifestation: ex-istence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhava</i>), établissement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">stha</i>)
et dissolution (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-laya</i>). On trouve
ici une allusion nette aux « actions » de Shiva et notamment de Shiva
Natarâja, le Seigneur de la Danse. Cette strophe est le symbole de la
détermination de l’Etre, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">îshvara</i>, en
Shiva, celui qui fait battre le Coeur cosmique.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">3</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">-
« Qui désire (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anu-ISH</i>) répondre
a cette question: « D’où s’élève (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">â-Yâ</i>)
ce que l’on nomme « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham
iti</i>) ? », doit s’intérioriser (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-VISH</i>)
avec une pensée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhî</i>) extrêmement
pure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">amala</i>); alors il connaîtra (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-GAM</i>) sa propre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>) forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rûpa</i>) et
s’apaisera (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SHAM</i>) en toi, ô Arunâchala,
comme la rivière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nadî</i>) qui rejoint
l’océan (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abdhi</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La voie suprême, la voie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i> est bien l’objet de cette strophe.
La connaissance, la compréhension véritable, la « pensée pure », nous
donne la réponse à la question « Qui suis-Je ? (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ko’ham</i>) ». La tradition nous enseigne que cette réponse peut
être ainsi formulée: « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">neti neti</i> ».
Râmana Maharshi a donné l’explication de ce mot:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Actuellement, il y a
en vous une fausse identification du Soi avec le corps, les sens, etc. Puis
vous vous mettez à rejeter toutes ces distinctions. C’est cela <i style="mso-bidi-font-style: normal;">neti</i> [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">na-iti</i>]. Vous ne pouvez procéder ainsi à cette élimination qu’en
vous attachant à ce qui ne peut être écarté, c’est-à-dire <i style="mso-bidi-font-style: normal;">iti</i> seul ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 335.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Le mot sanscrit <i style="mso-bidi-font-style: normal;">na</i> est le signe de la négation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">asmi</i> = je suis, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">na-asmi</i> = je ne suis pas). Si je veux rendre compte par écrit que
je suis en train de dire: « je suis », je ferai usage en sanscrit du
mot <i style="mso-bidi-font-style: normal;">iti</i>. Ainsi lorsque l’on lit
l’expression <i style="mso-bidi-font-style: normal;">asmi iti</i>, on doit
comprendre que l’auteur veut nous signifier qu’il est entrain d’affirmer:
« je suis ». La formule <i style="mso-bidi-font-style: normal;">neti</i>
signifie donc que l’on est entrain de dire « non ! » Ainsi le
commentaire de Râmana nous permet de comprendre que ce qui importe le plus
n’est pas ce sur quoi porte la négation. Ce qui importe le plus, c’est ce qui
en résulte et qui est symbolisé par le mot <i style="mso-bidi-font-style: normal;">iti</i>.
Ce terme, qui ne peut être nier puisqu’il ne signifie rien, qui n’a pas de
détermination, est ainsi la marque présente du « passage à la
limite » toujours possible. Voilà ce que cette formulation est censée nous
apporter. L’image de la rivière rejoignant l’océan répond à cet extrait de la
strophe 41 de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bodha</i> de Shankarâchârya:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Il n’y a plus de
distinction (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bheda</i>) entre le
Connaissant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâtri</i>), la Connaissance
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>) et le Connu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jneya</i>) dans le suprême Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">parâtmâ</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">4</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">-
« Abandonnant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tyaktvâ</i>) tout ce
qui est du domaine (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishaya</i>)
extérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bâhya</i>), le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>) contrôlé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ruddha</i>) par<span style="margin: 0px;"> </span>la régulation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ruddha</i>) du souffle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâna</i>), méditant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">DHYâ</i>)
intérieurement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antar</i>) en toi; le
Yogî perçoit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">PASH</i>) ta splendeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dîdhiti</i>), ô Arunachala, et trouve en toi
sa demeure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahî</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Les principaux aspects
techniques de la voie du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yoga</i> sont
énoncées dans cette strophe: la concentration, le contrôle du mental par la
régulation du souffle, la méditation. L’aboutissement ultime étant la
réalisation de l’état de Yogî. On peut ici citer certains propos de Râmana
Maharshi concernant cette voie:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le contrôle de la
respiration a pour seul but d’aider à s’immerger profondément en Soi. On peut
tout aussi bien le faire par le contrôle mental. Car, lorsque le mental est
dompté, la respiration, elle aussi, se régularise automatiquement. Par
conséquent, il n’est pas nécessaire d’essayer le contrôle respiratoire, il
suffit de contrôler son mental. Le contrôle de la respiration est recommandé à
ceux qui ne peuvent contrôler leur mental immédiatement » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 417.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« La correspondance
entre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prânâyâma</i> (contrôle respiratoire) s’établit ainsi:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">na-aham</span></i><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">: Je
ne suis pas cela (expiration),</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">koham</span></i><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">: Qui
suis-je ? (inspiration),</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">soham</span></i><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">: Je
suis Lui (rétention).</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ceci relève du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vichâra</i> et le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vichâra</i> permet d’obtenir le résultat recherché ».[<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p.133.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Les trois formules
sont: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">na-aham</i> [pas-Je]; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">koham</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kah-aham</i>) [Qui-Je]; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">soham</i>
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah-aham</i>) [Il-Je]. Rejeter tous les
préfixes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">na</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kah</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah</i>) et
maintenez-vous dans le commun dénominateur, c’est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>, c’est le « Je », voilà l’essentiel ».[<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 418.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">5</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">-
« Celui qui se fixe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">arpita</i>) en
toi par son mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>), qui voit
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">PASH</i>) tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) continuellement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">satatam</i>)
par toi comme ta propre forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âkriti</i>),
qui n’adore (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHAJ</i>) que toi avec joie
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prîtyâ</i>); celui-là règne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">JI</i>), ô Arunâchala, car il est immergé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">magna</i>) par toi dans la félicité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukha</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette strophe concerne la
voie de la dévotion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti-mârga</i>) et
celle des actes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma-mârga</i>). La
racine <i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHAJ</i> dont dérive le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti</i> (dévotion) a pour sens premier
celui de « partager ». Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakta</i>,
l’adorateur, participe ainsi fondamentalement de l’harmonie universelle. Celui
qui accomplit une action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>) agit
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">KRi</i>), même s’il n’en n’a pas
conscience, au sein de cette harmonie. En ce sens, il y règne.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">En dépassant l’aspect
purement spatial de ce lieu saint, on doit comprendre que tendre vers
Arunâchala, c’est tendre vers le Soi; s’y établir, c’est s’identifier au Soi et
finalement glorifier Arunâchala comme le fit Le Maharshi dans ses hymnes, c’est
glorifier le Soi.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;">Dakshinâmûrti</span></b></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Si Arunâchala , le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">linga</i>
de Shiva, est le symbole paradoxale du non-espace, Dakshinâmûrti, Shiva en tant
que point-origine, symbolise alors le non-temps. Etabli à Arunâchala, le
Maharshi confirme son détachement complet vis-à-vis de cette condition que l’on
nomme espace. Identifié à Dakshinâmûrti, il confirme de même son détachement
complet vis-à-vis de la condition que l’on nomme temps. Car la Vérité est ni
tributaire du temps ni du lieu, sa source est le Non-Etre qui est absolument
inconditionné.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Le terme dakshinâmûrti signifie, si on le décompose en
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshinâ-mûrti</i>, l’aspect (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mûrti</i>) qui fait face au Sud (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshinâ</i>). Celui qui fait face au Sud
doit, pour remplir pleinement cette exigence, être placé au Nord sur l’axe des
pôles, car c’est de ce point unique que l’on fait toujours face au Sud.
Dakshinâmûrti est donc Shiva en tant que Pôle, ce point originel moteur
immobile du manifesté. C’est d’ailleurs le sens de ce terme si on le décompose
en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshina-amûrti</i>, il est le
principe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshina</i>) informel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-mûrti</i>, non-forme). Il est celui qui
produit le manifesté sans être lui-même manifesté, celui qui engendre le
mouvement et donc le temps sans être lui-même soumis au temps. En ce sens, on
le représente sous les traits d’un jeune adolescent, montrant ainsi qu’il n’est
pas soumis à cette condition temporelle. Cette dimension primordiale est encore
soulignée d’une façon particulièrement nette par le mode de son enseignement le
« silence », le plus éminent symbole du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirguna Brahma</i>, du Non-Etre.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce mode d’enseignement était aussi celui du Maharshi.
Voici ce qu’il nous dit:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le « silence » est la forme la plus
puissante de travail [spirituel]. Quelle que soit l’étendue et la puissance des
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shâstras</i> (des textes), ils échouent
dans leurs efforts. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guru</i> est
tranquille et la Paix prévaut en tout. Le « silence » du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guru</i> est plus puissant, plus vaste que
tous les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shâstras</i> réunis (...) Tel
est [l’enseignement du] véritable <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guru</i>.
Tel était [celui de] Dakshinâmûrti. Que faisait-il ? Il restait silencieux. Les
disciples apparaissaient devant lui. Il gardait le « silence »; les
doutes des disciples finissaient par se volatiliser, autrement dit, ils
perdaient le sens de leur individualité ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 370.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« De même que le bananier est un arbre dont les
racines produisent de nouvelles pousses, des rejets, avant qu’il ne donne ses
fruits et meure, et que ces mêmes rejets, une fois transplantés, recommencent
le même cycle, ainsi le Maître originel et primordial de toute antiquité,
Dakshinâmûrti, celui qui a dissipé les doutes de ses disciples <i style="mso-bidi-font-style: normal;">rishis</i> par le « silence », a
laissé après lui des rejets qui continuent à se multiplier. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guru</i> est un rejet de ce Dakshinâmûrti ».[<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 13.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ces propos sont d’autant plus significatif qu’à
l’occasion de sa traduction de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Hymne à</i>
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dakshinâmûrti</i> composé par
Shankarâchârya, Râmana Maharshi l’a fait précéder de cette invocation:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Ce Shankara qui apparut en tant que
Dakshinâmûrti pour apporter la paix aux grands Ascètes (Sanaka, Sanandana,
Sanatkumâra, Sanatsujâta), qui révéla son état réel de Silence, et qui a
exprimé la nature du Soi en cet hymne, est établi en moi ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette invocation synthétise le temps et le transcende
depuis l’origine en Dakshinâmûrti jusqu’à Râmana Maharshi par la médiation de
Shankara.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana a accordé une place prépondérante à l’oeuvre de
Shankara. Il a ainsi traduit en tamoul le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Viveka-chûdâ-mani</i>
ainsi que plusieurs hymnes comme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Hymne
à</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dakshinâmûrti</i>. On peut citer
ici le commentaire de cet hymne donné par le Maharshi dans un entretien. Râmana
nous rapporte la légende de Dakshinâmûrti:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Brahmâ, le Créateur, enfanta de son esprit
quatre fils, Sanaka, Sanandana, Sanatkumâra et Sanatsujâta. Ils demandèrent à
leur créateur pourquoi ils avaient été mis au monde. Brahmâ leur répondit:
« Je dois créer l’Univers, mais je souhaiterais plutôt me livrer à des
austérités (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tapas</i>) afin de réaliser
le Soi. Je vous ai donné l’existence pour que vous puissiez me relayer dans
cette tâche créatrice de l’Univers. Vous y parviendrez en croissant et en
multipliant. » Les quatre fils n’agréèrent pas cette idée. Ils ne
comprenaient pas pourquoi ils devaient assumer une charge aussi écrasante. Or
il est naturel pour tout un chacun de se mettre à la recherche de la source
originelle. Aussi préférèrent-ils revenir à leur origine et être heureux. Ils
désobéirent à Brahmâ et l’abandonnèrent à son sort. Ils se mirent en quête d’un
guide pour réaliser le Soi. Ils étaient les mieux doués pour obtenir la
réalisation. Ils estimèrent que leur direction spirituelle ne pouvait dès lors
être confiée qu’au meilleur de tous les maîtres. Qui, si ce n’est Shiva, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yogirâja</i>, [le Seigneur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">râja</i>) des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yogîs</i>] pouvait répondre à cette exigence ? Shiva [sous son aspect
de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshinâmûrti</i>] leur apparut, assis
au pied du banyan sacré. Etant un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yogirâja</i>
pouvait-il faire autre chose que pratiquer le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yoga</i> ? Il était ainsi dans un profond <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâdhi</i>, dans « l’Immobilité » absolue. Le Silence
régnait. Quand les quatre frères le virent ainsi, l’effet fut immédiat. Ils
tombèrent en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâdhi</i> et tous leurs
doutes furent dissipés ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 528.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Poursuivant son commentaire Râmana nous explique
pourquoi Shankara a composé cet hymne:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le silence est le véritable et parfait <i style="mso-bidi-font-style: normal;">upadesha</i> (instruction spirituelle). Il
ne convient qu’aux seuls chercheurs très avancés. Les autres sont incapables
d’en tirer une puissante inspiration. C’est pourquoi ils ont besoin de mots qui
leur expliquent la Vérité. Mais Celle-ci est au-delà des mots. Elle ne se
contente d’aucune explication. Tout ce que l’on peut faire, c’est d’en indiquer
la direction. Comment faut-il s’y prendre ? Les gens sont sous l’emprise d’une
illusion. Si ce maléfice est détruit, ils réaliseront la Vérité. Il faut donc
les convaincre de l’erreur de cette illusion. C’est alors qu’ils essayeront
d’échapper à ses pièges. Et le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vairâgya</i>
(le renoncement) en résultera. Ils se mettront en quête de la Vérité, à la
recherche du Soi. Ils finiront par le réaliser, pour demeurer dans le Soi. Shrî
Shankara, qui était un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i> de
Shiva, était plein de compassion pour les êtres déchus. Son désir était que
tous puissent réaliser leur Soi bienheureux. Comme il ne pouvait pas les
toucher tous par son « silence », il composa son éloge (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">stotra</i>) à la gloire de Dakshinâmûrti
sous la forme d’un hymne afin que les gens puissent le lire et entendre la
Vérité (...) Les quatre premières stances ont trait au monde. Elles
montrent que le monde est identique au Maître dont le Soi est aussi celui du
chercheur spirituel [voie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>],
ou bien que le monde est le Maître auquel le disciple se soumet complètement
[voie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti</i>]. Les quatre stances
suivantes ont trait à l’individu en montrant que son Soi est le Soi du Maître .
La neuvième stance concerne <i style="mso-bidi-font-style: normal;">îshvara</i>
et la dixième la Réalisation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">siddhi</i>).
Tel est en bref le thème de l’hymne». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 529.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Voici cet hymne traduit à partir de l’original
sanscrit composé par Shankara:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Introduction</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">-« Celui qui enseigne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyâkhyâ</i>) par le Silence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mauna</i>)
la vérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tattva</i>) réalisée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prakatita</i>) du Suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">para</i>) Brahma, qui est un adolescent
(yuvân), qui est le prince (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indra</i>)
des précepteurs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âchârya</i>), entouré (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âvrita</i>) d’un groupe de disciples (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">gana</i>), de très vieux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">varshishtha</i>) sages (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rishi</i>) absorbés (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nishtha</i>)
fermement en Brahma, celui dont l’attitude de la main signifie l’Illumination (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit-mudra</i>), celui qui est la
représentation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mûrti</i>) de la
béatitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ânanda</i>), qui se complaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ârâma</i>) dans le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-âtmâ</i>), qui a un doux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mudita</i>)
visage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vadana</i>)- C’est [lui],
« l’Aspect [de Shiva] qui fait face au Sud » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshinâ</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mûrti</i>), que nous
adorons ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mauna</i>
que l’on traduit par « silence » désigne littéralement « l’état
de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Muni</i> ». Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Muni</i> est celui qui a atteint le plus
haut état spirituel. Identifié dans le Non-Etre, il est le symbole même du
non-manifesté dont le silence est le suprême emblème. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mauna</i> est ainsi le symbole du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirguna
Brahma</i> , comme il est le signe de « l’action de présence » de Râmana.
Voici d’ailleurs certains de ses propos touchant cette question:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mauna</i>
(le Silence) n’est pas autre chose que la « parole » incessante,
comme le Non-agir est « l’acte » incessant ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 67.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Qu’est-ce que le Silence sinon l’éternelle éloquence ».
[<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 141.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mauna</i>
(le Silence) est la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dîkshâ</i> [la
transmission d’une influence spirituelle] la meilleure et la plus puissante.
C’était celle que donnait Dakshinâmûrti. Celles par le regard, par le toucher,
etc. lui sont toutes inférieures. Le Silence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mauna-dîkshâ</i>) change le coeur de tout homme ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 402.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">1</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « A lui qui, par <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>, comme en rêve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nidrâ</i>,
sommeil), voit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pashya</i>) en son for
intérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ni-ja-antar-gata</i>)
l’univers <i style="mso-bidi-font-style: normal;">(vishva</i>) qui est en lui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>), comme une cité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nagarî</i>) apparaissant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">DRiSH</i>) dans un miroir (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darpana</i>), [mais] qui est manifesté (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ud-BHû</i>) comme extérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bahih</i>): à lui qui perçoit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâkshât-KRI</i>), à l’instant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samaya</i>) de l’éveil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prabodha</i>), son propre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>)
Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) comme non-duel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-dvaya</i>): à lui qui est la forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mûrti</i>) même du Guru, le bienheureux
Dakshinâmûrti, à lui cet hommage ! »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Qui est victime de l’illusion ? Il faut bien
que quelqu’un soit abusé. L’illusion, c’est l’ignorance. Selon vous, c’est le
Soi ignorant qui voit les objets. Quand les objets eux-mêmes ne sont pas
présents, comment <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> peut-elle
exister ? <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yâ mâ</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> est ce qui [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yâ</i>]
n’est pas [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâ</i>]). Ce qui reste est le
Soi véritable. Si vous dites que vous voyez les objets ou que vous ne
connaissez pas l’Unité réelle, vous devez en conclure qu’il y a deux soi: le
connaisseur et l’objet connu. Or, personne n’admet qu’il existe en lui-même
deux soi. L’homme réveillé dit que c’était lui qui était endormi bien qu’alors
inconscient. Il n’y a qu’un Soi. Ce Soi est toujours conscient. Il ne change
pas. Il n’existe rien d’autre que le Soi ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 126.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On notera la référence du Maharshi au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirukta</i>, à cette science qui se base
principalement sur la valeur symbolique des éléments dont les mots sont
composés.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">2</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « A lui qui, comme un magicien (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâyâvî</i>, le fils de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>) ou même comme un grand (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>)
Yogî, déploie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-JRiMBH</i>), par son
propre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>) pouvoir (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ichchhayâ</i>), cet univers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>) indifférencié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-vikalpa</i>) à l’origine (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prân</i>) comme le bourgeon (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ankura</i>) à l’intérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antar</i>) du germe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bîja</i>), mais différencié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitrî-krita</i>)
ensuite par les diverses (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vaichitrya</i>)
conditions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kalanâ</i>) d’espace (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">desha</i>) et de temps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâla</i>) posées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kalpita</i>)
par <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>: à lui qui est la forme même
du Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui cet hommage ! »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">3</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « A lui dont la luminosité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sphurana</i>) qui est être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>) par nature (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma-ka</i>) éclaire (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHâS</i>)
le monde manifesté (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kalpa-artha-ka</i>)
qui est comme le néant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-sat</i>): à lui
qui enseigne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BUDH</i>), par l’injonction
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vachas</i>) du Veda « tu es
cela » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat tvam asi</i>), ceux qui
le sollicitent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">â-SHRI</i>): à lui par
qui, s’il est réalisé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karana BHû</i>),
il n’y aura plus d’autre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">punar</i>)
chute (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âvritti</i>, retour) dans l’océan
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambhonidhi</i>) de l’existence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhava</i>): à lui qui est la forme même du
Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui cet hommage ! »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">L’injonction citée dans cette strophe se rattache au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sâma-Veda</i> et se trouve énoncée dans la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chândogya-upanishad</i> (VI, 8, 7). Elle
fait partie des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i> (les
paroles essentielles). Chaque <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâvâkhya</i>
est rattaché à un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i>. Au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rig-Veda</i> correspond l’injonction
« La connaissance est Brahma » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-jnânam
Brahma</i>) énoncée dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Aitareya-upanishad</i>
(V, 3). Au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yajur-Veda</i> correspond
l’injonction « Je suis Brahma » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham
Brahma asmi</i>) énoncée dans la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brihad-âranyaka-upanishad</i>
(I, 4, 10). Et à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Atharva-Veda</i>
correspond l’injonction « le Soi est Brahma » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ayam âtmâ Brahma</i>) énoncée dans la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mândûkya-upanishad</i> (2).</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">4</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « A lui qui est lumineux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâs-vara</i>) comme l’éclat (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prabhâ</i>)
d’une grande lampe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-dîpa</i>)
installée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthita</i>) au sein (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">udara</i>, ventre) d’un vase (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ghata</i>) percé de nombreux trous (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chidra</i>): à lui dont la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>) s’extériorise (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bahih SPAND</i>) par l’oeil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chakshus</i>) et par les autres organes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karana</i>): à lui qui rayonne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHâ</i>) en tant que « je sais » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">JNâ</i>) et l’univers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>) entier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samasta</i>)
brille par lui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anu-BHâ</i>): à lui qui
est la forme même du Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui cet hommage
! »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« C’est parce que vous avez l’habitude de vous
identifier avec votre corps et de confondre votre vision avec vos yeux que vous
dites ne rien voir. Qu’y a-t-il à voir ? Qui doit voir ? Comment voir ? Il n’y
a qu’une seule conscience, manifestée en tant que pensée « Je », qui
s’identifie avec votre corps, se projette à travers les yeux et contemple les
objets. L’individu est limité dans l’état de veille et il s’attend à voir
quelque chose de différent. L’évidence engendrée par ses sens sera pour lui le
sceau de l’autorité. Ainsi, il n’admettra pas que le voyant, le vu et la vision
sont tous des manifestations d’une même Conscience, Celle du
« Je-Je » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham-aham</i>]
». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 161.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i>
ne trouve rien qui soit séparé ou différent du Soi. Tout est dans le Soi. Il
est faux d’imaginer qu’il y a le monde, qu’il s’y trouve un corps et qu’enfin
vous demeurez dans ce corps. Lorsque la Vérité est réalisée, on découvre que
l’univers et ce qui est au-delà ne sont que dans le Soi. L’aspect des choses
varie selon la perspective. C’est de l’oeil que vient la vision. Et l’oeil doit
être situé quelque part. Si vous voyez avec les yeux sensibles (du domaine
grossier), tout vous apparaîtra comme grossier; si vous regardez avec les yeux
subtils (ceux du mental), tout vous paraîtra subtil. Et si l’oeil devient le
Soi, l’oeil sera infini, puisque le Soi est lui-même infini. Il n’y a rien
d’autre à voir qui soit différent du Soi ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 103.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">5</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Ceux qui connaissent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">VID</i>) le « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>)
en tant que corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deha</i>), souffle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâna</i>), organes de sensation et d’action
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indriya</i>), intellect changeant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chala-buddhi</i>) ou comme [étant] l’absence
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shûnya</i>, vide) sont abusés (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHRAM</i>) comme les femmes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">strî</i>) et les enfants (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bâla</i>), les aveugles (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">andha</i>) et les sots (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jada</i>, inerte), et ils parlent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâdî</i>)
beaucoup: à lui qui est le destructeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sam</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hârî</i>) de la grande illusion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vyâmoha</i>) produite (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kalpita</i>) par le jeu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vilâsa</i>) de la puissance de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâyâ-shakti</i>): à lui qui est la forme même du Guru, le bienheureux
Dakshinâmûrti, à lui cet hommage ! »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">6</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « A l’esprit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pumân</i>), qui dans le sommeil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sushupta</i>)
est pur être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat-mâtra</i>), les sens (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karana</i>) anéantis (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upa-sam-HRi</i>), et qui dans le retrait du voilement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâchchhâdana</i>) de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>, comme le soleil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">divâkara</i>)
et la lune (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indu</i>) dans l’éclipse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">râhu-grasta</i>), reconnaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">praty-abhi</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">JNâ</i>) au réveil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prabodha-samaya</i>,
condition d’éveil): « j’ai dormi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SVAP</i>)
jusqu’à maintenant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâk</i>) »: à
lui qui est la forme même du Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui cet
hommage ! »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">7</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « A lui qui, par l’attitude de la main
signifiant la réalisation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhadra-mudra</i>),
manifeste (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prakatî</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">KRi</i>) à ses fidèles (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhajan</i>) son propre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>)
Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) qui brille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SPHUR</i>) pour toujours (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sadâ</i>) intérieurement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antar</i>) en tant que « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), constamment (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anu-vartamâna</i>), dans tous (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>)
les états (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avasthâ</i>) inconstants (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyâvritti</i>) tels que l’enfance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bâlya</i>), etc., l’état de veille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jâgrat</i>), etc.- à lui qui est la forme
même du Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui cet hommage ! »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">8</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « A l’esprit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">purusha</i>) qui, abusé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pari</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHRAM</i>) par <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>, voit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">PASH</i>), en
rêve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svapna</i>) et à l’état de veille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jâgrat</i>), l’univers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishva</i>) dans ses distinctions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bheda</i>)
telles que cause (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârana</i>) et effet (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârya</i>), propriété (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sambandha</i>) et propriétaire (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svâmi</i>),
maître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âchârya</i>) et disciple (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shishya</i>), fils (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">putra</i>) et père (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pitri</i>),
etc.: à lui qui est la forme même du Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui
cet hommage ! »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">9</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « A lui dont l’octuple (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ashtaka</i>) forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mûrti</i>)
est tout [cet univers] mouvant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chara</i>)
et immuable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-chara</i>), apparaissant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">â-BHâ</i>) en tant que terre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhû</i>), eau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambhas</i>), feu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anala</i>), air
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anila</i>), éther (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambara</i>), soleil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ahar-nâtha</i>),
lune (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">himâmshu</i>) et esprit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pumân</i>): à lui le suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">para</i>), le tout-pénétrant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-bhu</i>), au-delà duquel rien d’autre
n’est à connaître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">VID</i>) pour ceux qui
sont en quête (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vimrishan</i>): à lui qui
est la forme même du Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui cet hommage
! »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">10</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Puisque, dans cet hymne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">stava</i>), l’état du Soi intégral (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva-âtma-tva</i>)
a été ainsi expliqué (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sphutî KRi</i>); en
l’écoutant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shravana</i>), en
réfléchissant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manana</i>) à sa
signification (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">artha</i>, le but), en le
méditant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhyâna</i>) et en le récitant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samkîrtana</i>), [alors] s’accompliront (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">AS</i>) le royaume (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îshvaratva</i>) et la suprême splendeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vibhûti</i>) de cet état de Soi intégral (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-âtma-tva</i>); ainsi sera réalisé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SIDH</i>), à nouveau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">punar</i>),
le pouvoir prodigieux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îshvarya</i>),
sans obstacle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vyâhata</i>), qui se
présente (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pari-NAM</i>) sous huit formes
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ashta-dhâ</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« L’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ajnâna</i>) est de deux sortes: 1- l’oubli du Soi, 2- les entraves à la
connaissance du Soi. Ce qui nous aide a pour but de supprimer les pensées. Ces
pensées ne sont que des re-manifestations, des prédispositions demeurées à
l’état de germes; elles donnent naissance à la diversité d’où proviennent tous
les troubles. Ces aides sont: écouter l’enseignement de la Vérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shravana</i>), etc. [sous-entendus, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">manana</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nidhidhyâsana</i>] Les effets de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shravana</i>
peuvent être immédiats et le disciple réalise alors la Vérité d’un seul coup.
Ceci n’arrive qu’aux disciples déjà très avancés. Autrement, le disciple sent
qu’il est incapable de réaliser la Vérité, même quand il l’a entendue
constamment répéter. A quoi est-ce dû ? Les impuretés, qui polluent son mental:
l’ignorance, le doute et la fausse identification, sont les obstacles à
renverser:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">a/ Pour dissiper complètement l’ignorance, le disciple
doit entendre constamment la Vérité jusqu’à ce que la connaissance de celle-ci
devienne parfaite.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">b/ Pour dissiper ses doutes, il doit réfléchir sur ce
qu’il a entendu. Finalement sa connaissance sera débarrassée de toute
incertitude.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">c/ Pour dissiper les fausses identifications du Soi
avec le non-Soi (telles que le corps, les sens, le mental ou l’intellect), son
mental doit être totalement concentré.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Lorsque ces degrés ont été atteints, les obstacles
sont dépassés et le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâdhi</i> se
réalise, autrement dit, la Paix règne (...) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shravana</i>
dissipe l’illusion que le Soi se confond avec le corps, etc. La réflexion [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manana</i>] donne la certitude que la Connaissance
est le Soi. La concentration [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nidhidhyâsana</i>]
révèle le Soi comme étant Infinitude et Félicité ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 204.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;">Upadesha-sâram</span></b></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana Maharshi a composé en tamoul plusieurs traités
doctrinaux aussi bien en prose qu’en vers. Parmi ceux-ci un seul a été traduit
en sanscrit par le Maharshi lui-même. Il s’agit du traité intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upadesha-undiyâr</i>, en tamoul et en
sanscrit <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upadesha-sâram</i>, « La
quintessence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâram</i>) de
l’enseignement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upadesha</i>) ».
Suivons maintenant ce texte dans une première traduction française faite
directement à partir de la version sanscrite:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">1</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Est-ce que l’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>) est identique au [Principe] Suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">param</i>) ? Non, l’action n’est pas un principe en elle-même, en ce
sens elle est inerte (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jada</i>). Si
l’action porte des fruits (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">phala</i>),
c’est uniquement à l’autorité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">â-JNâ</i>)
du Principe de la manifestation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kartâ</i>)
qu’elle le doit ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La Maharshi nous dit également:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« L’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>)
porte ses fruits (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">phala</i>). L’un et
l’autre sont comme cause et l’effet. Cette relation d’une cause et de ses
effets est due à la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti,</i> que l’on
nomme Dieu. Dieu est le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Phaladâtâ</i> (
le Dispensateur des fruits) ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 248.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette première strophe, ainsi que les suivantes font
aussi écho à la troisième strophe de L’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma-bodha</i>
de Shankara:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« N’étant pas opposé à l’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vidyâ</i>), l’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>) ne la détruit pas; par contre, la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidyâ</i>) détruit l’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vidyâ</i>) aussi sûrement que la lumière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tejas</i>) dissipe les ténèbres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">timira</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">En réponse à une question concernant, dans cette
strophe, le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jada</i> (inerte) qui
se distingue résolument de la notion de conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>), Râmana répondit:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« L’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upadesha</i>
(l’instruction) se rend au niveau de celui qui l’écoute. Il n’y a pas de Vérité
dans l’inerte (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jada</i>). Seule prévaut
la Conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>) qui est
unique ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 415.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">2</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Les fruits (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">phala</i>) [de l’action] sont transitoires (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ashâshvata</i>); ils sont à l’origine (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârana</i>) [,en l’attisant,] de cette chute (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">patana</i>) dans le grand (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>)
océan (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">udadhi</i>) des actes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kriti</i>) qui détourne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirodhaka</i>) de la voie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">gati</i>) [menant à la Réalisation] ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« La difficulté actuelle est que l’homme
s’imagine être l’auteur de ses actes. Mais, c’est une erreur. C’est le
Puissance supérieure qui fait toute chose et l’homme n’est qu’un instrument.
S’il accepte cette position, il se libère de tous ses troubles; sinon il les
favorise. Prenez l’exemple d’une image sculptée sur un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">gopura</i> [tour à l’entrée d’un temple], et qui donne l’impression de
porter le poids de la tour sur ses épaules. Son attitude, son regard donnent le
sentiment d’un effort considérable. Mais réfléchissez. La tour est bâtie sur la
terre et elle repose sur ses propres fondations. Le personnage sculpté (tel
Atlas portant la Terre) fait partie de la tour, mais il a été figuré de telle
façon qu’il semble la soutenir; N’est-ce pas amusant ? il en va de même pour
l’homme qui garde le sentiment d’être l’auteur de ses actes ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 69.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">3</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Les actes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">krita</i>) accomplis avec détachement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">na-icchayâ</i>) et dédiés à l’Etre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îshvara</i>,
Dieu) purifient la pensée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitta</i>) et
mènent à la Délivrance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mukti</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Karma</i>
(l’acte) désintéressé purifie le mental et aide à le maintenir en
méditation ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 83.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">4</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « L’hommage rituel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûjana</i>), la répétition de mots sacrés (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i>), la réflexion méditative (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chintana</i>)
répondent respectivement au corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâya</i>),
à la parole (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâch</i>) et au mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>); et<span style="margin: 0px;"> </span>dans cet ordre acquièrent une importance
croissante (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">uttama</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ecoutons le Maharshi:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i>
mental est excellent. Il favorise la méditation. Votre mental s’identifie à ce
que vous répéter et vous comprenez alors en quoi consiste réellement le rite (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûjâ</i>): La disparition de la notion
d’individualité est le but du rite ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 39.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« La <i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûjâ</i>
journalière, telle qu’elle est prescrite dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dharma-Shâstras</i>, est toujours une bonne chose. Elle produit en
effet une purification du mental. Même si l’on se sent trop avancé
spirituellement pour avoir recours à une telle <i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûjâ</i>, elle doit être accomplie néanmoins pour assurer la
purification des autres personnes de son entourage. Elle constitue un excellent
exemple à donner à ses enfants et autres membres de sa famille ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 522.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« La prononciation, puis le souvenir et enfin la
méditation sont les trois phases successives qui aboutissent finalement au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i> involontaire et éternel. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa-kartri</i> (celui qui fait le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i>) qui pratique ce <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i>, c’est le Soi ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 77.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i>
est de deux sortes: grossier et subtil. La répétition subtile des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mantras</i> est une méditation sur les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mantras</i>. Elle contribue à donner de la
force au mental ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p.
194.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Vous répétez toujours le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mantra</i> automatiquement. Si vous n’êtes pas conscient de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-japa</i> (le chant indicible, [le
Silence]) qui s’accomplit éternellement il vous faut alors pratiquer le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa.</i> Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i> nécessite un effort. Cet effort est nécessaire pour vous dégager
de toutes les autres pensées. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i>
devient par la suite mental et intérieur. Finalement vous réaliserez l’éternel
nature de cet <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ajapa</i>. Vous découvrirez
qu’il se déroule tout seul sans exiger de vous le moindre effort. L’état sans
effort est l’état de réalisation ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 272.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">5</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Honorer (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yukta-sevana</i>)
le monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>) comme une
manifestation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhî</i>, pensée) de l’Etre
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îsha</i>, Dieu), c’est honorer (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûjana</i>) le Divin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deva</i>) qui use de ses huit formes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ashta-mûrti</i>) pour se manifester (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhrit, BHRi</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ces huit<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </b>formes
sont, comme nous l’avons vu dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Hymne
à Dakshinâmûrti</i> composé par Shankara: les cinq éléments, le Soleil, la Lune
et l’esprit.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Au commencement de sa pièce intitulée <i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhijnâna-shâkuntala</i>, Kâlidâsa fait
adresser cette prière:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Puisse le Seigneur Shiva vous protéger par les
huit formes où il se révèle: l’eau, qui fut la première chose créée; le feu,
qui porte l’offrande rituelle, le prêtre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hotri</i>),
qui officie; le soleil et la lune, les deux qui ponctuent le temps; l’éther qui
, véhicule du son, occupe l’univers après l’avoir empli; la terre, qui porte
les germes; l’air, le souffle de la vie. »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">6</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Le chant de louange (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">stava</i>) à voix basse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manda</i>)
est supérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">uttama</i>) à celui
prononcé à voix haute (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">uchcha</i>), mais
bien supérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">uttama</i>) encore est la
récitation des mots sacrés (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i>) nés
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ja</i>) de la pensée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitta</i>) dans une [silencieuse]
méditation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhyâna</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana nous explique ainsi:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i>
oral n’est qu’un ensemble de sons. Les sons émergent des pensées. On doit
penser pour pouvoir exprimer les pensées en mots. Les pensées constituent le
mental. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i> mental est supérieur
au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i> oral (...) Quand le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i> devient mental, pourquoi recourir à
son expression orale ? Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa,</i>
devenant mental, devient contemplation. Contemplation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhyâna</i>) et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i> mental
sont identiques. Quand les pensées cessent de s’entremêler et qu’une seule
pensée demeure, à l’exclusion de toutes les autres, on considère qu’il s’agit
alors de contemplation. L’objet du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i>,
ou de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhyâna</i>, est d’exclure toutes
les pensées sauf une et de se concentrer sur cette unique pensée. Jusqu’au
moment où cette pensée finit elle-même par se noyer en sa propre source, la
conscience absolue, c’est-à-dire le Soi. Le mental s’engage dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">japa</i> et finit par se noyer dans sa
propre source ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p.
296.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">7</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Comme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sama</i>)
un flot (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhârâ</i>) [continu]de beurre
fondu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âjya</i>) ou le courant [continu]
d’un fleuve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">srotas</i>), la réflexion
méditative (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chintana</i>) ininterrompue (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarala</i>) est supérieure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">param</i>) à celle qui est entrecoupée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">virala</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana précisera:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« La méditation doit être continue comme un cours
d’eau. Si elle est ininterrompue, on l’appelle <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâdhi</i> ou <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kundalinî shakti</i> ».
[<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 439.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">8</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « La
compréhension (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâvanâ, </i>conception)
qui prend forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bheda</i>) lors de
l’énoncé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">iti</i>): « Je suis Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">so’ham, sah-aham</i>) » est plus
purifiante (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pâvanî</i>) si cette
compréhension (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâvanâ</i>) aboutit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">matâ</i>) à une non-distinction (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-bhidâ</i>) [entre « Je » et
« Cela »] ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Rappelons, à nouveau, ce que
Râmana nous explique:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Les trois formules
sont: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">na-aham</i> [pas-Je]; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">koham</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kah-aham</i>) [Qui-Je]; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">soham</i>
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah-aham</i>) [Il-Je]. Rejeter tous les
préfixes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">na</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kah</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah</i>) et
maintenez-vous dans le commun dénominateur, c’est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>, c’est le « Je », voilà l’essentiel ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 418.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">9</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Demeurer heureux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">susthiti</i>) en l’Etre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>),
vide (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shûnya</i>) [libre de toutes
pensées], par la puissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bala</i>) de
la compréhension (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâvanâ</i>); telle est
la suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">uttama</i>) dévotion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana précise:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Les termes <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shûnya</i>
(le vide ou vacuité), <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ati-shûnya</i>
(l’au-delà du vide) et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-shûnya</i>
(le vide immense) désignent la même chose, à savoir l’Etre réel
seulement ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 300.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">10</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Fixer (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthala</i>)
le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>) dans le Coeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hrid</i>) est l’aboutissement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kriyâ</i>) par excellence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svasthatâ</i>), en toute certitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nish</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">CHI</i>),
de la dévotion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti</i>), de l’union (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yoga</i>) et de la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bodha</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Râmana nous fait comprendre que les voies de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti</i>, de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yoga</i> et de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i> tendent
vers le même but qui est l’identification dans le Coeur spirituel.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On demanda au Maharshi de désigner le meilleur des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yogas</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">hatha</i>). Il répondit:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Lisez le verset 10 de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upadesha</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâram</i>. Etre
établi dans le Soi, équivaut à tous ces <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yogas</i>
dans leur sens le plus élevé. Dans le sommeil sans rêves, il n’y a plus ni
monde, ni ego, ni souffrance. Seul le Soi subsiste. Dans l’état de veille, il y
a le monde, l’ego et la souffrance; mais le Soi est aussi présent. Il suffit
seulement de se débarrasser des états transitoires, pour réaliser la félicité
toujours présente du Soi. Votre nature est Félicité. Découvrez cela sur quoi
tout le reste s’est surimposé et vous resterez comme le pur Soi ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 156.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">A un visiteur, ayant lu l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upadesha sâram</i> en sanscrit et ne parvenant pas à pacifier son
mental, Râmana citera cette strophe 10 en concluant: « C’est toute la
vérité en une seule phrase ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 184.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">11</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>) peut être contenu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lî,
</i>entraver) [et contrôlé] par la rétention (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rodhana</i>) [régulée] du souffle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâyu</i>),
comme un oiseau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pakshi</i>) peut être
arrêté par un filet. Cette pratique (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâdhana</i>)
est le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">rodha-sâdhana</i> ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette pratique est celle de la rétention (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rodha</i>) du mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>).</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le contrôle de la respiration agit comme une
aide, mais ne peut jamais de lui-même vous conduire au but. Pendant que vous
l’effectuez mécaniquement, gardez toujours le mental en alerte, souvenez-vous
de la pensée-« Je » et recherchez-en la source. Vous vous apercevrez
alors que là où la respiration s’évanouit, émerge la pensée-« Je ».
Ils émergent et disparaissent ensemble. Lorsque la pensée-« Je » aura
totalement disparu avec la respiration. Alors, simultanément, un lumineux et
infini « Je-Je » se manifestera de façon continu et ininterrompu.
Voilà le but ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 313.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Citons également cette réponse:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le mental est quelque chose de mystérieux. Il
se compose de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sattva</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">rajas</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tamas</i>. Les deux derniers donnent naissance à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vikshepa</i> [ce qui se manifeste]. Dans son aspect de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sattva</i>, le mental reste pur, non
contaminé. Il ne donne asile à aucune pensée, il est identique au Soi. Le
mental est comparable à l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âkâsha</i>
(l’éther). De même qu’il y a des objets dans l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âkâsha</i>, il y a des pensées dans le mental. L’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âkâsha</i> est la contrepartie du mental et les objets sont la
contrepartie des pensées. Il est inutile d’espérer mesurer l’univers et étudier
les divers phénomènes. C’est impossible. Car les objets ne sont que des
créations mentales. Vouloir les mesurer est comparable à la tentative de celui
qui met le pied sur sa propre ombre pour la bloquer. Plus il avance, et plus
l’ombre recule devant lui. il est donc impossible d’immobiliser son ombre en
lui mettant le pied dessus (...) Quand un enfant voit son ombre et cherche à
attraper l’ombre de sa tête. Plus il se penche et tend la main, plus l’ombre
s’éloigne. L’enfant lutte de plus en plus. Sa mère prend pitié de ses efforts
inutiles. Aussi prend-elle la main de son enfant, la lui met sur la tête en lui
faisant observer à terre l’ombre de sa main tenant l’ombre de sa tête. Il en va
de même pour l’ignorant qui cherche à étudier l’univers. L’univers est
uniquement un objet crée par le mental et qui a son être dans le mental. Il ne
peut être mesurer comme une entité extérieure. Pour atteindre l’univers, il
faut au préalable atteindre le Soi. De nombreuses personnes me demandent
comment contrôler leur mental. Je leur réponds: « Montrez-moi d’abord
votre mental; vous saurez alors ce qu’il faut faire. » Le fait est que le
mental n’est qu’un agglomérat de pensées. Comment voulez-vous le supprimer par
la simple pensée ou par le désir de vouloir le faire ? Vos pensées et vos
désirs sont des parties et des parcelles du mental Le mental s’accroît
simplement par l’émergence de nouvelles pensées. Par conséquent, il est stupide
de vouloir tuer le mental au moyen du mental. La seule manière de s’y prendre
consiste à trouver sa source et à s’y agripper. Le mental disparaîtra alors de
lui-même. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yoga</i> enseigne le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitta-vritti-nirodha</i> (contrôle des
activités du mental). Mais je vous indique l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vichâra</i>
(l’investigation du Soi). C’est la voie pratique. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chitta-vritti-nirodha</i> se produit dans le sommeil, la syncope ou par
inanition. Dès que la cause est supprimée, les pensées affluent de nouveau en
grand nombre. A quoi sert-il donc [le contrôle mental] ? Dans cet état de
torpeur, il y a la paix et pas de souffrance. Mais dès que l’engourdissement a
passé, la souffrance revient. Par conséquent <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirodha</i> (le contrôle) est sans [réel] utilité et ne peut produire
un bénéfice durable. Comment s’y prendre alors pour que le bénéfice soit
durable ? Il suffit de trouver la cause de la souffrance. La souffrance est due
aux objets. S’ils ne sont plus là, il n’y aura plus de pensées contingentes et
la souffrance disparaîtra. « Comment faire pour que les objets cessent
d’être ? » Telle doit être la question suivante. La <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shruti</i> et les sages répètent que les objets ne sont que des
créations mentales. Ils n’ont pas d’existence indépendante. Livrez-vous à une
étude approfondie de la question et vous vous rendrez compte de la véracité de
cet exposé. Le résultat auquel vous aboutirez sera que le monde objectif réside
dans la conscience subjective. Par conséquent, le Soi est l’unique Réalité qui
pénètre et aussi qui enveloppe la manifestation. Et comme il n’y a pas de
dualité [dans le Soi], nulle pensée ne viendra troubler votre paix. Voilà ce
qu’est la réalisation du Soi. Le Soi est éternel. Il en va de même de la
Réalisation ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, pp.
462-464.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">12</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « La pensée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitta</i>) et le souffle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâyu</i>),
liés (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yukta</i>) à la conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>) et à l’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kriyâ</i>) sont les deux rameaux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shakhâ</i>) d’une racine (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mûla</i>) commune (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dvayî</i>), la « toute-puissance », la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shakti</i> ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Cette Paix est votre Réelle nature. Toutes les
idées contraires sont des surimpositions. Elle est la vraie <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti</i> [dévotion], le vrai <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yoga</i> et le vrai <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i> [connaissance]. Vous pouvez prétendre que cette paix est
acquise par la pratique [d’une discipline spirituelle]. Les fausses notions
sont éliminées par la pratique. Mais c’est tout ce que vous pouvez dire. Car
votre vraie nature est éternellement présente (...) Le Coeur est le Soi. Il
n’est ni intérieur ni extérieur. Le mental est Sa <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shakti</i>. Dès que le mental émerge, l’univers fait son apparition et
le corps semble y être inclus. Mais en vérité, tous ces aspects [mental,
univers, corps] sont intégrés dans le Soi et n’ont pas d’existence autre que le
Soi ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 256.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ecoutons toujours le Maharshi qui nous parle de cette
notion de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shakti</i> au travers de celles
de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâyâ</i> et de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">svatantra</i>:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Les Védântins disent que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> est la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti</i> de
l’illusion dont les prémisses se trouvent en Shiva. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> n’a pas d’existence indépendante. Ayant engendré l’illusion
d’un monde en le présentant comme réel, elle continue à jouer sur l’ignorance
de ses victimes. Quand la réalité de sa « non-existence » est
découverte, elle disparaît. « Ceux qui la reconnaissent » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyabhijnâ</i>, reconnaissance] disent que
la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti</i> (la puissance) et Shiva
coexistent indissolublement. Ils ne peuvent exister l’un sans l’autre. Shiva
demeure non manifesté tandis que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti</i>
se manifeste en vertu de son indépendante volonté (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svatantra</i>). La manifestation de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti</i>
est donc la projection du Cosmos sur la pure conscience, telles les images
reflétées dans un miroir. Ces images ne peuvent subsister en l’absence du
miroir. De même le monde n’a aucune réalité indépendante. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Svatantra</i> n’est finalement qu’un simple attribut du Suprême. Shrî
Shankara affirme que l’Absolu est dépourvu d’attributs et que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> est ce « qui n’est pas »,
et n’a aucune existence réelle. Quelle différence existe-t-il entre les deux
[points de vue: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Svatantra</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>] ? Les deux sont d’accord pour
conclure que la manifestation est irréelle. De même que les images d’un miroir
ne peuvent en aucun cas être réelles, ainsi le monde n’existe pas en réalité ([<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vastu</i>, réalité]; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vastutah</i>, en réalité). Les deux écoles enseignent donc la même
choses. Leur but ultime est la Conscience Absolue. L’irréalité du cosmos est
implicite dans [l’Ecole de] la Reconnaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyabhijnâ</i>), alors qu’elle est explicite dans [l’Ecole du]
Védânta. Si l’on considère le monde comme étant <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i> (la conscience), alors il est toujours réel. Le Védânta
affirme que la diversité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nânâ-tva</i>)
n’existe pas, et que tout participe de la même Réalité. Tout le monde est donc
d’accord sur le fond de la question, seuls les termes et modes d’expression
diffèrent ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p.247.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">13</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « L’absorption (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">laya</i>) et la destruction (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nâsha</i>)
sont les deux moyens de rétention (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rodhana</i>),
[de contrôler le mental]; quand il ,[le mental], est simplement absorber (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">laya</i>), il émerge de nouveau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">punar</i>), mais pas quand il est détruit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mrita</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Le Maharshi commente ainsi:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le mental peut être à l’état latent et plonger
dans le Soi; il doit nécessairement émerger à nouveau. Quand il émerge, on se
retrouve alors identique à ce que l’on était avant. Car dans cet état les
prédispositions mentales sont présentes sous forme latentes, prêtes à se
remanifester si les conditions sont favorables. Les activités mentales peuvent
aussi être détruites complètement. Il y donc une différence avec le mental
précédent car, dans ce deuxième cas, l’attachement est rompue et ne réapparaît
plus; Lorsqu’un homme a traversé l’état de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâdhi</i>
et qu’il contemple ensuite le monde, il ne considère celui-ci qu’à sa juste
valeur, c’est-à-dire comme un phénomène [manifestation] de l’Unique Réalité.
L’Etre Véritable ne peut être réalisé qu’en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâdhi</i>;
Ce qui était alors, est également maintenant. Sinon, il ne peut y avoir de
Réalité ni d’Etre éternellement présent. Ce qui était durant le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâdhi</i> est toujours présent, en tout
lieu et de tout temps. La pratique du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâdhi</i>
vous y conduira. Sinon à quoi servirait donc l’état de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirvikalpa samâdhi</i> dans lequel l’homme reste immobile comme peut
l’être une bûche en bois ? Il doit nécessairement sortir de cet état à un
moment ou à un autre et faire face au monde. Mais, dans l’état de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sahaja-samâdhi</i>, il reste inaffecté par
le monde. Il y a tant d’images qui défilent sur un écran de cinéma; Le feu
brûle toutes choses, l’eau ravage tout, et cependant l’écran reste impassible.
Les situations représentées ne sont que des manifestations qui passent en
laissant l’écran intact. Il en est de même pour le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i>. Les manifestations du monde défilent devant lui et le
laissent parfaitement inaffecté. Vous pouvez certes soutenir que les gens
ressentent de la douleur ou du plaisir au contact des manifestations du monde.
Cela est dû à des surimpositions. Cela ne devrait pas avoir lieu. C’est avec ce
but en vue qu’il convient de se livrer à la pratique spirituelle. Celle-ci s’effectue
en suivant l’une ou l’autre des deux voies: la dévotion ou la connaissance; A
vrai dire, ces deux voies ne sont pas le but véritable [la voie n’est pas le
but, mais ce qui y mène]; Il faut avant tout obtenir le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâdhi</i> et le pratiquer continuellement jusqu’à l’obtention du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sahaja samâdhi</i>. Après, il ne reste plus
rien à faire ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 439.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Dans le sommeil profond, le mental est immergé,
mais il n’est pas détruit. Ce qui est immergé, tôt ou tard, émerge. Il en est
de même pour la méditation. Mais le mental qui est détruit ne peut plus
réapparaître. Le but du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yogî</i> doit
donc être de détruire le mental et non pas de plonger en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">laya</i>. Dans la paix de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhyâna</i>,
le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">laya</i> se produit mais cela n’est
pas suffisant. Il faut aussi avoir recours à des pratiques complémentaires pour
détruire le mental. Ainsi certaines personnes qui sont entrées en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâdhi</i> avec une pensée quelconque,
lorsqu’elles sont revenues à elles longtemps après, ont retrouvé cette même
pensée ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 79.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">14</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Quand le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>) a été entravé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">lîna,
Lî</i>) par la rétention (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bandhana</i>)
du souffle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâna</i>), il peut être
détruit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nâsha</i>) par la réflexion
méditative (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chintana</i>) en l’Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>) qui réalise cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adas</i>), [le Soi] ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le désir du bonheur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukha prema</i>, [l’amour de la félicité]) est la meilleure preuve du
bonheur éternel du Soi. Autrement, comment voulez-vous que ce désir puisse
s’éveiller en vous ? Si le mal de tête était naturel à l’homme, ce dernier
n’essaierait pas d’y échapper. Or tout homme qui a mal à la tête cherche à s’en
défaire, parce qu’il a connu des moments où il n’avait pas mal à la tête.
L’homme ne désire que ce qui est naturel pour lui. Aussi désire-t-il le
bonheur, parce que le bonheur est naturel pour lui. Ce qui est naturel n’a pas
à être conquis [puisque cela est de toute éternité]. Par conséquent, les
efforts de l’homme ne peuvent viser qu’à se débarrasser de sa misère. S’il y
parvient, il connaîtra aussitôt la félicité éternelle. La félicité primordiale
est obscurcie par le non-Soi, synonyme de non-félicité, de malheur. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Duhkha nâsha</i> = <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukha</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâpti</i> (la
suppression de la douleur = l’obtention de la félicité). Le bonheur mélangé au
malheur n’est que malheur. C’est quand le malheur est complètement éliminé que
l’on peut dire que la félicité éternelle est obtenue ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 583.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">15</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Le suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">utkrishta</i>) Yogî dont le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>)
est détruit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nashta</i>), Qu’a-t-il
[encore] à faire (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kritya</i>), et Qui
demeure en sa propre nature (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-sthiti</i>)
? ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La réponse devrait être évidente. Sa propre nature
étant le Soi, il n’a plus rien à faire au sens où il est alors totalement
détaché des actes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>).</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i>
demeure pleinement conscient que l’état véritable de l’Etre consiste à rester
fixe et immobile au centre de toutes les actions qui se déploient autour de
lui. La nature du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i> ne change pas
et son état n’est pas altéré le moins du monde. Il regarde toutes choses comme
si elles ne le concernaient pas et il demeure en lui-même dans une parfaite
félicité. L’état du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i> est l’état
de vérité, et également l’état d’être naturel et primordial. Lorsque l’homme y
parvient, il doit s’y fixer fermement. Une fois fixé, il le sera pour toujours.
(...) Il n’y a aucune différence entre un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i>
et un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-jnânî</i> en ce qui concerne leur
conduite. La seule différence concerne uniquement leur point de vue. L’ignorant
s’identifie à son ego et prend par erreur ses activités pour celles du Soi,
tandis que l’ego du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i> a été
abandonné. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i> ne s’y limite
plus, ni à aucune autre chose ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 560.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">16</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Si la pensée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitta</i>) est détournée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vârita</i>)
des objets perçus (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">drishya</i>) [par les
sens] pour être focalisée sur la contemplation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>, vision) consciente (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit-tva</i>)
du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>), alors s’établit la
contemplation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>) de la
Réalité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tattva</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Un être séparé [illusoirement du Soi] s’imagine
connaître quelque chose qui est distinct de lui-même (le non-Soi). Autrement
dit, le sujet est conscient de l’objet. Le spectateur [sujet], c’est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">drik</i>, le spectacle [objet], c’est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">drishya</i>. Entre ces deux aspects doit
exister un point commun qui émerge en tant qu’« l’ego ». Cet ego est
de même nature que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i> (l’intelligence).
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">A-chit</i> (l’objet inanimé) n’est que la
négation de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>. Par conséquent,
l’essence sous-jacente [existant entre sujet et objet] est analogue au sujet,
mais différente de l’objet. En recherchant le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">drik</i>, jusqu’à ce que tous les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">drishyas</i>
disparaissent complètement, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">drik</i>
deviendra de plus en plus subtil jusqu’à ce que ne survive que le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">drik</i> absolu. Ce processus est appelée <i style="mso-bidi-font-style: normal;">drishya vilaya</i> (la disparition du monde
objectif) (...) L’élimination de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">drishya</i>
signifie l’élimination des identités séparées du sujet et de l’objet
[élimination de la séparativité). L’objet est irréel [relatif]. Tout <i style="mso-bidi-font-style: normal;">drishya</i>, y compris l’ego, constitue
l’objet. Lorsqu’on élimine l’irréel, la Réalité subsiste. Quand une corde est
prise par erreur pour un serpent, il suffit de détruire la fausse perception du
serpent pour que la vérité se révèle. Sans une telle élimination, la vérité
n’apparaît pas ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p.
23.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On se remémorera cette strophe (27) de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bodha</i>
de Shankara:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Prenant à tort <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîva</i> pour le Soi, l’homme est effrayé, comme une personne qui, par
erreur, prend une corde pour un serpent. Mais il est tout à fait libéré de la
peur s’il se connaît non en tant que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîva</i>
mais en tant que le suprême Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">parâtmâ</i>). »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">17</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Si l’on se place sur la voie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mârga</i>) qu’il faut suivre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">krita</i>) en demandant : « Qu’est-ce
que le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>) ? Alors on doit
se dire : « Le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>)
n’est pas (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">na</i>) ». Ceci est la
voie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mârga</i>) directe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ârjava</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">A un interlocuteur qui constatait que le mental
pouvait être comparé à un agglomérat de pensées, Râmana répondit:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« C’est parce qu’il fonctionne à partir d’une
racine unique, la pensée-« Je » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 396.] Le Maharshi cite alors cette strophe (17) en sanscrit de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Upadesha sâram</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mânasam tu</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kim mârgane krite
naiva mânasam mârga ârjavât</i>) et précise:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le mental n’a aucune réelle existence en tant
qu’entité séparée ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p.
396.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette voie directe fait écho à la strophe 2 de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bodha</i>
de Shankara:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« De tous les moyens (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâdhana</i>) qui tendent vers la Délivrance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">moksha</i>), la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>)
est le seul qui soit direct (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâkshât</i>,
directement); aussi essentiel que le feu pour la cuisson; sans la connaissance,
la Délivrance ne peut être obtenue. »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">18</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Toutes les pensées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vritti</i>) sont liées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">â</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SHRI</i>) à une pensée première (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vrittaya</i>) qui est « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), or le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>) est cette pensée première (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vrittaya</i>); donc le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>) est cette idée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhî</i>) qui se connaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vid</i>) comme « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« La vraie connaissance est au-delà de la
connaissance relative et de l’ignorance. Elle ne revêt pas la forme de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vritti</i>. En elle il n’y a ni sujet ni
objet (...) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vritti</i> n’est qu’une
modalité mentale. Vous n’êtes pas le mental. Vous êtes bien au-delà ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 75.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vritti</i>
est d’une durée limitée; c’est la conscience qualifiée et dirigée; c’est la
Conscience absolue troublée par l’irruption des pensées, par les sens, etc. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vritti</i> est donc le mode fonctionnel du
mental; tandis que la Connaissance continuelle transcende le mental. Cette
dernière est l’état naturel et primordial du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnânî</i>, de l’être libéré. Elle constitue une expérience
ininterrompue. Elle s’impose dès que la conscience relative décline ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 267.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le mental n’est que le résultat de
l’identification du Soi au corps. C’est un faux ego qui est alors crée.
Celui-ci produit, à son tour, de faux phénomènes et semble se mouvoir parmi
eux. Tout cela est faux. Le Soi est la seule Réalité. Si cette fausse
identification est détruite, la persistance de la Réalité devient évidente.
Cela ne veut pas dire que la Réalité n’est pas déjà ici, et dès maintenant.
Elle est toujours présente et éternellement la même. Elle existe dans
l’expérience de chacun de nous. Chacun sait en effet qu’il existe. « Qui
est-il ? » Subjectivement, « Qui suis-Je ? » Le faux ego est
associé à des objets; cet ego étant lui-même son propre objet. C’est
l’objectivation qui est une erreur. Le sujet seul est la Réalité. Ne vous
confondez pas avec l’objet, nommément le corps. Cette méprise donne d’abord
naissance à votre faux ego, puis au monde et à vos déplacements dans ce monde,
avec leur cortège de souffrance. Ne vous pensez pas vous-même comme étant ceci,
cela, ou autre chose; ni comme étant comme ceci ou comme cela, ou comme tel ou
tel. Débarrassez-vous seulement de l’erreur. La Réalité se révélera d’elle-même ».
[<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 51.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">19</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Si l’on se demande: « D’où ce (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ayam</i>) « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) émerge ? » Cette recherche (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ChI</i>) interrogative (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ayi</i>) aboutit à ce que le « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) disparaisse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">PAT</i>).
Telle est l’investigation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vichâra</i>)
de ce qui a toujours été (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ni-ja</i>),
[l’investigation du Soi] ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Le Maharshi emploie un synonyme significatif pour
désigner l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vichâra</i>. Si l’on croit avoir trouvé ce qu’est ce « Je »,
alors il faut de nouveau s’interroger sur cette découverte en se posant à
nouveau la question. L’intégration qui résultera de ce questionnement indéfini aboutira,
si l’on est qualifié, au « passage à la limite » qui est la
réalisation du Soi. Cette réalisation n’a jamais cessé d’être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ni-ja</i>) car elle n’est pas la réponse à
cette interrogation. Ce n’est pas une réponse de plus, ni une ultime réponse
mais ce qui est au-delà de la question et de la non-question, comme de la
réponse et de la non-réponse. La « limite » est toujours présente
puisqu’elle n’appartient pas au devenir.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Vous vous identifiez actuellement avec un faux
« Je » qui est la pensée-« Je ». Cette
pensée-« Je » émerge et disparaît, alors que la vraie signification
du « Je » est au-delà de cette alternance. Il ne peut y avoir dans
votre être aucune discontinuité. C’est vous qui dormiez et c’est aussi vous qui
êtes actuellement éveillé. Il n’y avait aucune souffrance durant votre sommeil
profond. Alors qu’en ce moment vous vous sentez malheureux. Qu’est-il donc
arrivé, pour que vous ressentiez cette différence ? Il n’y avait pas de
pensée-« Je » dans votre sommeil, alors qu’en ce moment elle est
présente. Votre vrai « Je » ne se montre pas et c’est le faux
« Je » qui s’exhibe. C’est ce faux « Je » qui fait obstacle
à votre vraie connaissance. Cherchez d’où ce faux « Je » émerge et
vous le verrez disparaître. Et vous constaterez que vous n’êtes rien d’autre
que ce que vous êtes, c’est-à-dire l’Etre absolu ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 184.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">20</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « D’où le « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) émerge (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâj</i>) et s’évanouit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nâsha</i>);
de là , par ce « Je-Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham-aham</i>),
brille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SPHUR</i>) spontanément (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svayam</i>) le Coeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hrit</i>), l’Etre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>)
Suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">parama</i>) Infini (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûrna</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans cette strophe, le Maharshi use de cette
terminologie qui est propre à son enseignement en forgeant deux substantifs à
partir du pronom personnel au nominatif <i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>.
Le premier a déjà été utilisé dans certaines strophes précédentes sans que l’on
puisse explicitement distinguer le pronom du substantif puisqu’il est employé
au nominatif dans les deux cas sous la forme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>. Par contre, dans cette strophe il se distingue comme substantif
en étant décliné au locatif <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ahami</i>. Le
second très caractéristique, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ahamaham</i>
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham-aham</i>) est une véritable
« équation » ontologique dont l’ultime solution est métaphysique, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirguna Brahma</i>.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">21</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Cela [« Je-Je », l’Infini] est le
sens (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pada</i>) véritable du
« Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) puisque le
« Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) émerge (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anu</i>, est à nouveau) [au réveil] et
disparaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">lîna, Lî</i>) [dans le sommeil
profond] alors que la Réalité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sattâ</i>)
est permanente (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-laya</i>,
indissoluble) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Celui qui dormait est maintenant éveillé. Le
bonheur régnait alors mais le malheur est survenu au réveil. Il n’y avait pas
de pensée-« Je » durant le sommeil alors qu’elle existe maintenant
que vous êtes éveillé. L’état de bonheur et l’absence de la
pensée-« Je » font naturellement partie du sommeil, sans effort. Le
but devrait être de réaliser ce même état même maintenant. Ceci requiert des
efforts. Efforcez-vous d’obtenir [les caractéristiques de] l’état de sommeil
durant votre veille. Vous serez alors « réalisé ». L’effort consiste
à anéantir la pensée-« Je » et non pas à faire entrer le vrai
« Je ». Car ce dernier est éternel et n’exige aucun effort de votre
part ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 185.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">22</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Le « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), l’ Etre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>) Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>), n’est ni le corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vigraha</i>), ni les facultés de sensation
et d’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indriya</i>), ni le souffle
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâna</i>), ni la pensée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhî</i>), ni l’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tamas</i>) qui sont tous inertes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jada</i>) et irréels (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-sat</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« [Tout est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>.]
Mais tant que vous considérez les pensées comme étant séparées [du Tout], il
est préférable de les éviter. Si en revanche vous découvrez qu’elles sont le
Soi, il n’y a plus aucun besoin de dire « Toutes ». Car tout ce que
existe, est seulement <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>. Il n’y
a rien d’autre que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> (...) Quand
vous voyez les objets dans la perspective de la multiplicité, ils sont <i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-sat</i>, c’est-à-dire irréels. Mais quand
vous les voyez comme étant en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>,
alors ils sont réels, parce qu’ils tirent leur réalité de leur substrat qui est
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> (...) [Dire que le corps, les
sens, etc. sont <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jada</i> (inertes)], cela
revient au même que de dire, (...), que le corps, les sens, le mental, etc.
sont séparés du Soi. Mais quand on réalise le Soi, on découvre alors que le
corps, les sens, le mental, etc. ne sont pas distincts du Soi, mais sont en
Lui. A ce stade de compréhension, personne ne pose plus la question ni n’a plus
à dire qu’ils sont inertes ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 269.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sat-chit-ânanda</i>
est employé pour indiquer que le Suprême n’est pas <i style="mso-bidi-font-style: normal;">asat</i> (Il est différent de l’irréel) ni <i style="mso-bidi-font-style: normal;">achit</i> (Il est différent de l’inconscience) ni <i style="mso-bidi-font-style: normal;">anânanda</i> (Il est différent du malheur), c’est parce que nous sommes
dans le monde phénoménal que nous désignons le Soi comme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat-chit-ânanda</i> ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 402.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sat</i>
veut dire au-delà de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i> et de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-sat</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i> au-delà de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i> et
de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-chit</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ânanda</i> au-delà de la félicité et de la non-félicité. Qu’est-il
alors ? S’il n’est ni <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>, ni <i style="mso-bidi-font-style: normal;">asat</i>, on doit le considérer comme étant
seulement <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>. Comparons avec le
terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Jnâna</i> est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Et
cependant <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i> n’est pas l’ignorance
mais la connaissance. Il en va de même de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat-chit-ânanda</i> »
[<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 403.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">23</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Où y aurait-il une autre conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>) pour connaître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâs</i>, lumière) le Réel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sattva</i>) ? Le « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) est cette Réalité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sattâ</i>) et cette conscience accomplie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit-chitta</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Sattva</span></i><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;"> est, comme nous l’avons déjà vu, le troisième <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guna</i>. Celui qui est le plus<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>élevé.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">24</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Malgré la différence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhidâ</i>) d’attributs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vesha</i>)
et de conception (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhî</i>) entre la
divinité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îsha</i>, Dieu) et l’être
individuel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîva</i>), ils [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îsha</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîva</i>]
ne sont qu’une seule (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kevala</i>) Réalité
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vastu</i>), ils ne font qu’un seul (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-bhâvata</i>) Etre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Le composé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">îsha-jîva</i>
est décliné au duel ce qui implique qu’ils sont conçus comme deux réalités
totalement identiques.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">25</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Lorsque l’on se reconnaît sans (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hâna</i>, cessation) attributs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vesha</i>), on se voit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>) identique (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>)
au Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>); cette contemplation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>) de la divinité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îsha</i>) est alors la forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rûpa</i>) même (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>) du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Il convient de transposer les notions de vision (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana, </i>contemplation) et de forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rûpa</i>) qui ne sont employés ici que comme
symbole de ce qui justement ne peut ni se voir ni prendre forme.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">26</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « S’unir (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samsthiti</i>)
au Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>), c’est être dans la
contemplation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>) même (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>) du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>), il n’y a pas deux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-dvaya</i>)
Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>), on est identifié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nishtha</i>) au Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>)».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« La véritable méditation est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma-nishtha</i> (la concentration sur le
Soi). On appelle généralement méditation, l’effort requis pour chasser du
mental les pensées chaque fois que celles-ci s’y présentent. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmanishtha</i> est votre état naturel.
Restez donc tel que vous êtes. Voilà le but ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 256.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">27</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « La [vraie] conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>) dépasse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hîna</i>)
l’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-jnâna</i>) comme elle
dépasse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">varjita</i>) la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>) [même], car dans l’intériorité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antaram</i>) du connaître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâtum</i>) quelle connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>) y a-t-il encore [à rechercher]
? »</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette strophe fait écho à la strophe 5 de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bodha</i>
de Shankara:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîva</i>
est mêlé d’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ajnâna</i>). Par
les efforts (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhyâsa</i>) de compréhension
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>), le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîva</i> devient pure<span style="margin: 0px;"> </span>et la
connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>) disparaît [en
même temps que l’ignorance] comme la poudre de kataka (noix purifiante)
disparaît dans l’eau avec les impuretés ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">28</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Si la contemplation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>) du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>),
qui est la réponse à cette question: « Quelle est notre vraie nature (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-rûpa</i>) ? », est atteinte; alors
[cela] est Béatitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukham</i>), Infini
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âpûrna</i>), Conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>), Non-Né (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhava</i>), Immuable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vyaya</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">29</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « L’être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîva</i>),
ayant atteint (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">VID</i>) ici-même (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">iha</i>) la Béatitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukham</i>) suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">param</i>)
qui est au-delà (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">atîta</i>) des liens (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bandha</i>) comme des affranchissements (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mukti</i>), est alors identifié aux états
supra-individuels (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">daivika</i>, ce qui
est relatif aux <i style="mso-bidi-font-style: normal;">devas</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce qui est relatif aux <i style="mso-bidi-font-style: normal;">devas</i>, c’est ce qui transcende l’état humain et qui correspond
ainsi aux aspects supra-individuels de l’être.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">30</span></b><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Lorsque le « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) disparaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">apeta</i>) et qu’apparaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-BHâ</i>)
« Ce qui n’a jamais cessé d’être » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ni-ja</i>), alors est accomplie la grande (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>) ascèse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tapas</i>). Tel
est l’enseignement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâch</i>, parole) de
Ramana (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ramana</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">En conclusion, nous pouvons rapporter cette réponse
donnée à quelqu’un qui sollicitait un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">upadesha</i>:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« L’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upadesha</i>
[l’instruction même] est contenu dans l’[ouvrage] <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upadesha sâram</i> ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 314]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;">La Guirlande
des Noms de Bhagavân</span></b></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cent-huit noms attribués à Râmana Maharshi sont
chantés chaque jour durant la cérémonie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûjâ</i>)
faite sur sa tombe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâdhi</i>,
« union »). Ils ont été composés par Shrî Vishvanathan. Ces 108 noms
apportent un éclairage particulier sur la « personnalité » du
Maharshi, sur le symbolisme de son existence terrestre ainsi que sur la
dévotion dont il est le centre.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">1- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâsena
mahâmshena jâtah</i>, « Celui qui est né (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jâta</i>) de l’éclat (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-amsha</i>)
de Mahâsena ». <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mahâsena</i>, littéralement
« qui a une grande armée, grand général », est l’un des noms du plus
jeune fils de Shiva et de Pârvatî, aussi appelé Skanda.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">2- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shrî ramana</i>,
« Celui qui se réjouit en son propre Soi ». La racine <i style="mso-bidi-font-style: normal;">RAM</i> signifie « réjouir,
satisfaire », <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ramana</i> est
« ce qui réjouit », <i style="mso-bidi-font-style: normal;">râma</i>
signifie « charmant », Râma est le héros du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">râmâyana</i>. Venkatarâman était le nom que portait le Maharshi dans
son enfance. Râmana, ou Ramana en est un diminutif </span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">3- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guruh</i>,
« Celui qui révèle l’ultime Vérité ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">4- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">akhanda
samvidâkârah</i>, «Celui qui est l’expression (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âkâra</i>) de la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sam-vid</i>)
intégrale (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">akhanda</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">5- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahaujah</i>,
« Celui qui est d’une grande (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>)
force (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ojas</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">6- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâranodbhavah</i>,
« Celui qui est né (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">udbhava</i>)
pour un grande cause (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârana</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">7- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagadditavatârah</i>,
« Celui qui descend <i style="mso-bidi-font-style: normal;">(avatâra</i>)
parmi nous pour le bien du monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">8- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">srî
bhûminâthasthalotthitah</i>, « Celui qui est né (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">utthita</i>) en ce lieu sacré (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthala</i>)
où demeure Bhûminâtha ». Littéralement le protecteur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nâtha</i>) de la terre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhûmi</i>),
Bhûminâtha est un des noms de Shiva donné à Tiruchuzhi, lieu de naissance du
Maharshi.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">9- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">parâsharakulottamah</i>,
« Celui qui est le plus éminent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">uttama</i>)
membre de la lignée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kula</i>) de
Parâshara, (un des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rishis</i>) » On
attribue à ce <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rishi</i> (Celui qui
« voit ») la composition des hymnes 65 à 73 du premier <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mandala</i> du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rig-Veda</i>, ainsi que l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upapurâna</i>
et le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Parâsharadharmashâstra</i>.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">10- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sundarâyatapah
phalam</i>, « Celui qui est le fruit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">phala</i>)
de l’ascèse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tapas</i>) de
Sundaram ». Sundaram Aiyar est le nom du père de Râmana.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">11- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kamanîya
sucharitrah</i>, « Celui qui est d’une bonne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kamanîya</i>) et heureuse conduite (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sucharitra</i>) »
</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">12- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sahâyâmbâ
sahâyavân</i>, « Celui qui porte l’influence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sahâyavân</i>) de la Mère (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambâ</i>)
divine Sahâya ». Littéralement la compagne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sahâya</i>), Sahâya est un des noms de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti</i> à Tiruchuzhi.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">13- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shonâchalamaholînamânasah</i>,
« Celui dont le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>)
disparaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">lîna</i>) dans la lumière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ahar</i>) d’Arunâchala, la colline (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">achala</i>) rouge (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shona</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">14- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">svarnahastakah</i>,
« Celui dont les mains (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hasta</i>)
portent des signes célestes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svar</i>),
d’or (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svarna</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">15- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shrîmad
dvâdashânta mahâsthale labdha</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidyodayah</i>,
« Celui qui est illuminé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">udaya</i>)
par la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidyâ</i>) en ce
haut <i style="mso-bidi-font-style: normal;">(mahâ</i>) lieu sacré (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthala</i>) de Maduraï, le douzième (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dvâdasha</i>) Centre de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti</i> ». Son père étant décédé,
Râmana vécut alors à Maduraï chez son oncle paternel. C’est dans la demeure de
ce dernier qu’il connut l’illumination, ce « passage à la limite »
dont nous avons donné précédemment le récit.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">16- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâshaktinipâtena
prabuddhah</i>, « Celui qui reçoit l’éveil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prabuddha</i>) par la descente (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nipâta</i>)
de la suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti</i> ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">17- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">paramârthavit</i>,
« Celui qui connaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vid</i>), le
but (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">artha</i>) suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">parama</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">18- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tîvrah</i>,
« Celui qui est ardent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tîvra</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">19- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">pitrupâdânveshi</i>,
« Celui qui est en quête (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upâdâ</i>)
de son Père (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pitri</i>)». Allusion au
voyage du Maharshi pour rejoindre Arunâchala qui est le symbole de Shiva, le
Père spirituel de Râmana.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">20- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">indumaulîna
pitrumân</i>, « Celui<span style="margin: 0px;"> </span>dont le Père
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pitri</i>) à la tête couronné (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">maulin</i>) d’un croissant de lune (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indu</i>) ». C’est-à-dire Shiva.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">21- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">piturâdeshatah
shona shailam prâptah</i>, « Celui qui atteignit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâpta</i>) Arunâchala, la colline (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shaila</i>)
rouge (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shona</i>), à la demande (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdesha</i>) de son Père (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pitri</i>): Shiva ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">22- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tapomayah</i>,
« Celui qui est constitué (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">maya</i>)
d’ascèse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tapas</i>) », symbole de
l’ascèse et de ce qui en résulte.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">23- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">udâsînah</i>,
« Celui qui est indifférent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">udâsîna</i>),
détaché de tout ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">24- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ yogî</i>,
« Celui qui est un grand (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>)
Yogî ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">25- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahotsâhah</i>,
« Celui qui est d’une grande (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>)
force (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">utsâha</i>), d’un grand enthousiasme ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">26- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kushâgradhîh</i>,
« Celui qui a une pensée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhî</i>)
aiguisée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">agra</i>) comme le tranchant
d’un brin d’herbe <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kusha</i> ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">27- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shânta
samkalpa samrambhah</i>, « Celui pour qui le flot des pensées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samkalpa</i>) est contrôlé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samrambha</i>) et apaisé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shânta</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">28- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shunsamdrik</i>,
« Celui dont la vision (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samdrish</i>)
est lumineuse ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">29- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">savitâ</i>,
« Celui qui est comme Savitri, le Soleil de la connaissance ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">30- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthirah</i>,
« Celui qui est fermement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthira</i>)
établi dans le Soi ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">31- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tapah</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kshapita sarvângah</i>, « Celui dont tout
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) la corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anga</i>) a été décharné (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kshapita</i>) par l’ascèse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tapas</i>) ». Indifférent au monde
extérieur et à son propre corps, Le Maharshi connut de grandes austérités.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">32- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">phullâmbuja
vilochanah</i>, « Celui dont le regard (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vilochana</i>) est épanoui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">phulla</i>)
comme un lotus (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambu-ja</i>,
littéralement « né de l’eau ») ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">33- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chandrikâshîta
hâsa shrî manditâna</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mandalah</i>,
« Celui dont le visage porte un sourire (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hâsa</i>) comme un disque (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mandala</i>)
orné (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mandita</i>) d’un beau clair de
lune (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chandrikâ</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shîta</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">34- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chûtavâtyâm
samâsîna</i>, « Celui qui demeure en paix (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâsîna</i>) sous l’agitation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâtyâ</i>)
des branches d’un manguier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chûta</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">35- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chûrnitâkhila,
vibhramah</i>, « Celui qui a réduit en cendres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chûrnita</i>) toute folle agitation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vibhrama</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">36- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">veda vedânta
tattvajna</i>, « Celui qui connaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jna</i>)
toute la vérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tattva</i>) du Veda et
du Vedânta ». Le Vedânta n’étant que l’aboutissement , la fin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anta</i>) du Veda</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">37- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chinmudri</i>,
« Celui dont la pose de la main (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mudra</i>)
signifie l’illumination (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>) ».
Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chit</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mudra</i> consiste à tenir uni le pouce avec l’index. Ce <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mudra</i> est notamment propre à celui qui
enseigne par le Silence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mauna-vyâkhyâ</i>)
comme pouvait le faire le Maharshi lui-même successeur, en ce sens, de
Dakshinâmûrti</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">38- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">trigunâtigah</i>,
« Celui qui dépasse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ati-ga</i>) la
distinction des trois (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tri</i>) Qualités
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">guna</i>) ». Les trois <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guna</i> sont <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sattva</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">rajas</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tama</i>s.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">39- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">virûpâksha
guhâvâsah</i>, « Celui qui élu domicile <i style="mso-bidi-font-style: normal;">(vâsa</i>) dans la grotte (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">guhâ</i>)
de Virûpâksha ». La racine <i style="mso-bidi-font-style: normal;">GUH</i>
signifie cacher. Premier lieu de résidence du Maharshi sur la colline
d’Arunâchala, cette grotte est situé sur le versant sud-est. Virûpâksha était
le nom d’un sage qui l’habita vraisemblablement au XIIIè siècle.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">40- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">virâjadachalâkritih</i>,
« Celui dont la forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âkriti</i>)
resplendit de paix ». Immobile (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">achala</i>),
établi dans la paix, comme une colline (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">achala</i>).</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">41- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">uddîptanayanah</i>,
« Celui dont le regard (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nayana</i>,
oeil) est enflammé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">uddîpta</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">42- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûrnah</i>,
« Celui qui est l’accomplissement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûrna</i>)
même ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">43- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">rachitâchala
tândavah</i>, « Celui dont la danse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tandava</i>)
est l’image (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rachita</i>) de l’immobilité
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">achala</i>) ». Ceci fait référence
à l’aspect polaire de Shiva Natarâja, principe immobile de la danse cosmique,
le « Moteur immobile ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">44- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">gambhîrah</i>,
« Celui qui est insondable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">gambhîra</i>,
profond) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">45- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">paramâchâryah</i>,
« Celui qui est le maître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âchârya</i>)
suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">parama</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">46- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">suprasannah</i>,
« Celui qui est serein (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">su</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prasanna</i>, limpide) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">47- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhayapradah</i>,
« Celui qui offre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-da</i>) la
paix (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhaya</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">48- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshinâsyanibhah</i>,
« Celui qui ressemble (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nibha</i>) à
Dakshinâmûrti ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">49- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhîrah</i>,
« Celui qui est un sage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhîra</i>,
stable) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">50- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshinâbhimukhah</i>,
« Celui qui fait face (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhi-mukha</i>)
au Sud (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshinâ</i>) ». Il occupe
ainsi une position proprement polaire. Situé au pôle spirituel, symbole de
Dakshinâmûrti, le Maharshi fait ainsi toujours face au Sud.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">51- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">svarât</i>,
« Celui qui brille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SVAR</i>) ou qui
vibre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SVAR</i>, résonner) ». Il est
ainsi la source même du son (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svara</i>)
support de toute révélation.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">52- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">maharshih</i>,
« Celui qui est un grand (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>)
voyant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rishi</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">53- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhagavân</i>,
« Celui qui est bienheureux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhagavân</i>,
le seigneur) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">54- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">îdyah</i>,
« Celui que l’on invoque (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îD</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">55- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhûmavidyâ
vishâradah</i>, « Celui qui est versé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishârada</i>)
dans la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidyâ</i>) de la
possibilité universelle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhûma</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">56- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vimala</i>,
« Celui qui est immaculé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vimala</i>,
pur) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">57- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dîrgha
darshî</i>, « Celui qui est un voyant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshî</i>)
pénétrant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dîrgha</i>, étendu) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">58- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">âptah</i>,
« Celui qui est un ami fidèle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âpta</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">59- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">rijumârga
pradarshakah</i>, « Celui qui est le maître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-darshaka</i>) de la voie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mârga</i>)
directe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">riju</i>, droite) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">60- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samadrik</i>,
« Celui qui voit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">drish</i>) tout
comme identique (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sama</i>, égal) ».
Pour lui il n’y a rien d’autre que le Soi.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">61- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">satyadrik</i>,
« Celui qui voit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">drish</i>) la
vérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">satya</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">62- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">satyah</i>,
« Celui qui est la vérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">satya</i>)
même ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">63- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prashântah</i>,
« Celui qui est établi dans la paix (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-SHAM</i>) ».
Il est le symbole même de la paix (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shânti</i>).</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">64- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">amita
vikramah</i>, « Celui qui est d’une vaillance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vikrama</i>) illimitée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">amita</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">65- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukumârah</i>,
« Celui qui a la délicatesse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">su</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kumâra</i>), la beauté ». On pourrait
aussi dire l’éternelle jeunesse, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kumâra</i>
c’est le « jeune homme ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">66- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sadânandah</i>,
« Celui dont l’être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>) est
béatitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ânanda</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">67- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mridu bhâshî</i>,
« Celui qui est interlocuteur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâshî</i>,
commentateur) attentif (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mridu</i>, tendre) ».
A l’image de Shankara qui élabora de subtils commentaires (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâshya</i>) des textes sacrés.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">68- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dayârnavah</i>,
« Celui qui est un océan (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">arnava</i>)
de compassion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dayâ</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">69- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">srî
shonâchala hridbhûta skandâshrama</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nikhetanah</i>,
« Celui qui demeura dans la grotte (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ni-kheta</i>)
de Skandâshram (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">skanda-âshrama</i>), le
propre coeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hrid</i>) d’Arunâchala (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shona-achala</i>) ». Quittant la grotte
de Virûpaksha, le Maharshi occupa ensuite la grotte de Skandâshram située un
peu plus haut sur la colline</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">70- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">saddarshanopadeshtâ</i>,
« Celui qui est un maître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upadeshtri</i>)
dans la contemplation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>) de
l’Etre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">71- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sadbhakta
vrinda parivrittah</i>, « Celui qui est entouré (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">parivritta</i>) par une foule (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vrinda</i>)
de dévots (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sad-bhakta</i>)
sincères ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">72- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ganesha</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">munibhringena sevitânghri</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">saroruhah</i>, « Celui [dont les pieds]
comme des racines (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anghri</i>) de lotus (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">saro-ruha</i>) ont été recherché par
Ganapati Muni ». <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ganapati</i> est un
des noms de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ganesha</i>. Proche de
Râmana, Ganapati Muni est l’auteur de l’ouvrage intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Râmana-Gîtâ.</i></span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">73- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">gîtopadesha
sârâdi grantha samchinna</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samshayah</i>,
« Celui qui dissipe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sam-CHID</i>)
les doutes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samshaya</i>) par son
enseignement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">grantha</i>, oeuvre) comme
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>) « l’essence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâra</i>) de l’enseignement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upadesha</i>) de la Bhagavat-Gîtâ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">gîtâ</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">74- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">varnâshrama
matâtîtah</i>, « Celui qui transcende (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">atîta</i>)
les distinctions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mata</i>) comme la
caste (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">varna</i>) ou le stade propre de
la vie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âshrama</i>)». Les castes comme
les âshramas sont au nombre de quatre.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">75- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">rasajnah</i>,
« Celui qui connaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jna</i>)
l’essence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rasa</i>, la saveur) des
choses ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">76- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">saumyah</i>,
« Celui qui est bienveillant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">saumya</i>,
relatif au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">soma, </i>au breuvage<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>d’immortalité) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">77- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmavân</i>,
« Celui qui a réalisé le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>),
maître de soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmavân</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">78- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarvâvanimatasthânârâdhyah</i>,
« Celui qui a gagné la confiance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ârâdhya</i>)
de ceux qui rattachés à des formes traditionnelles différentes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mata</i>) résident (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthâna</i>) dans le monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avani</i>)
entier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">79- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarvasadgunî</i>,
« Celui qui possède (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>) toutes
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) les qualités (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">guna</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">80- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâramah</i>,
« Celui qui se complaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">â-RAM</i>)
dans le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">81- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâbhâgah</i>,
« Celui qui a le plus grand (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>)
rôle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâga</i>, part) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">82- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâtur mukti
vidhâyakah</i>, « Celui qui a procuré (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-DHâ</i>)
la délivrance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mukti</i>) à sa mère (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâtri</i>) ». Ceci fait allusion au
rôle primordial tenu par le Maharshi lors du décès de sa mère.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">83- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vinatah</i>,
« Celui qui est humble (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-NAM</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">84- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vinutah</i>
« Celui qui est honoré de tous (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-NU</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">85- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">viprah</i>,
« Celui qui est un Brâhmane (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vipra</i>,
représentant du sacerdoce) par excellence ». Il est effectivement ce que
le mot brâhmane signifie « celui qui est identifié en Brahma ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">86- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">munîndrah</i>,
« Celui qui est le Seigneur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indra</i>)
des réalisés (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">muni</i>) ». L’état de
Muni étant le plus haut degré spirituel , comme Indra est le plus haut aspect
divin.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">87- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">pâvakojjvalah</i>,
« Celui qui resplendit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ujjvala</i>)
comme le feu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pâvaka</i>) ». Pâvaka
est aussi un nom de Skanda.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">88- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshanâdaghasamhârî</i>,
« Celui qui lorsqu’on le contemple (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>)
est le destructeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samhârî</i>) de
l’erreur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">agha</i>, impureté) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">89- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">maunena
svâtmabodhakah</i>, « Celui qui révèle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bodhaka</i>) le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>)
véritable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>) par son silence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mauna</i>) ». Littéralement <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mauna</i> signifie « ce qui est propre
au Muni ». Et n’est-ce pas le Silence spirituel qui est le symbole même de
la Réalisation ?</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">90- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">hrichchhântikara
sâmnidhyah</i>, « Celui qui par sa présence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâmnidhya</i>) apporte (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kara</i>)
la paix (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shânti</i>) dans le Coeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hrid</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">91- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">smaranâd
bandha mochakah</i>, « Celui qui lorsque l’on pense à lui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">smarana</i>, fait de se remémorer) libère (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mochaka</i>) de tous les liens (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bandha</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">92- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">antatimira
chandâmshuh</i>, « Celui qui sans pitié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chanda-amshu</i>) met fin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anta</i>)
à l’obscurité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">timira</i>) des
choses ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">93- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samsârârnava
târakah</i>, « Celui qui fait traverser (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">târaka</i>) l’océan (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">arnava</i>)
de la transmigration (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samsâra</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">94- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shonadesha
stuti drashta</i>, « Celui qui a composé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">drashta</i>, avoir la vision) des hymnes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">stuti</i>) à Arunâchala (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shona-desha</i>,
rouge-lieu) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">95- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">hârda vidyâ
prakâshakah</i>, « Celui qui nous révèle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prakâshaka</i>) la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidyâ</i>)
propre au Coeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hârda</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">96- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">aviyukta
nija prajnah</i>, « Celui qui est un sage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajna</i>) jamais séparé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aviyukta</i>)
de la connaissance absolue (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nija</i>, ce
qui est inné) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">97- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">naisargika
mahâ tapah</i>, « Celui qui est spontanément (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">naisargika</i>, inné) immergé dans l’ascèse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tapas</i>) absolue (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">98- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kamandalu
dharah</i>, « Celui qui porte (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhara</i>)
la cruche des ascètes, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kamandalu</i> ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">99- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shubhra
kaupîna vasanah</i>, « Celui qui n’a pour vêtement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vasana</i>) qu’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kaupîna</i>, un
tissu blanc (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shubhra</i>) pour ceindre
les reins ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">100- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guhah</i>,
« Celui qui demeure dans la Caverne du Coeur ». Guha est un des noms
de Skanda. La racine <i style="mso-bidi-font-style: normal;">GUH</i> signifie
cacher et le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guhâ</i> désigne la
caverne.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">101- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dandapânih</i>,
« Celui qui tient dans la main (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pâni</i>)
un bâton (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">danda</i>) ». Ce bâton est
un symbole de l’axe du Monde, celui qui le tient est symboliquement (et
effectivement dans le cas du Maharshi) rétabli au centre du Monde, au Pôle
spirituel.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">102- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kripâpûrnah</i>,
« Celui qui est d’une suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûrna</i>)
compassion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kripâ</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">103- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhavaroga
bhishagvarah</i>, « Celui qui est le meilleur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vara</i>) médecin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhishak</i>)
de la maladie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">roga</i>) essentielle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhava</i>) », celle de l’ignorance.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">104- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">skandah</i>,
« Celui qui est la manifestation de Shiva », le fruit de Shiva.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">105- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">devâtmâ</i>,
« Celui qui est de nature divine », la lumière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deva</i>) du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>).</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">106- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">amartyah</i>,
« Celui qui est immortel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">martya</i>) ». Il a consommé le
breuvage d’immortalité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">amrita</i>).</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">107- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">senânih</i>,
« Celui qui est le maître des armées, Skanda ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">108- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">purushottamah</i>,
« Celui qui est le suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">uttama</i>)
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Purusha</i> », le Seigneur
impérissable, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">paramâtmâ</i>.</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;">Sad-vidyâ</span></b></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">En conclusion, nous donnons la traduction de l’unique
strophe (8) composé en sanscrit par le Maharshi qui figure avec 39 autres
strophes dans la deuxième partie de l’ouvrage intitulé en tamoul <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ulladu nârpadu</i> et en sanscrit <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sad-vidyâ</i>, « La connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidyâ</i>) de l’Etre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>) ». Voici cette strophe et sa traduction:</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">hridayakuharamadhye
kevalam brahmamâtram</span></i><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">hyahamaham
iti sâkshâdâtmarûpena bhâti</span></i><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">hridi visha
manasâ svam chinvatâ majjatâ vâ</span></i><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;"></span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">pavanachalanarodhâd
âtmanishtho bhava tvam</span></i><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;"> </span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Au centre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">madhya</i>)
de la caverne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kuhara</i>) du Cœur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hridaya</i>), l’Unique (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kevala</i>), l’Infini (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâtra</i>)
Brahma , dont on dit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">iti</i>) en effet (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hi</i>) qu’Il est « Je-Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham-aham</i>), brille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhâ</i>) directement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâkshât</i>,
abrupte) comme étant de la nature (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rûpa</i>)
du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>). Entre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">VISH</i>) toi-même (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>) dans le Cœur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hrid</i>)
au moyen du questionnement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ChI</i>)
mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>) [« Qui suis-Je
? »] ou (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâ</i>) par la destruction
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">MAJJ</i>) [du mental] dans la rétention
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rodha</i>) [contrôlée] du souffle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pavana-chalana</i>) et immerge (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nishtha BHû</i>)-toi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tvam</i>) dans le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) ».</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le terme Cœur est utilisé dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vedas</i> et les textes pour désigner le
lieu d’où jaillit le concept « Je ». S’élève-t-il seulement de cette
masse de chair ? Il jaillit en nous de quelque part, juste au milieu de notre
être. Le « Je » n’est pas localisable. Tout est le Soi. Rien d’autre
n’existe. Par conséquent, on peut dire que le Cœur est l’ensemble de tout notre
corps et de l’univers entier, le tout conçu comme « Je ». Mais pour
aider celui qui cherche (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhyâsi</i>), il
faut lui indiquer un endroit précis de l’univers ou de son corps. Aussi dit-on
que c’est le Cœur qui est le siège du Soi. Mais en vérité nous sommes partout,
nous sommes tout ce qui est et il n’y a rien d’autre ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 34.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le (Cœur), c’est le centre du Soi. Le Soi est
le centre des centres ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 46.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le Cœur n’est pas physique, il est spirituel. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hridayam</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hrid</i> + <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ayam</i>) veut dire:
« Ceci est le centre ». C’est de là que jaillissent les pensées,
c’est là qu’elles vivent et se résorbent. Les pensées sont le contenu du mental
et elles façonnent l’univers. Le Cœur est le centre de tout (...) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> est le Cœur ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, pp. 92 et 93.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le Soi, c’est le Cœur. Le Cœur est lumineux par
lui-même. La lumière part du Cœur puis atteint le cerveau, qui est le siège du
mental. Le monde est perçu par le mental grâce à la lumière réfléchie du Soi.
Quand le mental est éclairé, il prend conscience du monde. Quand il n’est pas
éclairé, il n’a pas conscience du monde. Si le mental est orienté vers la
source de lumière, la connaissance objective s’abolit et le Soi seul resplendit
comme le Cœur. La lune luit grâce à la lumière réfléchie du soleil. Lorsque le
soleil se couche, la lune devient utile pour révéler l’existence des objets.
Lorsque le soleil se lève, personne n’a plus besoin de la lune bien que son
disque pâle reste encore visible dans le ciel. Il en est de même pour le mental
et le Cœur. Le mental est utile en raison de la lumière réfléchie qui sert à la
vision des objets. Lorsque le mental est tourné vers l’intérieur, la source de
son illumination resplendit d’elle-même et le mental devient pâle et inutile
comme la lune en plein jour ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>,
p. 94.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Vous êtes toujours dans le Cœur ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 98.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Il faut rechercher le Soi et le réaliser. Le Cœur
jouera alors son rôle automatiquement. Le siège de la réalisation, c’est le Cœur.
On ne peut dire s’Il est intérieur ou extérieur ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 119.]</span></div>
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le Cœur est le centre d’où tout jaillit. C’est
parce que vous voyez le monde, votre corps, etc., qu’on dit qu’ils ont un
centre que l’on dénomme le Cœur. Quand vous êtes dans le Cœur, vous comprenez
que ce Cœur n’est ni le centre ni la circonférence et qu’il n’y a rien d’autre.
Alors de quoi peut-il être le centre ? ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Talks</i>, p. 229.]</span></div>
Bruno Hapelhttp://www.blogger.com/profile/05525415697835975358noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5088615654452892767.post-17379757796517151842018-10-28T06:09:00.000-07:002019-03-03T05:50:40.832-08:00RENE GUENON, le Solitaire<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 24pt; margin: 0px;">René Guénon,
le Solitaire</span></b><span style="font-size: 24pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Neti neti</span></i><span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">, ‘ni ceci, ni cela’, tel est l’un des grands
préceptes de la tradition hindoue. La vérité est à ce prix. Cette révélation,
contenue dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishads</i>, peut
être appliquée, dans un premier temps de façon singulière et puis
fondamentalement, pour atteindre réellement l’œuvre de R. Guénon. Ce petit
livre fournit la matière de ce premier temps, le lecteur devra ensuite s’en
remettre avec opiniâtreté à l’œuvre dans son intégralité.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Si R. Guénon a connu de nombreux ‘ennemis’, il n’a pas
moins été trahi par ceux qui se comptaient parmi ses ‘amis’. Si l’on dénonce
les mensonges de ses ‘ennemis, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ni ceci</i>,
et si l’on démasque les tromperies de ses ‘amis’, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ni cela</i>; on devrait pouvoir accéder sans entrave au seuil de son œuvre...</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;">Reconnaissance
sans connaissance</span></b><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On ne peut qu’être abasourdi en lisant certaines
notices publiées dans des dictionnaires ou des encyclopédies. Ainsi le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Petit Robert 2</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dictionnaire universel des noms propres</i> déclare que:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- Shankarâchârya est un « philosophe indien qui
exposa les doctrines hindoues du Vedânta moniste et fonda des sectes
shivaïtes » (le rédacteur de cette notice ignore ce qu’est la Non-Dualité
qui n’est ni moniste, ni sectaire).</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- Râmana Maharshi est un « philosophe religieux
hindou qui continua, dans le Sud de l’Inde, la tradition mystique de
Râmakrishna; qui n’écrivit rien et refusa d’avoir des disciples » (le
rédacteur se trompe sur toute la ligne sauf en ce qui concerne le fait de ne
pas reconnaître de disciples. Râmana Maharshi, le shivaïte, ne se reconnaît pas
dans le courant vishnouïte, même s’il ne l’exclut pas, de Râmakrishna qui
n’était d’ailleurs pas un mystique. Il a d’autre part écrits des textes (hymnes
et traités).</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Voyons ce que l’on écrit sur R. Guénon:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Philosophe français (Blois, 1886 - Le Caire,
1951). Fondateur de la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Gnose</i>
(1909), il s’est livré à une étude approfondie des principaux textes mystiques
(hindous, taoïstes, musulmans), opposant à l’aspect exotériques des religions
historiques constituées une tradition unique, originelle, la connaissance
ésotérique (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">La Métaphysique orientale</i>,
1939; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur l’initiation</i>,
1946) ».</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Pour ne pas accabler les rédacteurs de ce dictionnaire
disons que ceux des autres dictionnaires et encyclopédies ne font pas mieux, si
ce n’est pire. En voici la preuve avec cette notice du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Grand Dictionnaire Encyclopédique Larousse</i>:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- « Philosophe et écrivain français. Après une
carrière dans les cercles occultistes français, il s’établit en Egypte et s’y
convertit à l’islam. Sa doctrine, très originale et syncrétiste, principalement
d’essence védantine, se présente comme l’expression unique en Occident modernes
d’idées traditionnelles. On doit à R. Guénon: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Introduction générale à l’étude des doctrines hindoues</i>, 1922; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">le Symbolisme de la croix</i>, 1931; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur l’initiation</i>, 1946 ».</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On trouve ici un bon résumé des contrevérités qui
émaillent le plus grand nombre des notices biographiques: occultiste,
syncrétiste, etc. R. Guénon est tout sauf cela. Encore faut-il se donner la
peine de vérifier par soi-même et de lire son œuvre, sinon on ne peut que se
laisser influencer par toutes ces fausses informations. René Guénon dérange
parce qu’il parle vrai et que la Vérité n’est pas toujours facile à supporter.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette vérité est celle que l’on atteint dans le
Silence spirituel, mais on ne pense qu’à se livrer à de futiles bavardages. R.
Guénon en a été la victime et ce n’est pas sa Parole que l’on écoute mais le
bruit de tous les mensonges qui tentent d’étouffer son œuvre.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Une bonne façon de discréditer un auteur est de
l’enfermer dans une formule si possible scandaleuse. On connaît ainsi ce
passage du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Matin des magiciens</i> (1960)
de L. Pauwels et J. Bergier:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« La nouveauté formidable de l’Allemagne nazie,
c’est que la pensée magique s’est adjoint la science et la technique. Les
intellectuels détracteurs de notre civilisation, tournés vers l’esprit des
anciens âges, ont toujours été des ennemis du progrès technique. Par exemple,
René Guénon ou Gurdjieff, ou les innombrables hindouistes. Mais le nazisme a été
le moment où l’esprit de magie s’est emparé des leviers du progrès matériel.
Lénine disait que le communisme, c’est le socialisme plus l’électricité. D’une
certaine façon, l’hitlérisme, c’était le guénonisme plus les divisions
blindées ».</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Voilà d’une simple phrase comment les mentalités ont
été manipulées d’autant que ce livre a été lu par le plus grand nombre. On
retrouve l’écho de cette formule dans la notice consacrée à R. Guénon dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">le Dictionnaire des intellectuels français</i><span style="margin: 0px;"> </span>sous la direction de J. Julliard et M. Winock
(1996):</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« ...On connaît ce mot qui circulait dans les
milieux évoliens: ‘Hitler ? C’est Guénon avec les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Panzerdivisionen</i>.’ Bien entendu, cette boutade ne donne pas le
‘sens ultime’ du guénonisme, mais indique tout le travail à faire sur
l’histoire de la pensée réactionnaire en Europe dans le siècle qui
s’achève. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La métaphysique est ainsi réduite à de la basse
politique. Ce qui confirme le dicton: calomniez, calomniez, il en restera
toujours quelque chose.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans son ouvrage sur <i style="mso-bidi-font-style: normal;">les maîtres de l’occultisme</i>, (1990), A. Nataf s’essaye à une autre
formule aussi méprisante:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le Marx de l’ésotérisme; plus que tout autre
peut-être, René Guénon a, en l’époque actuelle, œuvré pour que la culture
renoue avec la tradition (...) Une somme d’ésotérisme; l’influence de Guénon
déborde les milieux qui s’intéressent à l’ésotérisme. André Gide et André
Breton ont réfléchi sur l’œuvre guénonienne. Celle-ci, en effet, est une somme
d’ésotérisme ou plutôt une pensée totalisante. Il n’est pas exagéré de dire que
Guénon est le Marx de l’occultisme. Même visée universalisante et réductrice <i style="mso-bidi-font-style: normal;">in fine</i>: tous les ésotérismes se
rejoignent dans une tradition unique; même apocalyptique révoltée (le
kali-yuga, chez l’un; la lutte des classes chez l’autre); même sens de la
nécessité historique, etc. La différence est que Marx vise, du moins le dit-il,
à concrétiser la justice et à l’élargir, tandis que Guénon veut restaurer les
‘élites’. Une telle analyse ne suffit pas pour présenter la pensée de Guénon.
Elle pose une précaution méthodologique: Marx comme Guénon doivent se lire avec
prudence. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans son <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Enquêtes
sur la droite extrême</i>, (1992), le journaliste R. Monzat nous présente R.
Guénon comme le:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Chantre de la tradition, qui explique le
curieux soutien de l’extrême droite aux ‘durs’ du camp musulman (...) Guénon
donne une importance primordiale à l’ésotérisme, selon lui au coeur de toutes
les traditions religieuses; or, les aspects ésotériques du christianisme
primitif ont vite disparu. Guénon a reconstruit un ésotérisme chrétien
imaginaire qui aurait survécu jusqu’à l’époque moderne, avant de disparaître
(...) Nul n’a su donner autant de chair au mythe de la ‘tradition primordiale’,
au nom duquel Guénon reconstruit la métaphysique, l’histoire des religions,
celle de l’humanité (...) Le système de Guénon est une construction personnelle
qui s’insère dans l’occultisme occidental contemporain, rejeton éclectique
d’apports gnostiques, théosophiques, maçonniques, traditions elles-mêmes
éclectiques... Certains des traits les plus agaçants de Guénon pour un lecteur
profane son sa prétention à ‘connaître’ la vérité par des voies qu’il ne
condescend point à nous expliquer, les mystères qui l’aident à masquer ses
faiblesses au cours de polémiques contre des rédacteurs de revues confidentielles.
Il est difficile d’apprécier la valeur de l’œuvre de Guénon, car presque tous
les travaux qui lui sont consacrés émanent de disciples plus ou moins avoués
(...) [Guénon] n’a jamais réussi à séparer l’étude de vrais traditions
spirituelles de naïvetés ou superstitions héritées de ses premiers pas
occultistes. Il n’a jamais cessé d’accorder de l’importance aux cercles
occultistes occidentaux, qu’il leur fasse confiance ou qu’il les dénigre (...)
Quoique René Guénon n’ait jamais eu d’activité politique, il évoluait dans des
milieux ‘Action française’ (...) Guénon est un maître à penser incontesté pour
la nouvelle droite et pour certains courants royalistes. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La note calomnieuse est salée: ‘ésotérisme
imaginaire’, ‘reconstruction’, ‘systématisme’, ‘éclectisme’, ‘naïveté’...</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Comme si ce n’était pas assez, la campagne de
désinformation se poursuit avec l’ouvrage de R. Faligot et R. Kauffer, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le marché du diable</i>, (1995). Comme R.
Monzat, ils consacrent plusieurs pages de leur ouvrage à R. Guénon où s’entrechoquent
de fausses informations. Ils cherchent à nous faire croire que ce dernier
pouvait avoir eu une certaine sympathie pour les ‘frères musulmans’ et faire
preuve de prosélytisme pour l’islam:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« (...) [Guénon] fréquente assidûment
l’université El Azhar, haut lieu de la théologie sunnite, où il côtoie des
frères musulmans (...) Il appelle ses amis et correspondants à l’étranger à
rejoindre l’islam. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On y note aussi ce rapprochement bien suspect:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« (...) Au début des années trente alors que
Guénon s’installait sur le bord du Nil (...) et que Hassan-el-Banna venait
juste de créer la société des frères musulmans. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Le lecteur peut ainsi choisir et voir en R. Guénon le
chantre du nazisme ou celui des groupes islamiques armés. </span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Pour quelqu’un qui n’a jamais revendiqué le moindre
rôle politique, qui a condamné les divagations nazies:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Nous laissons entièrement de côté l’usage tout
artificiel, et dépourvu de toute base traditionnelle, qui est fait actuellement
du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">swastika</i>, notamment par certains
groupements politiques allemands, dits ‘racistes’, qui en ont fait très
arbitrairement un signe d’antisémitisme, sous prétexte que cet emblème serait
propre à la soi-disant ‘race âryenne’, et qui le désignent d’ailleurs par
l’appellation fantaisiste et quelque peu ridicule de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">hakenkreuz</i> ou ‘croix à crochets’. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le symbolisme de la croix</i>, 1931.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Et qui a même déconseillé aux Occidentaux de prendre
appui sur les doctrines islamiques:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Les formes d’expression des doctrines hindoues,
tout en étant encore extrêmement différentes de toutes celles auxquelles est
habituée la pensée occidentale, sont relativement plus assimilables, et elles
réservent de plus larges possibilités d’adaptation (...) En effet, il y aurait
aussi, à se baser sur ce qui en est plus rapproché, des inconvénients qui,
(...), n’en seraient pas moins assez graves; et peut-être n’y aurait-il pas
beaucoup d’avantages réels pour les compenser, car la civilisation musulmane
est à peu près aussi mal connue des Occidentaux que les civilisations plus
orientales, et surtout sa partie métaphysique, qui est celle qui nous intéresse
ici, leur échappe entièrement. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient
et Occident</i>, 1924.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Si tout cela n’est pas de l’intoxication mentale
qu’est-ce alors ?</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais poursuivons notre enquête et voyons ce que nous
disent les hommes de lettres.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Commençons par Gide puisque c’est celui que l’on cite
le plus couramment comme cette autorité qui viendrait valider l’oeuvre de R.
Guénon. A croire que R. Guénon a besoin de cette sorte de suffrage. Suivons cet
entretien entre A. Gide et H. Bosco:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« (Gide) s’écria soudain: ‘Si Guénon a raison, eh
bien ! toute mon œuvre tombe...’ A quoi quelqu’un répondit: ‘Mais alors
d’autres tombent avec elle, et non des moindres, celle de Montaigne, par
exemple...’ C’était, certes, tomber en excellente compagnie, et, en fait, ne
pas trop courir le risque de tomber vraiment. En évoquant cette chute fictive
et fraternelle de Montaigne et de Gide, on réservait la part du moraliste. Elle
est de taille. Gide réfléchissait. A le voir, il ne semblait pas satisfait de
cette éventualité, somme toute, très honorable: elle l’inquiétait. Enfin, ému,
il avoua la raison de son inquiétude: ‘Je n’ai rien, absolument rien à objecter
à ce que Guénon a écrit. C’est irréfutable.’ Comme aucun de nous ne se jugeait
en mesure de réfuter ce que Gide, lui-même, venait de déclarer irréfutable, on
se taisait. L’aveu inattendu était d’une telle importance qu’il ne pouvait être
suivi que d’un silence approbatif, dont cependant nul de nous n’attendait qu’il
annonçât une déclaration de ralliement à la doctrine de Guénon. En effet, Gide
dit: ‘Les jeux sont faits, je suis trop vieux.’ Ce retour sur lui-même, loin de
l’abattre, le réconforta. Il reprit pied. ‘Et puis, affirma-t-il, j’aime
passionnément la vie, la vie multiple. Je ne consens pas à priver la mienne du
plaisir qu’elle prend à la diversité merveilleuse du monde, et pourquoi ? Pour
sacrifier à une abstraction: à l’Unité, l’Unité indéfinissable ! Mais définir
me plaît par-dessus toutes choses. Les êtres limités, les créatures
périssables, seules, m’intéressent et suscitent mon amour, mais non pas l’Être,
l’Être illimité. Je ne tiens pas du tout à m’y perdre, mais, bien au contraire,
à m’y conserver, tant que je vis. » [Extrait du numéro spécial de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">NRF</i> consacré à André Gide.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Moralité , Être même illimité, Gide n’a rien saisi de
la métaphysique. Son œuvre tombe, mais, pour tomber encore faut-il s’être
quelque peu élevé !</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans un entretien avec F. Grover, A. Malraux, en
parlant de Paulhan, déclare:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Paulhan en effet admirait Guénon, et Guénon,
certes, méritait cette admiration. Toutefois, il faut dire que Paulhan avait
inventé un Guénon qui eût été semblable à Paulhan et qu’il substituait au vrai
Guénon. Or Guénon était un grand esprit mais c’était aussi un redoutable
bafouilleur: il a écrit quinze fois la même chose. Il y avait chez lui quelque
chose de profond et quelque chose d’élémentaire. Paulhan avait donc inventé un
Guénon qui était comme lui et qui aurait été toujours profond. Or le contraste
entre les deux hommes est très net: Guénon écrivait dans un bavardage illimité
alors que Jean Paulhan est un modèle de densité (...) Guénon a écrit un livre,
l’Introduction aux doctrines hindoues qui était, à sa date, un livre capital.
Mais quand il écrit trois cents pages sur la franc-maçonnerie... c’est de la
moulinette... Je crois donc que Paulhan et Guénon ne se seraient pas accordés
sur certains points car Paulhan avait absolument besoin de savoir de quoi il
parlait. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce propos de Malraux (qui reproche indûment à R.
Guénon, comme beaucoup, d’avoir ce qui semble bien être ses propres défauts)
est en contradiction avec la pensée de Paulhan telle qu’elle s’exprime dans ces
extraits de lettres:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Nous ne reconnaissons dans l’ordre de la
pensée, aucune autorité, à qui nous fier sans réserves. Quelle que soit la
place que tiennent, dans les préoccupations de chacun de nous, l’oeuvre de
Marx, de Guénon, de Freud, de Spinoza ou la philosophie hindoue ce n’est qu’à
titre de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matériaux</i> que nous les
acceptons - nous tenant également libres sur tel point donné de les suivre ou
de les repousser. » [lettre à A. Rolland de Renéville, 1932.];
« Guénon me conseille de me convertir à l’islamisme. C’est, dit-il, la
seule religion qui puisse être entendue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tout
entière</i> (et y invite) sur le plan métaphysique. » [lettre à Monique de
Saint-Hélier, 1942.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Comme on le verra un peu plus loin, R. Guénon n’a
jamais conseillé à quiconque de se convertir à quoi que ce soit !</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On trouve ici aussi un aveu (‘qu’à titre de
matériaux’) qui confirme le pillage éhonté en le travestissant de
l’enseignement de R. Guénon; la ‘Science des symboles’ notamment a été ainsi
subvertie en magasin d’illustrations pour littérateurs en mal de fiction.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Louis Ferdinand Céline semble, par l’entremise de son
ami Albert Paraz, faire appel à R. Guénon pour se blanchir de son
antisémitisme. Dans son ouvrage intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Valsez
saucisses</i> , A. Paraz écrit:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« J’ai écrit dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Roi tout Nu</i>, sous la botte, en 1941, que<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Bagatelles</i> était un message immense, mais seulement quand il ne
parlait pas des juifs. C’est toujours mon avis et c’était déjà celui de Céline.
Il y a dans ce livre des passages qui datent, qu’on pourrait enlever. Et puis,
enfin, c’est écrit en 1937. Bien autrement concerté est le jugement exprimé, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">en</i> 1945, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">APRES la libération</i>, chez Gallimard, par le puissant René Guénon.
‘Pourquoi les représentants des tendances nouvelles Einstein, Bergson, Freud,
sont-ils tous de race juive, sinon parce qu’il y a dans la ‘mentalité moderne’
quelque chose qui correspond exactement au côté ‘maléfique’ et dissolvant du
nomadisme dévié, lequel prédomine chez les Juifs détachés de leur Tradition
?’Fichtre ! Voilà qui va loin. Et pas question d’inquiéter Gallimard, de
l’abattre au clair de lune. Tant mieux, nom de Dieu. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">A. Paraz, dans son aveuglement, n’est même pas capable
de recopier correctement la note de René Guénon publié dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le règne de la quantité et les signes des
temps</i>:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« (...) Une remarque en passant: pourquoi les
principaux représentants des tendances nouvelles, comme Einstein en physique,
Bergson en philosophie, Freud en psychologie, et bien d’autres encore de
moindre importance, sont-ils à peu près tous d’origine juive, sinon parce qu’il
y a là quelque chose qui correspond exactement au côté ‘maléfique’ et
dissolvant du nomadisme dévié, lequel prédomine inévitablement chez les Juifs
détachés de leur tradition ? » [ch. XXXIV, note 1.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On ne compte plus les écrivains qui ont lu René
Guénon; le plus souvent bien mal. Citons encore Drieu la Rochelle, Queneau,
Daumal (et les collaborateurs du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Grand
Jeu</i>), Artaud et puis bien sûr le pape du surréalisme, A. Breton, qui, dans
un entretien radiophonique, a déclaré:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Parmi les collaborations souhaitées, je n’en
vois qu’une autre qui nous manqua: ce fut celle de René Guénon. Nous n’avions
guère de titres à y prétendre, il est vrai. Et pourtant ce fut aussi une
déception. Il est, de toute façon, très symptomatique que nous nous soyons
adressés à lui. Cela suffirait à montrer que, dès ce moment, nous étions
attirés par la pensée dite ‘traditionnelle’ et prêts à l’honorer en lui. Je
crois que, parmi nous, les plus inclinés dans cette voie étaient alors Artaud,
Leiris et moi, bien que ce fût Naville qui ait proposé d’écrire à Guénon. Il
est curieux de conjecturer en quoi l’évolution du surréalisme eût pu être
différente, si par impossible un tel concours ne s’était refusé... »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">R. Guénon n’a jamais envisagé de se joindre à ces
‘surréalistes’ qu’il considérait, en 1932, comme « un petit groupe de
jeunes gens qui s’amusent à des facéties d’un goût douteux ». En 1949, son
jugement sera plus définitif puisqu’il reconnaît, et sans doute non sans
quelque raison, le surréalisme comme inspiré par la contre-initiation. La
littérature n’est pas toujours aussi innocente qu’on voudrait nous le faire
croire. La ‘fiction’ n’est pas sans influence sur les mentalités. L’usage des
‘matériaux’ traditionnelles à des fins imaginaires devient inévitablement
subversif.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">IL semble bien y avoir deux bonnes façons de détourner
un œuvre comme celle de René Guénon. Dans un premier temps, on marque son
mépris, on feint de l’ignorer et dans un deuxième temps on la noie sous un
bavardage stérile. On peut parmi le petit monde des universitaires, historiens
des religions et hommes de science prendre l’exemple des indianistes qui
illustre bien ce mode d’action.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">En 1949, dans un compte rendu de la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hind</i>, R. Guénon cite et commente un
article de L. Renou. Ce dernier parlant de l’utilité d’un contact avec la masse
anonyme des lecteurs déclare:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« ce contact ne doit pas, cependant, être
recherché au détriment de la vérité. Il y a toujours quelque abus de pouvoir à
trancher dans l’arène de questions délicates, surtout pour un domaine comme
l’indianisme où tant de problèmes attendent leur solution. Mais tout est une
question de mesure. Ce qui est franchement malhonnête, c’est d’utiliser l’Inde
et la spiritualité indienne pour bâtir d’ambitieuse et vaines théories à
l’usage des Illuminés d’Occident. Par le foisonnement des systèmes, par
l’étrangeté de certaines conceptions, la pensée indienne donnait ici, il faut
l’avouer, quelque tentation. C’est en partant de notions et d’images indiennes,
plus ou moins déformées, que sont nées les sectes néo-bouddhistes, les
mouvements théosophiques qui ont pullulé en Occident. Le succès des
élucubrations d’un René Guénon, ces soi-disant révélations sur la Tradition
dont il se croit le détenteur, montrent assez le danger. On veut distinguer à
côté de l’indianisme officiel ou universitaire, voué, comme on nous dit, à la
grammaire, un indianisme qui seul atteint à l’essence des choses. En réalité,
un indianisme de voyageurs superficiels, de journalistes, quand ce n’est pas
celui de simples exploiteurs de la crédulité publique, qui se flattent
d’instruire un public ignorant sur le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vêdânta</i>,
le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yoga</i> ou le Tantrisme ».</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Et voici le commentaire de René Guénon:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Tous ceux qui ont la moindre connaissance de
notre œuvre sauront apprécier comme il convient l’ ‘honnêteté’ du procédé qui
consiste à placer la phrase qui nous vise, et dont ils pourront admirer par
surcroît l’exquise politesse, entre la mention des théosophistes et celle des
voyageurs et des journalistes; si incompréhensif que puisse être un
orientaliste, il n’est tout de même guère possible qu’il le soit au point de
n’avoir aucunement conscience de l’énormité de pareils rapprochements. Nous
souhaiterions à M. Louis Renou, ou à n’importe lequel de ses confrères, d’avoir
fait seulement la millième partie de ce que nous avons fait nous-même pour
dénoncer la malfaisance de ceux qu’il appelle les ‘Illuminés d’Occident’ ! D’un
autre côté, nous n’avons assurément rien de commun avec les voyageurs,
superficiels ou non, ni avec les journalistes, et nous n’avons jamais fait,
fût-ce occasionnellement, ni l’un ni l’autre de ces métiers; nous n’avons
jamais écrit une seule ligne à l’intention du ‘grand public’, dont nous ne nous
soucions nullement, et nous ne pensons pas que personne puisse pousser plus
loin que nous le mépris de tout ce qui est ‘vulgarisation’. Ajoutons que nous
ne prétendons être le ‘détenteur’ de quoi que ce soit, et que nous nous bornons
à exposer de notre mieux ce dont nous avons pu avoir connaissance d’une façon
directe, et non point à travers les ‘élucubrations’ déformantes des
orientalistes; mais évidemment, aux yeux de ceux-ci, c’est un crime
impardonnable de ne pas consentir à se mettre à leur école et de tenir
par-dessus tout à garder son entière indépendance pour pouvoir dire
‘honnêtement’ et ‘sincèrement’ ce qu’on sait, sans être contraint de le
dénaturer pour l’accommoder à leurs opinions profanes et à leurs préjugés
occidentaux. Maintenant, que nous en soyons arrivé à être considéré comme un ‘danger’
à la fois par les orientalistes ‘officiels ou universitaires’ et par les
‘Illuminés d’Occident’, théosophistes et occultistes de toute catégorie, c’est
là une constatation qui ne peut certainement que nous faire plaisir, car cela
prouve que les uns et les autres se sentent atteints et craignent de voir
sérieusement compromis le crédit dont ils ont joui jusqu’ici auprès de leurs
‘clientèles’ respectives... »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans le numéro spécial de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Planète + plus</i> (1970) consacré à René Guénon, nous croisons fort
curieusement J. Filliozat qui lui consacre un article où l’on peut lire ce
passage perfide:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« La plupart des doctrinaires qui pensent détenir
une vérité suprême tirée d’une tradition ou trouvée par eux-mêmes parlent ainsi
[condamnation de l’érudition] en s’adressant au public en général peu au
courant des exigences de la documentation scientifique, enclin à considérer
l’érudition comme un monstre de pédantisme et d’ennui, et ne sachant pas qu’il
ne peut exister de doctrine ‘officielle’, les savants ‘officiels’ étant loin de
s’accorder toujours entre eux et ne disposant d’aucune censure. Mais les
occultistes attribuent volontiers des activités occultes à ceux qu’ils
désignent comme leurs prétendus adversaires. En tout cas Guénon n’a pas
souffert dans sa liberté d’expression, n’a pas encouru apparemment de riposte
de la part de ceux qu’il a chargés de tant de péchés contre l’esprit, non
seulement Max Müller et Thibaut, le traducteur de Shankara, tous deux déjà
morts, mais encore Oltramare (...) Guénon a dénoncé à juste titre le préjugé
classique d’après lequel rien n’existerait de valable qui ne soit grec par
l’origine, mais il a substitué à ce préjugé celui d’une orthodoxie orientale,
çankarienne et soufie, en dehors de laquelle rien non plus n’existerait de
valable et de vrai. Son effort entre lui-même dans l’histoire de la philosophie
en contrepartie d’un classicisme outré mais non de l’indianisme dont il n’a
voulu voir qu’une partie, mais qu’il a généralement suivi dans cette partie
même. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Un nouvelle génération d’indianiste n’adoptera plus ce
ton acerbe, mais introduira une reconnaissance subversive. Ainsi dans le
troisième tome de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Histoire</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">des religions</i> dans l’Encyclopédie de la
pléiade, J. Varenne écrit:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« En France, on ne peut passer sous silence l’œuvre
de René Guénon. Sous prétexte de débarrasser l’ésotérisme de tout ce qui n’y
est pas ‘authentique’, à ses yeux, il l’imprègne de doctrines dérivant du
Védânta le plus strict, celui de Shankara, en qui il reconnaît l’expression la
plus achevée de la ‘tradition primordiale’. Tous les thèmes déjà présents dans
l’oeuvre de Schopenhauer se retrouvent ici, systématisés, présentés avec une
rigueur toute cartésienne. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce rapprochement entre R. Guénon et Schopenhauer est
infamant. R. Guénon ne voyait en ce dernier qu’un occidental imbu de ce
sentimentalisme qui le poussait à rechercher des ‘consolations’ dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishads</i>. J. Varenne a-t-il seulement
ouvert les ouvrages de René Guénon ?</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Enfin nous trouvons cette familiarité dissolvante dans
l’ouvrage de Tara Michaël, chercheur au CNRS, intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Yoga de l’Eveil</i>, (1992). Citant un texte de Shankara, l’auteur
précise en note au sujet de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Buddhi</i>:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« L’intelligence dans laquelle s’est produit
l’Eveil, l’intellect au sens guénonien du terme, source de toutes les
intuitions métaphysiques. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">L’auteur qui tout au long de son ouvrage ne manque pas
de donner précisément les références aux ouvrages de ses confrères, ne cite
aucun ouvrage de R. Guénon où le lecteur pourrait vérifier ses assertions. Il
est vrai que ce ‘sens guénonien’ est inventé. Si l’on se réfère à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’homme et son devenir selon le Vêdânta</i>,
la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Buddhi</i> est décrite comme le
principe intellectuel, l’intellect supérieur. R. Guénon lui consacre d’ailleurs
un chapitre. Tara Michaël pense peut-être qu’il est inconvenant de citer un
ouvrage de René Guénon dans un travail d’indianiste. Mais que signifie cette
familiarité ?</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Après le mépris, la mentalité moderne n’a trouvé que
le bavardage comme arme contre l’oeuvre de R. Guénon. Les Universitaires ont
multiplié les ouvrages où R. Guénon est pris comme cible. Avec naïveté,
nombreux sont ceux qui se sont réjouis de voir des thèses dites ‘guénoniennes’.
M. G. Vallin est ainsi présenté comme le premier de ces prodiges (en 1959) avec
son livre intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La perspective
métaphysique</i>. On ne les compte plus à l’heure actuelle, l’une des plus
récentes étant celle de P. Geay intitulée <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hermès
trahi</i> (1996). Entre temps, les Universitaires nous ont submergé d’ouvrages,
d’articles et de colloques:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">M. Eliade qui condescend à qualifier René Guénon d’
‘esprit savant et rigoureux’, ‘le plus autorisé des représentants de
l’ésotérisme moderne’, achève avec cette formule sidérante, montrant notamment
qu’il ignore ce qu’est un ‘adepte’:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« La plupart de ses adeptes sont des convertis à
l’islamisme ou se livrent à l’étude de la tradition indo-tibétaine. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Occultisme, sorcellerie et modes culturelles</i>,
ch. IV.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Citons aussi Jean-Pierre Laurent, Marie-France James
qui ironise en qualifiant René Guénon de ‘notre ami’, Jean Borella, etc. Nous
renvoyons le lecteur à toute cette production bien indigeste, aux <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dossiers H</i>, au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahier de l’Herne</i>, à ces comptes rendus: Colloque de
Cerisay-La-Salle, Colloque du centenaire, etc.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Dire que nous approchons du terme de la présente
humanité, c’est nécessairement reconnaître que la disqualification doit avoir
force de loi. La fin d’un cycle étant en correspondance inverse avec son
origine, la tendance qualifiante du temps présent doit être à l’image de la
tendance disqualifiante de l’âge d’Or ! Ainsi c’est non sans regret que nous
devons confesser notre disqualification irrémédiable. Que l’on se rassure cette
tendance disqualifiante ne peut être absolue. Il nous faut calmer ces quelques
frémissements d’impatience condescendante. Car enfin, peut-on avoir
l’outrecuidance de nier la qualification de tel ou tel ? En Occident n’y a-t-il
pas eu René Guénon ? Et bien oui justement, car voici l’exception qui confirme
la règle.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans le cloaque occidental, René Guénon a généré par
son autorité une formidable impulsion, une action concordante à la mesure de la
déchéance du monde moderne. Mais lorsqu’on mobilise une telle puissance, on en
ressent immédiatement le choc en retour. Que R. Guénon ait pu y résister,
personne n’en doute. Mais son ‘entourage’ plus ou moins immédiat le pouvait-il ?</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Une violente réaction concordante s’est alors
manifestée, prenant ainsi de multiples formes hiérarchisées. Plus le milieu
risquait d’être réceptif plus la réaction a été subtilement orchestrée. On peut
donc dire, à titre d’illustration, que le rejet a été bien plus fort dans les
milieux catholiques qu’il ne l’a été dans les milieux politiciens, littéraires
et universitaires (c’est-à-dire au sens de la Tradition: pseudo-intellectuels),
puisque bien évidemment les enjeux n’étaient pas du même ordre. Paradoxalement
l’épicentre de ce rejet se retrouve dans le milieu même que l’on qualifie de
‘guénonien’. On ne peut en être vraiment surpris puisqu’il fallait bien que la
réaction concordante cherche à agir au sein même du milieu où l’action
concordante risquait d’être la plus efficace. Ceux que l’on a voulu désigner
comme les premiers disciples de R. Guénon sont devenus volontairement ou non
des agents de cette réaction concordante dont on subit encore le contrecoup.
Que l’on ne s’étonne pas non plus d’y retrouver des individualités d’une
certaine stature seules capables de mettre en œuvre cette opposition
concordante apte à jeter le trouble dans ce milieu hétérogène (comme F. Schuon
parmi d’autres). On n’est jamais mieux trahi que par les siens. On comprend
ainsi pourquoi R. Guénon, avec véhémence, a toujours nié avoir eu des disciples
(voir plus loin). Il n’était que trop conscient des conditions de cette fin de
cycle et de la disqualification à résonance anti-traditionnelle voire
contre-initiatique qui la caractérise. Doit-on en conclure qu’il n’y a eu
aucune réponse ‘active’ à cette impulsion inaugurée par R. Guénon ? Non bien
évidemment. Il s’est alors construit une nouvelle action concordante mise en
oeuvre par des serviteurs qui se sont voulus ou crus fidèles. D’une amplitude
moindre (on peut difficilement en Occident être aussi qualifié que l’était René
Guénon), cette action concordante animée par le très petit nombre s’est
rapidement vu en but à ses propres limitations (trahissant ainsi René Guénon
par défaut; à l’exemple de M. Vâlsan ou D. Roman) ainsi qu’à une nouvelle
réaction concordante désireuse de confondre cette fidélité même (J. Reyor en
est peut-être l’un des meilleurs représentants). Si l’on observe le ‘milieu
guénonien’, on doit y trouver quasiment pas d’authentiques serviteurs, mais le
plus grand nombre de représentants de la réaction concordante, règne de la
quantité oblige. Les rôles les plus voyants et les plus sombres, les uns
masquant les autres, doivent revenir à ceux qui sont ainsi plus en adéquation
avec la mentalité moderne. Oubliant tout ce qu’ils doivent à R. Guénon, ils
n’ont que la critique et le mépris à la bouche. Critiques qu’ils auraient le
plus grand-peine à justifier si l’on avait plus souvent la volonté de les y
contraindre. Ainsi le ‘milieu guénonien’ qui devrait être le fer de lance d’une
action d’allégeance à la Tradition n’est bien que le creuset boueux d’une
réaction dispersante. Et pour comble, tout à été fait pour que l’on ne puisse
même pas lire l’œuvre de R. Guénon dans son intégrité et dans sa totalité !
(nous y reviendrons).</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">En nous appuyant toujours sur une analogie vibratoire,
on doit comprendre que R. Guénon n’a jamais pensé créer un phénomène de
résonance faisant vibrer le monde moderne au diapason de cette fréquence traditionnelle
dont il portait l’impulsion. Cette résonance n’aurait eu pour effet que de
ruiner prématurément le monde moderne en le privant de ses derniers
accomplissements. R. Guénon est venu soutenir cette puissance qui bien que
s’amoindrissant au fil du temps viendra mourir en fin de cycle entraînant avec
elle l’ultime dépôt de la tradition occidentale. Sa volonté était de faire en
sorte que le monde occidental aborde cette fin de cycle dans les meilleures
conditions par la ‘maîtrise’ de sa nature propre à la lumière de l’Orient seul
apte pour le guider. Son œuvre s’adresse aux ‘occidentaux’, au sens large du
terme, leur permettant dans un sacrifice libérateur (leurs individualités se
‘transformant’ dans l’accomplissement de leurs missions respectives) de devenir
les dépositaires effectifs de leur tradition et de la Tradition. Mais il semble
que l’ont n’ait pas voulu l’entendre. Car sous prétexte que la tradition
occidentale présente de ‘sérieux inconvénients’ on cherche à la fuir (presque
tous veulent se prendre pour des orientaux égarés en Occident) ou à lui prêter
des vertus qu’elle n’a pas. Combien d’occidentaux acceptent de voir leur
tradition telle qu’elle est pour en tirer les conclusions qui s’imposent. Un
peu de discernement empêcherait bien des illusions. Ne pourrait-on pas cesser
de voir des possibilités là où il n’y en a pas ?</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">S’il est un passage de l’œuvre de R. Guénon qui n’a
pas reçu toute l’attention qu’il méritait c’est bien celui-ci:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« (...) nous ne voulons pas non plus dissimuler
les difficultés; l’adaptation à telles ou telles conditions définies est
toujours extrêmement délicate, et il faut posséder des données théoriques
inébranlables et fort étendues avant de songer à tenter la moindre réalisation.
L’acquisition même de ces données n’est pas une tâche si aisée pour des
Occidentaux; en tout cas, et nous n’y insisterons jamais trop, elle est ce par
quoi il faut nécessairement débuter, elle constitue l’unique préparation
indispensable, sans laquelle rien ne peut être fait, et dont dépendent
essentiellement toutes les réalisations ultérieures, dans quelque ordre que ce
soit. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient et Occident</i>,
deuxième partie, ch. III.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Combien ont respecté ce conseil simple mais essentiel
? Aucun ? Souhaitons que non.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">R. Guénon ne pouvait qu’écrire dans l’avant-propos des
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur l’initiation</i>:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Quant à nous, nous ne sommes nullement chargé
d’amener ou d’enlever des adhérents à quelque organisation que ce soit, nous
n’engageons personne à demander l’initiation ici ou là, ni à s’en abstenir, et
nous estimons même que cela ne nous regarde en aucune façon et ne saurait
aucunement rentrer dans notre rôle. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;">Pseudo-continuateurs,
pseudo-disciples</span></b><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Il nous faut encore reproduire cette mise au point
publiée par R. Guénon en 1932:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Nous prions nos lecteur de noter: <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">1</b> - que, n’ayant jamais eu de
‘disciples’ et nous étant toujours absolument refusé à en avoir, nous
n’autorisons personne à prendre cette qualité ou à l’attribuer à d’autres, et
que nous opposons le plus formel démenti à toute assertion contraire, passée ou
future; <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">2</b> - que, comme conséquence
logique de cette attitude, nous nous refusons également à donner à qui que ce
soit des conseils particuliers, estimant que ce ne saurait être notre rôle,
pour de multiples raisons, et que, par suite, nous demandons instamment à nos
correspondants de s’abstenir de toute question de cet ordre, ne fût-ce que pour
nous épargner le désagrément d’avoir à y répondre par une fin de non-recevoir; <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">3</b> - qu’il est pareillement inutile de
nous demander des renseignements ‘biographiques’ sur nous-même, attendu que
rien de ce qui nous concerne personnellement n’appartient au public, et que
d’ailleurs ces choses ne peuvent avoir pour personne le moindre intérêt
véritable: la doctrine seule compte, et, devant elle, les individualités n’existent
pas. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Voile d’Isis</i>, 1932.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On présente ainsi bien souvent mais évidemment à tort
J. Evola ou F. Schuon comme des continuateurs de l’œuvre de René Guénon. Un
simple examen de leurs œuvres respectives permet de lever tous les doutes sur
une telle prétention. Prenons à titre d’exemple, les divergences radicales
concernant la ‘personnalité’ et l’œuvre de Dante:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Voyons ce que R. Guénon nous révèle du contenu
doctrinal du traité <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De Monarchia</i> de
Dante:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« L’Empereur, tel que le conçoit Dante, est tout
à fait comparable au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chakravartî</i> ou
monarque universel des Hindous, dont la fonction essentielle est de faire
régner la paix <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarvabhaumika</i>,
c’est-à-dire s’étendant à toute la terre (...) » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’ésotérisme de Dante</i>, ch. VII.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Nous avons noté ailleurs l’analogie qui existe
entre la conception du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chakravartî</i> et
l’idée de l’Empire chez Dante, dont il convient de mentionner ici, à cet égard,
le traité <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De Monarchia</i>. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Roi du Monde</i>, ch. II.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Le titre de ‘Roi du Monde’, pris dans son acception la
plus élevée, la plus complète et en même temps la plus rigoureuse, s’applique
proprement à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manu</i>, le Législateur
primordial et universel (...) » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ibid</i>.,
ch. II.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chakravartî</i>
(...) s’applique fort bien, suivant les données de la tradition hindoue, à la
fonction du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manu</i> ou de ses
représentants (...) » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ibid</i>.,
ch. II.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ainsi le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Traité
de la Monarchie</i> n’est-il rien moins qu’un ultime témoignage occidental sur
la doctrine du Roi du Monde.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Contre cette révélation, on a cherché à limiter
l’autorité de Dante, le jugeant incapable du discernement des rapports
hiérarchiques. On a ainsi réussi le tour de force de laisser croire que Dante,
l’auteur de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Divine Comédie</i>...,
voulait ignorer la dépendance de la royauté à l’égard du sacerdoce. Mais ce qui
est encore plus fort, c’est que l’on a reproché à R. Guénon de n’avoir pas
dénoncé cette soi-disant erreur dans la doctrine de Dante ! Il faut reconnaître
que la manoeuvre est habile et d’ailleurs elle a réussi à en abuser plus d’un.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Il est significatif de voir que certains de ceux que
l’on veut voir comme des ‘continuateurs’ ou des disciples de René Guénon, et
non des moindres, ont usé de cet artifice.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Faisant très certainement allusion, sans le citer, au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Traité de la Monarchie</i>, Julius Evola
déclare:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« (...) Contrairement à la tendance de certains
de surestimer l’ésotérisme de Dante, et malgré la présence effective de cet
ésotérisme dans beaucoup de ses conceptions, sur le plan où nous nous plaçons
ici [qui concerne la conception dantesque des rapports entre l’Eglise et
l’Empire] Dante apparaît bien davantage comme un poète et comme un combattant,
que comme celui qui affirme une doctrine sans compromis. Il montre trop de
passion et d’esprit partisan quand il est militant, alors qu’il est trop
chrétien et contemplatif quand il passe au domaine spirituel. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le mystère du Graal et l’idée impériale
gibeline</i>, ch. 26.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Il n’est pas surprenant de voir J. Evola reprocher à
Dante d’être trop chrétien et contemplatif quand il le voudrait à son image
comme un ‘<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kshatriya</i> révolté’. Ayant
une conception fautive de la doctrine du Roi du Monde, on ne peut être étonné
de constater que J. Evola sous-estime Dante. R. Guénon dans le compte rendu du
livre de J. Evola<i style="mso-bidi-font-style: normal;">, Rivolta contro il
mondo moderno</i>, dont la sobriété est bien révélatrice d’une critique contenue,
précise avoir des réserves à faire sur quelques points. Voici l’un d’entre eux:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Ainsi, quand il s’agit de la source originelle
des deux pouvoirs sacerdotal et royal, l’auteur a une tendance très marquée à
mettre l’accent sur l’aspect royal au détriment de l’aspect sacerdotal. »
[<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Comptes Rendus</i>, p. 13.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">R. Guénon explique par ailleurs:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Les Kshatriyas, même révoltés, ont plutôt
tendance à affirmer une doctrine tronquée, faussée par l’ignorance ou la
négation de tout ce qui dépasse l’ordre ‘physique’, mais dans laquelle
subsistent encore certaines connaissances réelles, quoique inférieures; ils
peuvent même avoir la prétention de faire passer cette doctrine incomplète et
irrégulière pour l’expression de la véritable tradition. Il y a là une attitude
qui, bien que condamnable au regard de la vérité, n’est pas dépourvue encore
d’une certaine grandeur. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Autorité
spirituelle et pouvoir temporel</i>, ch. III.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Cette attitude des Kshatriyas révoltés pourrait
être caractérisée assez exactement par la désignation de ‘luciférianisme’, qui
ne doit pas être confondu avec le ‘satanisme’, bien qu’il y ait sans doute
entre l’un et l’autre une certaine connexion; le ‘satanisme est le renversement
des rapports normaux et de l’ordre hiérarchique; et celui-ci est souvent une
conséquence de celui-là, comme Lucifer est devenu Satan après sa chute. »
[<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ibid</i>.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">N’est-ce pas une exacte illustration du point de vue
et de l’œuvre de J. Evola, même si comme le souligne R. Guénon:
« d’ailleurs, des termes comme ceux de ‘noblesse’, d’ ‘héroïsme’, d’
‘honneur’, ne sont-ils pas, dans leur acception originelle, la désignation des
qualités qui sont essentiellement inhérentes à la nature des Kshatriyas
? » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ibid</i>.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Un Kshatriya révolté ne peut restituer à la tradition
occidentale sa plénitude métaphysique. On ne peut que regretter cet aveuglement
de J. Evola, car son œuvre s’en trouve irrémédiablement diminuée voire
pervertie.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais venons-en à un détracteur bien plus influent dans
le ‘milieu guénonien’.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On a pu lire cette déclaration ‘signée’ de F. Schuon:
« Plus d’une fois, on a l’impression que René Guénon lit dans les
documents ce qu’il désire y trouver. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les Dossiers H.</i>]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">F. Schuon précise avec arrogance que cela est
« tout de même inouï que Guénon, qui s’est donné la peine d’écrire un livre
sur l’ésotérisme de Dante, et qui a cité <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De
Monarchia</i>, ait ignoré la thèse de son héros. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ibid</i>.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">A lire F. Schuon, cette thèse serait des plus
élémentaires, il semble pouvoir la résumer en quelques lignes, mais une simple
analyse des citations qu’il nous propose jette le doute sur sa prouesse. Il
nous dit en effet: « Pour Dante, l’autorité du Pape vient du Christ et
l’autorité de l’Empereur vient du Droit naturel ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ibid</i>.] En réalité le texte précis de Dante est: « Le fondement
de l’Eglise c’est le Christ (...) Le fondement de l’Empire, c’est le droit
humain » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">De Monarchia</i>, III, 10,
traduction B. Landry, Alcan.] Ce qui n’est visiblement pas comparable. F.
Schuon ne paraît pas avoir compris que pour Dante comme pour tout un chacun,
historiquement l’Eglise romaine est postérieure à l’Empire romain ! </span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Doit-on se fier à cette autre appréciation de F.
Schuon: « Pour Dante, ‘il est évident que l’autorité temporelle du
monarque descend sur lui de la source universelle de l’autorité, sans aucun
intermédiaire’; c’est la thèse du traité sur la Monarchie; l’Empereur ne reçoit
pas son autorité du Pape. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
Dossiers H.</i>]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Si telle était la thèse de Dante, pourquoi aurait-il
écrit un traité aussi élaboré, une simple phrase aurait suffit. Mais F. Schuon
veut manifestement ignorer le contenu doctrinal de ce traité et notamment les
références à la doctrine du Roi du Monde. Ignorance qui se fait jour dans un
texte antérieur, lourd de conséquences, où la question de la thèse de Dante est
là aussi débattue, ce qui n’est sans doute pas un pur hasard, mais avec des
développements bien différents. Il s’agit de l’article intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mystères christiques</i>, publié en 1948
dans les<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Etudes Traditionnelles</i>. F.
Schuon écrit:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le Christianisme - que l’on pourrait appeler
provisoirement une ‘religion initiatique’ si ce n’était là une contradiction
dans les termes - établit à maintes reprises, et pour ainsi dire à toute
occasion, la distinction entre les ‘Grands’ et les ‘Petits Mystères’ ».</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Puis il ajoute en note: « (...) A l’intérieur de
la Chrétienté d’Occident, on retrouve encore la distinction des deux grandes
catégories de ‘Mystères’ dans les fonctions respectives du Pape et de
l’Empereur: si Dante a soutenu la position de ce dernier, ce n’était point pour
défendre le pouvoir temporel contre l’autorité spirituelle, mais pour empêcher
les empiétements d’une autorité spirituelle délimitée, sur le terrain d’une
autre autorité spirituelle également délimitée, la papauté correspondant aux ‘Grands
Mystères’ et l’Empire - en tant qu’héritier du sacerdoce de la Rome antique -
aux ‘Petits Mystères’; tout le problème est dans le fait que Dante considère
l’Empereur, non dans son rôle politique, mais dans sa fonction spirituelle
héritée de la tradition romaine, et sanctionnée par ces paroles évangéliques:
‘Donnez à César ce qui est à César’. En un certain sens, le complément
exotérique naturel du Christianisme serait, pour Dante, non la Loi mosaïque,
mais l’Empire romain, la Loi romaine. Le Pape, puisqu’il était
incontestablement le successeur du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pontifex
Maximus</i> de Rome, croyait pouvoir prétendre par là à la fonction d’Empereur,
soit en s’attribuant un pouvoir temporel trop étendu, soit en considérant la
‘consécration’ de l’Empereur comme une ‘institution’: or, ce n’est de toute
évidence pas de Saint Pierre que César tenait son autorité, comme Dante
s’attache précisément à le démontrer. L’Empereur, puisqu’il était
incontestablement le successeur de César et d’Auguste, était par là aussi <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pontifex Maximus</i>, donc détenteur des
‘Petits Mystères’; la situation était insoluble en raison de la confusion des
pouvoirs. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On constate à la lecture de ce texte les multiples
insuffisances doctrinales de F. Schuon. Comment peut-on envisager une autorité
spirituelle détentrices des ‘<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Grands</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mystère</i>’ comme délimitée ? Ainsi le
Pontifex Maximus ne serait détenteur que des ‘Petits Mystères’ ! Chaque phrase
de ce texte porte à la confusion; Dante n’est ici préoccupé que par « le
complément exotérique du Christianisme » ! La faculté de F. Schuon à
invertir les hiérarchies s’exprime avec plus de complexité et moins de netteté
que chez J. Evola; elle n’en est que plus redoutable et les thèses développées
par F. Schuon ne font que détourner encore un peu plus les occidentaux de la
juste perception de leur tradition et notamment de la question occidentale du
Roi du Monde.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Les Occidentaux ont le plus grand mal à reconnaître
les limitations de leur propre tradition. R. Guénon soucieux de vérité n’a pas
manqué de les relever. Aussi n’est-il pas étonnant de voir une clientèle
nombreuse préférer les points de vue d’un J. Evola ou d’un F. Schuon qui les
étourdissent en leur contant que non seulement leur tradition n’est pas
incomplète mais qu’elle est même bien supérieure aux autres. J. Evola a ainsi
attribué à l’hermétisme une place illégitime comme F. Schuon a fait du
Christianisme une tradition tout à fait exceptionnelle. R. Guénon a dû
rectifier ces errances en publiant notamment deux articles respectivement: La <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tradition hermétique</i> en 1931 et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Christianisme et Initiation</i> en 1949.
Mais malgré cela, nombreux sont ceux qui continuent à se bercer d’illusion.
Ainsi J. Borella s’acharne encore à défendre la thèse de F. Schuon dans son
ouvrage<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Esotérisme guénonien et mystère
chrétien</i>. Il est plus que singulier d’y constater que si J. Borella fait de
F. Schuon un ‘penseur suisse’ ou de J. Evola un ‘philosophe ésotériste’, il ne
décerne le titre de ‘métaphysicien’ qu’à René Guénon, J. Vallin n’étant qu’un
‘philosophe et sanscritiste’. Par cette simple distinction ne se mettait-il pas
en contradiction avec sa propre thèse ? Car si R. Guénon est le ‘métaphysicien’
et F. Schuon un simple ‘penseur’, le premier n’a-t-il pas autorité sur le
second ?</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Rappelons, d’autre part, aux curieux de l’hermétisme
le danger d’une certaine initiation qu’on peut dire ‘dévoyée’. (Voir à ce sujet
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Comptes Rendus</i>, p. 47. Et notamment
la remarque concernant Fulcanelli.)</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Il nous faut en venir maintenant à un détracteur
tardif mais non moins habile de R. Guénon. L’une des dernières personnes que
l’on s’attendrait à voir jouer ce rôle si l’on ignorait le jeu de ces réactions
concordantes. Nous pouvons lire sous la signature de Jean Reyor (pseudonyme de
Marcel Clavelle) cette note que l’on pourrait croire anodine mais qui ne l’est
certainement pas:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Parmi les énigmes de l’œuvre de Guénon, « il en
est une aussi, à propos de Dante, dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Autorité
spirituelle et pouvoir temporelle</i>, d’une toute autre sorte (...) Il s’agit
de la citation de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De Monarchia</i> que
Guénon présente à l’appui de sa thèse de la primauté de l’autorité spirituelle.
Certes le passage cité, isolé de son contexte, peut se prêter à une telle
utilisation, mais comment Guénon, surtout dans un exposé public, a-t-il pu ne
pas se sentir obligé d’attirer, par une note, l’attention sur le fait que le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De Monarchia</i>, dans l’ensemble allait à
l’encontre de cette thèse ? » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les
cahiers de l’Herne</i>.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La primauté de l’autorité spirituelle est pour J.
Reyor une thèse, c’est-à-dire une opinion individuelle contestable et donc J.
Reyor implicitement la conteste. Il use alors de l’artifice que nous avons
dénoncé précédemment laissant entendre que Dante conteste cette thèse ! Il
laisse ainsi à penser au lecteur que R. Guénon qui ne pouvait ignorer ce
soi-disant désaccord aurait eu la perfidie de vouloir non seulement le cacher,
mais aurait voulu utiliser le texte de Dante pour accréditer sa propre thèse.
Il influence avec soin le lecteur puisqu’il a l’habileté d’ajouter que ce
passage du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">De Monarchia</i>, isolé de son
contexte peut se prêter à une telle utilisation. L’ironie est que même si l’on
voulait suivre J. Reyor en se reportant au passage considéré on aurait la
surprise de constater que le commentaire qu’en fait R. Guénon ne traite que des
attributions des deux pouvoirs et nullement de leur dépendance. D’ailleurs R.
Guénon n’a pas à accréditer sa ‘thèse’ puisque ce n’est pas une thèse mais la
plus élémentaire vérité et Dante n’a jamais nié cette vérité.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Si J. Evola a toujours affiché avec netteté son
désaccord avec René Guénon, si F. Schuon a finalement marqué son opposition en
développant une thèse subversive vis-à-vis de la tradition occidentale,
l’attitude de J. Reyor est d’une ambiguïté remarquable. Il n’affiche pas son
désaccord, il le suggère. Mais là encore c’est la juste compréhension de la
tradition occidentale qui est compromise. S’il fut sans doute l’un des
‘premiers’ dans l’entourage de R. Guénon, il est devenu le ‘dernier’ à pouvoir
prétendre représenter l’aboutissement de l’œuvre de R. Guénon.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Aurait-on la volonté de nous faire croire que l’œuvre
de René Guénon ne porte pas en elle-même son propre aboutissement ? C’est sans
doute avec cette prétention inouïe que les articles de J. Reyor ont été
rassemblés en plusieurs ouvrages portant le titre perfide: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pour un aboutissement de l’œuvre de René Guénon</i>. Ainsi si l’on ne
consulte pas les écrits de J. Reyor, l’œuvre de R. Guénon nous est à jamais
inaccessible. La manœuvre ferait sourire s’il ne s’agissait que d’un argument
purement commercial. Mais le plus grave c’est que non seulement ces ouvrages ne
constituent pas un aboutissement de l’œuvre de R. Guénon qui n’en n’a nul
besoin, ni une aide quelconque, mais que bien au contraire ils sont là pour
détourner le lecteur d’une juste compréhension de cette œuvre. Qu’il nous
suffise de citer ce passage bien révélateur:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« L’œuvre de Guénon est trop universelle pour
être, à elle seule, le support intellectuel d’une vie spirituelle et il n’y a
pas de ‘voie guénonienne’, mais l’œuvre a le mérite exceptionnel, unique
peut-être, de fournir des ‘pierres de touche’ pour distinguer partout la vérité
intacte de ses innombrables déformations et de ses multiples dégénérescences et
un ‘fil d’Ariane’ pour se guider au milieu de la masse d’informations qui nous
sont parvenues relativement aux diverses traditions. Nous dirions volontiers
qu’il y a, pour chacun, un moment où il doit ‘quitter’ René Guénon et son
universalité pour ‘s’enfermer’ mentalement (aussi bien que psychiquement et
même ‘corporellement’) dans une forme traditionnelle déterminée des différents
aspects de laquelle il doit acquérir une connaissance aussi complète que
possible. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pour un aboutissement
de l’œuvre de René Guénon</i>, volume I, p. 41.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Le voilà donc ce sinistre aboutissement que l’on
voudrait nous voir suivre !</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Il nous faut maintenant dire quelques mots sur
l’édition même de l’œuvre de René Guénon, en précisant que J. Reyor, M. Vâlsan
et Roger Maridort ont pris une part active à sa publication. Le lecteur ne doit
surtout pas ignorer que cette action s’est faite au détriment de l’oeuvre. Mais
une première remarque s’impose avant d’en venir aux ‘ouvrages posthumes’. Le
lecteur ne peut se fier aux rééditions des ouvrages publiés du vivant de R.
Guénon. Prenons deux exemples récents. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme
de la croix</i> dont la deuxième édition date de 1950 aura vu toutes ses
rééditions défigurées (par de nombreuses fautes d’impression qui altèrent
certains passages du texte) jusqu’à cette dernière édition de 1996 qui enfin
semble les corriger. Mais dans le même temps, la réédition récente (1997) de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Introduction</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">à l’études des doctrines hindoues</i> se présente sans ‘table des
matières’ !</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On veut nous faire croire que l’œuvre de R. Guénon a
été rééditée dans son intégralité ce qui est un mensonge éhonté. Une part très
importante d’articles et de compte rendus n’a jamais été réédité et le reste
l’a été avec des fautes et de nombreuses négligences. Qui veut connaître
effectivement toute cette œuvre, doit se lancer dans une quête parfois
difficile. J. Reyor est le premier des acteurs de ce massacre suivi de M.
Vâlsan et de R. Maridort a qui revient la palme de la négligence. J. Reyor est
le responsable des deux premiers ouvrages posthumes: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Initiation et Réalisation spirituelle</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur l’ésotérisme</i> chrétien. Dans le premier, il n’indique
même pas l’année de publication de chacun des articles rassemblés, quant au
second qui ne devait être que provisoire et qui est toujours réédité c’est un
recueil de circonstance qui ne correspond à rien et déforme la vision de R.
Guénon sur la question que son titre suggère. M. Vâlsan a préparé le troisième
intitulé dans un premier temps <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symboles
fondamentaux de la Science sacrée</i>. Dans cet ouvrage, M. Vâlsan a fait
preuve de partialité en ne reproduisant pas l’intégralité des articles écrits
par R. Guénon pour la revue <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Regnabit</i>,
ou en faisant état de sa correspondance avec R. Guénon ce qui ne pouvait se
légitimer. Au lieu d’avoir été refait, l’ouvrage paraît maintenant sous le
titre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symboles de la Science sacrée</i>
dans une version abrégée, censurée, ce qui le rend peu présentable. Ainsi là
encore c’est l’œuvre de R. Guénon qui en pâtit. Enfin R. Maridort s’est chargé
de tous les autres ouvrages posthumes multipliant ainsi les publications afin
de mieux disperser, semble-t-il, cette œuvre pourtant écrite pour ‘rassembler
ce qui est épars’. Cette dispersion s’achève avec le volume intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mélanges</i> dont le titre ne pouvait pas
être plus mal choisi lorsque l’on connaît le texte du compte rendu par R.
Guénon pour le numéro spécial des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Cahiers
du Sud</i> intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mélanges sur l’Inde</i>.
Voici ce qu’il y écrivait:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Ce titre n’est peut-être pas très heureux en lui-même,
mais il faut reconnaître que, en fait, il exprime assez bien le caractère du
contenu qui est effectivement très ‘mélangé’; c’est d’ailleurs ce qui arrive à
peu près inévitablement dans une revue ‘ouverte’ à laquelle manque l’unité de
direction doctrinale. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Choisir un tel titre: est-ce pour nous faire
comprendre que l’oeuvre de R. Guénon manque de cette unité de direction
doctrinale ?</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">R. Maridort ne s’est pas limité à cette impardonnable
maladresse. Il a cru bon de faire rééditer <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le
Théosophisme</i> en y adjoignant des comptes rendus qui n’ont bien souvent rien
à voir avec le contenu du livre. On lui doit enfin une réédition en format
poche du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symbolisme de la croix</i>
(1970) avec une préface de R. Amadou. Une apothéose lorsque l’on sait ce que R.
Guénon pensait de cet auteur. Rendant compte du livre de R. Amadou intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’occultisme, Esquisse d’un monde vivant</i>,
(1950), R. Guénon écrivait en effet:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« L’auteur, au lieu de réserver, comme il se
devrait, le nom d’ ‘occultisme’ aux conceptions spécifiquement modernes pour
lesquelles il a été inventé, l’étend indûment, sur la foi de quelques
similitudes apparentes, aux choses les plus différentes et même les plus
contraires en réalité. Il confond ainsi sous un même vocable les diverses
formes de l’ésotérisme traditionnel authentique et leurs déviations et
contrefaçons multiples, citant les unes et les autres indistinctement et
mettant le tout sur le même plan, sans parler des sciences dites ‘occultes’,
des arts divinatoires et autre choses de ce genre. On peut facilement imaginer
toutes les contradictions et les équivoques qui résultent d’un pareil mélange,
dans lequel le meilleur et le pire sont inextricablement confondus; l’auteur ne
paraît même pas s’apercevoir qu’il lui arrive de citer avec approbation des
écrits qui sont en opposition formelle avec ses thèses; ainsi, il va jusqu’à
nous mentionner en nous appliquant le qualificatif d’ ‘occultiste’ ce qui est
vraiment un comble ! Comme si ce défaut n’était pas suffisant, il y a aussi,
dans la façon dont toutes ces choses sont envisagées, une grave erreur de point
de vue, car elles sont présentées comme constituant tout simplement une
‘philosophie (...) Ce n’est pas à dire qu’il ne se trouve pas parmi cela
quelques vues intéressantes sur des points de détail; mais l’ensemble,
disons-le nettement, est un véritable chaos (...) Un tel livre ne peut
assurément que contribuer pour sa part à augmenter le désordre intellectuel de
notre époque, dont il est lui-même un excellent exemple. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Comptes Rendus</i>, p. 114.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Le lecteur est maintenant prévenu. Ce qu’on lui
présente comme l’édition de l’oeuvre de René Guénon est très loin de ce que ce
dernier se devait d’attendre. En terme juridique, on peut tout à fait dire que
son ‘droit moral’ est véritablement bafoué.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Il est un article de René Guénon qui a fait l’objet
d’une interprétation partisane. Il s’agit du texte intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Les mystères de la lettre Nûn</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Symboles fondamentaux de la Science sacrée</i>,
ch. XXIII.) Il est nécessaire de démontrer que contrairement à ce que l’on
pourrait croire certains passages d’une étude de M. Vâlsan ne sauraient être
entendus comme une application légitime de cet article. Suivons le texte de R.
Guénon qui conclut ainsi son article:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Ce que nous venons de dire en dernier lieu
permet d’entrevoir que l’accomplissement du cycle, tel que nous l’avons
envisagé, doit avoir une certaine corrélation, dans l’ordre historique, avec la
rencontre des deux formes traditionnelles qui correspondent à son commencement
et à sa fin, et qui ont respectivement pour langues sacrées le sanscrit et
l’arabe: la tradition hindoue, en tant qu’elle représente l’héritage le plus
direct de la Tradition primordiale, et la tradition islamique, en tant que
‘sceau de la Prophétie’ et, par conséquent, forme ultime de l’orthodoxie
traditionnelle pour le cycle actuel. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Citons maintenant un court passage de l’étude de M.
Vâlsan :</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Nous avons vu plus haut que, selon une de ses
applications notées par Guénon, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i>
arabe figure l’Arche du Déluge, or celle-ci contient ‘tous les éléments qui
serviront à la restauration du monde et qui sont aussi les germes de son état
futur’ (René Guénon, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Roi du Monde</i>,
ch. XI.) L’Islam, forme traditionnelle venue en conclusion du cycle
prophético-législatif et destinée à rester la seule forme pratiquée sur terre
avant la fermeture du cycle cosmique de la présente humanité, accomplira une
telle fonction, parce qu’il a été constitué avec les caractères de généralité
humaine et d’universalité spirituelle exigées à cette fin. Le Sceau de la
Prophétie a reçu les Paroles synthétiques (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Jawâmi’al-Kalim</i>)
correspondant aux prophètes législateurs, et ceux-ci constituent ensuite autant
de types spirituels réalisables en formule muhammadienne; et c’est par la vertu
de ce caractère totalisateur qu’il lui revient de recueillir et d’intégrer des
éléments appartenant à l’ensemble de l’humanité traditionnelle. L’Arche de la
fin de notre cycle est la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sharî’a</i>
(Coran et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sunna</i>) de l’Islam. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">na</i> sanscrit de son côté, et selon une
signification corrélative à celle du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i>
comme arche, correspondant à l’arc-en-ciel, phénomène céleste et lumineux, se
rapporte naturellement à la connaissance transcendante. Le rôle qui revient à
la tradition hindoue doit bien en effet être d’ordre informel et contemplatif
pur; il coïncidera, en somme, avec cet enseignement réservé dont parlait
Abdu-l-Karîm al-Jîlî et que nous avons déterminé comme devant être celui du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vêdânta</i> auquel, du côté islamique,
répond celui du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tasawwuf</i> et plus
précisément encore de l’Identité Suprême ou du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tawhîd</i> métaphysique et initiatique. En tout état de cause, dans
l’intégration finale dont il s’agit, l’Hindouisme ne peut jouer aucun rôle sur
le plan formel de la tradition (...) » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le triangle de l’Androgyne et le monosyllabe ‘Om’</i> in <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Islam et la fonction de René Guénon</i>,
p. 139.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Notre intention n’est pas de contester le point de vue
particulier de M. Vâlsan, mais de montrer qu’il ne se conforme pas à ce que
nous suggère le texte de R. Guénon.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Lorsque M. Vâlsan déclare que ‘le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i> arabe figure l’Arche du Déluge’, il s’éloigne de la pensée de
R. Guénon. Ce dernier précise dans son article que la lettre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i>:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« est constituée par la moitié inférieure d’une
circonférence, et par un point qui est le centre de cette même circonférence.
Or, la demi-circonférence inférieure est aussi la figure de l’arche flottant
sur les eaux, et le point qui se trouve à son intérieur représente le germe qui
y est contenu ou enveloppé. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On voit ici que ce n’est pas la lettre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i> proprement dite, mais la
demi-circonférence qui figure l’arche. Ce n’est pas qu’un simple nuance.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Mais citons maintenant le passage de l’article de R.
Guénon qu’il convient de confronter:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Revenons maintenant à la forme de la lettre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i>, qui donne lieu à une remarque
importante au point de vue des relations qui existent entre les alphabets des
différentes langues traditionnelles: dans l’alphabet sanscrit, la lettre
correspondante <i style="mso-bidi-font-style: normal;">na</i>, ramenée à ses
éléments géométriques fondamentaux, se compose également d’une
demi-circonférence et d’un point; mais ici, la convexité étant tournée vers le
haut, c’est la moitié supérieure de la circonférence, et non plus sa moitié
inférieure comme dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i> arabe.
C’est donc la même figure placée en sens inverse, ou, pour parler plus
exactement, ce sont deux figures rigoureusement complémentaires l’une de
l’autre; en effet, si on les réunit, les deux points centraux se confondant
naturellement, on a le cercle avec le point au centre, figure du cycle complet,
qui est en même temps le symbole du Soleil dans l’ordre astrologique et celui
de l’or dans l’ordre alchimique. De même que la demi-circonférence inférieure
est la figure de l’arche, la demi-circonférence supérieure est celle de l’arc-en-ciel,
qui en est l’analogue dans l’acception la plus stricte du mot, c’est-à-dire
avec l’application du ‘sens inverse’; ce sont aussi les deux moitiés de l’
‘Oeuf du Monde’, l’une ‘terrestre’, dans les ‘eaux inférieures’, et l’autre
‘céleste’, dans les ‘eaux supérieures’; et la figure circulaire, qui était
complète au début du cycle, avant la séparation de ces deux moitiés, doit se
reconstituer à la fin du même cycle. On pourrait donc dire que la réunion des
deux figures dont il s’agit représente l’accomplissement du cycle, par la
jonction de son commencement et de sa fin, d’autant plus que, si on les
rapporte plus particulièrement au symbolisme ‘solaire’, la figure du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">na</i> sanscrit correspond au Soleil levant
et celle du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i> arabe au Soleil
couchant. D’autre part, la figure circulaire complète est encore habituellement
le symbole du nombre 10, le centre étant 1 et la circonférence 9; mais ici,
étant obtenue par l’union de deux <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i>,
elle vaut 2 x 50 = 100 = 10<sup>2</sup>, ce qui indique que c’est dans le
‘monde intermédiaire’ que doit s’opérer la jonction; celle-ci est en effet
impossible dans le monde inférieur, qui est le domaine de la division et de la
‘séparativité’, et, par contre, elle est toujours existante dans le monde
supérieur, où elle est réalisée principiellement en mode permanent et immuable
dans l’ ‘éternel présent’. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">R. Guénon précise que le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i> a la forme d’une demi-circonférence, mais il ne laisse pas
entendre que tout symbole ayant l’aspect d’une demi-circonférence est un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i>. Ainsi le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i> n’est qu’une des figures de l’arche et la tradition que cette
lettre symbolise n’est ainsi qu’une des traditions qui participe à
l’élaboration de l’arche. On ne peut donc considérer cette formulation:
‘L’Arche de la fin de notre cycle est la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sharî’a</i>
(Coran et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sunna</i>) de l’Islam’, comme
une conclusion que l’on puisse déduire du texte de R. Guénon.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">D’ailleurs l’arche doit être fermée ‘par le haut’ pour
s’immerger dans les ‘deux Océans’. La demi-circonférence inférieure doit s’unir
à la demi-circonférence supérieure dans le même monde, dans le monde
intermédiaire. Mais ce qu’il importe surtout de considérer dans cette question
ce n’est pas l’enveloppe mais ce qu’elle contient: le germe. Ce germe mobilise
toutes les traditions authentiques pour s’élaborer avant la fermeture de
l’arche. Il est au centre de l’arche, exactement à la surface des eaux pour
concilier les éléments formels et informels de chaque tradition dont le dépôt
franchit le cycle. Une tradition ne peut avoir un rôle exclusif sur le plan
formel ou informel. Chaque tradition est à l’image de la Tradition primordiale
et comme image elle joue nécessairement un rôle formel jusqu’à la fermeture de
l’arche à moins qu’elle n’ait totalement disparu avant cette échéance. Cette
harmonisation des différentes traditions, cette conciliation, même si chaque
tradition joue un rôle spécifique, ne se fait pas d’une façon systématique,
leur universalité s’y oppose. Chaque tradition revendique cette universalité à
juste titre mais aucune ne peut se l’accaparer si ce n’est d’une façon relative
et sur le plan exotérique uniquement. Ainsi, le point de vue développé par M.
Vâlsan, réducteur de celui de R. Guénon, se cantonne dans le domaine
exotérique.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La tradition hindoue nous enseigne que la présente
humanité est entrée dans la phase extrême du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kali-Yuga</i>, c’est-à-dire dans la fin du présent <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i> ou ère d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manu</i>.
Cette échéance est la plus importante qu’une humanité puisse avoir à affronter.
Toute fin d’un cycle donné est à considérer selon deux aspects principaux:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- Un épuisement des possibilités en potentialité à
l’origine du cycle envisagé et qui doivent s’y manifester.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">- Une synthétisation du germe qui porte les
potentialités du cycle qui doit lui succéder.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce qui ne s’épuise pas, c’est donc justement le germe
du cycle futur. On peut dire que cette synthétisation du germe est ‘passive’,
‘obscure’, au sens où le germe est ‘ce qui reste’. L’épuisement sera alors
‘actif’ et constituera la part visible de l’activité dans une fin de cycle.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans le cadre d’une fin de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i>, l’humanité consacre ainsi toute sa puissance à cet
épuisement des possibilités. Bien que ces ultimes possibilités soient dans leur
écrasante majorité de nature anti-traditionnelle voire contre-initiatique, on
oublie de voir qu’une part de ces possibilités qui s’épuisent sont de nature
traditionnelle et notamment initiatique. En effet, on semble ne pas comprendre
que le germe ne concernera que l’humanité future et qu’ainsi l’action
traditionnelle dans cette fin de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i>
doit épuiser toutes les possibilités traditionnelles qui ne se résorberont pas
dans le germe du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i> futur.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette notion d’épuisement traditionnel doit permettre
de mieux appréhender, en cette fin de cycle, le milieu traditionnel et de mieux
comprendre son action. Le texte de R. Guénon (Les mystères de la lettre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nûn</i>) que nous venons de citer permet de
connaître le domaine où se résorbe le germe du cycle futur, ou d’un autre point
de vue, dans quel domaine l’arche se forme.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On comprend ainsi que l’épuisement concerne les
possibilités du monde inférieur, domaine de la division et de la ‘séparativité’
ainsi que les possibilités du monde intermédiaire qui pourraient s’opposer à la
jonction de l’arche si elles ne devaient pas être épuisées.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On peut donc dire que c’est ce qui ‘se sépare’ qui
s’épuise et aussi que tout ce qui s’épuise se sépare. La Tradition, dans la
diversité de ses formes, réalise alors cet épuisement des aspects qui tendent
vers une matérialisation et un formalisme de plus en plus accentués. Les
communautés se divisent dans la désorganisation et le fractionnement des voies
traditionnelles en de multiples chemins tortueux aboutissant dans cet
effritement même à des impasses de fait, même si ce ne sont pas des impasses de
principe. La Tradition, presque entière, se déchire entre la ‘cristallisation’
propre à l’intégrisme et la ‘dissolution’ propre au progressisme. La fin ultime
d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i> ne peut laisser la
place à une éventuelle restauration de certaines formes ou aspects de la
Tradition. Lorsque les temps sont proches tout ce qui ne saurait être recueilli
dans l’arche doit s’éteindre.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">L’intégrisme se crispe sur la forme extérieure d’une
tradition au lieu de chercher à en conserver l’essentiel qui habitera le germe
du cycle futur; c’est un ‘conservatisme’, un vishnouïsme amoindri presque
stérile.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Le progressisme détruit la forme extérieure mais ne
sait aller au-delà de cette forme; c’est un shivaïsme puéril qui détruit tout
ce qu’il touche au lieu de le ‘transformer’, c’est-à-dire d’atteindre
l’essentiel qui est derrière la forme.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">L’œuvre de René Guénon, comme sa fonction, n’est en
rien ‘intégriste’ ou ‘progressiste’, mais elle aide à l’accomplissement et donc
à l’épuisement des rares possibilités supérieures de la Tradition (dans ses
différentes formes) sans oublier la plus haute d’entre elles, c’est-à-dire la
possibilité de la Délivrance qui restera une possibilité exceptionnelle
‘jusque’ dans le non-temps du basculement d’un cycle à l’autre.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette œuvre, dans sa dimension shivaïte, est de
révéler la Tradition primordiale, c’est-à-dire d’atteindre à la connaissance
des principes. Dans sa dimension vishnouïte, elle se concentre sur le ‘germe’
plus que sur l’arche qui le contiendra. Le shivaïsme essentiel est bien de se
détacher de la forme pour se transformer et réintégrer le Principe. Le
vishnouïsme essentiel, en cette fin de cycle, est de se préoccuper avant tout
du ‘germe’ plutôt que des aspects particuliers de l’arche.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce soucis d’exclusivisme que nous avons constaté chez
M. Vâlsan et qui se présente pour ce dernier sous cette équation arche = Islam,
prend une autre forme chez Denys Roman (pseudonyme de Marcel Maugy) et se
conjugue ainsi arche = Franc-Maçonnerie, comme semble bien nous l’indiquer ce
passage de son ouvrage intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">René
Guénon et les destins de la Franc-Maçonnerie</i>, (Avant-Propos):</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« De tous les personnages du Nouveau Testament,
il n’en est aucun qui ait avec la fin du cycle des rapports aussi intimes que
les deux saints Jean. Et l’on peut en déduire qu’un Ordre placé sous leur
patronage particulier doit lui aussi avoir quelque relation avec cette fin. Il
ne faut pas chercher ailleurs, pensons-nous, la raison pour laquelle cet Ordre
a été ‘élu’ pour devenir ‘Arche’ où s’est produit ‘l’entassement’ de tout ce qu’il
y a eu de vraiment initiatique dans le monde occidental. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Pour les uns et pour les autres, il n’est sans doute
pas inutile de relire deux passages de l’œuvre de R. Guénon:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Nous pouvons affirmer ceci: jamais aucune
organisation orientale n’établira de ‘branches’ en Occident. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Orient et Occident</i>, deuxième partie, ch.
III.] </span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Les disciples de F. Schuon, de M. Vâlsan, de R.
Maridort, de M. Pallavicini, etc. voudraient-ils faire mentir René Guénon ?
Mais appartiennent-ils à des organisations orientales ?</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Le dépôt de la connaissance initiatique
effective n’est plus gardé réellement par aucune organisation
occidentale. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Roi du Monde</i>,
ch. VIII.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Là encore les disciples de J. Reyor, de D. Roman, de
J. Tourniac, etc. veulent-ils nous faire croire que René Guénon se trompe ?</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Auteur très prolixe, Jean Tourniac (pseudonyme de
Jean-Léon Granger) a publié notamment des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Propos
sur René Guénon</i> (qui ont connu une nouvelle édition en deux volumes sous le
titre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Présence de René Guénon</i> où
l’auteur donne la pleine mesure de ses bavardages déformants) dans lesquels il
prouve son incompréhension de l’œuvre de R. Guénon. En voici un exemple:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Il faudrait ajouter aux considérations
précédentes que la rencontre des Guénoniens, à laquelle nous avons fait
allusion, aurait, par contrecoup, une influence bénéfique pour la Maçonnerie,
en lui faisant prendre conscience de sa valeur opérative (...) [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Propos sur René Guénon</i>, p. 146.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;">Bouddhisme
et Hindouisme</span></b><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Lorsque l’on prétend justifier les deux attitudes de
René Guénon vis-à-vis du Bouddhisme, on en vient à déclarer:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Il est devenu commun de dire que Guénon s’est
trompé à ce propos du fait qu’il a modifié, à partir de la seconde édition de
l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Introduction</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">générale à l’étude des doctrines hindoues</i>, sa position initiale à l’égard
de cette tradition. Or, cette rectification s’est accompagnée de beaucoup de
restrictions et de nuances que certains négligent aujourd’hui. Il ne faut pas
oublier que Guénon n’a jamais renié les critiques qu’il avaient formulées
initialement; il les considérait, tout au contraire, comme parfaitement
orthodoxes par référence aux réfutations formulées par Shankarâchârya à la
lumière de la doctrine traditionnelle dont il était l’interprète. Si la
position que Guénon adopta dans la deuxième édition reflétait les vues de
l’hindou Coomaraswamy, qui étaient traditionnelles et orthodoxes, celles de la
première édition reflétait celles de l’hindou Shankarâchârya qui, tout en
procédant d’un autre point de vue, ne l’étaient pas moins. Faute de tenir
compte de ces nuances, pourtant capitales, on aboutit à de nouvelles
incompréhensions. » [Charles-André Gilis, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Introduction à l’enseignement et au mystère de René Guénon</i>, p. 89.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Il est vrai de dire que R. Guénon ne s’est pas trompé
puisqu’il n’a cessé d’exposer un point de vue orthodoxe (c’est le critère même
de son œuvre), bien que ce point de vue ne soit à proprement parler ni celui de
Shankara ni celui de Coomaraswamy. Mais il est faux de conclure, comme
l’insinue M. Gilis, que si R. Guénon ne s’est pas trompé c’est parce qu’il
n’aurait cessé de considérer le Bouddhisme comme une hérésie. Pour accréditer
sa thèse, M. Gilis, qui se dit ‘disciple orthodoxe’ de Guénon !, écrit en
effet:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« De plus, et ceci est plus rarement mentionné,
le Christianisme et le Bouddhisme constituent tous deux ‘une hérésie formelle
au point de vue de la tradition’ dont ils sont issus, comme René Guénon le
mentionna expressément à propos du second. S’il s’est montré plus discret au
sujet du Christianisme, cela n’est peut-être pas sans rapport avec les
‘raisons’ pour lesquelles il disait n’avoir ‘jamais senti aucune inclination
pour traiter spécialement ce sujet’. Il est en tous cas extrêmement
significatif que son article <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Christianisme
et Initiation</i>, dont sont extraites les citations qui précèdent, débute
justement par un rapprochement entre ‘l’Eglise chrétienne’ et le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sangha</i> bouddhique. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ibid</i>., p. 87.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Considérons le texte écrit par R. Guénon dans son
article intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Christianisme et
Initiation</i>:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« C’est cette extension illégitime qui donna lieu
ultérieurement, dans le Bouddhisme indien, à certaines déviations telles que la
négation des castes: le Bouddha n’avait pas à tenir compte de celles-ci à
l’intérieur d’une organisation fermée dont les membres devaient, en principe
tout au moins être au-delà de leur distinction; mais vouloir supprimer cette
même distinction dans le milieu social tout entier constituait une hérésie
formelle au point de vue de la tradition hindoue. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aperçus sur l’ésotérisme chrétien</i>, p. 11, note 2.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">C’est donc bien l’extension illégitime qui constitue
une hérésie formelle et non le Bouddhisme en soi. On sait gré à M. Gilis de
tendre à dissiper les ‘incompréhensions’, mais son obsession à vouloir
démontrer que le Christianisme est une hérésie est telle qu’elle le pousse sur
ce point à une interprétation fallacieuse de celui qu’il désigne comme son
maître.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Il est significatif de constater que lorsque l’on
dénonce une erreur manifeste de lecture de l’œuvre de R. Guénon comme nous le
faisons ici-même, l’intéressé n’a, le plus souvent, même pas l’honnêteté de
reconnaître sa négligence. Dans ce cas précis, non seulement M. Gilis n’a pas
voulu reconnaître le ‘droit moral’ le plus élémentaire de René Guénon qui
consiste à respecter son œuvre; mais il a préféré nous assimiler à un mauvais
plaisant: Jean Robin, qui à l’exception d’un livre lisible mais contestable, se
complaît dans la publication de fictions pseudo-ésotériques. Nous ne sommes
donc ni un diffamateur ni un plagiaire.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;"><span style="margin: 0px;"> </span>Ne
doutant pas que R. Guénon ait pu se tromper au regard du Bouddhisme et rendant
compte de l’ouvrage de M. Gilis, Elie Lemoine (connu aussi sous le pseudonyme
de Moine d’Occident) écrit:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Il est sans doute vrai de dire, comme le fait
M. Gilis, que la première position de Guénon reflétait le point de vue hindou
qui fut celui de Shankarâchârya, et pour lequel le Bouddhisme ne représentait
qu’une hérésie, il n’en demeure pas moins que Guénon a rapporté et fait sienne
la ‘légende des portes de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Agarttha</i>
se fermant devant le Bouddha à la suite de sa révolte’, ce qui n’est pas
précisément lui conférer un brevet d’orthodoxie. Mais il y a plus encore, et ce
n’est pas M. Gilis qui nous contredira si nous disons que Guénon parlait au nom
de la tradition primordiale et non à celui d’une tradition particulière. Dès lors,
le jugement qu’il portait sur la tradition bouddhique n’était pas <i style="mso-bidi-font-style: normal;">seulement</i> le reflet de celui de
Shankarâchârya, et il fallut les informations mises à sa disposition par Ananda
K. Coomaraswamy pour qu’il revienne sur sa position initiale. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Theologia sine metaphysica nihil</i>, p.
218.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Est-il permis de dire que les interprétations de
Charles-André Gilis et de Elie Lemoine relatives aux sources de référence de
Guénon au regard du Bouddhisme sont loin de rendre pleinement compte de la
réalité ? R. Guénon ne s’est pas fait l’interprète de Shankara pour ce qui
concerne le Bouddhisme puisque pour ce dernier le Bouddhisme comme tel n’existe
pas. Shankara ne réfute que certaines écoles dont la doctrine était censée
refléter les enseignements du Bouddha. Et puisque René Guénon parlait bien au
non de la Tradition primordiale, il n’avait pas à ‘suivre’ le point de vue de
A. K. Coomaraswamy. L’argumentation qu’il développe dans les éditions
successives de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Autorité spirituelle et
pouvoir temporel</i> ne doit rien à Shankara ni à A. K. Coomaraswamy. Il
écrivait dans la première édition (1929, ch. VI.) de cet ouvrage:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Les modernes théories ‘évolutionnistes’, sous
leurs diverses formes, ne sont pas les seuls exemples de cette erreur qui
consiste à mettre toute réalité dans le ‘devenir’, bien qu’elles y aient
apporté une nuance spéciale par l’introduction de la récente idée de ‘progrès’;
des théories de ce genre ont existé dès l’antiquité, notamment chez les Grecs,
et ce cas fut aussi celui du Bouddhisme. Or, précisément, le Bouddhisme fut,
dans l’Inde, une des principales manifestations de la révolte des<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Kshatriyas</i>, de même que le Jaïnisme qui
l’avait précédé et avec lequel il offre, sur bien des points, des similitudes
s’expliquant aisément par leurs relations historiques, mais qui ne prit jamais
une aussi grande extension. Il est connu que Shâkya-Muni, le fondateur du
Bouddhisme, appartenait à la caste des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kshatriyas</i>,
mais il ne semble pas qu’on songe habituellement à tirer de ce fait les
conséquences qu’il comporte; pourtant, on ne peut comprendre vraiment le
caractère de cette doctrine hétérodoxe sans l’envisager sous cet aspect. On a
pu voir, en effet, par ce que nous avons exposé [(...) Le pouvoir temporel se
ruine lui-même en méconnaissant sa subordination vis-à-vis de l’autorité
spirituelle, parce que, comme tout ce qui appartient au monde du changement, il
ne peut se suffire à lui-même, le changement étant inconcevable et
contradictoire sans un principe immuable (...)], le lien très direct qui existe
entre la négation de tout principe immuable et celle de l’autorité spirituelle,
entre la réduction de toute réalité au ‘devenir’ et l’affirmation de la
suprématie des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kshatriyas</i>; et il faut
ajouter que, en soumettant l’être tout entier au changement, on le réduit par
là même à l’individu, car ce qui permet de dépasser l’individualité, ce qui est
transcendant par rapport à celle-ci, ce ne peut être que le principe immuable
de l’être, qui est nié formellement par le Bouddhisme. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Dans la deuxième édition (1947, ch. VI.) de ce même
ouvrage, R. Guénon écrit:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« (...) des théories de ce genre ont existé dès
l’antiquité, notamment chez les Grecs, et ce cas fut aussi celui de certaines
formes du Bouddhisme, que nous devons d’ailleurs regarder comme des formes
dégénérées ou déviées, bien que, en Occident, ont ait pris l’habitude de les
considérer comme représentant le ‘Bouddhisme originel’. En réalité, plus on
étudie de près ce qu’il est possible de savoir de celui-ci, plus il apparaît
comme différent de l’idée que s’en font généralement les orientalistes;
notamment, il semble bien établi qu’il ne comportait aucunement la négation de
l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Âtmâ</i> ou du ‘Soi’, c’est-à-dire du
principe permanent et immuable de l’être, qui est précisément ce que nous avons
surtout en vue ici; Que cette négation ait été introduite ultérieurement dans
certaines écoles du Bouddhisme indien par les Kshatriyas révoltés ou sur leur
inspiration, ou qu’ils aient seulement voulu l’utiliser pour leurs fins
propres, c’est ce que nous ne chercherons pas à décider, car cela importe peu
au fond, et les conséquences sont les mêmes dans tous les cas. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Puis R. Guénon ajoute cette note très éclairante:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« On ne peut invoquer, contre ce que nous disons
ici du Bouddhisme originel et d’une déviation ultérieure, le fait que
Shâkya-Muni lui-même appartenait par sa naissance à la caste des Kshatriyas,
car ce fait peut très légitimement s’expliquer par les conditions spéciales
d’une certaines époque, conditions résultant des lois cycliques. On peut du
reste remarquer, à cet égard, que le Christ aussi descendait, non de le tribu
sacerdotale de Lévi, mais de la tribu royale de Juda. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La question du Bouddhisme se résume donc d’une
certaine façon à l’interprétation de l’appartenance de Shâkya-Muni à la caste
des Kshatriyas. Il est très significatif de voir René Guénon répondre à sa
propre objection. La Règle voulait que Shâkya-Muni soit un Kshatriya révolté,
l’exception ‘cyclique’ en fait un Bouddha. L’œuvre de René Guénon expose
toujours la Règle avant d’envisager l’exception, ce qui est on ne peut plus
orthodoxe et pédagogique. Cette caractéristique rend ainsi son œuvre
particulièrement adaptée à la tradition occidentale. Mais qui s’en étonnerait ?</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Citons un passage de la traduction de l’ouvrage
intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hindouisme et bouddhisme</i> de
A. K. Coomaraswamy (1949, Gallimard, p. 151.):</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Nous pensons en avoir assez dit pour montrer
sans doute possible que le ‘Bouddha’ et le ‘Grand Personnage’, l’ ‘Arhat’, le
‘Devenu-Brahma’ et le ‘Dieu des Dieux’ des textes palis est l’Esprit même et
l’Homme Intérieur de tous les être, et qu’il est ‘Cela’ qui Se fait Soi-même
multiple et en qui tous les êtres ‘redeviennent’; que le Bouddha est Brahma,
Prajâpati, la Lumière des Lumières, le Feu ou le Soleil, le Premier Principe
enfin, sous quelque nom que les anciens livres s’y réfèrent, et pour montrer
que, pour aussi poussée que soit la description de la ‘vie’ et des exploits du
Bouddha, ce sont les actes de Brahma en tant qu’Agni et Indra qu’ils
rapportent. Agni et Indra sont le Prêtre et le Roi <i style="mso-bidi-font-style: normal;">in divinis</i>, et c’est avec ces deux possibilités que le Bouddha est
né, ce sont ces deux possibilités qu’il réalise, car, bien qu’en un sens son
royaume ne soit pas de ce monde, il est également certain qu’en tant que
Chakravartî il est à la fois prêtre et roi dans le sens même où le Christ est
Prêtre et Roi. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Rendant compte de ce même ouvrage, R. Guénon écrit:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Un autre point qui est d’un grand intérêt est
celui-ci: les noms et épithètes du Bouddha, d’une façon générale, sont, aussi
bien que ses actes, ceux mêmes que la tradition védique rapporte plus
spécialement à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Agni</i> et à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Indra</i>, à qui aussi la désignation d’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Arhat</i> est très souvent appliquée; or, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Agni</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Indra</i> sont respectivement le Sacerdoce et la Royauté in divinis;
c’est précisément avec ces deux possibilités que le Bouddha est né, et l’on
peut dire que, en choisissant la première, il les a réalisées toutes deux, car
c’est là un des cas où, comme il a été dit plus haut [(...) Dieu est une
Essence sans dualité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adwaita</i>), mais
qui subsiste dans une double nature, d’où la distinction du ‘Suprême’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">para</i>) et du ‘Non-Suprême’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">apara</i>), auxquels correspondent, à des
points de vue divers, toutes les dualités dont un des termes, étant subordonné
à l’autre, est contenu ‘éminemment’ dans celui-ci (...)], l’un des deux termes
est contenu ‘éminemment dans l’autre. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Etudes sur l’Hindouisme</i>, p. 195.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On voit ici que R. Guénon n’adopte pas le même point
de vue que A. K. Coomaraswamy concernant l’identification du Bouddha au
Chakravartî. Il déclarait d’ailleurs dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Roi du Monde</i>, (ch. II):</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« L’idée d’un personnage qui est prêtre et roi
tout ensemble n’est pas une idée très courante en Occident, bien qu’elle se
trouve, à l’origine même du Christianisme, représentée d’une façon frappante
par les ‘Roi-Mages’; même au moyen âge, le pouvoir suprême (selon les
apparences extérieures tout au moins) y était divisé entre la Papauté et
l’Empire. Une telle séparation peut être considérée comme la marque d’une organisation
incomplète par en haut, si l’on peut s’exprimer ainsi, puisqu’on n’y voit pas
apparaître le principe commun dont procèdent et dépendent régulièrement les
deux pouvoirs; le véritable pouvoir suprême devait donc se trouver ailleurs. En
Orient, le maintien d’une telle séparation au sommet même de la hiérarchie est,
au contraire, assez exceptionnel, et ce n’est guère que dans certaines
conceptions bouddhiques que l’on rencontre quelque chose de ce genre; nous
voulons faire allusion à l’incompatibilité affirmée entre la fonction de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Buddha</i> et celle de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chakravartî</i> ou ‘monarque universel’, lorsqu’il est dit que
Shâkya-Muni eut, à un certain moment, à choisir entre l’une et l’autre. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">R. Guénon ajoutait dans la première édition de ce même
ouvrage:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« D’ailleurs, il est permis de penser que ce fut
là tout autre chose qu’un choix volontaire, car le fait qui est ainsi présenté
par le Bouddhisme semble bien n’être autre en réalité que celui qu’indiquent à
la fois Saint-Yves et M; Ossendowski: Shâkya-Muni, alors qu’il projetait sa
révolte contre le Brâhmanisme, aurait vu les portes de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Agarttha</i> se fermer devant lui. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Cette confrontation de textes permet d’entrevoir que
la question des liens du Bouddha avec l’Agarttha sont bien complexes et ne se
résument pas à l’attribution ou non d’un simple brevet d’orthodoxie.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On aura donc compris que l’autorité de Guénon n’est
subordonnée à aucune autorité ‘extérieure’. Son œuvre est totalement
‘originale’ et ‘originelle’ et chez lui l’erreur apparente peut bien se révéler
être une vérité cachée.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce n’est pas ainsi que semble l’avoir compris Denys
Roman qui naïvement, comme beaucoup d’autres, est convaincu que René Guénon a
réellement commis « quelques erreurs qu’on peut relever dans certains de
ses ouvrages », même s’il déclare:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« De ces deux erreurs, les deux qui aient
vraiment de l’importance et dont on puisse tirer quelques ‘enseignements’ (car,
chez Guénon, absolument rien ne saurait être sans signification, et même sans
une signification souvent très importante) concernent le bouddhisme et les
rapports entre l’autorité spirituelle et le pouvoir temporel. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">D. Roman n’a même pas compris que l’enseignement est
justement de se rendre compte qu’il n’y a pas d’erreur dans l’œuvre de René
Guénon. Où sont d’ailleurs les autres erreurs présumées ? Mais poursuivons
notre citation du texte de D. Roman:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Arrêtons-nous cependant sur le ‘scandale’ que
pourraient causer à certains l’erreur (réparée) de Guénon sur le bouddhisme et
celle de Dante sur la primauté du spirituel. Nous rappellerons à ce propos que
l’autorité des maîtres spirituels authentiques les plus éminents est cependant
inférieure à l’autorité des Livres sacrés. La chose est d’ailleurs d’une
évidence criante quand on pense à l’illustre Shankaracharya, considéré par les
Hindous comme un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatara</i> mineur de
Shiva, mais qui ‘déraillait’ aussitôt qu’il se risquait à parler d’une
tradition autre que la sienne, au point d’assurer tranquillement, dans ses
admirables <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Commentaires sur les</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-sutras</i>, que Shakya-muni avait
inventé sa pernicieuse doctrine du bouddhisme afin de nuire à l’humanité pour
laquelle il avait conçu une haine sans merci. Guénon, pensons-nous, était
supérieur à Shankara comme il l’était à Dante, parce que son horizon
intellectuel n’était pas limité à une seule tradition comme le Maître hindou,
ou même à deux ou trois traditions comme l’Alighieri. De toute façon, ce qui
pourrait nous ‘troubler’ dans l’enseignement guénonien, ce n’est pas si cet
enseignement contenait tel ou tel ‘défaut’ de grande ou de minime importance,
mais bien s’il était en contradiction avec les Livres sacrés des diverses
traditions, et avant tout avec ceux de la tradition particulière du peuple dans
la langue duquel il a formulé son message. Cette tradition est le
Christianisme, dont le Livre sacré est la Bible. Les adversaires de Guénon ont
fait assaut d’imagination pour le mettre en contradiction avec le Livre des
livres: il n’y sont pas parvenus (...) » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Réflexions d’un Chrétien sur la Franc-Maçonnerie</i>, p. 48.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">D. Roman n’a visiblement jamais consulté le
Commentaire de Shankara sur les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-Sûtras</i>
dans l’original sanscrit, sinon il saurait que Shankara ne ‘déraille’ pas
puisqu’il ne réfute pas le ‘Bouddhisme’ mais certaines écoles ! Ainsi R. Guénon
serait ‘supérieur’ à un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i> de
Shiva. Un tel propos montre l’ignorance de l’auteur. D’ailleurs comment peut-il
juger de l’état spirituel de René Guénon ? Enfin, D. Roman rejoint tous ces
Chrétiens et ces Musulmans qui se sont interrogés sur l’orthodoxie de l’œuvre
de R. Guénon au regard de tel ou tel aspect de la Tradition. N’ont-ils pas
compris que R. Guénon dit plus que telle ou telle forme traditionnelle ne le
peuvent, puisqu’il parle au nom de leur principe commun.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">L’étude des doctrines hindoues est un des conseils
impérieux de R. Guénon. Leur intérêt se confirme lorsque l’on mesure le
caractère fructueux des échanges entre R. Guénon et A. K. Coomaraswamy. Mais ce
conseil n’est-il pas resté lettre morte ?</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Comment comprendre l’attitude de René Allar ou celle
d’Alain Daniélou ? Ce dernier n’a-t-il pas méconnu la dimension métaphysique de
la tradition hindoue ? [Voir <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Comptes
Rendus</i>, p. 265.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Comment comprendre l’errance de H. Hartung qui écrit
dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">L’Iris et Le Lotus</i> ?:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« Au lendemain de ma rencontre avec le Maharshi
et de mon entrée sur une Voie traditionnelle, je l’aborde unilatéralement, au
nom des arguments, à vrai dire accablants, de René Guénon et de Julius Evola
pour qui la psychanalyse se rapproche ‘<i style="mso-bidi-font-style: normal;">même
sans le</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vouloir</i>’ du spiritisme.
Puis, dans le cadre de mon métier d’enseignant au service de l’éducation
permanente, je découvre ce milieu intellectuel pénétré de théories
psychologiques et fais la connaissance de Karlfried Graf Dürckheim, formé par
... Jung, avant de découvrir le Zen. »</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On regrettera enfin que les Jalons pour un accord
doctrinal entre l’Eglise et le Vedânta posés par un Moine d’Occident dans son
ouvrage <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Doctrine de la Non-Dualité</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">advaita-vâda</i>) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">et Christianisme</i> ne l’aient pas été à partir d’un contact plus
direct avec l’œuvre de Shankara...</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;">Métaphysique
occidentale</span></b><span style="font-size: 14pt; margin: 0px;"></span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<br /></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">On a conservé le texte d’une conférence faite par R.
Guénon en Sorbonne (17 décembre 1925). On peut y lire ce passage:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« J’ai pris comme sujet de cet exposé la métaphysique
orientale; peut-être aurait-il mieux valu dire simplement la métaphysique sans
épithète, car, en vérité, la métaphysique pure, étant par essence en dehors et
au-delà de toutes les formes et de toutes les contingences, n’est ni orientale
ni occidentale, elle est universelle; Ce sont seulement les formes extérieures
dont elle est revêtue pour les nécessités d’une exposition, pour en exprimer ce
qui est exprimable, ce sont ces formes qui peuvent être soit orientales, soit
occidentales; mais, sous leur diversité, c’est un fond identique qui se
retrouve partout et toujours, partout du moins où il y a de la métaphysique
vraie, et cela pour la simple raison que la vérité est une. S’il en est ainsi,
pourquoi parler plus spécialement de métaphysique orientale ? C’est que, dans
les conditions intellectuelles où se trouve actuellement le monde occidental,
la métaphysique y est chose oubliée, ignorée en général, perdue à peu près
entièrement, tandis que, en Orient, elle est toujours l’objet d’une connaissance
effective. Si l’on veut savoir ce qu’est la métaphysique, c’est donc à l’Orient
qu’il faut s’adresser; et, même si l’on veut retrouver quelque chose des
anciennes traditions métaphysiques qui ont pu exister en Occident, dans un
Occident qui, à bien des égards, était alors singulièrement plus proche de
l’Orient qu’il ne l’est aujourd’hui, c’est surtout à l’aide des doctrines
orientales et par comparaison avec celles-ci que l’on pourra y parvenir, parce
que ces doctrines sont les seules qui, dans ce domaine métaphysique, puissent
encore être étudiées directement (...) J’ai dit métaphysique orientale, et non
uniquement métaphysique hindoue, car les doctrines de cet ordre, avec tout ce
qu’elles impliquent, ne se rencontrent pas que dans l’Inde, (...) Le cas de l’Inde
n’est nullement exceptionnel sous ce rapport; il est exactement celui de toutes
les civilisations qui possèdent ce qu’on peut appeler une base traditionnelle
(...) La seule différence, c’est que, partout ailleurs que dans l’Inde, ces
doctrines sont réservées à une élite plus restreinte et plus fermée (...) Dans
l’Inde, on ne peut parler d’ésotérisme au sens propre de ce mot, parce qu’on
n’y trouve pas une doctrine à deux faces, exotérique et ésotérique; il ne peut
être question que d’un ésotérisme naturel, en ce sens que chacun approfondira
plus ou moins la doctrine et ira plus ou moins loin selon la mesure de ses
propres possibilités intellectuelles, car il y a, pour certaines individualités
humaines, des limitations qui sont inhérentes à leur nature même et qu’il leur
est impossible de franchir. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">La
métaphysique orientale</i>, p. 5.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Si l’on entend le conseil impérieux de R. Guénon. On
doit par l’étude de la métaphysique hindoue rétablir une ‘forme’ d’expression
de la métaphysique occidentale et atteindre ainsi cette métaphysique ‘sans
épithète’, c’est-à-dire la métaphysique pure. L’œuvre de R. Guénon participe de
l’élaboration de cette ‘forme’, en l’occurrence ‘latine’. On peut ainsi lire en
français:</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« la métaphysique affirme l’identité foncière du
connaître et de l’être, qui ne peut être mise en doute que par ceux qui
ignorent ses principes les plus élémentaires; et, comme cette identité est
essentiellement inhérente à la nature même de l’intuition intellectuelle elle
ne l’affirme pas seulement, elle la réalise. » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Introduction générale à l’étude des doctrines hindoues</i>, chapitre
intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">La réalisation métaphysique</i>.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">Ce texte est fondamental. Il permet de comprendre que
la métaphysique est opérative, éminemment opérative comme la Connaissance même.</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">« S’il en est ainsi, c’est que toute connaissance
vraie et vraiment assimilée est déjà par elle-même, non une réalisation
effective sans doute, mais du moins une réalisation virtuelle, si l’on peut
unir ces deux mots qui, ici, ne se contredisent qu’en apparence; autrement on
ne pourrait dire avec Aristote qu’un être ‘est tout ce qu’il connaît’ » [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ibid</i>., chapitre intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Vêdânta</i>.]</span></div>
<br />
<div style="margin: 0px; text-align: justify; text-justify: inter-ideograph;">
<span style="font-size: 12pt; margin: 0px;">La mentalité occidentale a rejeté et rejette la
métaphysique, elle refuse de comprendre. Comment s’étonner alors que la Vérité
rejette l’Occident ?</span></div>
<b></b><i></i><u></u><sub></sub><sup></sup><strike></strike>Bruno Hapelhttp://www.blogger.com/profile/05525415697835975358noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5088615654452892767.post-78840139887901756512018-10-28T04:34:00.002-07:002019-02-27T05:14:21.158-08:00SHANKARA – Hymne à Dakshinâmûrti<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 18pt;">SHANKARA –
Hymne à Dakshinâmûrti<o:p></o:p></span></b></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<span style="font-size: 12pt;">Hymne traduit à partir de l’original sanscrit composé
par Shankara.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<span style="font-size: 12pt;">Sachant que le terme dakshinâmûrti signifie, si on le
décompose en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshinâ-mûrti</i>, l’aspect
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mûrti</i>) qui fait face au Sud (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshinâ</i>). Celui qui fait face au Sud
doit, pour remplir pleinement cette exigence, être placé au Nord sur l’axe des
pôles, car c’est de ce point unique que l’on fait toujours face au Sud.
Dakshinâmûrti est donc Shiva en tant que Pôle, ce point originel moteur
immobile du manifesté. C’est d’ailleurs le sens de ce terme si on le décompose
en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshina-amûrti</i>, il est le
principe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshina</i>) informel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-mûrti</i>, non-forme). Il est celui qui
produit le manifesté sans être lui-même manifesté, celui qui engendre le
mouvement et donc le temps sans être lui-même soumis au temps. En ce sens, on
le représente sous les traits d’un jeune adolescent, montrant ainsi qu’il n’est
pas soumis à cette condition temporelle. Cette dimension primordiale est encore
soulignée d’une façon particulièrement nette par le mode de son enseignement le
« silence », le plus éminent symbole du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirguna Brahma</i>, du Non-Etre.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">Introduction</span></b><span style="font-size: 12pt;">-« Celui qui enseigne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyâkhyâ</i>) par le Silence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mauna</i>)
la vérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tattva</i>) réalisée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prakatita</i>) du Suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">para</i>) Brahma, qui est un adolescent
(yuvân), qui est le prince (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indra</i>)
des précepteurs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âchârya</i>), entouré (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âvrita</i>) d’un groupe de disciples (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">gana</i>), de très vieux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">varshishtha</i>) sages (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rishi</i>) absorbés (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nishtha</i>)
fermement en Brahma, celui dont l’attitude de la main signifie l’Illumination (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit-mudra</i>), celui qui est la
représentation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mûrti</i>) de la
béatitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ânanda</i>), qui se complaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ârâma</i>) dans le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-âtmâ</i>), qui a un doux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mudita</i>)
visage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vadana</i>)- C’est [lui], « l’Aspect
[de Shiva] qui fait face au Sud » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dakshinâ</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mûrti</i>), que nous adorons ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<span style="font-size: 12pt;">Le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mauna</i>
que l’on traduit par « silence » désigne littéralement « l’état
de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Muni</i> ». Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Muni</i> est celui qui a atteint le plus
haut état spirituel. Identifié dans le Non-Etre, il est le symbole même du
non-manifesté dont le silence est le suprême emblème. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mauna</i> est ainsi le symbole du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirguna
Brahma</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">1</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « A lui qui, par <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>, comme en rêve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nidrâ</i>,
sommeil), voit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pashya</i>) en son for
intérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ni-ja-antar-gata</i>)
l’univers <i style="mso-bidi-font-style: normal;">(vishva</i>) qui est en lui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>), comme une cité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nagarî</i>) apparaissant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">DRiSH</i>) dans un miroir (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darpana</i>), [mais] qui est manifesté (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ud-BHû</i>) comme extérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bahih</i>): à lui qui perçoit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâkshât-KRI</i>), à l’instant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samaya</i>) de l’éveil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prabodha</i>), son propre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>)
Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) comme non-duel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-dvaya</i>): à lui qui est la forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mûrti</i>) même du Guru, le bienheureux
Dakshinâmûrti, à lui cet hommage ! »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">2</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « A lui qui, comme un magicien (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâyâvî</i>, le fils de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>) ou même comme un grand (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>)
Yogî, déploie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-JRiMBH</i>), par son
propre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>) pouvoir (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ichchhayâ</i>), cet univers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>) indifférencié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-vikalpa</i>) à l’origine (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prân</i>) comme le bourgeon (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ankura</i>) à l’intérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antar</i>) du germe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bîja</i>), mais différencié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitrî-krita</i>)
ensuite par les diverses (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vaichitrya</i>)
conditions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kalanâ</i>) d’espace (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">desha</i>) et de temps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâla</i>) posées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kalpita</i>)
par <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>: à lui qui est la forme même
du Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui cet hommage ! »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">3</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « A lui dont la luminosité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sphurana</i>) qui est être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>) par nature (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma-ka</i>) éclaire (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHâS</i>)
le monde manifesté (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kalpa-artha-ka</i>)
qui est comme le néant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-sat</i>): à lui
qui enseigne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BUDH</i>), par l’injonction
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vachas</i>) du Veda « tu es
cela » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat tvam asi</i>), ceux qui
le sollicitent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">â-SHRI</i>): à lui par
qui, s’il est réalisé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karana BHû</i>),
il n’y aura plus d’autre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">punar</i>)
chute (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âvritti</i>, retour) dans l’océan
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambhonidhi</i>) de l’existence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhava</i>): à lui qui est la forme même du
Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui cet hommage ! »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<span style="font-size: 12pt;">L’injonction citée dans cette strophe se rattache au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sâma-Veda</i> et se trouve énoncée dans la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chândogya-upanishad</i> (VI, 8, 7). Elle
fait partie des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i> (les
paroles essentielles). Chaque <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâvâkhya</i>
est rattaché à un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i>. Au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rig-Veda</i> correspond l’injonction
« La connaissance est Brahma » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-jnânam
Brahma</i>) énoncée dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Aitareya-upanishad</i>
(V, 3). Au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yajur-Veda</i> correspond
l’injonction « Je suis Brahma » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham
Brahma asmi</i>) énoncée dans la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brihad-âranyaka-upanishad</i>
(I, 4, 10). Et à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Atharva-Veda</i>
correspond l’injonction « le Soi est Brahma » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ayam âtmâ Brahma</i>) énoncée dans la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mândûkya-upanishad</i> (2).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">4</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « A lui qui est lumineux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâs-vara</i>) comme l’éclat (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prabhâ</i>)
d’une grande lampe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-dîpa</i>)
installée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthita</i>) au sein (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">udara</i>, ventre) d’un vase (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ghata</i>) percé de nombreux trous (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chidra</i>): à lui dont la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>) s’extériorise (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bahih SPAND</i>) par l’oeil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chakshus</i>) et par les autres organes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karana</i>): à lui qui rayonne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHâ</i>) en tant que « je sais » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">JNâ</i>) et l’univers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>) entier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samasta</i>)
brille par lui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anu-BHâ</i>): à lui qui
est la forme même du Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui cet hommage
! »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">5</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « Ceux qui connaissent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">VID</i>) le « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>)
en tant que corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deha</i>), souffle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâna</i>), organes de sensation et d’action
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indriya</i>), intellect changeant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chala-buddhi</i>) ou comme [étant] l’absence
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shûnya</i>, vide) sont abusés (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHRAM</i>) comme les femmes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">strî</i>) et les enfants (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bâla</i>), les aveugles (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">andha</i>) et les sots (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jada</i>, inerte), et ils parlent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâdî</i>)
beaucoup: à lui qui est le destructeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sam</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hârî</i>) de la grande illusion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vyâmoha</i>) produite (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kalpita</i>) par le jeu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vilâsa</i>) de la puissance de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâyâ-shakti</i>): à lui qui est la forme même du Guru, le bienheureux
Dakshinâmûrti, à lui cet hommage ! »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">6</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « A l’esprit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pumân</i>), qui dans le sommeil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sushupta</i>)
est pur être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat-mâtra</i>), les sens (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karana</i>) anéantis (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upa-sam-HRi</i>), et qui dans le retrait du voilement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samâchchhâdana</i>) de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>, comme le soleil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">divâkara</i>)
et la lune (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indu</i>) dans l’éclipse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">râhu-grasta</i>), reconnaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">praty-abhi</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">JNâ</i>) au réveil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prabodha-samaya</i>,
condition d’éveil): « j’ai dormi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SVAP</i>)
jusqu’à maintenant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâk</i>) »: à
lui qui est la forme même du Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui cet
hommage ! »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">7</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « A lui qui, par l’attitude de la main
signifiant la réalisation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhadra-mudra</i>),
manifeste (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prakatî</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">KRi</i>) à ses fidèles (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhajan</i>) son propre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>)
Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) qui brille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SPHUR</i>) pour toujours (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sadâ</i>) intérieurement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antar</i>) en tant que « Je » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), constamment (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anu-vartamâna</i>), dans tous (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>)
les états (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avasthâ</i>) inconstants (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyâvritti</i>) tels que l’enfance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bâlya</i>), etc., l’état de veille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jâgrat</i>), etc.- à lui qui est la forme
même du Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui cet hommage ! »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">8</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « A l’esprit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">purusha</i>) qui, abusé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pari</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHRAM</i>) par <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>, voit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">PASH</i>), en
rêve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svapna</i>) et à l’état de veille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jâgrat</i>), l’univers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishva</i>) dans ses distinctions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bheda</i>)
telles que cause (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârana</i>) et effet (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârya</i>), propriété (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sambandha</i>) et propriétaire (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svâmi</i>),
maître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âchârya</i>) et disciple (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shishya</i>), fils (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">putra</i>) et père (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pitri</i>),
etc.: à lui qui est la forme même du Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui
cet hommage ! »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">9</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « A lui dont l’octuple (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ashtaka</i>) forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mûrti</i>)
est tout [cet univers] mouvant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chara</i>)
et immuable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-chara</i>), apparaissant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">â-BHâ</i>) en tant que terre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhû</i>), eau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambhas</i>), feu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anala</i>), air
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anila</i>), éther (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambara</i>), soleil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ahar-nâtha</i>),
lune (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">himâmshu</i>) et esprit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pumân</i>): à lui le suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">para</i>), le tout-pénétrant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-bhu</i>), au-delà duquel rien d’autre
n’est à connaître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">VID</i>) pour ceux qui
sont en quête (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vimrishan</i>): à lui qui
est la forme même du Guru, le bienheureux Dakshinâmûrti, à lui cet hommage
! »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="-ms-text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">10</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « Puisque, dans cet hymne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">stava</i>), l’état du Soi intégral (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva-âtma-tva</i>)
a été ainsi expliqué (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sphutî KRi</i>); en
l’écoutant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shravana</i>), en
réfléchissant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manana</i>) à sa
signification (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">artha</i>, le but), en le
méditant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhyâna</i>) et en le récitant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samkîrtana</i>), [alors] s’accompliront (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">AS</i>) le royaume (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îshvaratva</i>) et la suprême splendeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vibhûti</i>) de cet état de Soi intégral (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-âtma-tva</i>); ainsi sera réalisé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SIDH</i>), à nouveau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">punar</i>),
le pouvoir prodigieux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îshvarya</i>),
sans obstacle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vyâhata</i>), qui se
présente (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pari-NAM</i>) sous huit formes
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ashta-dhâ</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
Bruno Hapelhttp://www.blogger.com/profile/05525415697835975358noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5088615654452892767.post-19547317048362993312018-10-28T04:12:00.000-07:002019-02-27T05:14:36.470-08:00SHANKARA, Maître de la Non-Dualité<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 18pt;">SHANKARA, Maître de la Non-Dualité<o:p></o:p></span></b></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt;">L’avatâra de Shiva</span></b><span style="font-size: 14pt;"><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">La Providence divine ne
manque jamais de répondre à une sollicitation justifiée de la Tradition. Elle
révèle alors un être dont la présence répondra à cette attente. Shankara est
l’un de ces êtres exceptionnels. Nous ne retiendrons des récits de sa vie que
les événements qui sont les symboles révélateurs de sa véritable nature et de
sa fonction. Les circonstances de sa conception humaine nous en offrent une
première illustration.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les futurs parents de
Shankara ne parvenaient pas à avoir de descendance. Afin d’obtenir une aide
divine, ils partirent en pèlerinage vers le grand temple de Shiva pour
accomplir les rites favorables à leur demande. Une nuit le Seigneur Shiva leur
apparut en rêve pour accéder à leurs prières. Leur descendance serait assurée,
mais ils devaient malgré tout choisir entre avoir un grand nombre d’enfants
stupides et méchants mais dont les existences seraient longues ou bien n’avoir
qu’un seul fils bon et intelligent mais dont la vie serait brève. Le fils
unique fut l’objet de leur choix.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Contre toute attente, les
futurs parents de Shankara font un choix contraire à la logique qui doit
prévaloir en ce temps de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kali-Yuga</i>,
d’Âge Sombre, qui était le leur et le notre présentement. Cette phase finale du
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manvantara</i>, ou ère d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Manu</i>, est en effet caractérisée par le
règne de la quantité au détriment de la qualité et par la ruine de l’esprit
traditionnel. Le choix qui se voudrait adapté à cette phase devrait être celui
d’une abondante progéniture aux qualités médiocres. Les futurs parents de
Shankara font donc un choix héroïque en faveur de la sauvegarde de la
Tradition. Il sacrifie l’abondance de longévité, la quantité temporelle (le
temps étant d’ailleurs de peu de qualité dans cette phase, l’avoir en abondance
est sans grande valeur) à la qualité intellectuelle et donc spirituelle. La
fulgurance providentielle de l’autorité spirituelle est retenue. Le pouvoir lié
à ces nombreuses destinées égarées dans la volonté de puissance est ainsi
rejeté. Le choix des futurs parents de Shankara est celui de la Tradition qui
sollicite ainsi l’intervention de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avatâra</i>
éternel qui se manifeste par cette naissance d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i> mineur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">amsha-avatâra</i>)
de Shiva. Un fils unique pourvu de toutes les qualités de l’Esprit.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">« Ô descendant de
Bharata, toutes les fois qu’il se produit un déclin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">glâni</i>) de l’Ordre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>,
Loi) et que le désordre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-dharma</i>, le
non-Ordre) se dresse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhy-ut-thâna</i>),
alors (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tadâ</i>) Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>)<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>me projette (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SRiJ</i>, envoyer) Moi-même (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>, soi-même) ». [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhagavad-Gîtâ</i>, IV, 7.]<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara voit ainsi le jour
dans le village de Kâladi (Kâlati) au Kérala, province située à l’extrême
Sud-Ouest de l’Inde méridionale. Cette localisation de la naissance de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i> paraît en contradiction avec le
sens de sa mission. On le verrait venant de l’Est (d’où la lumière paraît) et
mieux encore du Nord (symbole du pôle spirituel). Mais puisqu’il descend en cet
Âge Sombre, ce <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kali-Yuga</i> où tout est
objet de confusion et de désordre, il doit opérer une réorientation de la
Tradition. Ainsi bien que fondamentalement en Orient, il descend en cet
Occident tout relatif pour le réorienter. L<i style="mso-bidi-font-style: normal;">’avatâra</i>
redresse le Sud en Nord et l’Ouest en Est. Il descend donc symboliquement en ce
lieu situé en Orient, mais à l’extrême Sud-Ouest. Les sources traditionnelles
(multiples mais cohérentes sur le plan de la géographie sacrée) concernant son
existence laissent entendre qu’il quitta son corps en un lieu situé à l’Est ou
au Nord-Est, marquant ainsi l’aboutissement de cette réorientation.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Ses parents portent des noms
bien significatifs. Son père se nomme Shiva-Guru et sa mère Ârya-Ambâ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambâ</i>, mère, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ârya</i>, noble)<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Si l’on s’attarde selon le
système de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">katapayâdi</i> (lié à
l’ordonnancement du syllabaire sanscrit) sur la numérologie du nom qui lui fut
donné <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ShaNKaRa</i>, on obtient 5512 (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sh</i> 5; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">N</i> 5; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">K</i> 1; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">R</i> 2) qui inversé, comme il est d’usage
pour les datations, donne 2155:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Le chiffre 2 désigne le deuxième mois lunaire, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vaishakha</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Le chiffre 1 montre qu’il s’agit de la première moitié de
ce mois (la moitié blanche), <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shukla
paksha</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Le chiffre 5 indique le cinquième jour, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tithi</i>, c’est-à-dire <i style="mso-bidi-font-style: normal;">panchamî</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Shankara est donc né le cinquième jour dans la première
moitié du mois de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vaishakha</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">La Tradition le fait naître
au tout début du Vème siècle avant notre ère. L’historicisme veut le voir
naître à la fin du VIIIème siècle de notre ère, soit pratiquement treize
siècles plus tard. La science historique ne s’intéresse qu’aux individus et à
ce qui les différencie, elle ignore la réalité d’une fonction traditionnelle
qui peut être assurée par différentes individualités tout au long des siècles,
toutes ces individualités portant alors le même nom puisqu’elles assument la
même fonction. Shankara est avant tout le symbole même d’une telle fonction traditionnelle:
celle de Porte-parole suprême de la Connaissance transmise par la Tradition.
Cette fonction est née avec la Tradition, le nom de Shankara ne la représente
que pour une phase particulière du cycle de la présente humanité. Cette phase
appartenant au temps qualifié, elle ne peut se réduire à la durée quantitative
d’une existence humaine. D’ailleurs, l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i>
est-il seulement tributaire de la naissance ? Il n’est que le reflet de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avatâra</i> éternel.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">La cinquième année de
Shankara est considérée comme celle du décès de son père Shivaguru et celle de
son <i style="mso-bidi-font-style: normal;">upanayana</i>. On le dit déjà versé
dans la connaissance des textes de la Tradition et sa précocité est telle qu’il
lui suffit d’un cycle de cinq ans (le nombre cinq est symboliquement celui de
l’homme individuel, du Microcosme) pour se voir remettre le cordon brahmanique.
Ceci ne déroge pas véritablement à la règle même si l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upanayana</i> est généralement conféré à l’âge de sept ans.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">La mort du père de Shankara
conforte symboliquement sa fonction d’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i>.
Il est alors le fruit incontestable de l’union de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Purusha</i> et de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prakriti</i>,
du Ciel et de la Terre. Sa mère devenant alors le symbole de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>, la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti</i> de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">La fonction de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upanayana</i> (littéralement <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nayana</i>, fait de guider; <i style="mso-bidi-font-style: normal;">upa</i>, près du [maître]) est de faire de
l’être un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dvi-ja</i> (un deux fois né).
La mort frappe alors tout ce qui limitait ses potentialités purement
spirituelles, l’être est ainsi régénéré. Dans le cas de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i>, ce qu’il accomplit a avant tout valeur d’exemple.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara est maintenant un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">brahmachârî</i> qui étudie les textes
révélés. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">brahmacharya</i> est le
premier des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">âshramas</i>, des stades de
la vie. Shankara est un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">brahmachârî</i>
des plus doués. Vient un temps où sa mère envisage de le faire accéder au
deuxième <i style="mso-bidi-font-style: normal;">âshrama</i>, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">grihastha</i> (littéralement celui qui
habite une maison). Elle souhaite ainsi le voir fonder une famille. Mais
Shankara sait qu’il doit au plus tôt atteindre le quatrième et dernier <i style="mso-bidi-font-style: normal;">âshrama</i> en devenant un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sannyâsî</i>. Un incident remarquable aidera
à son dessein. Alors qu’il se baignait dans le fleuve, un crocodile le saisit à
la cheville en l’entraînant dans le courant. Shankara appela à l’aide. Sa mère
entendit ses cris et courut à son secours. Shankara tout en se débattant
n’ignorait pas que l’unique façon d’échapper à l’emprise du crocodile était de
renoncer à tout en devenant <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sannyâsî</i>.
Si l’on renonce à ce que l’on croit être (aux apparences, à l’Illusion), on ne
peut plus être une proie pour qui que ce soit. Son propre renoncement imposait
celui du crocodile. Comprenant cela, sa mère donna son consentement à ce qu’il
renonce au monde. Shankara récita un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mantra</i>
affirmant son renoncement et aussitôt le crocodile abandonnant sa prise, devint
un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">gandharva</i> et disparut.<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><o:p></o:p></i></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Sa mission peut maintenant
s’accomplir. Il quitte alors son village promettant à sa mère de revenir pour
l’assister dans ses derniers instants et d’accomplir selon les règles les rites
funéraires comme un fils doit le faire lors du décès de sa mère.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">On peut comprendre que Shiva
par sa qualité transformatrice est au-delà du principe substantiel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prakriti</i>) et qu’ainsi <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> finalement disparaît devant l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i> de Shiva. Alors qu’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i> de Vishnu peut disparaître
devant <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prakriti</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt;">Digvijaya yâtrâ</span></b><span style="font-size: 14pt;"><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les sources qui nous
informent sur la « personnalité » de Shankara sont nombreuses. Le
récit le plus connu est le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shankara
digvijaya</i> composé par Vidyâranya. Le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dig-vijaya</i> marque l’aspect victorieux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vijaya</i>) du rôle de Shankara dans toutes les directions de l’espace
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dik</i>). Shankara a en effet entrepris
un pèlerinage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yâtrâ</i>) dans tout
l’espace (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dik</i>) de l’Inde créant des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mathas</i> (institutions) qui perpétuent son
enseignement. On attribue à Ânandagiri (Totakâchârya), l’un des principaux
disciples de Shankara, la rédaction d’un de ces <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shankaravijaya</i>. On en dénombre près d’une dizaine. Vyâsâchala,
Govindanâtha et Chidvilâsa notamment ont ainsi rédigé un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shankaravijaya</i>. On peut mentionner comme autres sources le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shivarahasya</i> ainsi que le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Patanjalicharita</i>. Enfin les différents <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mathas</i> conservent certaines informations
contenues dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Guru</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">paramparâ-stotras</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sannyâsî</i>, se met en route pour atteindre
les rives d’un des fleuves sacrés de l’Inde, la Narmadâ. Ses pas le mènent à
l’entrée d’une grotte où séjourne Govinda-Bhagavatpâda l’éminent disciple de
Gaudapâda. Le nom de Gaudapâda est attaché aux <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârikâs</i> (strophes qui commentent) de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mândûkya Upanishad</i>. Govinda-Bhagavatpâda est en méditation.
Shankara doit devenir son disciple, autant que l’on puisse parler à son sujet de
cette illusoire distinction entre maître et disciple. Shankara expose alors
l’essence de la Non-Dualité en dix strophes (ce nombre étant la symbole de
l’accomplissement, marqué par le chiffre 1 signe de l’Être et le chiffre 0
signe du Non-Être, où le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">saguna Brahma</i>
s’efface dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirguna Brahma</i>).
Govinda-Bhagavatpâda ne peut alors qu’être conquis au centre même de sa
méditation en reconnaissant l’incontestable autorité du jeune <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sannyâsî</i>. Voici la traduction de ces dix
strophes, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dashashlokî</i>:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">1</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « Ni
la terre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhûmi</i>) ni l’eau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">toya</i>) ni le feu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tejas</i>) ni l’air (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâyu</i>) ni
l’éther (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kha</i>) ni les facultés de
sensation et d’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indriya</i>) ni
l’assemblage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samûha</i>) de tout cela:
cette multiplicité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aneka</i>) grossière
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antikatva</i>) n’est pas, [ne me
concerne pas]. Cet Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>) qui est
atteint (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">siddha</i>) dans le sommeil
profond (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sushupti</i>), ce qui demeure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-SHISH</i>), l’Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>), Shiva, l’Absolu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kevala</i>),
le Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) est, [Cela me concerne]. »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">2</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « Ni
les castes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">varna</i>), ni les règles (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âchâra</i>) et les lois (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>) propres aux castes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">varna</i>) et aux stades de l’existence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âshrama</i>) ne sont pour le Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), [ne me concernent]; ni même la
concentration (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhâranâ</i>) ni même la
méditation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhyâna</i>) ni même l’union (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yoga</i>), etc., [ne me concernent]. Et même
la cessation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hâna</i>) de la
surimposition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâsa</i>) du moi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) sur le Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) résultant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âshraya</i>)
du non-soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anâtmâ</i>) [ne me concerne
pas]. Ce qui demeure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-SHISH</i>),
l’Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>), Shiva, l’Absolu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kevala</i>), le Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) est,
[Cela me concerne]. »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Cette question fondamentale
de la surimposition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâsa</i>),
Shankara la choisira pour thème de son introduction (dont nous donnerons la
traduction) pour son commentaire des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-sûtras</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">3</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « Ni
mère (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâtri</i>) ni père (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pitri</i>) ni déité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deva</i>) ni monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">loka</i>) ni <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i> ni sacrifice (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yajna</i>) ni lieux saints (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tîrtha</i>)
ne sont à considérer (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BRÛ</i>); dans le
sommeil profond (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sushupti</i>), même ce
qui, comme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmakatva</i>) le vide ultime
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ati</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shûnya</i>), est anéanti (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirasta</i>),
[ne me concerne pas]. Ce qui demeure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-SHISH</i>),
l’Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>), Shiva, l’Absolu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kevala</i>), le Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) est,
[Cela me concerne]. »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">4</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Les conceptions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mata</i>)
relevant du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sânkhya</i>, des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shaiva</i> (aspects shivaïtes), des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pancharâtra</i> (aspects vishnouïtes), des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Jaina</i>, du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mîmânsâ</i> , etc. ne sont pas, [ne me concernent pas]; même les
conceptions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anubhûti</i>) qui se
distinguent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishishta</i>) comme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmakatva</i>) extrêmement pures (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishuddha</i>) [ne me concernent pas]. Ce
qui demeure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-SHISH</i>), l’Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>), Shiva, l’Absolu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kevala</i>), le Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) est,
[Cela me concerne]. »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">5</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « Ni
le haut (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ûrdhva</i>) ni le bas (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhas</i>) ni l’intérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antar</i>) ni l’extérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bâhya</i>) ni le centre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">madhya</i>) ni tous les pourtours (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tiryak</i>) ni l’avant ni l’arrière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûrvâpara dik</i>) ni tout ce qui peut être
contenu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyâpakatva</i>) dans l’espace intermédiaire
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">viyat</i>), [toutes ces déterminations
ne me concernent pas]. Cet aspect (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rûpa</i>)
un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>) sans discontinuité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">khanda</i>), ce qui demeure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-SHISH</i>), l’Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>), Shiva, l’Absolu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kevala</i>),
le Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) est, [Cela me concerne]. »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">L’aspect un sans
discontinuité symbolise l’Infini qui est absolument indivisible, qui est le
Tout. Ainsi rien ne peut être absolument séparé dans le Tout, les limitations
ne peuvent être que relatives; une juxtaposition de réalités limitées et donc
finies ne pouvant restituer l’Infini. Le Tout n’est pas qu’un assemblage
d’êtres, de mondes, d’anges, de principes, d’Être, de Non-Être, il en est la
suprême Intégration.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">6</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « Ni
le blanc (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shukla</i>) ni le noir (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">krishna</i>) ni le rouge (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rakta</i>) ni le jaune (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pîta</i>) ni la déformation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kubja</i>,
bossu) ni l’obésité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pîna</i>, gras) ni
le court (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hrasva</i>) ni le long (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dîrgha</i>) ni l’informe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-rûpa</i>) comme se présente (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âkârakatva</i>) la lumière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jyotis</i>), [toutes ces déterminations ne
me concernent pas]. Ce qui demeure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-SHISH</i>),
l’Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>), Shiva, l’Absolu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kevala</i>), le Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) est,
[Cela me concerne]. »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Cette énumération de couleurs
est également une allusion aux castes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">varna</i>
signifie aussi couleur). L’informe ici est ce qui est sans forme précise et non
ce qui est au-delà de la forme, ce que l’on qualifierait alors d’informel.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">7</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « Ni
le maître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shastri</i>) ni les
enseignements (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shâstra</i>) ni le
disciple (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shisya</i>) ni l’étude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shikshâ</i>) ni tu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tvam</i>) ni je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) ni ce
monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prapâncha</i>), [toutes ces
déterminations ne me concernent pas]. L’éveil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avabodha</i>) à la réalité sienne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-rûpa</i>)
qui n’admet pas (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-sahishnu</i>) de
déterminations (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vikalpa</i>), ce qui
demeure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-SHISH</i>), l’Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>), Shiva, l’Absolu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kevala</i>), le Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) est,
[Cela me concerne]. »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">8</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « Ni
la veille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jâgrat</i>) ni le rêve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svapna</i>) ni le sommeil profond (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sushupti</i>) ne sont pour le Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) ,[ne me concernent]; ni l’état de
veille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishva</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vaishvânara</i>) ni l’état de rêve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">taijasa</i>)
ni l’état de sommeil profond (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâjna</i>),
ces trois (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">traya</i>) états étant
constitués (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmakatva</i>) d’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vidyâ</i>), [ne me concernent]. Le
Quatrième (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">turîya</i>), ce qui demeure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-SHISH</i>), l’Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>), Shiva, l’Absolu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kevala</i>),
le Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) est, [Cela me concerne]. »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">On pourra se reporter à la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mândûkya-upanishad</i> qui explicite ces
trois états et le ‘Quatrième’.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">9</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « Le
Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>) qui pénètre tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyâpakatva</i>), qui est le principe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prayoga</i>) de la réalité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tattva</i>), qui est (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâva</i>) le but suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">siddha</i>),
qui ne dépend (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âshrayatva</i>) de rien (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anaya</i>), est autre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anya</i>) que ce monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>)
totalement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samasta</i>) insignifiant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tuccha</i>). Ce qui demeure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-SHISH</i>), l’Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>), Shiva, l’Absolu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kevala</i>),
le Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) est, [Cela me concerne]. »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">10</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Il n’est pas un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>). Mais
comment y aurait-il un second (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dvitîya</i>)
qui soit autre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anya</i>) ? Il n’est pas
plus absolu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kevala-tva</i>) que
non-absolu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-kevala-tva</i>), Il n’est
pas plus vide (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shûnya</i>) que non-vide (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-shûnya</i>), Il est sans dualité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">advaita-ka-tva</i>). Car, puis-je exprimer (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÛ</i>) ce qui est le but suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">siddha</i>) de tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i> ?<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Ces dix strophes offrent une
déconcertante illustration de cette doctrine qui mène à la Non-Dualité, à
reconnaître effectivement l’Infini. Il est indispensable ainsi de dépasser les
oppositions (pour les transmuer en complémentaires), mais aussi les apparences,
les conditionnements, les points de vue (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>),
les enseignements, les états de l’être et même d’aller au-delà de la cessation
même de la ‘séparativité’, de la surimposition; car la Délivrance qui est
effectivement non-duelle est totalement inconditionnée et n’est le fruit de
quoi que ce soit.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Durant son séjour auprès de
Govinda-Bhagavatpâda, Shankara synthétise cette doctrine qui sera à la source
de ses grands commentaires et notamment de celui des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sûtras</i> attribués à
Bâdarâyana que la tradition identifie à Vyâsa.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">C’est à Bénarès (Vârânasî, la
ville sainte par excellence) qu’il écrira l’essentiel de son oeuvre formée de
commentaires des principaux textes du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i>.
Ainsi les dix principales <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishads</i>
mais aussi les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sûtras</i> ainsi que la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhagavad-Gîtâ</i> feront l’objet d’un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâshya</i> (commentaire).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Mais la fonction de Shankara
ne se limite pas à l’élaboration d’une oeuvre écrite. Il parcourt l’Inde,
visite les lieux saints (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tîrtha</i>) et
fait partager la Science sacrée à ceux qui veulent l’entendre. Ceci ne se fait
pas sans confrontations. Shankara est ainsi amené à débattre avec certains
contradicteurs.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Un jour qu’il se tenait dans
le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mukti</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mandapa</i> (à Vârânasî) entouré de ses disciples qui écoutaient ses
commentaires des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-Sûtras</i>, un vieux
brâhmane se joignit à l’assistance. Il assaillit bientôt Shankara de questions
sur son commentaire des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sûtras</i>. La
pertinence des questions et des réponses de l’un et l’autre ne permettait pas
de trouver une issue à ce débat. Mais Padmapâda, l’un des disciples de
Shankara, se rendant compte que le vieux brâhmane n’était autre que Vyâsa
(l’auteur des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-Sûtras</i>, mais
aussi du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mahâ-Bhârata</i>) demanda à ce
que le débat cesse puisqu’il ne pouvait y avoir de vainqueur entre Shankara, l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">amsha</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i> de Shiva, et Vyâsa, l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">amsha</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i> de Vishnu. Les attributs de
Shiva sont aussi ceux de Vishnu comme les attributs de Vishnu sont ceux de
Shiva, ceci permettant de comprendre que cette distinction principielle n’est
pas irréductible mais qu’elle s’évanouit dans l’absolu <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirguna Brahma</i>
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> non-qualifié)<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara sera par contre tout
naturellement vainqueur lorsqu’il débattra contre les tenants de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pûrva-Mîmânsâ</i> attribuée à Jaimini. Cette
première <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mîmânsâ</i> est aussi dénommée <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Karma</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mîmânsâ</i>, c’est-à-dire la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mîmânsâ</i>
concernant les actes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>) rituels.
La seconde <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mîmânsâ</i>, l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Uttara</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mîmânsâ</i>, attribuée à Vyâsa, aussi dénommée <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-Mîmânsâ</i> est celle de la Connaissance pure, de la
Métaphysique. Cette dernière <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mîmânsâ</i>,
ce dernier <i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>, est proprement
le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">En un lieu dont le symbolisme
est particulièrement parlant puisqu’il se situe au confluent du Gange blanc
(Gangâ), du Gange noir (Yamunâ) et de l’invisible Sarasvatî, Shankara rencontre
(à Prayâga) Kumârila Bhatta (connu aussi sous le nom de Bhattapâda) l’un des
plus grands représentants de cette <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Karma-Mîmânsâ</i>.
Cette rencontre est à la mesure du lieu qui est l’image même de la synthèse
spirituelle où les contradictions apparentes se transmuent en complémentaires
pour s’unir dans l’unité principielle comme les différents <i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshanas</i> trouvent leur achèvement dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i>, but et fin du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Véda</i>.
Cette « solution » est d’ailleurs illustrée par Kumârila Bhatta qui a
choisi de s’immoler par le feu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tusha-agni</i>)
pour se purifier de ses fautes. Son dernier <i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>
(vision) sera pour Shankara et pour la connaissance dont il est le
Porte-parole.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara sortira vainqueur
d’un débat avec Mandana Mishra (connu aussi sous le nom de Vishvarûpa), autre
représentant de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Karma</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mîmânsâ</i>. C’est l’épouse de Mandana
Mishra qui se voit acceptée comme arbitre de la discussion. Chacun des
adversaires reçoit une guirlande de fleurs fraîches autour de la nuque. Celui
dont la guirlande se fanera en premier sera reconnu comme perdant. Tel est
l’arbitrage choisi par l’épouse qui se révélera être une représentante de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti</i>, de Sarasvatî. La vérité étant
éternelle, elle ne peut symboliquement se faner. Shankara conservera sa propre
guirlande dans toute sa fraîcheur et sera reconnu vainqueur. Mandana Mishra renonce
alors au monde et devient disciple de Shankara sous le nom de Sureshvara. Mais
pour que la victoire soit complète, Shankara se devait de convaincre aussi
l’épouse de Mandana Mishra dont le nom Ubhaya Bhâratî évoque la polarité propre
à la notion même de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shakti</i>, (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ubhaya</i> signifie les deux). La vérité ne
peut totalement apparaître que si la complémentarité est pleinement reconnue et
intégrée. Shankara sait vaincre toutes les oppositions apparentes. Ainsi la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shakti</i> participe à son oeuvre. Shankara
parvient ainsi à vaincre et à convaincre Ubhaya Bhâratî. On se trompe en le
considérant comme le tenant d’un système particulier qui s’opposerait à
d’autres systèmes. Cette confrontation a pour but de convaincre qu’aucun point
de vue ne doit être considéré comme absolu. Le rite n’est pas condamnable s’il
est considéré comme un moyen relatif mais il le devient s’il est perçu comme
une fin en soi.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara parcourt l’Inde pour
répandre son enseignement. Du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest. On ne fera pas
l’inventaire de tous les sites qui l’accueilleront. Shankara se rend sur le
Kurukshetra le lieu où s’instaura le prodigieux dialogue entre Krishna et
Arjuna qui a été conservé et transmis sous le nom de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhagavat-Gîtâ</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">On le retrouve au Kashmîr.
Près de Shrînagar se dresse un temple dédié à Shâradâ possédant quatre portes
(chacune des portes faisant face à l’un des points cardinaux) et dont
l’intérieur renferme le trône (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pîtha</i>)
de Shâradâ (Déesse de la Connaissance) ou trône de l’omniscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva-jnâ</i>). On raconte que les portes ne
s’ouvraient que devant les véritables maîtres de la connaissance. Après avoir
débattu et vaincu tous les représentants des différentes doctrines et avoir
vaincu la Déesse elle-même (comme il l’avait fait avec Ubhaya Bhâratî),
Shankara put pénétrer à l’intérieur du temple et occuper le siège de Shâradâ,
le trône de l’omniscience, privilège qui lui revenait de plein droit.
(Certaines sources reconnaissent que ce privilège lui fut conféré alors qu’il
résidait à Kânchî.)<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara accomplit le
pèlerinage au mont Kailâsa (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kailâsa-yâtrâ</i>).
Il reçoit de Shiva les cinq <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sphatika
linga</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">linga</i> de cristal): <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yoga-linga</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhoga-linga</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vara-linga</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mukti-linga</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">moksha-linga</i>. Shankara aura soin de les déposer dans cinq temples
pour qu’ils y soient honorés. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">yoga-linga</i>
à Kânchî, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhoga-linga</i> à Shringerî,
le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vara-linga</i> à Nîlakantha-kshetra
(Népal), le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mukti-linga</i> à Kedârnath
(Kedâra, Kedâranâtha) et le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">moksha-linga</i>
à Chidâmbaram.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les grandes villes saintes de
l’Inde accueilleront Shankara dont la mission s’appuie sur la science de la
géographie sacrée. Nous l’avons vu à Bénarès (Vârânasî). A Kânchî et à Dvârakâ
(Dwârkâ), il instaure un <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i>
(Institution, lieu de transmission de la connaissance). On le retrouve à
Mathurâ et à Ujjain. S’est-il rendu à Ayodhyâ et à Hardwâr (Haridvara) qui
figurent parmi les sept villes saintes ? On peut légitimement le penser.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Nous ne chercherons pas à
retracer les parcours de Shankara au travers de l’Inde, ni à donner une liste
complète (le pourrait-on d’ailleurs ?) des villes où il séjourna. Précisons
encore qu’il se rendit à Râmeshvaram à l’extrême Sud, cette île où Râma laissa
l’empreinte de son pied. Enfin diverses sources affirment qu’il put rencontrer
dans les solitudes himalayennes Gaudapâda, l’auteur des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârikâs</i> sur la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mândûkya-upanishad</i>,
le maître de Govinda Bhagavatpâda.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara a chargé ses
disciples de perpétuer son enseignement notamment en instituant un certain
nombre de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i>. On en reconnaît cinq
principalement:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> de
Badrinâth (Badarînâtha) dénommé le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jyotis
matha</i>. Au Nord dans l’Uttar Pradesh.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> de
Purî, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Govardhana matha</i> ou <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Jagannâtha matha</i>. Jagannâtha étant un
des noms de Purî. À l’Est dans l’Orissâ.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> de
Dvârakâ, dénommé le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kalikâ pîtha</i>.
À<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>l’Ouest dans le Gujarât, la ville a été
fondée par Krishna.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> de
Shringerî dénommé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shrîmatha</i> ou <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shâradâ pîtha</i>. Au Sud-Ouest dans le
Karnataka<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> de
Kânchî (-puram) dénommé le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kâmakoti pîtha</i>.
Au Sud-Est dans le Tamil Nâdu.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>D’autres <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i>
auraient été fondés à Bénarès ainsi que dans le Kérala où naquit Shankara.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Son enseignement se perpétue
grâce aux dix ordres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dashanâmî</i>) que
Shankara a fondés. Voici la liste des noms qui identifient les représentants de
chacun de ces dix ordres: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tîrtha</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Âshrama</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vana</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Âranya</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Giri</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Parvata</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sâgara</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sarasvatî</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhâratî</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Puri</i>. Certains
de ces ordres se rattachent plus particulièrement à l’un des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i>:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Badrinâth pour les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Giri</i>,
les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Parvata</i> et les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sâgara</i>;<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Purî pour les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vana</i>
et les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Âranya</i>;<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Dvârakâ pour les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Tîrtha</i>
et les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Âshrama</i>;<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Shringerî pour les<i style="mso-bidi-font-style: normal;">
Sarasvatî</i>, les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhâratî</i> et les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Puri</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Chacun de ces quatre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mathas</i>
a été placé par Shankara sous l’autorité de l’un de ses quatre principaux
disciples: Totaka a été ainsi en charge de celui de Badrinâth, Padmapada de
celui de Purî, Hastâmalaka de celui de Dvârakâ et Sureshvara de celui de
Shringerî.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">On établit encore certaines
correspondances entre ces quatre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i>,
les quatre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i> et les quatre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i> (les paroles essentielles):<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> de Badrinâth correspond <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Atharva-Veda</i>
ainsi que le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i>: « le
Soi est Brahma » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ayam âtmâ Brahma</i>)
énoncé dans la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mândûkya-upanishad</i>
(2).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> de Purî correspond le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Rig-Veda</i>
ainsi que le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i>: « La
connaissance est Brahma » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-jnânam
Brahma</i>) énoncé dans <i style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Aitareya-upanishad</i>
(V, 3).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> de Dvârakâ correspond le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sâma</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i> ainsi que le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i>: « Tu es Cela » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat tvam asi</i>) énoncé dans la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chândogya-upanishad</i>
(VI, 8, 7).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> de Shringerî correspond le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yajur-Veda</i> ainsi que le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i>:
« Je suis Brahma » (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham Brahma
asmi</i>) énoncé dans la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brihad-âranyaka-upanishad</i>
(I, 4, 10).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> de Kânchî dont l’importance ne saurait être niée est absent
de ces dernières listes. Certaines sources précisent qu’il échut à Sureshvara
avec celui de Dvârakâ. D’autres sources indiquent que ce <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> est celui de Shankara en personne occupant alors le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarvajnâ</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">pîtha</i> (le trône de l’omniscience). On remarquera que ni le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> de Shringerî (attribué à
Sureshvara) ni <i style="mso-bidi-font-style: normal;">le matha</i> de Kânchî ne
sont vraiment au Sud (mais respectivement au Sud-Ouest et au Sud-Est).
D’ailleurs les représentants des dix ordres lorsqu’ils font le pèlerinage des
quatre points cardinaux se rendent à Purî pour l’Est, à Badrinâth pour le Nord,
à Dvârakâ pour l’Ouest et à Râmeshvaram pour le Sud. On peut ainsi penser que
les deux <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mathas</i> (Shringerî et Kânchî)
sont les reflets d’un seul <i style="mso-bidi-font-style: normal;">matha</i> non
manifesté, celui du centre, celui du Coeur de l’Inde où l’influence spirituelle
de Shankara se conserve; les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mathas</i>
manifestés n’étant que des irradiations de ce centre.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Donnons une traduction de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upadesha-panchakam</i> (l’instruction en
cinq versets) qui se décline en quarante injonctions que l’on peut considérer
comme autant d’enseignements transmis aux représentants des dix ordres par
Shankara:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">I</span></b><span style="font-size: 12pt;">: <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">1</b>- « Que le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i> soit toujours (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nityam</i>,
éternellement) récité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhi-I</i>,
connaître, révéler, apprendre). »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">2</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que les actes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>, rites)
qui y sont prescrits (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">udita</i>) soient
dûment accomplis (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svanushthâ</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">su-anu-STHÂ</i>). »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">3</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que l’hommage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">apachiti</i>) au
Seigneur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îsha</i>) soit effectué (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-DHÂ</i>) au moyen de ces [rites] ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">4</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que l’attraction (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mati</i>,
pensée) du désir (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâmya</i>, agréable)
soit combattue (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">TYAJ</i>,
abandonner) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">5</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que le courant <i style="mso-bidi-font-style: normal;">(ogha</i>, flot) du
mal (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pâpa</i>, mauvais) soit endigué (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pari-DHÂ</i>, encercler) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">6</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que le danger (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dosha</i>,
inconvénient) d’être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhava</i>) heureux
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukha</i>, bonheur) soit pris en compte
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anu-sam-DHÂ</i>, être attentif) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>L’illusion du plaisir peut être un obstacle à la quête de
la Délivrance.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">7</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que le désir (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">icchâ</i>) du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) soit entretenu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vy-ava-SÂ</i>, se convaincre) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">8</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que sa propre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nija</i>) maison (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">griha</i>) soit rapidement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tûrnam</i>) abandonné (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-nir-GAM</i>, partir) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">On doit ainsi se détacher de
l’apparence des liens affectifs.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">II</span></b><span style="font-size: 12pt;">: <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">9</b>- « Que le lien (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sanga</i>) avec les êtres véritables (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>, ceux qui détiennent la
connaissance) soit établi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-DHÂ</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">10</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que la dévotion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti</i>) pour
le Seigneur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhagavân</i>) soit fermement
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dridha</i>) entreprise (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhi-I</i>, connaître, apprendre) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">11</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que la [discipline] commençant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>)
par la paix (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shânti</i>), etc. soit
pratiquée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pari CHI</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">12</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que l’activité (les actions, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>)
soit complètement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dridhataram</i>, très
fermement) abandonnée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sam-TYAJ</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Car l’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>) ne s’oppose pas à l’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vidyâ</i>), mais la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidyâ</i>) détruit l’ignorance comme la
lumière dissipe les ténèbres.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">13</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que le Maître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sadvivân</i>, le
Connaisseur, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidvân</i>, de l’Être, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>) soit approché avec respect (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upa-SRiP</i>, ramper) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">14</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que chaque jour (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratidinam</i>)
ses sandales (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pâdukâ</i>) soient vénérées
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SEV</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les sandales d’un véritable
maître reçoivent l’influence spirituelle de ce dernier (comme des reliques).
Elles sont ainsi le ‘lieu’ le plus accessible où l’influence se met à la portée
du disciple puisque symboliquement l’influence spirituelle du maître ne peut
pas être plus proche du disciple, elle est ainsi ‘descendu aussi bas’ qu’il
était possible pour atteindre ce dernier.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">15</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>) et Impérissable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">akshara</i>) soit recherché (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">arthyatâm</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">artha</i>, but) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">16</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que le verbe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâkya</i>, parole)
ultime (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shiras</i>, tête, sommet) de la
Révélation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shruti</i>) soit correctement
écouté (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sam-â-karnyatâm</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">karna</i>, oreille) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Le verbe ultime de la
Révélation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shrutishirovâkya</i>) doit
être ici assimilé aux <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishads</i> qui
appartiennent à la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shruti</i> formant
ainsi la part révélée du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i>,
l’aboutissement et le sommet du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i>
(la fin, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">anta</i>, du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">III</span></b><span style="font-size: 12pt;">: <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">17</b>- « Que le but (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">artha</i>) de ce verbe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâkya</i>) soit recherché (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-CHAR</i>,
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vichâra</i>, investigation) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">18</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que le point de vue (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">paksha</i>,
littéralement l’épaule) ultime (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shiras</i>)
de la Révélation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shruti</i>) soit pris
comme appui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sam-â-SHRI</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishads</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shruti-shiras</i>)
doivent former cet appui essentiel.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">19</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que les doctrines erronées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dus-tarka</i>)
soient rejetées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">su-vi-RAM</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tarka</i> fait référence à la notion de raisonnement et de logique.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">20</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que la doctrine (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tarka</i>)
approuvée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mata</i>, pensée) par la
Révélation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shruti</i>) soit suivie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anu-sam-DHÂ</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">21</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que l’injonction (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">iti</i>) ‘<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">asmi</i>’ (Je suis <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>)
soit reconnue (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-BHÛ</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Allusion à l’un des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i>, celui énoncé dans la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brihad-âranyaka-upanishad</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">22</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que jour après jour (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ahar-ahar</i>)
l’orgueil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">garva</i>) soit abandonné (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pari-TYAJ</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">23</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que la pensée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mati</i>) ‘Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) suis le corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deha</i>)’ soit rejetée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">UJJH</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">24</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que le bavardage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâda</i>,
discussion) avec des hommes sages (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">budha-jana</i>)
soit abandonné (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pari-TYAJ</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Mieux vaut se taire que de
poser des questions futiles<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">IV</span></b><span style="font-size: 12pt;">: <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">25</b>- « Que la maladie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyâdhi</i>) de la faim (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kshudh</i>) soit traitée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">CHIT</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Le corps doit être satisfait
simplement pour se faire oublier.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">26</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que chaque jour (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratidinam</i>)
l’herbe médicinale (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aushadha</i>) de
l’aumône (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhikshâ</i>) soit consommée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHUJ</i>, manger) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Ce que le Ciel nous donne est
la meilleure médecine pour nous libérer de nos liens.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">27</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Qu’aucune nourriture (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anna</i>) savoureuse
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svâdu</i>) ne soit quémandée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">YÂCH</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">28</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que l’on se satisfasse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sam-TUSH</i>)
de ce qui est obtenu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâpta</i>) par le
respect (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vasha</i>, volonté) de la règle
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidhi</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">29</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que le froid (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shîta</i>) et le
chaud (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ushna</i>) et autres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>) [oppositions] soient supportés (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-ShAH</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">30</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Qu’aucune parole (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâkya</i>) ne
soit inutilement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vrithâ</i>) prononcée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sam-uch-CHAR)</i> ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">31</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que l’indifférence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">audâsînya</i>)
soit recherchée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhy-ÂP</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">32</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que la sévérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">naishthurya</i>)
comme la faiblesse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kripâ</i>) envers les
gens (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jana</i>) soient rejetées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ut-SRiJ</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">V</span></b><span style="font-size: 12pt;">: <b style="mso-bidi-font-weight: normal;">33</b>- « Que l’on s’assoit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ÂS</i>) paisiblement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukha</i>) dans un lieu solitaire (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka-anta</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Littéralement, l’expression <i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka-anta</i> signifie but (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anta</i>, fin) unique (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>, un). Cette instruction peut ainsi se comprendre comme une
injonction a rechercher la Béatitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukha</i>)
du Soi, le but unique où l’on demeure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ÂS</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">34</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que la conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chetas</i>)
soit concentrée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sam-â-DHÂ</i>, fixer)
dans le Suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">para-tara</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">35</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que la Plénitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûrna</i>) du
Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) soit contemplée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">su-sam-ÎKSH</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">36</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que ce monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>) soit vu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">DRiSH</i>) annihilé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bâdhita</i>) par Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>),
[le Soi] ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">37</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que les actions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>)
antérieures (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâk</i>) soient annulées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-vi-LÎ</i>) par la puissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bala</i>) de la conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les actions antérieures traduisent
le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sanchita-karma</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">38</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que l’on ne soit pas même lié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SHLISH</i>)
aux [actions] ultérieures (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">uttara</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les actions ultérieures
répondent à l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âgâmi-karma</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">39</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que les [actions] présentes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prârabdha</i>,
entrepris) soient consommées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHUJ</i>)
ici-même (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">iha</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara invite à se libérer
des trois aspects de l’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">karma</i>):
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sanchita</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">âgâmi</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prârabdha</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">40</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Que l’on soit enfin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">atha</i>,
maintenant) uni (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">STHÂ</i>) au Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>), le Suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">para</i>) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> ». <o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Nous n’avons pas exposé tous
les hauts faits que l’on attribue à Shankara. On peut noter malgré tout son
grand pouvoir sur l’un des éléments: l’eau. Ses capacités à détourner des
fleuves ou à empêcher des inondations sont ici ou là relatées. On suggère ainsi
sa pleine maîtrise du monde intermédiaire, du monde subtil, symbolisé par
l’eau. Il peut ainsi réorienter notre courant mental, le canaliser et freiner
ses débordements si l’on suit son enseignement. <o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Après avoir rempli sa
mission, Shankara disparaît dans sa trente-troisième année. On peut noter que
33 ans est l’âge du Rose-Croix. Le véritable Rose-Croix est celui qui a
réintégré le centre de l’état humain. Pour Shankara on peut y voir le signe du
plein accomplissement de sa mission dans ce monde. Selon certaines sources, il
meurt à Kedarnâth; d’autres sources le font mourir soit au Kashmîr, soit au
Népal, soit enfin à Trichur dans le Kerala; mais le lieu le plus souvent
mentionné est celui de Kânchî. Symboliquement ces différentes possibilités, ces
différents lieux peuvent très bien se comprendre. Le Nord symbole du pôle
spirituel, le Sud-Ouest (Kerala) où le cycle se referme enfin le Sud-Est comme
reflet et aboutissement de la réorientation.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; tab-stops: 10.0cm;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt;">Bhâshyas</span></b><span style="font-size: 14pt;"><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara est-il un penseur,
un philosophe ou un métaphysicien ? Aucun de ces termes ne saurait convenir si
on leur donne l’acception qui est la leur dans l’usage moderne.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Ainsi n’est-il pas un penseur
au sens où son oeuvre n’est pas l’expression d’un système (propre à un
individu) aussi bien dans la ‘forme’ que dans le ‘fond’. Il n’est pas plus un philosophe
qui aurait établi sa propre doctrine: on ne peut ainsi parler de la philosophie
de Shankara comme on peut le faire pour celle de Leibniz ou de Bergson qui ont
construit chacun un système propre de pensée reflet de leur vision individuelle
des choses qui ne saurait être en aucune façon une expression de la Vérité. Par
contre, si l’on se réfère au sens étymologique de ce terme, on peut alors le
dire philosophe comme pouvait l’être Socrate, au sens où le philosophe est
celui qui aime et fait aimer la Sagesse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">philo-sophia</i>).
Mais il est avant tout un métaphysicien non au sens moderne et limité du terme,
mais au sens étymologique. La métaphysique s’attache ainsi à ce qui est au-delà
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">meta</i>) de la Physique (qui est alors
la Nature comprise dans toute sa généralité).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Le métaphysicien nous éveille
à notre entière ‘réalité’ qui ne se limite pas qu’au Cosmos. Il nous fait
reconnaître notre transcendance, comme on reconnaît une réalité que l’on n’a
jamais cessé de connaître et cela en détruisant notre ignorance. Il cherche à
faire réaliser (c’est-à-dire à rendre ‘réel’) ce qui ‘est’ effectivement.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Uni au Tout d’une façon
indissoluble , l’être y trouve l’expression de son ultime réalité. Le Tout,
l’Infini, est absolument non partifiable et ceci permet de fonder la
transcendance de l’homme (l’homme est bien plus qu’une simple individualité
illusoirement séparé de l’Infini). Croire que l’Infini est fait de parties,
d’éléments distincts et absolus, c’est vouloir nier son infinitude. Une réunion
d’éléments, de déterminations, de parties (qui sont évidemment finis par
définition même) ne saurait restituer l’Infini (la réunion d’un ensemble
d’éléments finis reste évidemment finie). Toute partition, toute considération
d’aspects ou de déterminations ne peuvent être que relatives: ainsi l’homme qui
s’identifie totalement à son moi en se différenciant absolument de tout ce
qu’il ne croit pas être, ne fait que nier l’infinitude de l’Infini (la
partition absolue du moi et du non-moi ne peut pas être). S’identifier à son
moi, c’est nier sa transcendance et c’est refuser de reconnaître le ‘lien’
indissoluble qui unit au Principe.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">La réalité de l’homme est
donc faite de cette inaltérable identification dans le Tout, en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>. Seule l’ignorance donne à cette
identification une valeur relative. L’homme ne la réalise pas effectivement, il
ne la comprend pas.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">La Tradition doit chercher à
rétablir cette compréhension (au sens étymologique d’identification), cette
union en proposant des voies de réalisation qui, dans leurs diversités,
s’adaptent à la nécessaire multiplicité des êtres.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les voies libératrices
doivent tendre à la réalisation dans le respect indispensable de
l’accomplissement de ce qui doit être. Pour répondre à l’infinitude de
l’Infini, les êtres sont d’une diversité indéfinie, aussi les voies
doivent-elles, pour s’adapter à cette multiplicité de nature, proposer une
égale diversité de possibilités réalisatrices. Mais si les chemins authentiques
sont multiples, il ne faut jamais perdre de vue qu’ils mènent tous au même but.
Perdant ce but de vue, nombreux sont ceux qui croient reconnaître une
opposition là où il n’y a qu’une différence toute relative. Plus on est proche
du but, plus il est aisé de voir cette convergence; plus on en est éloigné,
plus on sera tenté de condamner d’autres voies (toutes aussi orthodoxes) que
l’on juge à tort divergentes.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Répondant à la nécessaire
diversité des êtres, les voies traditionnelles doivent être multiples et
convergentes. S’il en est qui sont plus directes, toutes mènent au même but
suprême. C’est dans cette concordance que s’inscrit l’oeuvre de Shankara que
l’on peut ainsi qualifier de shivaïte, de védântin et d’advaïtin sans jamais
perdre de vue qu’elle a pour but la réalisation suprême.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Considérant la
conceptualisation principielle de la tradition hindoue, on peut y suivre
l’expression de sa détermination croissante qui nous mène à l’Existence
cosmique.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">En <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, l’Infini, il convient de distinguer un principe qui se
définit comme son aspect proprement ontologique: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Îshvara</i>, l’Être qui se détermine à son tour dans un triplicité
principielle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">trimûrti</i>) pour produire
le Cosmos: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahmâ</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vishnu</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shiva</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt;">Brahmâ</span></i><span style="font-size: 12pt;"> comme
le nom même le laisse entendre est une projection, une détermination de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> marquée par une détermination correspondante
du genre (en sanscrit, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> est du
genre neutre et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahmâ</i> du genre
masculin). Il représente <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Îshvara</i> en
tant que producteur des êtres, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vishnu</i>
est le conservateur des êtres et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shiva</i>
est le destructeur des êtres ou plus exactement le ‘transformateur’ des êtres,
c’est-à-dire Celui qui fait aller au-delà de la forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">trans-formare</i>), Celui qui libère de l’Illusion cosmique.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Ces deux aspects d’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Îshvara</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vishnu</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shiva</i>,
répondent à deux tendances dans les voies traditionnelles. La tendance
vishnouïte est celle de la ‘participation’ comme l’indique le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti</i> qui sert à qualifier cette voie.
La tendance shivaïte est alors celle de l’identification par la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>). Nullement exclusive l’une de
l’autre, ces deux voies tendent vers le même but. Car être en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, c’est participer de sa Nature (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-rûpa</i>) et c’est également atteindre à
l’identification effective (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-âtmâ</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Rechercher la voie ‘active’
de l’identification par la connaissance, c’est vouloir atteindre plus
directement au but. Sans s’opposer à la voie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhakti</i>, cette volonté ne fait, bien au contraire, que la suivre
pleinement en l’accomplissant effectivement.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Choisir la tendance shivaïte,
la voie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>, c’est chercher à
atteindre le dépassement de l’individualité formelle et illusoire dans
l’identification effective en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>.
Choisissant l’excellence, Shankara, l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i>
de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shiva</i>, ne pouvait que faire tendre
vers la voie de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>. Il est
shivaïte, non par opposition avec les autres voies, mais par la volonté de
synthèse, de totalisation et d’effectivité qui caractérise cette voie.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Pour répondre à la diversité
des êtres et surtout à la nature de leurs aptitudes spécifiques, la tradition
hindoue a développé différents axes d’études qui ne sont pas autant de systèmes
philosophiques (comme on le laisse entendre abusivement) mais bien des points
de vue (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>) qui cherchent ainsi
à s’adapter aux possibilités des uns et des autres. On peut ainsi classer les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshanas</i> en hiérarchie croissante liée
à la profondeur totalisante du point de vue envisagé.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les points de vue qui se
limitent au plan individuel et cosmologique avec le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nyâya</i> et le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vaisheshika</i>.
Les points de vue qui envisagent déjà la voie d’union, théoriquement avec le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sânkhya</i>, d’une façon pratique avec le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yoga</i>. Enfin les points de vue de la
réflexion profonde avec les deux <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mîmânsâ</i>
(dont nous avons déjà parlé) désignées comme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Pûrva-Mîmânsâ</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Uttara-Mîmânsâ</i>,
c’est-à-dire première et deuxième <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mîmânsâ</i>.
La première <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mîmânsâ</i> est aussi
désignée comme celle de l’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Karma-Mîmânsâ</i>)
et la deuxième comme celle de la connaissance de Brahma (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-Mîmânsâ</i>). Cette seconde <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mîmânsâ</i>
est le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i> proprement dit.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Littéralement, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i> est la fin du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i>. Cette fin doit être entendue dans
son double sens de conclusion et de but. Ainsi les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishads</i> qui forment la base doctrinale révélée du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i> sont comme une conclusion du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i>. Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i> accomplit pleinement le but suprême du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i> qui tend à la réalisation métaphysique de l’homme. Ce but est
le terme de la réintégration effective en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>.
Rechercher effectivement cette réintégration, qui est une Délivrance, en
s’appuyant sur l’ultime expression du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i>,
c’est marquer son rattachement au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i>
et c’est tendre vers la voie la plus directe, la plus complète et la plus
efficace. Ceci nous permet de comprendre le choix de Shankara qui est ainsi le
plus prestigieux védântin.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">On ne peut que retrouver au
sein du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i> une semblable volonté
d’adaptation aux diverses natures des êtres. Ainsi existe-t-il un double
courant en réponse à la dualité cosmique. <span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Une
tendance shivaïte qui s’exprime par l’oeuvre même de Shankara et que l’on
désigne par le terme de ‘voie de la Non-Dualité’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">advaita-vâda</i>). L’être y cherche activement , par la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>), la réalisation ‘transformatrice’
de sa réintégration dans le Principe. L’être se ‘re-connaît’ par
l’identification du Connaissant et du Connu dans la Connaissance elle-même,
comme nous l’explique Shankara dans la strophe 41 de son <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Âtma-bodha</i>:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt;">jnâtri-jnâna-jneya-bhedah para-âtmani na vidyate</span></i><span style="font-size: 12pt;"> / <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chid-ânanda-eka-rûpatvâd-dîpyate
svayam-eva sah</i> //<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">« Il n’y a plus de
distinction (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bheda</i>) entre le
connaissant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâtri</i>), la connaissance
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>) et le connu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jneya</i>) dans le suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">para</i>) Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>); étant identifié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka-rûpa-tva</i>,
ne faisant qu’un) à la Conscience-Béatitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chid-ânanda</i>), Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah</i>),
[le Soi] brille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">DÎP</i>) de lui-même (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svayam</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Moins complète, mais
nullement opposée, la tendance vishnouïte s’est exprimée dans quatre formes
principales:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>l’école de Râmânuja avec le ‘non-dualisme qualifié’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishishta-advaita</i>) qui, laissant
persister une détermination, ne dépasse pas l’ordre ontologique, l’ordre de
l’Être.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Cette même limitation se retrouve dans les autres
tendances vishnouïtes:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>l’école de Nimbârka dite <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bheda-abheda</i>,<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>l’école de Madhva dite dualiste (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dvaita</i>),<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>l’école de Vallabha dite <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dvaita-advaita</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Il convient de ne pas se
méprendre sur la signification des qualificatifs de ces voies vishnouïtes. Car
laisser persister une distinction même entre la ‘distinction’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bheda</i>) et la ‘non-distinction’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-bheda</i>) ou entre la ‘dualité’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dvaita</i>) et la ‘non-dualité’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-dvaita</i>), c’est freiner la possibilité
de synthèse en laissant persister une détermination nécessairement limitative
(puisque analytique par définition même). La ‘Non-Dualité’ shankarienne est
au-delà de toute distinction, même de celle de l’Être et du Non-Être. Elle
marque la synthèse absolue, l’intégration infinie en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>. Shankara est ainsi l’advaïtin par excellence.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Ainsi tous les qualifiants
attribués à Shankara, loin d’emprisonner sont oeuvre, ne font qu’en exalter
l’universalité, la profondeur et la puissance réalisatrice. Le dire shivaïte,
védântin, advaïtin, aide à parcourir la voie qu’il nous invite à suivre. Ce
sont autant de marches qui nous élèvent, qui nous libèrent et non autant de
schémas mentaux qui nous modèlent et nous limitent.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">La part la plus importante de
l’oeuvre écrite de Shankara est formée de commentaires et notamment de
commentaires des textes fondamentaux du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i>,
c’est-à-dire des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishads</i> (qui se
rapportent à la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shruti</i>) de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhagavat-Gîtâ</i> et des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-Sûtras</i> (textes qui se rapportent
à la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">smriti</i>). Voici dans son ensemble
la liste des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâshyas</i>:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-sûtra-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhagavat-gîtâ-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Commentaires des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishads</i>:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brihad-âranyaka-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chândogya-upanisha-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Îshâ-[vâsya]-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Kena-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Katha-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prashna-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mundaka-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mândûkya-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aiterya-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Taittirîya-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Nrisimhapûrvatâpanîya-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">On attribue également à
Shankara le commentaire de quatre autres <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishads</i>:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Atharvashikhâ-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Atharvashiras-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shvetâshvatara-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vajrasûchikâ-upanishad-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Voici maintenant la liste de
ce que l’on nomme les commentaires brefs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">laghu-bhâshya</i>):<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vishnu-sahasra-nâma-stotra-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">(le commentaire de l’hymne
des mille noms de Vishnu)<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sanatsujâtîya-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Lalitâtrishatî-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Hastâmalakîya-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">-<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> Adhyâtmapatala-bhâshya</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâshya</i> constitue un genre particulier qui suit certaines règles.
Voyons ainsi le commentaire fait par Shankara du verset (IV, 7) précédemment
cité de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhagavat-Gîtâ</i> dont voici
le texte sanscrit:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt;">yadâ yadâ hi dharmasya glânir-bhavati bhârata, <o:p></o:p></span></i></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt;">abhyutthânam-adharmasya tadâtmânam srijâmy-aham</span></i><span style="font-size: 12pt;"> <o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Le commentaire de Shankara
est très bref. Cet exemple nous permet d’illustrer un aspect de la forme
classique que revêt tous les commentaires traditionnels des textes sanscrits.
Voici le texte du commentaire de Shankara:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><u><span style="font-size: 12pt;">yadâ yadâ hi dharmasya glânir</span></u></i><i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt;"> hânih
varna-âshrama-âdi-lakshanasya prâninâm-abhyudaya-nihshreyasa-sâdhanasya <u>bhavati
bhârata</u>, <u>abhyutthânam</u> udbhavah <u>adharmasya</u>, tadâ<u> tadâ
âtmânam srijâmy-aham</u> mâyayâ</span></i><span style="font-size: 12pt;"><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Nous avons volontairement
souligné les mots du commentaire qui sont communs à ceux du texte de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhagavat-Gîtâ</i> et ajouté une ponctuation.
On voit tout de suite comment le commentaire se forme. Shankara reprend le
texte à commenter et donne parfois un synonyme parfois une explication. Voyons
cela en détail. Shankara reprend le premier membre de phrase ‘<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yadâ yadâ hi dharmasya</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">glânir</i>’ [donc (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hi</i>), toutes les fois (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yadâ
yadâ</i>) qu’il se produit un déclin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">glâni</i>)
de l’Ordre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>)] et indique un
synonyme pour <i style="mso-bidi-font-style: normal;">glâni</i> = <i style="mso-bidi-font-style: normal;">hâni</i> (déclin) puis il commente: c’est le
déclin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hâni</i>) de ce [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>, Ordre] qui a pour institutions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">lakshana</i>) celles des castes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">varna</i>), des stades de l’existence
terrestre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âshrama</i>), etc. (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>) et qui a pour but (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâdhana</i>) [d’instaurer] la prospérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhyudaya</i>) et la suprême félicité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nihshreyasa</i>) des êtres humains (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prânin</i>). Shankara cite habilement le
texte de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhagavat-Gîtâ</i>: ‘<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhavati</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhârata</i>’ [(ce déclin) se produit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhavati</i>) ô descendant de Bharata] ‘<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhyutthânam</i> <i style="mso-bidi-font-style: normal;">adharmasya</i>’
[le désordre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-dharma</i>, le non-Ordre)
se dresse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhy-ut-thâna</i>)], tout en
indiquant un synonyme pour <i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhyutthânam</i>
= <i style="mso-bidi-font-style: normal;">udbhava</i> (naissance). Puis répétant
le mot <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tadâ</i> (alors), Shankara cite la
fin du texte de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhagavat-Gîtâ</i>: ‘<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tadâ-âtmânam srijâmy-aham</i>’ [alors (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tadâ</i>) Je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) me projette (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SRiJ</i>,
envoyer) Moi-même (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>, soi-même)].
Puis il commente d’un seul mot: <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâyayâ</i>.
Cette descente est donc le fait de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>.
La brièveté du commentaire a de quoi surprendre pour une question aussi
complexe que celle des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâras</i>.
Faut-il y voir une discrétion en regard de la propre situation de Shankara ?<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Prenons maintenant d’autres
exemples. Voyons comment Shankara a considéré les quatre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i> dans ses commentaires des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishads</i> respectives.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Ces quatre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i> sont totalement intégrés au
texte des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishads</i>. Le Commentaire
de Shankara tient compte de cette configuration et ne distingue pas
particulièrement ‘la parole essentielle’ correspondante. Voyons le texte de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aitareya-upanishad</i> (V, 3 ou III, 1, 3):<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">« Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">esha</i>) est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, cela est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Indra</i>,
cela est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prajâpati</i>, tous (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) ces <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Deva</i> et ces cinq grands éléments (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-bhûta</i>): terre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prithivî</i>),
air (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâhu</i>), éther (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âkâsha</i>), eau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âpas</i>) feu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jyotis</i>), ces (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">etat</i>) [choses] et celles (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">idam</i>) qui sont ainsi mêlées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mishra</i>) [d’aspects] ténus (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kshudra</i>), germes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bîja</i>) d’une sorte (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">itara</i>)
ou d’une autre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">itara</i>), [celles] nées
de l’oeuf (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ânda-ja</i>), nées de la
matrice (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jâru-ja</i>, vivipare), nées de
la vapeur d’eau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sveda-ja</i>, né comme
ce qui transpire), nées en sortant du [sol] (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">udbhid-ja</i>, né en surgissant, en poussant [du sol]), chevaux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ashva</i>), vaches (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">go</i>), hommes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">purusha</i>),
éléphants (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hastin</i>); ainsi, celles qui
sont soumises au souffle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâna</i>), qui
sont mobiles (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jangama</i>), qui volent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">patatrin</i>) et [aussi] celles qui sont
immobiles (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthâvara</i>). Tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) cela est guidé par la
connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ-netra</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">netra</i> ‘le guide, l’oeil’), repose (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratishthita</i>) dans la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâna</i>); le monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">loka</i>) est guidé par la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ-netra</i>), la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ</i>) est son assise (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratishthâ</i>), la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâna</i>) est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les deux derniers mots ont
ainsi été reconnus comme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i>.
Voyons la fin du commentaire de Shankara qui s’achève par ces mots: « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tasmât prajnânam brahma</i> (ainsi la
connaissance est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>) ».
Shankara ne commente pas particulièrement ce <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i> et se montre plus préoccupé par l’expression <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ-netra</i>. Voici le texte sanscrit
des dernières expressions de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishad</i>
que<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> </i>nous venons de traduire:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>/ sarvam
tat-prajnâ-netram prajnâne pratishthitam prajnânetro lokah prajnâ pratishthâ
prajnânam brahma /</span></i><span style="font-size: 12pt;"><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Et voyons maintenant le texte
sanscrit des dernières lignes du commentaire de Shankara:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>/ <i style="mso-bidi-font-style: normal;"><u>sarvam tat</u>
asheshatah <u>prajnâ-netram</u></i>,<i style="mso-bidi-font-style: normal;">
prajnaptih <u>prajnâ</u></i>,<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> tach-cha
brahma-eva</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">nîyate’neneti <u>netram</u></i>,<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> prajnâ netram yasya tad-idam prajnâ-netram</i>;<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> <u>prajnâne</u> brahmany-utpatti-sthiti-laya-kâleshu
<u>pratishthitam</u></i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ-âshrayam-ity-arthah</i>
/ <i style="mso-bidi-font-style: normal;"><u>prajnânetro lokah</u> pûrvavat</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâchakshur-vâ sarva eva lokah</i> / <i style="mso-bidi-font-style: normal;"><u>prajnâ pratishthâ</u> sarvasya jagatah</i>
/ <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tasmât<u> prajnânam brahma</u></i> /<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Nous avons, ici aussi,
volontairement souligné les mots du commentaire qui sont communs à ceux du
texte de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishad</i> et ajouté une
ponctuation. Suivons ce commentaire. Shankara cite le texte de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishad</i> et commente avec un synonyme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ashesha</i>) du mot <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>: « tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>)
cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>), entièrement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">asheshatas</i>), est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnânetra</i> ». Puis il nous explique d’une part que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ</i> est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnapti</i> (connaissance) et que cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) est comme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>; et
d’autre part que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">netra</i> est ce par
quoi quelqu’un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">idam</i>) est guidé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">NÎ</i>). Ainsi ce qui a la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ</i>) comme guide (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">netra</i>) est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ-netra</i>. Maintenant Shankara commente les termes <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâne</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ</i> au locatif) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratishthitam</i>:
« Ce qui est en connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ</i>)
est en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> dans toute la durée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâla</i>) de la production (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">utpatti</i>), du séjour (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthiti</i>) et de la dissolution (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">laya</i>); <i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratishthita</i> est ce qui a pour but (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">artha</i>) de donner appui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âshraya</i>)
à la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ</i>) ».
Shankara cite l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishad</i>: « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnânetro lokah</i> » et précise que
cette expression vient d’être expliquée: « [Elle] est comme précédemment (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûrvavat</i>) ». Puis il ajoute:
« ou (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâ</i>) cela [signifie] que ce
monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">loka</i>) entier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) a pour oeil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chakshus</i>) celui de la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ</i>) ». Il explique ensuite que l’expression « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prajnâ pratishthâ</i> » concerne le
monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>) entier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) et conclut: « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tasmât prajnânam brahma</i> (ainsi la
connaissance est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Cet autre extrait d’un
passage d’un commentaire de Shankara nous fait mesurer le caractère très
spécifique de ce genre d’écrit et la difficulté à le traduire pour le rendre
intelligible dans une langue occidentale. Mais poursuivons notre exploration
des commentaires des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i>.
Considérons maintenant la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Chândogya-Upanishad</i>
(VI, 8, 7):<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">« Ce qui est cette
essence subtile (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">animâ</i>, racine du
monde), Ce qui fait que tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarvam</i>)
est de la nature de Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aitad-âtmya</i>);
Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) est vérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">satya</i>), Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah</i>) est le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>), ô
Shvetaketu, ‘tu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tvam</i>) es (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">asi</i>) Cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>)’.- ‘Seigneur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhagavân</i>)
instruisez-moi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-JNÂ</i>) encore’.- Il
répondit, ‘soit, ô disciple (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">somya</i>)’ ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Nous ne retiendrons du commentaire
par Shankara que le très bref passage qui concerne le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat-tvam-asi</i>):<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;">atah<u> tat</u> sat<u>
tvam</u>-<u>asi</u>-iti</i> (...)<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara se contente
d’indiquer qu’il faut interpréter <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>
(Cela) comme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i> (Être pur). Son
propos est ainsi bien plus implicite qu’explicite.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Si l’on se penche maintenant
sur le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i> figurant dans la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mândûkya-Upanishad</i> (2), on pourra faire
le même constat d’un certain silence essentiel de Shankara qui préfère
commenter d’autres expressions de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishad</i>
dont voici le texte traduit:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">« Car tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarvam</i>) cela est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, le Soi est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ayam âtmâ brahma</i>), ce (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah</i>) Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ayam-âtmâ</i>) a quatre quartiers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">catush-pat</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara constate dans son
commentaire que si dans la strophe précédente de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishad</i> le Soi a été désigné (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhihita</i>)
implicitement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">paroksha</i>, invisible),
il est maintenant indiqué (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-DISH</i>)
explicitement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyakshata</i>) au moyen
de cette différence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishesha</i>) qui
est [l’expression] ‘<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ayam-âtmâ brahma’</i>.
Voici le texte sanscrit:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>/ <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tach-cha brahma
paroksha-abhihitam pratyakshato visheshena nirdishati ayam-âtmâ brahma-iti </i>/<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara ne dit rien de plus
qui puisse se rapporter directement à ce <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Nous ne citerons pas le texte
assez long de la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brihad-Âranyaka-Upanishad</i>
(I, 4, 10) où figure le quatrième <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i>
énoncé d’ailleurs deux fois: « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham
brahma-asmi</i>, Je suis <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> ».
Nous ne retiendrons qu’un court extrait de son commentaire qui se rapporte au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ-vâkya</i>. Shankara énonce cette
correspondance: « [la formulation] ‘Je suis <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham brahma-asmi</i>)
équivaut à [la formulation] le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>)
est le Visionnaire (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">drashtri</i>) de la
vision (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">drishti</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Le commentaire le plus
significatif de Shankara est celui qu’il composa pour les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-Sûtras</i>. Attribués à Bâdarâyana, les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-Sûtras</i> renferment 555 <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sûtras</i>
qui se répartissent en quatre chapitres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâya</i>).
Chaque chapitre est à son tour divisé en quatre parties (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pâda</i>). Enfin selon le commentateur les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">pâda</i> sont divisés en plusieurs sections (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhikarana</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">On ne peut donner un aperçu
sur l’ensemble du texte des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-Sûtras</i>.
Chaque <i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâya</i> a reçu un titre
particulier pour le qualifier, mais pas vraiment pour le résumer. Dans le
commentaire de Shankara, le premier <i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâya</i>
porte le titre de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samanvaya</i> (accord,
relation): relation entre le symbole et ce qu’il symbolise; accord entre les
expressions employées dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upanishads</i>
et la réalité de ce qu’elles représentent. Le deuxième <i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâya</i> est qualifié par le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">avirodha</i> (non-contradiction); ce titre tend à démontrer qu’il ne
peut y avoir d’oppositions irréductibles, les objections sur la conception du
Réel doivent être levées. Le troisième <i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâya</i>,
consacré aux moyens d’atteindre la Délivrance, porte ainsi le nom de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâdhana</i> (réalisation). Enfin, le quatrième
<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâya</i> est consacré au but véritable
qui n’est autre que la Délivrance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">moksha</i>),
voilà pourquoi ce chapitre porte le qualificatif de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">phala</i> (fruit).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sûtras</i> de Bâdarâyana exposent implicitement tous les aspects du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i> (que le commentateur doit
expliciter) qui dans une vision harmonieuse du Réel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samanvaya</i>) et une conciliation des oppositions apparentes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avirodha</i>) mène à une compréhension de la
Réalité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâdhana</i>) dont la Réalisation
est le fruit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">phala</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Nous donnons une traduction
littérale de la fameuse introduction que Shankara a composée pour son
commentaire des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-Sûtras</i>:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">« Le milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishaya</i>) et l’être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishayin</i>), respectivement domaine (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">gochara</i>) de la notion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyaya</i>)
du vous (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yushmat</i>) et du nous (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">asmat</i>), s’opposant par nature (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-bhâva</i>) l’un à l’autre comme les
ténèbres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tamas</i>) et la lumière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prakâsha</i>), s’excluent l’un de l’autre;
et leurs attributs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>)
respectifs s’excluent bien plus encore. Aussi la surimposition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâsa</i>) à l’être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishayin</i>) doué essentiellement de conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit-âtmaka</i>), domaine de la notion du nous, du milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishaya</i>), domaine de la notion du vous,
et de ses attributs serait une erreur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mithyâ</i>).
De même la surimposition de l’être et de ses attributs au milieu [serait
également une erreur]. Pourtant la surimposition à l’un de l’essence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmaka</i>) et des attributs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>) de l’autre est un manque de
discernement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">viveka</i>), ces catégories
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharmin</i>) et ces attributs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>) étant pourtant totalement
distincts; accoupler ainsi le vrai (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">satya</i>)
et le faux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anrita</i>) en déclarant ‘je
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) suis cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">idam</i>)’ ou ‘cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">idam</i>) est à moi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>)’
est une pratique (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyavahâra</i>)
naturelle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">naisargika</i>) du monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">loka</i>) qui est le signe d’une
connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>) erronée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mithyâ</i>). <o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Qu’est-ce que l’on nomme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâsa</i> (surimposition) ?<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">[La surimposition], c’est un
contenu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rûpa</i>) de la mémoire (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">smriti</i>), [qui a été enregistré] ailleurs
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">paratra</i>), qui surgit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avabhâsa</i>) comme une perception (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">drishta</i>) première (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûrva</i>) [concernant donc une autre chose que celle qui a été mémorisée].
Certains disent: ‘la surimposition, c’est donner les attributs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>) d’une chose à une autre’.
D’autres: ‘la surimposition est une erreur de discernement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">viveka</i>) sur [l’attribution des choses]’.
Enfin d’autres: ‘la surimposition, c’est d’attribuer des propriétés (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>) contraires (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">viparîta</i>) à une chose’. De toutes façons, ils s’accordent tous sur
le fait que c’est l’apparition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avabhâsa</i>)
de l’attribut (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>) d’une chose en
une autre. C’est l’attitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anubhava</i>)
du monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">loka</i>) qui fait voir la
nacre comme de l’argent ou la lune qui est une comme étant double.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Mais comment une
surimposition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâsa</i>) du milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishaya</i>) et de ses attributs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>) peut-elle se faire au Soi
interne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyagâtmâ</i>) qui est
hors-milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vishaya</i>) ? Or la surimposition
se fait d’un milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishaya</i>) [donné]
avec un autre auquel on est confronté (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avasthita</i>)
et tu as dit [implicitement au début de l’introduction] que le Soi interne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyagâtmâ</i>) était hors-milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vishaya</i>) puisqu’il n’est pas une
notion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyaya</i>) du vous (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yushmat</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Le Soi interne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyagâtmâ</i>) n’est pas exclusivement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ekânta</i>) hors-milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vishaya</i>). Il est le milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishaya</i>) de la notion du nous (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">asmat</i>) et il est immédiatement perçu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aparoksha</i>). Ensuite il n’y a pas de
restriction (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">niyama</i>) à ce que la
surimposition se fasse d’un milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishaya</i>)
[donné] avec un autre auquel on est confronté (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avasthita</i>). Les gens peu instruits surimposent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhi-ÂS</i>) à l’éther qui est imperceptible
[diverses manifestations comme] la surface (tala), l’opacité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">malinatâ</i>) etc. Il n’y a pas
d’incompatibilité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aviruddha</i>) à la
surimposition du non-soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">an-âtmâ</i>) au
Soi interne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyagâtmâ</i>). Les
pandits (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pandita</i>) pensent que la
surimposition ainsi caractérisée est ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vidyâ</i>). Ils appellent connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidyâ</i>) la certitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avadhârana</i>)
de la nature propre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva</i>-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rûpa</i>) [d’une chose] par le discernement
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">viveka</i>). Cela étant, la
surimposition d’un défaut (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dosha</i>) ou
d’une qualité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">guna</i>) d’une chose à
une autre ne les affectent ni l’une ni l’autre. Cette surimposition réciproque
du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) et du non-soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">an-âtmâ</i>) nommée ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vidyâ</i>) est présupposée dans toutes les
actions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyavahâra</i>) liées aux moyens
de preuve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pramâna</i>) et aux choses à
prouver (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prameya</i>) que [ces actions]
soient tributaires du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Veda</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vaidika</i>) ou des affaires du monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">laukika</i>); [elle est présupposée
également] dans tous les enseignements (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shâstra</i>)
qu’ils traitent d’injonctions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidhi</i>),
d’interdictions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratisheda</i>) ou de la
délivrance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">moksha</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Comment la perception (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyaksha</i>) et autres moyens de preuve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pramâna</i>) et les enseignements (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shâstra</i>) concerneraient-ils un milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishaya</i>) fait d’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vidyâ</i>) ?<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Parce que les moyens de
preuve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pramâna</i>) ne peuvent être
utilisés sans un acteur de la preuve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pramâtri</i>)
lequel ne peut être sans la prétention (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abhimâna</i>)
que le corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deha</i>), les facultés de
sensation et d’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indriya</i>),
etc., sont ‘je’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) et au ‘je’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>). Si, en effet, les facultés de
sensation et d’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indriya</i>) ne
sont pas activées, la perception (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyaksha</i>)
et autres [moyens de preuve] ne peuvent entrer en action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyavahâra</i>), et d’autre part les facultés de sensation et d’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indriya</i>) ne peuvent entrer en action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyavahâra</i>) sans support (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhishthâna</i>). Et s’il n’y a pas
surimposition du corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deha</i>) au Soi
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>), alors il n’y a pas
[préoccupation] d’action. Si rien de tout cela n’était, le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) sans attache (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">asanga</i>) ne pourrait être l’acteur de la preuve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pramâtri</i>). Or sans ce qui est de nature
à être acteur de la preuve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pramâtri</i>)
les moyens de preuve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pramâna</i>) ne se
manifestent pas. Donc la perception (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyaksha</i>)
et autres moyens de preuve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pramâna</i>)
ainsi que les enseignements (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shâstra</i>)
concernent un milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishaya</i>) fait
d’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vidyâ</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Il n’y a aucune différence
entre tous les êtres vivants (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pashu</i>).
Les bêtes et autres quand un son, par exemple, frappe leurs oreilles reculent
si elles le jugent défavorable ou avancent dans le cas contraire. Ainsi quand
elles aperçoivent un homme brandissant un bâton, elles se mettent à fuir,
imaginant ‘il va me frapper’; quand elles voient quelqu’un qui a la main pleine
d’herbe tendre, elles avancent vers lui. De même les humains, quoique leur
faculté de penser (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chitta</i>) soit
développée, prennent la fuite quand ils aperçoivent des gens pleins de force,
au regard féroce, qui hurlent en brandissant des sabres; ils s’approchent au
contraire vers ceux qui ont une attitude toute différente. L’activité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyavahâra</i>) qui concerne les moyens de
preuve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pramâna</i>) et les choses à
prouver (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prameya</i>) est identique chez
l’homme et chez les bêtes. Or il est établi que le comportement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prasiddha</i>) des bêtes et autres vis-à-vis
de l’activité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyavahâra</i>) comme la
perception (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyaksha</i>) et autres
[moyens] présuppose le non-discernement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-viveka</i>).
On pourra conclure que les hommes qui ont même apparence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>) [que les bêtes] tout en ayant la pensée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mata</i>) plus développée ont une activité
semblable vis-à-vis de la perception (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyaksha</i>)
et autres [moyens] dans la durée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâla</i>)
[de la surimposition].<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Quant à l’activité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyavahâra</i>) [réglée] par les
enseignements (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shâstra</i>), un homme
investi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûrvakarin</i>) par l’intellect
supérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">buddhi</i>) ne se qualifie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhi-KRi</i>) pas si la relation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sambandha</i>) du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) avec un autre monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">para-loka</i>)
lui est inconnue, néanmoins la réalité du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtma-tattva</i>), comme le Védânta (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vedânta</i>)
peut la faire connaître, qui est d’être au-delà de la faim et autres [désirs],
au-delà des distinctions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bheda</i>)
comme celle des Brâhmanes et des Kshatriyas, au-delà de la transmigration (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samsâra</i>), n’a pas à être reconnu pour la
qualification (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhikâra</i>); cette
reconnaissance serait sans utilité et incompatible avec la qualification (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhikâra</i>) [propre à accomplir les rites
efficacement]. Donc l’enseignement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shâstra</i>)
qui se mobilise avant une connaissance distinctive (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vijnâna</i>) du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>)
n’échappe pas à ce milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishaya</i>)
d’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vidyâ</i>). Ainsi des
enseignements (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shâstra</i>) parmi
d’autres comme ‘le Brâhmane doit accomplir des rites sacrificiels’ se
mobilisent tant qu’il y a surimposition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâsa</i>)
au Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) de la [notion de] caste
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">varna</i>), de stade de l’existence
terrestre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âshrama</i>), d’âge (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vayas</i>), de circonstance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avasthâ</i>) et autres distinctions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishesha</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Nous avons dit que ce que
l’on nomme surimposition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâsa</i>),
c’est l’idée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">buddhi</i>) de cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) en non-cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-tat</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Quand un homme se considère
comme sain ou malade suivant que sa femme, son fils ou ses autres parents sont
sains ou malade, il surimpose (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhi-ÂS</i>)
au Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) des attributs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>) extérieurs; quand il déclare:
‘je suis gros, je suis maigre, je suis pâle, je suis debout, je marche, je
saute’, il surimpose (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhi-ÂS</i>) [au
Soi] des attributs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>) du corps
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deha</i>); quand il déclare: ‘je suis
muet, je suis borgne, je suis impuissant, je suis sourd, je suis aveugle’, il
surimpose (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhi-ÂS</i>) [au Soi] des
attributs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>) des facultés de
sensation et d’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indriya</i>); de
même pour les attributs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>) du
sens interne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antahkarana</i>) tels que
le désir, la volonté, le doute, la détermination, etc. On surimpose (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhi-ÂS</i>) ce qui assume la notion du je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham-pratyayin</i>) au Soi interne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyagâtmâ</i>) qui est témoin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâkshin</i>) des manifestations propres [à
ce qui assume cette notion du moi] et inversement on surimpose au Soi interne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyagâtmâ</i>), témoin de tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>), le sens interne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antahkarana</i>) et autres. Telle est cette
surimposition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhyâsa</i>) naturelle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">naisargika</i>), sans commencement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anâdi</i>) ni fin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ananta</i>), qui a une forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rûpa</i>)
de notion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyaya</i>) erronée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mithyâ</i>), qui manifeste les états d’agent
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kartri</i>) et de jouisseur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhoktri</i>) et dont la perception (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyaksha</i>) est pour tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) le monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">loka</i>). C’est pour abolir cette cause (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hetu</i>) sans but (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">an-artha</i>)
et atteindre la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidyâ</i>)
de l’unité du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ-eka</i>) qu’on
entreprend [l’étude de] tous les Védântas (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vedânta</i>).
Tel est le but (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">artha</i>) de tous les
Védântas (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vedânta</i>). Nous allons le
montrer dans cette étude réfléchie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mîmânsâ</i>)
de ce qui est ‘incorporé’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shârîraka</i>). »<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Ici s’achève l’introduction
de Shankara. Et voici le premier <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sûtra</i>
que Shankara doit commenter:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;">athâto brahmajijnâsâ</i><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Et maintenant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">atha</i>)
donc (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">atas</i>) la recherche (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jijnâsâ</i>) de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">La lecture de cette
introduction peut laisser le lecteur perplexe. Shankara joue avec les mots. Son
texte est plus une illustration, un symbole, de la surimposition qu’une
explication. Le symbole peut amener à la synthèse où tout s’éclaire, alors que
l’explication ne nous laisserait que dans les affres de l’analyse indéfinie.
Ainsi ce qu’il faut comprendre se cache derrière ce qu’il nous dit ! En effet,
la première phrase de cette introduction est particulièrement caractéristique.
Car faire une distinction entre la ‘notion du nous’ et la ‘notion du vous’,
c’est mettre l’accent sur le caractère nécessairement relatif de toute
distinction. Peut-on exclure l’être de son milieu ? Non. Ainsi il n’y a pas
d’opposition absolue entre l’être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishayin</i>)
et son milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishaya</i>), comme le
démontre le caractère illusoire de la distinction du ‘nous et du ‘vous’. On
pourrait penser qu’il y a bien opposition entre les ténèbres et la lumière.
Mais, là encore, cette opposition est en elle-même relative, car, d’un certain
point de vue, le principe non manifesté de la lumière peut justement être
symbolisé par la lumière. La non-lumière est le principe de la lumière, comme
le Non-Être est le principe de l’Être. Ainsi conçue, cette distinction reste
bien relative, comme nous le montre Shankara par cette fausse opposition du
‘nous’ et du ‘vous’ qui définit la surimposition ou fausse imputation.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt;">Stotra, prakarana et upadesha<o:p></o:p></span></b></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">L’autre partie de l’oeuvre de
Shankara peut se répartir en hymnes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">stotra</i>),
en traités (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prakarana</i>) et en
instructions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upadesha</i>). A cette
répartition qu’il ne faut pas considérer comme restrictive, on doit ajouter le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prapanchasâra</i> (-<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tantra</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">stotra</i> (qui sont des hymnes composés pour certains de quelques
strophes, pour d’autres de quelques dizaines de strophes et pour d’autres enfin
de plus d’une centaine de strophes) se répartissent ainsi:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ganapati-stotra</i> (hymnes à Ganesha),<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Subrahmanya-stotra</i>,<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Îshvara-stotra</i> (notamment des hymnes à Shiva comme la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shiva-ânanda-laharî</i> [l’océan de
béatitude de Shiva] ou le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shiva-panchâkshara-stotra</i>
dont nous donnons plus loin la traduction),<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Devî-stotra</i> (hymnes à la Déesse comme la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">saundarya-laharî</i> [l’océan de beauté]),<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vishnu-stotra</i> (hymnes à Vishnu comme le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Krishnâshtakam</i> ou le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mohamudgara</i>
connu aussi sous le nom de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Bhajagovinda</i>),<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">- <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Samkîrna-stotra</i> (hymnes divers comme ceux dédiés à la Narmadâ ou au
Gange, etc.).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">On compte ainsi bien plus de
soixante hymnes de Shankara.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Voici donc la traduction de
l’hymne consacré au <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mantra</i> de Shiva:
« <i style="mso-bidi-font-style: normal;">namah</i> (hommage) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shivâya</i> (à Shiva) ». Ce <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mantra</i> se compose ainsi de cinq syllabes
représentées par cinq signes graphiques (N, M, SH, V, Y). Cet hymne intitulé <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Shiva-pancha-akshara-stotra</i> [Hymne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">stotra</i>) aux cinq (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pancha</i>) syllabes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">akshara</i>)]
se divise en cinq strophes. Chaque strophe débute par l’un des signes
constitutifs du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mantra</i>:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">1</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« [Hommage] à celui qui a pour collier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hâra</i>) le roi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indra</i>) des
serpents (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nâga</i>), qui a le [troisième]
oeil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-lochana</i>), qui a des cendres
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhasma</i>) pour onguent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anga-râga</i>), qui est le grand (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>) Être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îshvara</i>); [hommage] à celui qui est éternel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nitya</i>), qui est pur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shuddha</i>),
qui est nu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dig-ambara</i>, qui a
l’espace comme vêtement); [hommage] à celui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah</i>) qui est le signe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâra</i>,
lettre, son) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Na</i>, hommage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">namah</i>) à Shiva ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">2</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« [Hommage] à celui qui est oint (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">charchita</i>)
de santal (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chandana</i>) et d’eau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">salila</i>) du Gange (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mandâkinî</i>), qui est le grand (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>)
Être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">îshvara</i>): maître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nâtha</i>) des Pramatha et seigneur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Îshvara</i>) de Nandi; [hommage] à celui à
qui l’on donne en offrande (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">su-pûjita</i>)
de nombreuses (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bahu</i>) fleurs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pushpa</i>) à commencer (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mukhya</i>) par celles de l’arbre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">mandâra</i>; [hommage] à celui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah</i>) qui est le signe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâra</i>) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ma</i>, hommage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">namah</i>) à
Shiva ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">3</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« [Hommage] à celui qui est de bon auspice (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shiva</i>, bienfaisant), qui est le soleil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sûrya</i>) levant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bâla</i>)
[révélant] le visage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vadana</i>) de
lotus (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">abja</i>) de Gaurî, qui ruine (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nâshaka</i>) le sacrifice (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhvara</i>) de Daksha; [hommage] au
seigneur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shrî</i>) à la gorge (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kantha</i>) bleu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nîla</i>) qui a le taureau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vrisha</i>)
pour emblème (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhvaja</i>); [hommage] à
celui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah</i>) qui est le signe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâra</i>) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">SHi</i>, hommage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">namah</i>) à
Shiva ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">4</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« [Hommage] à celui qui est adoré (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">archita</i>)
comme la plus haute (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shekhara</i>)
divinité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deva</i>) par les grands (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indra</i>) et nobles (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ârya</i>) ascètes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">muni</i>):
[les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">rishis</i>] Vasishtha, Agastya
(Kumbhodbhava) et Gautama; [hommage] à celui dont les yeux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">lochana</i>) sont la lune (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chandra</i>), le soleil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">arka</i>) et le feu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vaishvâ-nara</i>, Agni, l’Universel, le Soi); [hommage] à celui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah</i>) qui est le signe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâra</i>) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Va</i>, hommage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">namah</i>) à
Shiva ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">5</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« [Hommage] à celui qui est la forme même (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-rûpa</i>) du sacrifice (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yajna</i>),
qui porte (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhara</i>) le chignon (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jatâ</i>), qui brandit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hasta</i>) un arc (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pinâka</i>),
qui est éternel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sanâtana</i>); [hommage]
à celui qui est divin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">divya</i>), qui
est divinité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deva</i>) qui est infini (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dig-ambara</i>, le ciel, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambara</i>, dans toutes les directions, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dish</i>); [hommage] à celui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah</i>) qui est le signe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâra</i>) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ya</i>, hommage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">namah</i>) à
Shiva ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Le terme <i style="mso-bidi-font-style: normal;">dig-ambara</i> se rencontre deux fois dans cet hymne. A la première
strophe il est traduit par ‘nu’ et par ‘infini’ dans cette dernière strophe. <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ambara</i>, c’est le ciel que l’on peut
considérer comme un vêtement qui nous couvre et s’il s’étend dans toutes les
directions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dish</i>), on n’a pas besoin
d’autre couverture, on est nu mais enveloppé par le ciel. Si l’on s’identifie à
cet espace qui nous couvre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambara</i>),
on est alors le ‘ciel’ dans toutes ses directions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dish</i>), on est ce qui enveloppe tout, le Principe, l’Infini.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Shankara a composé de
nombreux traités (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prakarana</i>), plus
d’une trentaine. Parmi ceux-ci le célèbre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Âtma-bodha</i>.
Nous donnerons en conclusion la traduction du plus court d’entre eux: l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Ekashlokî</i> composé d’une ‘seule (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>) strophe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shloka</i>)’. Nous avons précédemment traduit deux de ces <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prakarana</i>: le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dashashloki</i> et l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upadesha-panchakam</i>
(ce dernier pourrait figurer dans le groupe des ‘instructions’). Là encore, ces
traités comptent parfois plus de cent strophes comme l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Aparokshânubhûti</i> [la conception (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anubhûti</i>) explicitée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aparoksha</i>)
du (Soi)] ou moins d’une dizaine comme le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Dhanyâshtakam</i>
[la huitaine des heureux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhanya</i>)].
Cinq strophes pour la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Panchîkaranam</i>
et plus d’une cinquantaine pour le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vâkya-vritti</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Nous retiendrons l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Advaita-pancharatnam</i> [les cinq (pancha)
joyaux (ratna) de la Non-Dualité (advaita)] dont voici la traduction:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">1</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « Je
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) ne suis ni le corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deha</i>), ni les facultés de sensation et
d’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indriya</i>), ni le sens
interne (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antar-anga</i>, organe interne),
ni le moi individuel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ahamkâra</i>), ni
le groupe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">varga</i>) des souffles (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâna</i>), ni l’intellect (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">buddhi</i>); loin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dûra</i>) de l’épouse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dâra</i>),
des enfants (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">apatya</i>), des terres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kshetra</i>), des richesses (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vitta</i>) et autres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>) [sources d’attachement], [je] suis le témoin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sâkshî</i>), éternel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nitya</i>), le Soi intérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratyag-âtmâ</i>),
je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) suis Shiva ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Il faut bien comprendre que le premier ‘je’ (aham) est
celui qui pose la question: « Qui (kah) suis-je (aham) ?, ko’ham ».
Le second ‘Je’ (aham) est celui de la réponse: « Je (aham) suis Cela
(sah), so’ham ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">2</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Par la non-reconnaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-jnâna</i>,
ignorance) de la corde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rajju</i>) un
serpent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ahi</i>) [peut] se surimposer (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÂ</i>, apparaître) à la corde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rajju</i>); de même par ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-jnâna</i>) du propre Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-âtmâ</i>) la condition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâva</i>) de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîva</i> (vivant) est [surimposée] au Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>); par [la perception d’] une parole (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ukti</i>) efficace (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âpta</i>) la
ruine (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nâsha</i>) de l’illusion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhrânti</i>) du serpent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ahi</i>) est [obtenue], cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sah</i>) est [bien] une corde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rajju</i>); [donc] par la parole (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ukti</i>) du maître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deshika</i>), [on comprend:] je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>)
ne suis pas le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîva</i> (vivant), je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) suis Shiva ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">3</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« C’est par illusion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-moha</i>)
que ce monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishva</i>) relatif (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-satya</i>, sans vérité) apparaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">â-BHÂ</i>) dans le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) dont la nature (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rûpa</i>)
est vérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">satya</i>), connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>) et béatitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ânanda</i>); tel un rêve (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svapna</i>) né des possibilités illusoires (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">moha</i>) du sommeil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nidrâ</i>), cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) n’est
pas vrai (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">satya</i>); [je] suis pur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shuddha</i>), infini (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûrna</i>), éternel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nitya</i>),
un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>), je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) suis Shiva ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">4</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « Je
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) ne suis pas né (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jâta</i>), je n’ai pas grandi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-vriddha</i>), je ne suis pas mort (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nashta</i>); tous (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) ces attributs (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dharma</i>)
naturels (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâkrita</i>) sont dits (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ukta</i>) du corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deha</i>); la condition d’agent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kartri-tva</i>)
et autres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>) [conditions]
constituées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">maya</i>) de conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>) ne sont pas le moi individuel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ahamkara</i>) mais mon (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>), je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) suis Shiva ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">On trouve ici une
illustration des effets des deux pôles principiels de la manifestation. Le
principe passif <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prakriti</i> et
implicitement le principe actif <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Purusha</i>.
Les effets de cette polarité, comme la polarité principielle doivent finalement
disparaître dans le Principe suprême, dans le Soi.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">5</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Rien d’autre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anya</i>) que ‘moi’
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mattas</i>) n’existe ici (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">atra</i>); le monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishva</i>) est en vérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">satyam</i>)
une chose (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vastu</i>) extérieure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bâhya</i>) façonnée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upa-KLiP</i>) par <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>;
semblable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tulya</i>) à un reflet (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâsamâna</i>) dans (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antar</i>) un miroir (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdarsha</i>),
il apparaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÂ</i>) en ‘moi’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) qui suis non-duel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">advaita</i>); je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) suis donc (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tasmât</i>)
[bien] Shiva ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span><i style="mso-bidi-font-style: normal;">Stotra</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">prakarana</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">upadesha</i>. L’oeuvre de Shankara est aussi constituée d’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upadesha</i>. On peut citer trois grands
textes appartenant à cette catégorie: le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vivekachûdâmani</i>
[le suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chûdâ</i>) joyau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mani</i>) du discernement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">viveka</i>)], l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Upadeshasahasrî</i> [ce qui comporte mille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sahasrî</i>) instructions (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upadesha</i>)]
et le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sarva-vedânta-siddhânta-sâra-samgraha</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt;">Mâyâ</span></b><span style="font-size: 14pt;"><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Nous retiendrons certaines
strophes du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vivekachûdâmani</i> pour
illustrer la question de l’Illusion résultant de l’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vidyâ</i>) sans pour autant oublier que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> est aussi identifiée à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prakriti</i> ou à l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avyakta</i>. Mais citons cette strophe avant de parler de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">58</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Ce n’est ni par le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yoga</i> , ni
par le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sânkhya</i>, ni par le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Karma</i>, ni par la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Vidyâ</i> que la Délivrance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">moksha</i>)
se réalise (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SIDH</i>); [la Délivrance se
réalise] dans la compréhension (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bodha</i>)
de l’identité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka-tva</i>) entre <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Âtmâ</i>, et pas autrement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anyathâ</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Il faut donc dépasser les quatre derniers darshanas,
avoir assimilé le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Sânkhya</i>, le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yoga</i>, la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Karma-Mîmânsâ</i> et la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma-Mîmânsâ</i>
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">brahma-vidyâ</i>) pour entrevoir la
Délivrance. Mais poursuivons par ces strophes caractérisant les diverses
facettes de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">110</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Ce qui a pour nom (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nâma</i>) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avyakta </i>(indifférencié), c’est la
puissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shakti</i>) de l’Être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">parama-îsha</i>), c’est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avidyâ</i> (ignorance) sans commencement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">an-âdi</i>), c’est ce qui est constitué (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmika</i>) des trois (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tri</i>)
qualités (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">guna</i>), c’est le suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">para</i>), c’est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>, c’est ce que le sage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sudhî</i>)
peut deviner (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anu-meya</i>, par ‘mesure’
MÂ) à partir de ses effets (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârya</i>),
c’est ce qui a projeté (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-SÛ</i>) cet
univers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>) entier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">111</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>] n’est composée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmika</i>) ni de l’être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>) ni du néant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-sat</i>) ni de l’un et de l’autre à la fois (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ubhaya</i>), [Elle] n’est composée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmika</i>)
ni de ce qui est différencié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhinna</i>)
ni de ce qui n’est pas différencié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-bhinna</i>)
ni de l’un et de l’autre à la fois (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ubhaya</i>),
[Elle] n’est composée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmika</i>) ni de
ce qui est fait de parties (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sânga</i>) ni
de ce qui n’est pas fait de parties (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">an-anga</i>)
ni de l’un et de l’autre à la fois (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ubhaya</i>),
[Elle] est le grand (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mahâ</i>) prodige (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adbhutâ</i>) dont la forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rûpa</i>) est indiscernable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-nirvachanîya</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">112</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>] est détruite (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nâshya</i>) en réalisant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-bodha</i>, reconnaissance) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> pur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shuddha</i>) et non-duel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">advaya</i>),
comme l’illusion (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhrama</i>, erreur) du
serpent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarpa</i>) est [détruite] par le
discernement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">viveka</i>) de la corde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rajju</i>); [Elle] se déploie (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-SIDH</i>) avec <i style="mso-bidi-font-style: normal;">rajas</i>, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tamas</i> et <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sattva</i>, les [trois] <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guna</i> (qualités) qui dévoilent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prathita</i>)
ses propres effets (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-kârya</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Le déploiement de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>
en fonction des <i style="mso-bidi-font-style: normal;">guna</i> s’accomplit avec
l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avriti-shakti</i> (pouvoir
d’obnubilation) pour <i style="mso-bidi-font-style: normal;">tamas</i>, la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">vikshepa-shakti</i> (pouvoir de projection,
de dispersion) pour<i style="mso-bidi-font-style: normal;"> rajas</i> et la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna-shakti</i><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>(pouvoir de connaissance) pour <i style="mso-bidi-font-style: normal;">sattva</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">122</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Cet <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avyakta</i> (indifférencié)
s’exprime (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nirukta</i>) au travers des
trois qualités (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tri-guna</i>); celui-ci
est une cause (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârana</i>) nommée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nâma</i>) corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sharîra</i>) du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>);
celui-ci est l’état (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-sthâ</i>)
particulier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vibhakti</i>) du sommeil
profond (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sushupti</i>) où le mode
fonctionnel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vritti</i>) de l’intellect (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">buddhi</i>) et de toutes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) les facultés de sensation et
d’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indriya</i>) est annihilé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pralîna</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârana-sharîra</i> (littéralement corps causal) est donc la forme
principielle ou causale, c’est-à-dire principe de la manifestation formelle. En
ce sens on peut le considérer comme le ‘corps’ du Soi.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">124</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Le corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deha</i>), les facultés
de sensation et d’action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">indriya</i>),
le souffle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prâna</i>), le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>), le ‘je’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), etc. (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>); les
transformations (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vikâra</i>), les
modifications du milieu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishaya</i>), le
plaisir (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukha</i>) [ou la souffrance] et
autres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>), l’air (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyoma</i>) et autres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>) éléments (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhûta</i>),
l’univers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishva</i>) entier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">akhila</i>), y compris (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">paryanta</i>) l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Avyakta</i>
(indifférencié); tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) enfin
est le non-Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">an-âtmâ</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">125</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Sache (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vid</i>) que tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>), <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> et les effets (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârya</i>)
de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>, depuis (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>, commencement) le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mahat</i>
(le Grand, le grand principe) jusqu’au (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pary-anta</i>,
fin) corps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">deha</i>), [tout] est néant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-sat</i>) et propre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tattva</i>) au non-Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">an-âtmâ</i>),
[tout] est comme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kalpa</i>) un mirage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">marîchikâ</i>) dans le désert (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">maru</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">49</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Pour toi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tvam</i>) qui es
[pourtant] le suprême Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">parama-âtmâ</i>),
l’association (yoga) avec l’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-jnâna</i>)
instaure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tata</i>) un lien (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bandha</i>) avec le non-Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">an-âtmâ</i>) [qui est] ainsi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eva</i>) le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samsâra</i> (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samsriti</i>);
[mais] le feu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vahni</i>) de la
connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bodha</i>) usant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">VAD</i>) du discernement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">viveka</i>) consume (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-DAH</i>) [jusqu’à] la racine (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samûla</i>)
les effets (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kârya</i>) de l’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-jnâna</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">171</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« En effet, il n’y a pas d’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vidyâ</i>)
en dehors (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">atirikta</i>, différente) du
mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>), car le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>) est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vidyâ</i>, la cause (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hetu</i>)
de l’enchaînement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bandha</i>) des états
d’être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhava</i>), [du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">samsâra</i>]; quand cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>) disparaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vinashta</i>), tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sakala</i>)
disparaît (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vinashta</i>); quand cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ayam</i>) se manifeste (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-JRiMBH</i>), tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sakala</i>)
se manifeste (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-JRiMBH</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">392</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) cet univers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>), circonscrit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-GAM</i>) par la parole (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vâch</i>) et le mental (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">manas</i>), est Être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>) et
rien d’autre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eva</i>); il n’y a rien
d’autre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eva</i>) que l’Être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>) pour ce qui se situe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthitavân</i>) aux frontières (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sîma</i>) ultimes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">para</i>) de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prakriti</i>. En
quoi le vase (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kalasha</i>), la cruche (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ghata</i>), la jarre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">khumbha</i>) et autres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>)
[ustensiles] sont-ils identifiables (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-GAM</i>)
à autre chose (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prithak</i>, séparé) qu’à
de l’argile (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mritsnâ</i>) ? Ivre du vin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">madirâ</i>) de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>, l’[homme] égaré (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhrânta</i>)
parle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">VAD</i>) en usant des termes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">iti</i>) comme ‘je’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>), ‘toi’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tvam</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les frontières ultimes de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prakriti</i> touchent à celles de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Purusha</i>. L’informe à l’épuisement des
formes doit disparaître dans l’informel.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">512</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Qu’en <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Prakriti</i>, il y ait (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">AS</i>) des changements (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vikâra</i>) de dix manières (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dasha-dhâ</i>), de cent manières (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shata-dhâ</i>) ou de mille manières (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sahasra-dhâ</i>), en quoi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kim</i>) suis-je (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) [lié] à ceux-ci (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>)
? [Je] suis la conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>)
inconditionnée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-sanga</i>, non
attachement); le tumulte (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dambara</i>,
tonnerre) des nuages (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambuda</i>) ne
perturbe (SPRISH) pas le ciel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ambara</i>,
éther) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Les trois puissances de dix
(10<sup>1</sup> = 10, 10<sup>2</sup> = 100, 10<sup>3</sup> = 1000) évoquent les
trois mondes et l’ensemble des possibilités qui s’y réalisent.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">570</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Esclavage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bandha</i>) et
libération (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">moksha</i>) sont tous deux
suscités (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">KLiP</i>) par <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i>, l’un et l’autre ne sont pas de la
nature du Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-âtmâ</i>); Il en est
comme de l’apparition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âbhâsa</i>) ou de
la disparition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-nir-gama</i>) du
serpent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarpa</i>) [illusoire] dans
[l’apparence] de la corde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rajju</i>) qui
est [toujours] identique (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nishkriya</i>,
inactive, inerte) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Rappelons que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> est la ‘mère’ de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avatâra</i>. La notion de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> ne manque pas d’être paradoxale.
Dans son lien au Principe, Mâyâ est la <i style="mso-bidi-font-style: normal;">shakti</i>
de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>; dans l’absence erronée de
ce lien c’est l’Illusion qui n’est pas (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mâ</i>,
n’est pas, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">ya</i>, qui). Ainsi ce qui est
proprement illusoire, c’est le fait de considérer la manifestation, le Monde,
comme extérieur au Principe, à <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>.
C’est en ce sens que <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Mâyâ</i> est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">avidyâ</i>.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 14pt;">Âtma-bodha<o:p></o:p></span></b></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;">Nous ne retenons de l’<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Âtma-bodha</i> qu’un choix de strophes qui
peuvent s’appliquer à l’état spirituel du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yogî</i>:<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">47</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yogî</i> doué de la
connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-jnâna-vân</i>) effective
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samyak</i>, parfaite) contemple (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sthita</i>, demeure) toutes choses (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-khila</i>) en son propre Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-âtmâ</i>); et par l’oeil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chakshus</i>) de la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>), il perçoit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ÎKSH</i>) que le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>)
est Un (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>) et Tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">48</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Comme les jarres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ghata</i>) et
autres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>) [ustensiles] ne sont que
de l’argile (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mrit</i>), [de même]
l’univers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>) entier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) n’est que le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>) hors duquel il n’est rien d’autre
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anya</i>) que le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>); ainsi il [<i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yogî</i>] perçoit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ÎKSH</i>) que
tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) est son propre Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-âtmâ</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">53</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Quand les limitations surajoutées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upâdhi</i>)
sont supprimées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-laya</i>), le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Muni</i> (synonyme de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Yogî</i>) se fond (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">VISH</i>) dans
l’Essence (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vishnu</i>, Être) qui est
partout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-vishesha</i>, sans
déterminations) comme l’eau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jala</i>)
dans l’eau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jala</i>), l’air (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">viyat</i>) dans l’air (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyoma</i>) ou le feu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tejas</i>)
dans le feu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tejas</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">34</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« [Il] est (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">AS</i>) sans
détermination qualitatives (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-guna</i>),
sans action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nish-kriya</i>), éternel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nitya</i>), sans volition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-vikalpa</i>), sans souillure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-anjana</i>), sans changement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-vikâra</i>), sans forme (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-âkâra</i>), perpétuellement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nitya</i>) libre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mukta</i>) et pur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-mala</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">35</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Comme l’éther (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âkâsha</i>), [il] (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) pénètre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">GAM</i>) tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) à
l’intérieur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antar</i>) et à l’extérieur
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bahir</i>); constamment (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sadâ</i>), [il] est impérissable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-chyuta</i>), immuable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sama</i>) en tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>), inaltérable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">siddha</i>),
impassible (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nih-sanga</i>, sans attache),
pur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-mala</i>) et inébranlable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-chala</i>, immobile) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">36</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« [Il] (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>) est le Suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">para</i>) <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> qui est éternel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nitya</i>),
pur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shuddha</i>), libre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-mukta</i>), seul (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>, un), incessamment rempli (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">akhanda</i>)
de Béatitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ânanda</i>), sans dualité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">advaya</i>), vérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">satya</i>, Principe inconditionné de toute existence), connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>) et sans fin (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">an-anta</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">54</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Sache (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-DHRi</i>) qu’il est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, après (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">apara</i>) la possession (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">lâbha</i>)
duquel il n’y a rien à posséder (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">lâbha</i>);
après (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">apara</i>) la jouissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukha</i>) [de la Béatitude] duquel il n’y a
point de félicité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukha</i>) qui puisse
être désirée; et après (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">apara</i>)
l’obtention de la Connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>)
duquel il n’y a point de connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>)
qui puisse être obtenue ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">55</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Sache (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-DHRi</i>) qu’il est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, lequel ayant été vu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">DRiSH</i>) [par l’oeil de la Connaissance],
aucun (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">apara</i>) [objet] n’est contemplé
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">drishya</i>); avec lequel étant
identifié (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÛ</i>), aucune (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">punar</i>, en arrière) modification (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhava</i>) [telle que la naissance ou la
mort] n’est [éprouvée]; lequel étant connu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">JNÂ</i>),
aucune autre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">apara</i>) connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jneya</i>) n’est [à atteindre] ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">56</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Sache (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-DHRi</i>) qu’il est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, qui est répandu partout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pûrna</i>), [dans tout]: dans l’espace
intermédiaire (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tiryak</i>, entre), dans
ce qui est au-dessus (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ûrdhva</i>) et dans
ce qui est au-dessous (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">adhas</i>)
[c’est-à-dire dans l’ensemble des trois mondes]; Être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>)-Conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>)-Béatitude
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ânanda</i>), sans dualité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">advaya</i>), indivisible (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ananta</i>) et éternel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nitya</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">57</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Sache (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-DHRi</i>) qu’il est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, affirmé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">lakshate</i>) dans le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Védânta</i>
comme absolument distinct de ce qu’il pénètre [littéralement, ‘désigné (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">lakshate</i>) dans les <i style="mso-bidi-font-style: normal;">védânta</i> par la méthode (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">rûpa</i>)
de l’élimination (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vy-a-vritti</i>) du
non-cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-tat</i>)’], immuable (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">avyaya</i>), incessamment rempli (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">akhanda</i>) de Béatitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ânanda</i>) et sans dualité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">eka</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">59</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« [Il] est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, en qui toutes
choses (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vastu</i>) sont unies (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">yukta</i>, liées, <i style="mso-bidi-font-style: normal;">akhila</i>, intégralement), de qui tous les actes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyavahâra</i>) dépendent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chid-anvita</i>);
c’est pourquoi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tasmât</i>) Il est
répandu en tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva-gata</i>), comme
le beurre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarpis</i>) est
essentiellement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">akhila</i>) [présent]
dans le lait (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kshîra</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">60</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Sache (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-DHRi</i>) qu’il est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, qui n’est ni subtil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">an-anu</i>) ni grossier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-sthûla</i>), qui est sans grandeur ou
dimension (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-hrasva</i>, ni court),
inétendu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-dirgha</i>, ni long), sans
origine (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-ja</i>, non-né), incorruptible
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-vyaya</i>), sans figure (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-rûpa</i>), sans qualité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-guna</i>), sans assignation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-varna</i>) ou caractère quelconque (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âkhyâ</i>, nom) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">61</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Sache (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ava-DHRi</i>) qu’il est <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>, par lequel toutes choses (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) sont éclairées (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÂS</i>), dont la lumière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâsa</i>) fait briller (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÂS</i>) le soleil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">arka</i>) et tous les corps lumineux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>, autre), mais qui n’est point rendu manifeste (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÂS</i>) par leur lumière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâs</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">62</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Comme le feu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vahni</i>) [pénètre]
[intimement] un boulet (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pinda</i>) de fer
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âyasa</i>) incandescent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pratapta</i>), Brahma pénètre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pra-KÂSH</i>) l’univers (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>) entier (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">akhila</i>) intérieurement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">antar</i>)
extérieurement (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bahir</i>) et de part en
part (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyâpya</i>), [les trois mondes], Il
le fait briller (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÂS</i>) et [brille] de
lui-même (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svayam</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">63</span></b><span style="font-size: 12pt;">- « <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> ne ressemble (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vilakshana</i>) pas au Monde (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jagat</i>), et hors <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> il n’y a rien (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anyat</i>,
autre); tout ce qui semble exister (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÂ</i>)
en dehors (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anyat</i>) de Lui (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">brahma</i>) ne peut exister [de cette façon]
qu’en mode illusoire (mithyâ), comme l’apparence de l’eau (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">marîchi</i>, mirage) dans le désert (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">maru</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">64</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« De tout ce qui est vu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">DRiSH</i>),
de tout ce qui est entendu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">SHRÛ</i>),
rien n’existe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÛ</i>) hors (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">anyat</i>, autre) de <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i>; dans la Connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>)
de la Vérité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tattva</i>), <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Brahma</i> est Être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>)-Conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>)-Béatitude
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ânanda</i>), sans dualité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">advaya</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">65</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« L’oeil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chakshus</i>) de la
connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>) contemple (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nir-ÎKSH</i>) l’Être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sat</i>)-Conscience (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chit</i>)-Béatitude
(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ânanda</i>), l’Omniprésent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva-ga</i>); mais l’oeil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chakshus</i>) de l’ignorance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">a-jnâna</i>) ne l’aperçoit<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>(<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ÎKSH</i>)
point, comme un homme aveugle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">andha</i>)
ne voit point la lumière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhânu</i>,
soleil) sensible (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhâravân</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">66</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Comme l’or (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svarna</i>) est
débarrassé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">mukta</i>) [par le feu] de
toutes ses scories (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva-mala</i>), le <i style="mso-bidi-font-style: normal;">jîva</i> (vivant) brûlant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">uddîpta</i>) du feu (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">agni</i>) de la connaissance (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jnâna</i>)
activé (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">paritâpita</i>) par l’audition (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shravana</i>, l’enseignement) et autres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>) [moyens] est [débarrassé de toutes
ses impuretés] et il brille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">DYUT</i>)
[alors] de sa propre (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">svayam</i>)
[splendeur] ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">67</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Quand le Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âtmâ</i>), Soleil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhânu</i>) de la Connaissance spirituelle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bodha</i>), se lève (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">udita</i>) dans le ciel du coeur (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">hrid-âkâsha</i>,
l’éther du coeur) Il chasse (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">upa-HRi</i>)
les ténèbres (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tamas</i>) [de l’ignorance],
il brille (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÂ</i>) pénétrant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vyâpî</i>) tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>), enveloppant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhârî</i>)
tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva</i>) et illuminant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÂS</i>) tout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">akhila</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">68</span></b><span style="font-size: 12pt;">-
« Celui qui a fait le pèlerinage (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tîrtha</i>)
de son propre Soi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sva-âtmâ</i>), [un
pèlerinage] dans lequel il n’y a rien concernant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">an-apa-ÎKSH</i>) la situation (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dish</i>),
la place (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">desha</i>), le temps (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kâla</i>), etc. (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>), qui est partout (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva-ga</i>,
omniprésent), dans lequel ni le froid (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">shita</i>)
[ni le chaud], etc. (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdi</i>), ne sont
éprouvés, qui procure une félicité (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sukha</i>)
permanente (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nitya</i>) et [une délivrance
définitive] de tout trouble (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">niranjana</i>);
celui-là est (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHAJ</i>) sans action (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vi-nish-kriya</i>), omniscient (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva-vid</i>), omniprésent (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">sarva-gata</i>) et il obtient (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÛ</i>) l’éternelle Béatitude (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">amrita</i>, immortalité) ».<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<b style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: 12pt;">Ekashlokî</span></b><span style="font-size: 12pt;"><o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<i style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 12pt;">Kim jyotis-tava bhânumân-ahani me râtrau pradîpâdikam
syâd-evam ravi-dîpa-darshana-vidhau kim jyotir-âkhyâhi me</span></i><span style="font-size: 12pt;"> / <i style="mso-bidi-font-style: normal;">chakshus-tasya
nimîlanâdi-samaye kim dhîr-dhiyo darshane kim tatrâham-ato bhavân paramakam
jyotis-tad-asmi prabho</i> //<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
</div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>« Quelle (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kim</i>)
est ta (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tvam</i>) lumière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jyotis</i>) ?<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Pour moi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>),
le jour (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ahar</i>) c’est le soleil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">bhânumân</i>), la nuit (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">râtri</i>) ce sont des (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âdika</i>,
etc.) lampes (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">pradîpa</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Peut-être (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">syât</i>),
mais (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">evam</i>) dis-moi (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">AH</i>) quel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kim</i>) est le nom (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">âkhyâ</i>)
de la lumière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jyotis</i>) pour
l’obtention (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">vidhi</i>) de la vision (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>) du soleil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">ravi</i>) et de la lampe (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dîpa</i>) ?<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>C’est l’oeil (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">chakshus</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>[Et] quel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kim</i>)
est<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>[le nom de la lumière] lors (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">samaya</i>, condition) de la fermeture des
yeux (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">nimîlana-âdi</i>) ?<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>C’est la pensée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhî</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>[Et] quel (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">kim</i>)
est [le nom de la lumière] pour la vision (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">darshana</i>)
de la pensée (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">dhî</i>) ?<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Là (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tatra</i>),
c’est le ‘je’ (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">aham</i>).<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;">
<span style="font-size: 12pt;"><span style="mso-tab-count: 1;"> </span>Devenant (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">BHÛ</i>)
alors (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">atas</i>) la suprême (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">paramaka</i>) Lumière (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">jyotis</i>), [je] suis (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">AS</i>)
cela (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">tat</i>), ô maître (<i style="mso-bidi-font-style: normal;">prabhu</i>) ».<o:p></o:p></span></div>
Bruno Hapelhttp://www.blogger.com/profile/05525415697835975358noreply@blogger.com0